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Voilà je voudrais soulever un débat que je trouve très fréquent, on parle souvent de Liberté, pourtant dès qu'on tente de la définir on se rend compte que chacun à une définition différente du concept.. alors pour vous, en quoi consiste la liberté? 1) Pour les anarchistes, la liberté c'est pouvoir faire ce qu'on veut, quand on le veut, vivre sans Dieu ni maître. L'ordre venant uniquement de la liberté, un gouvernement ne peut qu'entrainer le désordre. 2) Pour Kant, la liberté se trouve dans l'autonomie (=se donner une loi à soi-même), et assimile liberté et morale. Nous sommes libres uniquement quand nous agissons moralement, l'action morale étant donné par ses impératifs catégoriques (ex : "Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être ériger en loi universelle"). En gros, pour être libre il faut viser le Bien. 3) Les stoïciens considèrent que l'univers obéit à un ordre inéluctable, et que tout le monde y obéira quoi qu'il advienne. Pour eux, la seule liberté possible consiste en la manière dont on reçoit et accepte son destin. Pour prendre une image : le monde est un théâtre, chacun a un rôle qu'il est obligé de jouer, la seule liberté consiste à choisir si on joue notre rôle de bon gré ou mal gré. 4) Sartre défend l'idée que l'homme n'a pas de nature pré-définie et est libre de se définir lui-même par ses choix. Cette liberté implique une responsabilité, dans le sens où l'homme établit un modèle pour l'humanité entière en choisissant de se définir de telle ou telle manière. On ne peut pas échapper à sa liberté de choix, et invoquer des motifs pour tenter d'y échapper c'est faire preuve de "mauvaise foi". Pour le citer : "L'homme est condamné à être libre." 5) L'homme ayant peur de se confronter à la Vérité (l'homme est assujetti à toutes sortes de règles), il invente un concept qu'il appelle Liberté pour se soulager. 6) De nos jours, plus on est riche, plus notre choix d'activité s'élargit. Ainsi, l'argent nous permet d'avoir un toit, de se nourrir, de mieux vivre. Plus on a d'argent, plus on est libre de faire ce qu'on a envie de faire. 7) Une autre réponse, à préciser en commentaire... P.S : j'ai essayé de défendre chacun de ces points de vue du mieux que j'ai pu, sans tenir compte du mien (je penche nettement du côté de Sartre), mais vous pouvez bien évidemment compléter/améliorer
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D'après un sondage TNS-Sofres : Le FN plus populaire que jamais
Hussard Noir a posté un sujet dans Politique
Le FN plus populaire que jamais « La marque est historique » ... Le Front National va bien, merci pour lui. Sous la houlette de Marine Le Pen, le parti d'extrême droite gagne du terrain à en croire le baromètre annuel de TNS-Sofres réalisé pour France Info/Le Monde/Canal+. 32% des 1.012 personnes représentatives de l'ensemble de la population âgées de 18 ans et plus interrogées selon la méthode des quotas se disent ainsi tout à fait (6%) ou assez (26%) d'accord avec les idées du FN, un chiffre en hausse d'un point sur un an. La marque est historique, puisqu'il fallait remonter à octobre 1991 pour trouver trace d'une adhésion pareille. En mai 2002, année de la présence de Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l'élection présidentielle, l'adhésion aux idées frontistes des Français était de l'ordre de 28% alors qu'elle a gagné 14 points depuis 2010. Pour Emmanuel Rivière, directeur du département Opinion chez TNS-Sofres interrogé par l'AFP, "ce qui est frappant, c'est qu'il n'y a pas de décrue post-électorale", comme cela avait pu être observé en 1995 et 2002. Preuve de sa popularité grandissante, le FN ne "représente un danger pour la démocratie" qu'aux yeux de 47% de sondés (-6), passant pour la première fois sous la barre des 50%. Les sympathisants UMP, eux, ne sont que 39% à considérer le parti fondé en 1972 comme un danger quand ils sont 40%, contre 35% des sondés, à le considérer comme "un parti qui a la capacité de participer à un gouvernement", un chiffre en hausse de dix points sur deux ans. Suite de l'article... Source: Metro Marine Le Pen : 51% des Français pensent que la présidente du FN sera au second tour de la présidentielle en 2017...- 511 réponses
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Une étude de l'Ifop pour Le Figaro montre que la montée du communautarisme des musulmans accentue leur rejet par l'opinion. ... Une fête qui tombe dans une France qui conteste de plus en plus cette religion, comme le démontrent un sondage exclusif de l'Ifop pour Le Figaro mais aussi des faits spectaculaires comme l'occupation symbolique, samedi dernier, de la mosquée de Poitiers. «Notre sondage, explique Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, démontre une évolution qui va dans le sens d'un durcissement supplémentaire des Français vis-à-vis de cette religion et d'une perception négative renforcée de l'islam. Même si une proportion non négligeable de Français, 40 %, continue à se dire indifférente à la question de la présence de