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The Monster


konvicted

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Avant que Jedino m'accuse de plagiat, sous prétexte qu'il parle de monstre dans

Vaut mieux un que deux (ne me remercie pas pour la pub), je précise que le poème truc qui va suivre est inspiré de The Monster d'Eminem et Rihanna, chanson à laquelle les deux misérables notes en bas de page se réfèrent et dont voici le clip en spoiler :

The Monster

Estomac en vrac, envie de vomir,

Tête penchée au-dessus de la corbeille.

Chambre dans le noir.

Front brûlant, besoin de dormir,

Peux pas trouver le sommeil.

Fille à moitié nue.

Oreiller trempé de sueur.

Bouche bâillonnée.

Un méchoui, deux méchouis 1.

Pieds et mains ligotés.

Peux pas pioncer, trop peur.

Ses yeux me regardent.

Monstre sur mon lit 2.

Ses yeux me transpercent.

Flashs dans ma tête.

Mes pouces sur ses yeux.

Sang sur mes mains.

Appuie sur les globes.

Couteau dans la droite.

Appuie plus fort.

Sang séché sur la lame.

Là, peut plus me regarder.

Trois méchouis, quatre méchouis.

Petite culotte sur les genoux.

Flashs dans ma tête.

La barre dans le caleçon.

Flacon de chloroforme.

Couteau dans ma main.

Compresse sur sa bouche.

Lame promenée sur sa peau.

Traînée jusqu'à la chambre.

Enfoncée dans sa chair.

Cinq méchouis, six méchouis.

1 "I'm beginning to lose sleep, / One sheep, two sheep", traduction pour les gens fâchés avec l'anglais : "Je commence à perdre le sommeil, Un mouton, deux mouton".

2 "I'm friends with the monster that's under my bed, / Get along with the voices inside of my head", traduction : "Je suis ami avec le monstre qui est sous mon lit, M'entends bien avec les voix à l'intérieur de ma tête".

10 Commentaires


Commentaires recommandés

Un temple de la langue française ? Sachez, madame, que je ne discrimine pas les mots en fonction de leur taille ; mes textes accordent autant d'importance aux gros mots qu'aux tout petits. Pour cause, n'est pas vulgaire ce qui est grossier, mais ce qui est ordinaire. Si bien, il y a autant de vulgarité à casser le cul des mouches en les enculant qu'à leur casser l'arrière-train en les sodomisant.

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