Whole lotta questions
'Cause when I let a door open, I get a cold;
A cold shoulder, everytime that my arms unfold;
Not to be hurt any more, should I get colder?
Yesterday's Chicago Sun-Times at my front door,
Oh Hobson*, whom can this possibly be worth for?
Unlikely that I ever close any folder.
A long time ago I guess, I felt alright,
No falling for anyone meant no getting hurt;
Since that damn Cupid started to treat me like dirt,
Whole lotta conflicting feelings have come to light.
Un petit texte sans grand intérêt, juste pour le plaisir d'écrire un peu en anglais :
What I haven't done
My hell's paved with more should'ves
Than I could ever recall;
Regrets, I believe, are all
My memories are made of.
My mind's stuck on yesterday,
Hoping for no tomorrow;
I cannot feel but sorrow
As I while my life away.
I can't afford to should've
Myself any longer, so
Today's the day I let go
Of the past I'm dying
Vieux maux en rires (On n’apprend qu’en saignant)
Sans vouloir offenser Newton et Galilée,
La gravité n’avait rien de secret pour nous
Quand hauts de trois Golden on s’niquait les genoux
À vélo après cette indignation gonflée :
Marr’ des p’tit’ roues, des p’tit’ roues, toujours des p’tit’ roues !
À force de s’casser la gueule, on sait qu’il faut
Que jaunasse se fasse avant qu’un bleu s’efface,
Qu’une croûte grattée aime à laisser des traces,
Vert concombre
Pour retoucher l'imag' que les gens se font d'elle,
Même clos, ses yeux sont tout verts comme un concombre,
Et elle voit vermeil quand j'ôte les rondelles
De cucurbitacé oblong qui les encombre.
Elle soutient qu'il faut souffrir pour être belle,
La divine Vénus* elle-même en coulisse
Se raserait souvent les gambettes rebelles,
Aujourd'hui, le 17 peine à donner la peau lisse.
Mais pourquoi araser l'enveloppe charnelle
Vers à moitié vides
Toi, l'optimiste, par un rien ravi,
Qui vois de l'espoir tant qu'il y a vie,
Comme je t'envie !
Car, j'ai beau verser de l'eau dans mon vin,
Jamais, mon verre n'est à moitié plein.
Toi qui, même si tu vis un calvaire,
Ne te laisses pas abattr', persévères,
Comme j' te révère !
Car, j'ai beau verser de l'eau dans mon vin,
Jamais, mon verre n'est à moitié plein ;
Car même mes vers ont tourné au vain,
Jamais, ma peine n'est sur le déclin.
Toi, héritier de l'esprit c
Verglas
Ce jour-là, je marchais contre grands vents et froid
Me pressant pour rentrer au plus vite chez moi
Puissamment animé par une humeur fougueuse
Dont un bête accident voulut sonner le glas
Quand par inattention, glissant sur le verglas,
Je me suis rétamé la gueule,
Je me suis rétamé la gueule.
Une passante me surprenant sur le cul
Me tendit une main que j’acceptai vaincu
Par ce temps où Goldman n’oserait marcher seul,
Et me r
V pour défaite
Pendant quelques années,
J’en pensais condamnée
Chacune des issues :
Les vitres et la porte.
Mais me voilà déçu :
De la cave à l’aorte,
Il envoie de nouveau
Tout sang dessus, dessous ;
Pas pingre pour deux sous,
Déverse à grandes eaux
Ce liquide ponceau,
Me rendant comme saoul.
De rares émotions
N’étant pas à court d’air
Empruntaient ses artères,
Fonçant sans précaution ;
Puis, mon cœur, regagnaient
A bout de souffle, veines,
Pour y agoniser,
Elles qui naissaie
Terrible chimère que de croire mes mots
Uniques, inédits, et pour persister à
Entretenir le songe, il faut résister à
Susurrer les termes hantant comme un mémo
Mon esprit remué dès lors que je te vois.