l'islam en France.» ... Sur ces sujets précis, très repérables dans la vie de tous les jours, «les avis négatifs convergent, constate Jérôme Fourquet, et l'on ne voit pas comment ils pourraient désormais s'inverser». On vérifie ainsi cette «radicalisation de l'opinion publique et cette baisse de l'indifférence vis-à-vis de l'islam», note ce spécialiste des sondages. Quand on demande aux Français quelles sont «les causes» de ce rejet: le «refus de s'intégrer à la société française» passe de 61 à 68 % en deux ans. «Les trop fortes différences culturelles» de 40 à 52 % et «le fait que les personnes d'origine musulmane soient regroupées dans certains quartiers et certaines écoles» de 37 % à 47 %. Quant à la question des «traits d'image associés globalement à l'islam» le «rejet des valeurs occidentales» arrive très largement en tête. Tout se passe comme si les marqueurs du communautarisme étaient devenus insupportables aux Français qui ne voient, au passage, aucun effet des «actions ou des budgets des pouvoirs publics» pour l'intégration. Enfin, pour ce qui est de la politique, une évolution a particulièrement été repérée par Jérôme Fourquet. Il constate qu'une «digue» vient de céder. Elle séparait le refus - constant depuis 1989 - de partis politiques se référant à l'islam et une certaine bienveillance pour des élus locaux, voire des maires musulmans. Cette hostilité de principe à ces élus - très forte en 1989 avec 63 % - s'étaient atténuée jusqu'à 33 % en 2010. Mais cette hostilité aux élus locaux musulmans vient subitement de remonter à 45 %. L'article en entier avec l'infographie des résultats du sondage : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/24/01016-20121024ARTFIG00700-l-image-de-l-islam-se-degrade-fortement-en-france.php
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Les électeurs FN sont plus nombreux à assumer leur vote 19/11/2011 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] Si l'on excepte une légère baisse à la fin de l'été, les intentions de vote en faveur de Marine Le Pen sont remarquablement stables depuis le printemps. Les baromètres mensuels des instituts de sondage concordent, même si les fourchettes dans lesquels ils situent la candidate sont plus ou moins larges. Chez CSA, par exemple, la présidente du Front national est créditée, depuis la mi-mai, de 16 % à 20 % des voix au premier tour de la présidentielle. A l'Ifop, son score varie entre 17 % et 21 % sur la même période. Chez Ipsos, les variations sont d'amplitude un peu plus faible : au cours des six derniers mois, jamais Mme Le Pen n'a dépassé les 19 %, jamais elle n'est descendue en-deçà de 16 %. Ces légères fluctuations ne doivent pas masquer l'essentiel : la candidate du FN se situe à des niveaux jamais atteints par son père. Début novembre 2001, Jean-Marie Le Pen était ainsi crédité de 6 % des voix par Ipsos, de 7 % par l'Ifop et de 8,5 % par CSA. Six mois plus tard, le 21 avril 2002, il obtenait 16,9 % des suffrages exprimés au premier tour de la présidentielle, un résultat qui lui avait permis de se qualifier au second tour. Autant que son score très élevé, c'est le caractère de plus en plus dicible du vote en faveur du FN qui frappe aujourd'hui les spécialistes des enquêtes d'opinion. Mesurer les intentions de vote de l'extrême droite a en effet longtemps été un casse-tête. Les sondeurs s'en rendaient compte de la façon suivante : quand ils demandaient aux personnes interrogées pour qui elles avaient voté aux scrutins précédents, celles qui admettaient avoir voté pour un candidat du FN étaient beaucoup moins nombreuses que celles qui avaient effectivement fait ce choix. D'où la nécessité d'opérer d'importants "redressements". Aujourd'hui, le travail des sondeurs est plus simple. "La dicibilité du vote FN est telle que nous n'avons quasiment plus besoin de le redresser", reconnaît Jérôme Fourquet, directeur adjoint du département opinion à l'Ifop. Ce phénomène remonte à fin 2010-début 2011. "Depuis cette période, qui correspond à l'arrivée de Marine Le Pen à la tête du FN, nous constatons un double phénomène : non seulement les gens sont de plus en plus nombreux à dire qu'ils voteront pour le FN, mais ils n'hésitent plus à admettre qu'ils ont fait un tel choix dans le passé. De sorte que les redressements que nous appliquons à Marine Le Pen sont devenus comparables à ceux que nous appliquons aux autres candidats", explique Yves-Marie Cann, directeur d'études chez CSA. LE VOTE DU FN S'EST DÉDIABOLISÉ En devenant plus dicible, le vote en faveur du FN ne s'est pas seulement banalisé. Il s'est aussi dédiabolisé. C'est ce que constate Jean-Daniel Lévy, directeur du département opinion chez Harris Interactive. "Que de plus en plus d'électeurs disent qu'ils voteront pour Marine Le Pen est une chose. Mais il y a un phénomène qui est aujourd'hui encore plus frappant : quand on précise aux personnes interrogées qu'elles risquent, ce faisant, d'empêcher François Hollande ou Nicolas Sarkozy de se qualifier au second tour, moins d'une sur cinq se dit prête à reconsidérer son choix." Ce qui signifie que les électeurs du FN n'assument pas seulement leur vote, mais aussi ses éventuelles conséquences. La question est désormais de savoir quelle est la marge de progression de Mme Le Pen. Nul, aujourd'hui, ne se risque à faire de pronostic. Reste que "l'histoire a souvent montré que c'est dans la dernière ligne droite avant un scrutin que Jean-Marie Le Pen progressait le plus", rappelle Jérôme Fourquet. Si le même scénario se répète pour sa fille, c'est bien au-delà de 16 % à 20 % qu'elle se situera au soir du 22 avril 2012. L'article Source: Le Monde
