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  1. Dernière heure
  2. Engardin

    Impressions

    Merci pour ta réponse ! C'est bien que les choses soient claires quand elles peuvent l'être... Nous avons des parcours avec des découvertes parfois qui ouvrent des horizons jusqu'alors insoupçonnés et qui peuvent entrainer des bifurcations, des changements de caps... . Et c'est tant mieux ! Et le "socle commun" c'est que c'est d'une certaine façon toujours nous ! Et nos "familles" (avec leurs traditions leurs cultures), qu'on a un peu tendance à éliminer maintenant nous ont largement forgés au départ...
  3. "Hey Tony, tu me prends pour un con ? Tes excuses avec ton pourcentage, on se les carre. Et puis tu me dis que tu as les moyens, mais va-y rembourse. Tu veux que je t’envoie le balafré ? c'est ça que tu veux Tony ? T'as jusqu'à demain matin pour me rapporter mes euros Tony. Cours Tony, rapporte-moi mon pognon."
  4. Morfou

    Sommes nous en France ou...

    Pas atlantiste, OK, et moi on plus...mais ni sioniste...en fait c'est faux...relisez l'Histoire...
  5. Dans mon souvenir il promettait 3% de déficits en 2014 et 0 en 2017. Comment il pouvait promettre de réduire la dette sans budget excédentaire ? Comme si les milliers de milliards de cadeaux fiscaux n'y était pour rien... Vous refaites l'histoire.
  6. Ils délocalisent en masse, payent mal leurs salariés, sabotent l'agriculture française, défendent l'immigration de masse mais comme ils font du mécénat on est sauvé
  7. Bonjour à tous, voici mon problème. j’essaye d’installer war thunder mais le jeu m’affiche un codé d’erreur à partir du 2ème téléchargement (CE-107883-7). J’ai essayer de le désinstaller et réinstaller mais rien, donc si vous avez une solution je suis preneur
  8. Le produit intérieur brut (PIB) Il donne une mesure des richesses nouvelles créées chaque année par le système productif du pays et permet des comparaisons internationales. Le produit intérieur brut est publié à prix courants et en volume aux prix de l'année précédente chaînés. ----Les chiffres parlent d'eux-même...et Hollande a augmenté la dette de quasi 10 points alors que, contrairement à Sarko et Macron il n'a pas eu de problèmes particuliers! En passant, c'est faire un mauvais procès à Macron... sa dette, c'est la nôtre en fait...tout le monde a accepté "la distribution" du premier quinquennat...le lui reprocher aujourd'hui est tout simplement de l'hypocrisie... Et forcément, l'inflation a suivi...comme sous Mitterrand, sauf qu'elle a mis moins de temps à arriver!
  9. "Cadeaux aux riches et immigration", toujours la même propagande basique pour gogos pleurnichards et souvent assistés ! Parce que toi tu crois que l'ont vit nettement mieux dans d'autres pays ? Bouger, voyager un peu et vous comprendrez !
  10. Ceci : une meilleure représentativité des élus, une responsabilité politique effective du gouvernement, des moyens laissés aux citoyens pour qu'ils puissent à l'occasion intervenir directement dans la gestion de la chose publique.
  11. truebypass

    Sommes nous en France ou...

    Et bah quand on se revendique du général qui était connu pour être ni sioniste ni atlantiste, c'est assez pitoyable.
  12. C'est fou ça hein, le droit international qui est à côté de la plaque. Le rapport de force était pas déjà inversé à la base? Ah bah si en fait.
  13. La tomate du jardinier n'est pas ogm. La sélection des jardiniers permet de disposer aujourd'hui de plus de 200 variétés de tomates.. ensuite par croisement spécifique on dispose des variétés F1 qui sont sont soit plus productives soit plus résistantes au mildiou ou au "cul noir".
  14. Marcuse