Au risque de paraître insensible aux appas 1
Généreux, délicieux dont Vénus te drapa,
Ne pouvant me résoudre à prêter de ma voix
Indocile à ces mots grossiers sonnant sans doute
Futiles à l'oreille habituée aux miels
Indistincts des aras 2 ne connaissant du ciel
Qu'ils visent pleins d'e
Suite, en quelque sorte, de
Premier pas sur la Lune :
Un soleil aride
Dans l'herbe à lézarder, pas pressé pour un sou,
Je laisse libre cours à ma fantaisie sous
Un ciel sans nuages,
Pas même un tout petit en forme de mouton
Mais cela ne fait rien, j'en crée un à menton,
Calquant un visage,
Pas n'importe lequel, celui-ci a les traits
Ronds et doux d'une femme étonnante aux attraits
À tomber par terre,
Dans l'herbe à lézarder et à
Si vous ne savez pas ce qu'est un rap battle, voici quelques exemples en vidéo :
Cachaça Pin : "Il eût connu des jours filés d'or et de soie" 1
Mais il a fallu que le grand chêne me rencontre,
T'es en panique, tu t'demandes c'que tu peux faire contre
Moi, c'est fini, j'suis pire que les pires gens qui soient.
Tu balances tes couplets, tout le monde s'en fout et reste de bois,
On s'fait chier ici, on m'envoie pour meubler, Jacques Dubois 2,
Mes pa
Un peu, beaucoup, et tout le tintouin
Empruntant à Venus l'un de ses miroirs prune,
Je m'enquiers de ma valeur aux yeux de ma brune ;
Elle m'aime pas du tout, dit le spéculaire.
On ne peut plus contrarié par la réflexion,
Je veux un second avis, porte l'attention
Sur une pensée à l'air moins patibulaire ;
Mais elle encore me sert la même salade.
Alors je suis énervé, l'envoie en balade,
Moi avec par là même, je cherche la porte
Mais mar
Ce poème est une sorte de traduction quelque peu personnalisée de la chanson End of May, rendue célèbre notamment par Michael Bublé.
Un jour comme les autres
C’est un matin austère,
L’aube d’un nouveau jour de pluie sur Manchester ;
On est début juillet,
Tu es partie, mais pas les factur’s impayées.
Et ça ne m’aide pas,
Tu le sais, à te croire encore à mes côtés,
Non, ça ne m’aide pas,
A t’imaginer
Trois petits mots
Moi qui suis de ces gens stupides
Qui ressentent trois petits mots,
Trois petits mots et puis s'en vont,
J'envie un peu les intrépides
Qui prononcent trois petits mots,
Trois petits mots et puis s'en font ;
Sans une réponse rapide
Répétant ces trois petits mots,
Trois petits mots, c'est qu'ils sont cons.
Que cet être à qui je reproche
D'attendre ces trois petits mots
Vienne me passer un savon,
Oursin en
Tout bousillé
Veuillez, je vous en prie, ouïr mon plaidoyer ;
Même s'il n'est jamais trop tard pour essayer,
Mon baptême du feu, pourquoi le dilayer ?
Je suis bon à jeter aux flammes du foyer.
Mes piles sont à plat, mes circuits ont grillé,
On faillit me sécher, j'en suis toujours mouillé,
J'ai pris l'eau si souvent que je suis tout rouillé,
Je suis bon à jeter, je suis tout bousillé.
Tombe la pluie !
Quatre vérités, ça en fait du bruit,
Glissées à l'oreille de mon narcisse ;
J'ai grand besoin que Morphée l'assourdisse,
Que tombe la nuit, que tombe la nuit !
Sur l'ego vexé mais bien établi,
Que tombe la nuit, ainsi que l'oubli !
Je suis attendu par le fond du puits,
Poussé dans le dos par l'accès de honte ;
Ne peux que prier que Zeus me remonte,
Que tombe la pluie, que tombe la pluie !
Ou qu'il me descende, il a bien le choix,
Que
Toi ou un cyprès
Certains aiment avoir, je ne sais de quel droit,
Ce qui ne se possède en aucune manière ;
Moi, je ne voudrais pas t'orner d'une bannière,
Je ne cernerai pas ton annulaire droit.
Ça me ferait horreur de demander ta main,
Sinon pour la baiser et de suite la rendre ;
C'est toi ou un cyprès, mais ça tu peux l'apprendre
Dans mes vers ou mes yeux, pas sur un torche-main.
À bas les cadenas, chaînes et antivols,
Laissons d
Timidité
Telle une pivoin’, je tourne au rouge rien qu’à
Imaginer aborder une femme qui
Me tape dans l’œil, victime d’un fameux cas,
Implicit’ment diagnostiqué par n’import’ qui,
De cette satanée maladie qui m’isole
Irrémédiablement du monde qui m’entoure.
