Comment les ultrariches tentent de sauver leur peau face au changement climatique

Bonjour,

Dans son nouvel ouvrage «Les riches contre la planète», la sociologue Monique Pinçon-Charlot évoque le séparatisme environnemental des milliardaires, qui tentent de préserver leur position dominante et de masquer leur responsabilité manipulatrice dans le dérèglement climatique.

Dès les années 1970, les milliardaires américains dont la richesse est liée au pétrole, comme celle de David Rockefeller, sont inquiets des conséquences écologiques des extractions fossiles. En septembre 2001, Serge Halimi mentionne dans un article le penchant des riches pour les refuges en Patagonie: «Soucieux de tolérance et de justice sur Terre, Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve. Ted Turner s'est lui aussi acheté un ranch dans cette région désormais envahie de ranchs hollywoodiens pour milliardaires écologistes.»

Plusieurs dizaines de patrons de la Silicon Valley ont également acheté des terres en Nouvelle-Zélande pour se préparer aux conséquences sociales et politiques du dérèglement climatique. Le milliardaire américain Reid Hoffman, un homme d'affaires, capital-risqueur et cofondateur du réseau social professionnel LinkedIn, s'exprime ainsi dans le New Yorker: «Le pays va-t-il se retourner contre les riches ? Contre l'innovation technologique? Est-ce que ça va se transformer en désordre civil? En tout cas, plus de 50% des milliardaires de la Silicon Valley ont pris, d'une manière ou d'une autre, une assurance contre l'apocalypse.»

Des ONG peuvent ainsi servir de couverture pour acheter des terres en Patagonie chilienne et en faire des réserves écologiques alors qu'elles sont liées, comme c'est le cas pour Pew Charitable Trust, à l'industrie pétrolière privée du Texas, avec l'avantage de bénéficier du système de la compensation pour la neutralité carbone. Le carbone ainsi stocké pourra être revendu au prix fort le moment venu. De surcroît, ce processus d'accaparement de ces terres se fait au détriment des populations autochtones, des plus pauvres au profit des plus riches de la planète.

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a lui jeté son dévolu un peu plus haut dans le Pacifique Nord en achetant une petite île au large d'Hawaï. Il a payé les poignées de familles présentes sur ces terres qui cultivaient de la canne à sucre, pour partir. Il entend s'y faire bâtir une propriété et une ferme bio de 27 hectares, en autosuffisance totale.

Ces ultra riches anticipent donc une guerre de classe lorsque les peuples auront compris qu'ils ont été manipulés, qu'on leur a fait croire à une «transition écologique», alors que le capitalisme continue à permettre aux dominants d'engranger toujours plus de dividendes au détriment de la vie sur Terre en cumulant le capitalisme fossile et le capitalisme vert.

Article entier :

https://www.slate.fr/societe/bonnes-feuilles-les-riches-contre-la-planete-violence-oligarchique-chaos-climatique-monique-pincon-charlot-editions-textuel-dereglement-climat-survivalisme-milliardaires-environnement-capitalisme

Et en fin de page des liens vers d'autres articles sur le même sujet :

Serge Halimi, «Comment le dépenser», Le Monde diplomatique, septembre 2001. 

Pierric Marissal, «Nouvelle-Zélande: là où fleurissent les bunkers des milliardaires», L'Humanité, 16 avril 2019. 

Evan Osnos, «Quand les ultrariches se préparent au pire – Reportage chez les survivalistes de la Silicon Valley», traduit de l'anglais par Bruno Gendre, Revue du Crieur, n°7, La Découverte, pages 4 à 21, 2017. 

il y a 12 minutes, Doïna a dit :

Quand les ultrariches se préparent au pire

Il ne faut absolument pas manquer de bon sens élémentaire, que l’on soit riche ou pas.

Si les conditions de vie deviennent insupportable sur terre et qu’un grand nombre d’êtres vivants vient à disparaitre, ce n’est pas faire preuve d’un minimum de bon sens que de s’imaginer ou croire que l’on puisse anticiper la catastrophe.

Que vous soyez riche ou pauvre, vous mourrez quand même, pour reprendre la blague de Arte ! 
 

Il y a 1 heure, Doïna a dit :

Bonjour,

Dans son nouvel ouvrage «Les riches contre la planète», la sociologue Monique Pinçon-Charlot évoque le séparatisme environnemental des milliardaires, qui tentent de préserver leur position dominante et de masquer leur responsabilité manipulatrice dans le dérèglement climatique.