    Débriefs de Manifs

    Manifestation antinucléaire à Bure : « C’est le moment de résister ! » Environ 1 500 personnes ont défilé le 20 septembre à Bure contre le projet Cigéo, qui prévoit l’enfouissement des déchets radioactifs les plus dangereux. Un nouvel élan pour la lutte antinucléaire. « Andra dégage ! Résistance et sabotage ! » Départ à 14 heures, le 20 septembre, pour une boucle de 7 km partant de Mandres-en-Barrois et passant par la Maison de la résistance à Bure. Objectif : dénoncer, encore une fois, Cigéo, le projet d’enfouissement de 85 000 m3 de déchets nucléaires. Haut en couleur, le cortège d’environ 1 500 personnes (700 selon la préfecture) rassemble des drapeaux jaunes de la Confédération paysanne, roses de Solidaires, rouge d’Attac, verts de Greenpeace ou encore le drapeau de la Palestine et les écharpes des élus locaux et nationaux, parmi lesquels Mathilde Panot (La France insoumise) et Sandrine Rousseau (Les Écologistes). « C’est la première fois que le mouvement climat appelle à une manifestation antinucléaire », souligne au micro Angélique Huguin, Meusienne et coordinatrice juridique des Fronts contre Cigéo, avant d’appeler à marcher pour le climat le 28 septembre. « Cet aspect ultra-unitaire est inédit », sourit Yasmina [*], citant les bus venus de Nantes, d’Alsace, de Lyon et de Paris, et « la présence de camarades de La Hague, d’Allemagne, d’Italie et du Japon ». https://reporterre.net/Manifestation-antinucleaire-a-Bure-C-est-le-moment-de-resister
  15. Répy