Timidité, c’est le nom de cett’ camisole,
Enfer de solitude sûr’ment sans retour.
Quitte à être incompréhensible
Faute de faire mon impossible
J'ai envie d'écrire l'indicible
D'une sale impasse irréversible
D'un cœur patiemment impassible,
C'est un arc à la corde sensible
Dont je ferais un violon si possible,
Ses flèches n'ont aucun sens, sans cible,
Ou bien mouvante, inaccessible ;
Organe instable et putrescible,
Pas d'constance en rayon, fissible
Comme un crayon de combustible,
Mais réacteur insubmersible,
Sa
Avant que Jedino m'accuse de plagiat, sous prétexte qu'il parle de monstre dans
Vaut mieux un que deux (ne me remercie pas pour la pub), je précise que le poème truc qui va suivre est inspiré de The Monster d'Eminem et Rihanna, chanson à laquelle les deux misérables notes en bas de page se réfèrent et dont voici le clip en spoiler :
The Monster
Estomac en vrac, envie de vomir,
Tête penchée au-dessus de la corbeille.
Chambre dans le noir.
F
Tant pis pour ma plume
Dans toute la foule de mes cadors,
J'ai du chien mais n'en déplaise à Médor,
Au demeurant très poilant et zélé,
Il n'égale pas, j'en suis désolé,
Ma presque future poule aux œufs d'or.
Ne t'en fais pas, vilain petit canard,
Pour tes trois pattes, endors-toi pénard,
Elle ne viendra pas te les casser ;
Quoique méchante, elle est déjà assez
Occupée à s'en prendre à mes panards.
Même s'il arrive qu'elle canc
Sur le quai
À bord de TER, TGV ou Corail,
Toute la France en fait, des voyages en train,
Toute ? non ! Corentin résiste encore au rail.
Bordel ! qui m'a collé cette branque de voix off ? C'est pas du tout ça le texte. Bon, je vais me démerder tout seul.
À bord de TER, TGV ou Corail,
Toute la France en fait, des voyages en train 1,
Toute ? non ! car le rail résiste à Corentin (c'est moi).
C'est pas l'homme qui prend le train,
C'est
Supplique polie mais ferme pour que le temps s'arrête d'ici peu et pour toujours, sans quoi je me verrai dans l'obligation de recourir à des moyens extrêmes pour parvenir à mes fins, allant jusqu'à la réitération de cette demande
Mais tu crois qu'il existe, ou c'est qu'une imposture ?
- Mes dabs ont un ami qui l'aurait rencontré,
Mais l'gus est un poivrot, fermenteur concentré,
Et vaut mieux pas se fier aux rumeurs d'un' biture.
- Y a des rumeurs qu'j'suis prêt à av
Yo,
Après presque trois semaines à tenter en vain de renouer avec Erato, ou à défaut avec Pégase, j'en viens à la conclusion, évidente à crever les yeux d'un cyclope borgne, que je risque fort de me heurter à une page blanche pendant encore quelque temps avant de pouvoir enfin écrire la suite de Douze mois d'avril. Comme j'imagine, ironiquement parlant bien entendu, que vous brûlez de découvrir le fin mot de l'histoire, je vais glisser la solution en spoiler en commentaire dudit poème.
A la re
Vous êtes-vous déjà demandé ce que ça faisait de plonger quelqu’un dans un sommeil éternel tout juste mouvementé par des vers saprophages, d'expérimenter ce sentiment de puissance absolue alors que vous regardez la vie quitter ses yeux entre vos mains moites enserrant son cou avec une force que vous ne vous soupçonniez même pas, cette jouissance orgasmique pendant que vous pénétrez sa chair, ses muscles, ses entrailles d’une lame en acier inoxydable qui s’y connaît toutefois en occido-réduction
Soyons égoïstes à deux
Faire un enfant, c'est on n' peut plus égocentrique
Quand tu t' dis qu'il est probable qu'il soit malheureux,
D'autant plus avec mon patrimoine génétique ;
Mais de toute façon, moi, je suis déjà narcissique,
Et toi, tu peux t' permettre de l' dev'nir si tu veux,
Allez, soyons fous, soyons égoïstes à deux !
Y'a pas plus égocentrique que d' faire un morveux
Quand tu sais qu'il port'ra sûrement une sacrée croix
Encore plu