Dès les années 1970, les milliardaires américains dont la richesse est liée au pétrole, comme celle de David Rockefeller, sont inquiets des conséquences écologiques des extractions fossiles. En septembre 2001, Serge Halimi mentionne dans un article le penchant des riches pour les refuges en Patagonie: «Soucieux de tolérance et de justice sur Terre, Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve. Ted Turner s'est lui aussi acheté un ranch dans cette région désormais envahie de ranchs hollywoodiens pour milliardaires écologistes.»

Plusieurs dizaines de patrons de la Silicon Valley ont également acheté des terres en Nouvelle-Zélande pour se préparer aux conséquences sociales et politiques du dérèglement climatique. Le milliardaire américain Reid Hoffman, un homme d'affaires, capital-risqueur et cofondateur du réseau social professionnel LinkedIn, s'exprime ainsi dans le New Yorker: «Le pays va-t-il se retourner contre les riches ? Contre l'innovation technologique? Est-ce que ça va se transformer en désordre civil? En tout cas, plus de 50% des milliardaires de la Silicon Valley ont pris, d'une manière ou d'une autre, une assurance contre l'apocalypse.»

Des ONG peuvent ainsi servir de couverture pour acheter des terres en Patagonie chilienne et en faire des réserves écologiques alors qu'elles sont liées, comme c'est le cas pour Pew Charitable Trust, à l'industrie pétrolière privée du Texas, avec l'avantage de bénéficier du système de la compensation pour la neutralité carbone. Le carbone ainsi stocké pourra être revendu au prix fort le moment venu. De surcroît, ce processus d'accaparement de ces terres se fait au détriment des populations autochtones, des plus pauvres au profit des plus riches de la planète.

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a lui jeté son dévolu un peu plus haut dans le Pacifique Nord en achetant une petite île au large d'Hawaï. Il a payé les poignées de familles présentes sur ces terres qui cultivaient de la canne à sucre, pour partir. Il entend s'y faire bâtir une propriété et une ferme bio de 27 hectares, en autosuffisance totale.

Ces ultra riches anticipent donc une guerre de classe lorsque les peuples auront compris qu'ils ont été manipulés, qu'on leur a fait croire à une «transition écologique», alors que le capitalisme continue à permettre aux dominants d'engranger toujours plus de dividendes au détriment de la vie sur Terre en cumulant le capitalisme fossile et le capitalisme vert.

Article entier :

https://www.slate.fr/societe/bonnes-feuilles-les-riches-contre-la-planete-violence-oligarchique-chaos-climatique-monique-pincon-charlot-editions-textuel-dereglement-climat-survivalisme-milliardaires-environnement-capitalisme

Et en fin de page des liens vers d'autres articles sur le même sujet :

Serge Halimi, «Comment le dépenser», Le Monde diplomatique, septembre 2001. 

Pierric Marissal, «Nouvelle-Zélande: là où fleurissent les bunkers des milliardaires», L'Humanité, 16 avril 2019. 

Evan Osnos, «Quand les ultrariches se préparent au pire – Reportage chez les survivalistes de la Silicon Valley», traduit de l'anglais par Bruno Gendre, Revue du Crieur, n°7, La Découverte, pages 4 à 21, 2017. 

 

 

Encore de la haine des riches ! ... il faudrait tous être pauvres !

Il y a 1 heure, Enchantant a dit :

Il ne faut absolument pas manquer de bon sens élémentaire, que l’on soit riche ou pas.

Si les conditions de vie deviennent insupportable sur terre et qu’un grand nombre d’êtres vivants vient à disparaitre, ce n’est pas faire preuve d’un minimum de bon sens que de s’imaginer ou croire que l’on puisse anticiper la catastrophe.

Que vous soyez riche ou pauvre, vous mourrez quand même, pour reprendre la blague de Arte ! 
 

Ben, disons que les problèmes arriveront plus tard sur une île privée et auto suffisante au large d'Hawaï qu'en banlieue chic de L.A. La planète ne va pas flamber du jour au lendemain un "beau" matin. 

Il y a 4 heures, Doïna a dit :

Bonjour,

Dans son nouvel ouvrage «Les riches contre la planète», la sociologue Monique Pinçon-Charlot évoque le séparatisme environnemental des milliardaires, qui tentent de préserver leur position dominante et de masquer leur responsabilité manipulatrice dans le dérèglement climatique.

Dès les années 1970, les milliardaires américains dont la richesse est liée au pétrole, comme celle de David Rockefeller, sont inquiets des conséquences écologiques des extractions fossiles. En septembre 2001, Serge Halimi mentionne dans un article le penchant des riches pour les refuges en Patagonie: «Soucieux de tolérance et de justice sur Terre, Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve. Ted Turner s'est lui aussi acheté un ranch dans cette région désormais envahie de ranchs hollywoodiens pour milliardaires écologistes.»