    Restauration en crise

    Les gens sont inquiets et m^me sinistres. Donc en cas d'inquiétude on ne va pas festoyer au resto et on garde son pognon. D'autant plus que les bons restaurants sont hors de prix et les mauvais restaurants pullulent. Beaucoup de gens s'offrent des plats cuisinés proposés par les grandes surfaces. On mange bien pour environ 4 fois moins cher qu'au resto moyen.
  16. Tout ce que je sais, c'est que tu emploies un vocabulaire qui m'est étranger et que tu fais comme s'il s'agissait d'un impôt confiscatoire, ce qu'il n'est pas. Bien sûr que si il est taxé sur les 500 qu'il gagne, et c'est parce qu'il recourt à des mécanismes pour échapper à l'impôt qu'on envisage un dispositif qui ne lui permettra plus. Si on ne prend pas en compte la valeur du patrimoine financier, cet impôt est vidé de sa substance. Après si tu as des pistes pour tenir compte de cad particuliers sans rendre la fiscalité illisible et sans créer d'effet d'aubaine, pourquoi pas.
  17. Dixit les LFIstes intoxiqués, les réseaux dits sociaux sont de la m****, il y a dedans autant de caca que de papiers.
  18. L’ancien élu à l’éducation et le communicant derrière l’enregistrement d’une sextape contre le premier adjoint de la mairie de Saint-Étienne ont tous les deux assumé leur participation au complot. Dans des registres diamétralement opposés. PrésentPrésent en nombre pour entendre les explications des protagonistes du chantage à la mairie de Saint-Étienne, le public a d’abord dû évacuer de manière inattendue la salle du tribunal judiciaire de Lyon, lundi 22 septembre. Aux premières heures du procès du chantage à la mairie de Saint-Étienne, la présidente de la 17e chambre correctionnelle, Brigitte Vernay, a en effet ordonné un huis clos pour permettre la diffusion d’une pièce centrale, et particulièrement sensible, du dossier : un extrait de la sextape filmée dans une chambre d’un hôtel parisien en janvier 2015. Seuls les prévenus et leurs avocats ont pu faire face aux images dans la salle d’audience. La cible du complot, l’ancien premier adjoint Gilles Artigues, a aussi décidé de rester avec ses bourreaux présumés pour visionner l’odieuse séquence : un teaser de 2 minutes montrant des extraits du rendez-vous programmé entre ce père de famille catholique et un escort. Le film a été tourné à leur insu par Samy Kéfi-Jérôme, alors adjoint à l’éducation et proche de Gilles Artigues, en lien avec son compagnon de l’époque, le communicant Gilles Rossary-Lenglet. Brouillés depuis des années, les deux hommes se retrouvent pour une semaine à quelques mètres d’écart, pour répondre aux questions du tribunal sur ce kompromat à la française. Ils sont même assis juste l’un derrière l’autre, sur des chaises disposées à l’avant de la salle d’audience, à côté d’un autre couple politique aujourd’hui déchiré : le maire de Saint-Étienne, Gaël Perdriau, et son ancien directeur de cabinet, Pierre Gauttieri. Tous les deux soupçonnés d’avoir utilisé la fameuse sextape pour tenir politiquement Gilles Artigues. Contrition Trois ans après le début de l’affaire, à l’occasion de ces retrouvailles au tribunal, le contraste est saisissant entre les élus et leurs anciens bras droits respectifs. Sur les deux chaises arrière, Gaël Perdriau et Samy Kéfi-Jérôme se tiennent droit côte à côte, le regard fixe, impeccables dans leurs costumes bleu nuit parfaitement taillés. Devant eux, Pierre Gauttieri et Gilles Rossary-Lenglet, les hommes de l’ombre, tous deux malades et particulièrement éprouvés. Ils n’ont pas 60 ans mais peinent à se lever, et se déplacent lentement avec une canne. Les quatre hommes encourent notamment jusqu’à dix ans de prison pour chantage, association de malfaiteurs et détournement de fonds publics (et recel). Samy Kéfi-Jérôme est le premier à se présenter à la barre pour répondre aux questions du tribunal. Rien de plus normal : c’est lui qui a attiré Gilles Artigues dans la chambre d’hôtel, a dissimulé une caméra et a filmé la séquence, comme il a fini par le reconnaître au cours de l’enquête judiciaire après avoir l’avoir contesté auprès de Mediapart avant les premières révélations. Dans la lignée de ses dernières déclarations devant les juges d’instruction, l’ancien adjoint à l’éducation fait aujourd’hui dans la contrition. « Dès le début de cette affaire, j’ai démissionné de la vie politique. J’ai aussi démissionné de la fonction publique, quitté la ville, changé d’emploi, tenté de faire face à l’homme que j’ai été », développe-t-il, en soulignant que les actes « qu[’il a] commis sont graves, inadmissibles, inexcusables ». Par mes actes, j’ai aussi abîmé le statut d’élu. Samy Kéfi-Jérôme Professeur des écoles, Samy Kéfi-Jérôme avait 30 ans et des projets à la hauteur de son ambition politique, quand il a rencontré en 2009 Gilles Artigues, de quinze ans son aîné, au MoDem. Le parti centriste était alors moribond. Une « amitié politique » et une « proximité » sont nées de cette relation, explique le prévenu, se souvenant d’avoir été « accueilli les bras ouverts » par la famille Artigues, dont il régalait les enfants de petites attentions. « Cela me faisait du bien », croit se souvenir celui qui partageait alors la vie de Gilles Rossary-Lenglet et se trouvait lui-même en rupture familiale. Dès lors, comment expliquer qu’il ait pu piéger un ami si proche ? Au tout début de l’affaire, Samy Kéfi-Jérôme a dénoncé un prétendu « harcèlement sexuel » de la part de Gilles Artigues pour justifier ses actes. À l’appui de ses dires, il avait remis aux enquêteurs des SMS contenant notamment des blagues graveleuses et réciproques entre eux. « Vous n’étiez pas du tout animé de regrets, vous êtes arrivé en audition avec votre téléphone, rempli de messages fort fleuris, lui rappelle la présidente du tribunal, comme s’il fallait comprendre que ce qui vous était reproché était un pauvre moyen de légitime défense. » D’un ton posé, Samy Kéfi-Jérôme range aujourd’hui ces accusations au rang de simple élément de « contexte ». L’ancien adjoint paraît évoluer sur un fil, entre volonté de montrer au tribunal qu’il a changé et regrette ce qu’il a fait, sans pour autant trop se dédire. « Je ne suis pas devant vous pour justifier ma relation avec Gilles Artigues, mais pour justifier mes actes », poursuit-il. « Gilles Artigues est une victime », et l’escort aussi, répète-t-il à plusieurs reprises, présentant également ses excuses à la population stéphanoise. « Par mes actes, j’ai aussi abîmé le statut d’élu », constate encore Samy Kéfi-Jérôme. Il faudra malgré tout attendre les questions des parties civiles pour avoir la confirmation qu’il n’a – aujourd’hui encore – pas abandonné tous les avantages liés à son parcours politique : s’il a effectivement quitté ses fonctions à Saint-Étienne, l’ancien instituteur, reconverti en serveur, a gardé son autre mandat de conseiller régional, à Lyon. Relevé de ses fonctions dans la majorité de Laurent Wauquiez depuis le premier article sur l’affaire en août 2022, il continue de toucher depuis plus de trois ans 50 % de ses indemnités, soit « 1 000 euros » par mois, sans siéger dans l’hémicycle. (...) https://www.mediapart.fr/journal/france/230925/au-proces-du-chantage-de-saint-etienne-ce-n-est-plus-de-la-politique-ce-sont-les-pages-du-code-penal
  19. Marcuse

    Qui est le vrai Macron?