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Bonjour à tous et à toutes ! J'étais en train de me faire une tartine de Nutella quand l'idée de faire un sondage ici me vint à l'esprit :smile2: N'oubliez pas de laisser un ptit message Nutella Zazibouni :)
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Un sondage montre l'acceptation massive de l'euthanasie en France Samedi 30 octobre - 11:29 A l'Hôtel-Dieu de Lyon, en 2009. AFP/FRED DUFOUR L'immense majorité des Français se déclare favorable à une loi sur l'euthanasie dans certains cas, comme une de maladie incurable, selon un sondage CSA publié, samedi 30 octobre, dans Sud-Ouest. Selon cette enquête, 94% des personnes interrogées se disent pour une telle loi. En 2001, ils étaient 88%. Suite de l'article... Source: lemonde.fr
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Sortez votre plus belle paire de talons, et votre premier rendez-vous marchera comme sur des roulettes ! Selon une étude menée par Spartoo.com en partenariat avec l'Ifop, publiée ce jeudi 6 mai, 33% des Français estiment que les chaussures sont des éléments de séduction importants lors d'un premier rendez-vous amoureux, voire très importants pour 6% d'entre eux. Toutes les tranches d'âge semblent concernées par cette conception de la chaussure. Ainsi, 32% des 18-24 ans voient les chaussures comme un élément de séduction important, contre 33% des 35-49 ans et 37% des plus de 65 ans. L'Alsace-Lorraine et la Franche-Comté sont les régions qui attachent le plus d'importance aux chaussures lors d'un premier rendez-vous amoureux (38%), devant la région parisienne (37%), la Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Languedoc-Roussillon, la Normandie et le Centre (36%). Le sondage dévoile également que près d'un Français sur quatre (24%) a déjà été rebuté ou choqué par une personne à la vue de ses chaussures. Les femmes font davantage attention à ce type de détails (26%) que les hommes (22%). Cette proportion est également plus élevée chez les célibataires (29%), les franciliens (33%) et les habitants de la région PACA (29%). Cette étude a été réalisée par Spartoo.com/Ifop, entre le 16 et le 19 avril 2010, par interviews téléphoniques auprès d'un échantillon de 1.004 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Source
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Bonjours a tous, Voila je voit souvent des sujets qui ne sont pas tagé et c'est assez compliquer ensuite pour faire une recherche et donc beaucoup de doublons sont présent un peut partout. Peut être devriez vous lancer une campagne de "sensibilisation" et tagé aussi les sujets qui ne le sont pas. Voila après c'est mon point de vue perso.
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La majorité des Français s'en sortent difficilement avec leurs revenus (sondage) Samedi 01 Mai - 20:13 La majorité (58%) des Français affirment s'en sortir difficilement avec les revenus de leur foyer, un chiffre légèrement inférieur à celui mesuré en avril 2007 (60%), selon un sondage Ifop ... Si 58% des sondés déclarent s'en sortir difficilement avec leurs revenus, 14% jugent même qu'ils s'en sortent "très difficilement", 42% "facilement" et seuls 5% déclarent s'en sortir "très facilement". Les professions les plus modestes sont les plus nombreuses à faire part de difficultés. Ainsi, près de trois-quarts des ouvriers (74%) et des employés (73%) estiment s'en sortir difficilement, alors que seuls 54% des personnes exerçant une profession intermédiaire et 41% des cadres supérieurs et des personnes exerçant une profession libérale partagent le même sentiment. Suite de l'article... Source: Nice Matin / AFP
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Deux ans après, deux Français sur trois "déçus" par Sarkozy Lundi 04 Mai - 09:36 Selon un sondage, 65% des Français se disent "déçus" de l'action du chef de l'Etat depuis son élection. Un autre sondage pointe leur inquiétude en matière de chômage. Crédit Photo : TF1 Dans deux jours, Nicolas Sarkozy fêtera sa deuxième année à l'Elysée. A l'occasion de cet anniversaire, TNS Sofres Logica et Metro ont demandé aux Français ce qu'ils pensaient de l'action du chef de l'Etat, depuis son entrée en fonction : 65% se disent "déçus" et 63% jugent le bilan "plutôt négatif". 55% des sympathisants de droite se disent "satisfait" et 37% "déçu". Chez les sympathisants de gauche, 84% se disent "déçus" pour 8% de "satisfaits". D\'après agence Suite de l'article... Source: tf1.lci.fr