    Jacques Toubon : « Emmanuel Macron a été élu minoritaire, il est resté minoritaire, mais continue à faire comme si ce n’était pas le cas » L’ancien Défenseur des droits appelle le camp présidentiel à lâcher une partie du pouvoir, afin de construire une majorité relative de gouvernement. Redoutant une victoire de l’extrême droite en cas de nouvelles élections anticipées, il déplore que la droite n’ait plus rien à proposer qu’une course de fond avec le RN. IlIl s’est démarqué ces dernières années pour son engagement en faveur des libertés fondamentales et de la lutte contre les discriminations. Aux législatives anticipées de 2024, il fut l’une des rares personnalités issues de la droite à alerter sur la nécessité d’« ériger un front républicain global » contre l’extrême droite sans en exclure La France insoumise (LFI). « Le front républicain connaît des nuances, à mes yeux, coupables », regrettait-il alors. Un an et deux chutes de gouvernement plus tard, l’ancien Défenseur des droits Jacques Toubon se désole de voir « les responsables politiques continuer de courir après le pouvoir », plutôt que d’accepter de le partager. Pointant le décalage grandissant entre le fonctionnement des institutions politiques et l’indifférence des citoyen·nes, il prévient : « L’extrême droite monte parce que l’ensemble du système, droite et gauche confondues, ne répond plus. » Mediapart : Des mobilisations sociales, deux chutes de gouvernement en moins d’un an, un nouveau premier ministre qui n’a toujours pas composé le sien ni donné de ligne directrice... Certains parlent de crise politique, d’autres de crise de régime. Comment décririez-vous la situation actuelle ? Jacques Toubon : Le pays continue de tourner en l’absence de gouvernement et de majorité absolue à l’Assemblée nationale, ce qui prouve que les institutions fonctionnent. La seule question qui se pose, selon moi, est de savoir si les hommes et les femmes politiques français, qui vivent dans ce système de majorité absolue depuis 1962, sont capables de fonctionner différemment. C’est ce que nous verrons dans les prochaines semaines. Le grand défaut, c’est que beaucoup de gens n’arrivent pas à concevoir le fonctionnement du gouvernement de la Cinquième République en dehors du phénomène majoritaire. C’est évidemment beaucoup plus difficile, mais le fait est que le système fonctionne désormais sur une donnée de majorité relative et donc forcément d’entente. Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu, depuis un an, les négociations nécessaires pour faire voter la confiance. Le « bloc central » doit à présent construire une majorité relative de gouvernement. Il n’y a pas d’autre solution. Mais les responsables politiques auront-ils suffisamment d’abnégation pour faire passer l’intérêt de leur personne ou de leur parti derrière l’intérêt général ? Si ce n’est pas le cas, il faudra bien que la situation soit dénouée par une nouvelle dissolution pour demander aux électeurs ce qu’ils souhaitent. Vous continuez donc de défendre le régime de la Cinquième ? Naturellement ! Le président de la République nomme un premier ministre, et ce premier ministre peut parfaitement, s’il en a la capacité, constituer une majorité relative qui permette de gouverner. Encore une fois, je crois qu’il est absurde de dire que ça ne peut pas fonctionner s’il n’y a pas de majorité absolue et de minorité. Il faut simplement que chacun accepte qu’il n’y a plus de caractère automatique de la mise en œuvre de la décision du pouvoir. Ceux qui parlent de crise de régime en montant sur les estrades et en écartant les bras disent n’importe quoi. Quelle serait leur solution pour résoudre cette supposée crise de régime et mettre en œuvre de nouvelles institutions ? Le retour à un régime d’assemblée ? Ou au contraire une présidentialisation complète ? Je ne crois pas du tout aux bricolages institutionnels. Je pense au contraire qu’il faut prendre les choses telles qu’elles sont et les faire fonctionner autrement. Sauf que ça ne fonctionne pas... Parce que les responsables politiques continuent de courir après le pouvoir, comme si ce pouvoir était forcément majoritaire. Ils n’acceptent pas l’idée de négocier leur possibilité de gouverner – ce que font pourtant tous les autres pays à l’exception de la France. Il y a un vrai exercice d’introspection publique à faire. Tant que personne ne voudra partager une partie du pouvoir avec le « camp opposé », la situation sera bloquée. (...) https://www.mediapart.fr/journal/politique/220925/jacques-toubon-emmanuel-macron-ete-elu-minoritaire-il-est-reste-minoritaire-mais-continue-faire-comme-s
  20. Dans le marché, tout le monde a le droit a son idée. A son produit ou service.
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