Plusieurs dizaines de patrons de la Silicon Valley ont également acheté des terres en Nouvelle-Zélande pour se préparer aux conséquences sociales et politiques du dérèglement climatique. Le milliardaire américain Reid Hoffman, un homme d'affaires, capital-risqueur et cofondateur du réseau social professionnel LinkedIn, s'exprime ainsi dans le New Yorker: «Le pays va-t-il se retourner contre les riches ? Contre l'innovation technologique? Est-ce que ça va se transformer en désordre civil? En tout cas, plus de 50% des milliardaires de la Silicon Valley ont pris, d'une manière ou d'une autre, une assurance contre l'apocalypse.»

Des ONG peuvent ainsi servir de couverture pour acheter des terres en Patagonie chilienne et en faire des réserves écologiques alors qu'elles sont liées, comme c'est le cas pour Pew Charitable Trust, à l'industrie pétrolière privée du Texas, avec l'avantage de bénéficier du système de la compensation pour la neutralité carbone. Le carbone ainsi stocké pourra être revendu au prix fort le moment venu. De surcroît, ce processus d'accaparement de ces terres se fait au détriment des populations autochtones, des plus pauvres au profit des plus riches de la planète.

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a lui jeté son dévolu un peu plus haut dans le Pacifique Nord en achetant une petite île au large d'Hawaï. Il a payé les poignées de familles présentes sur ces terres qui cultivaient de la canne à sucre, pour partir. Il entend s'y faire bâtir une propriété et une ferme bio de 27 hectares, en autosuffisance totale.

Ces ultra riches anticipent donc une guerre de classe lorsque les peuples auront compris qu'ils ont été manipulés, qu'on leur a fait croire à une «transition écologique», alors que le capitalisme continue à permettre aux dominants d'engranger toujours plus de dividendes au détriment de la vie sur Terre en cumulant le capitalisme fossile et le capitalisme vert.

Article entier :

https://www.slate.fr/societe/bonnes-feuilles-les-riches-contre-la-planete-violence-oligarchique-chaos-climatique-monique-pincon-charlot-editions-textuel-dereglement-climat-survivalisme-milliardaires-environnement-capitalisme

Et en fin de page des liens vers d'autres articles sur le même sujet :

Serge Halimi, «Comment le dépenser», Le Monde diplomatique, septembre 2001. 

Pierric Marissal, «Nouvelle-Zélande: là où fleurissent les bunkers des milliardaires», L'Humanité, 16 avril 2019. 

Evan Osnos, «Quand les ultrariches se préparent au pire – Reportage chez les survivalistes de la Silicon Valley», traduit de l'anglais par Bruno Gendre, Revue du Crieur, n°7, La Découverte, pages 4 à 21, 2017. 

 

 

Il ne faut pas corréler systématiquement survie à l'argent ou de la terre que l'on possède: en fait, un immense hiver volcanique comme celui de l'année 535 et la terre serait recouverte d'une telle couche de nuages que toute récolte serait condamnée à ne pas mûrir et ce serait la famine généralisée sur la planète. Une seule peste dévastatrice comme celle de 1347 et 1352 et  entre 30 et 60% de la population mondiale disparaitrait!

 A toutes les époques, les riches et les puissants sentaient le "vent tourner" et que leurs privilèges allaient être contestés. Prenons les immigrés de 1791 quand le révolution est devenue "révolutionnaire" les riches sont partis à l'étranger dans de lourdes voitures bourrées de richesses. Quand les accords d'Evian ont signé la fin de l'Algérie française, le petit peuple est venu en urgence en métropole mais cela faisait au moins 3 ou 4 ans que les riches avaient vendu leur domaine et fui l'Algérie. On avait eu la même chose 10 ans avant en Indochine.

Les riches ont suffisamment d'argent pour étudier à tête reposée où ils pourraient aller en lieu sûr pour conserver leur train de vie en toute sécurité.

Il y a 12 heures, Répy a dit :

 A toutes les époques, les riches et les puissants sentaient le "vent tourner" et que leurs privilèges allaient être contestés. Prenons les immigrés de 1791 quand le révolution est devenue "révolutionnaire" les riches sont partis à l'étranger dans de lourdes voitures bourrées de richesses. Quand les accords d'Evian ont signé la fin de l'Algérie française, le petit peuple est venu en urgence en métropole mais cela faisait au moins 3 ou 4 ans que les riches avaient vendu leur domaine et fui l'Algérie. On avait eu la même chose 10 ans avant en Indochine.

Les riches ont suffisamment d'argent pour étudier à tête reposée où ils pourraient aller en lieu sûr pour conserver leur train de vie en toute sécurité.

quand le bateau coule les rats quittent le navire en premier .. .

en Chine ça ete le même phénomène , c'est moins connu et un peu plus tabou parce qu'on croit forcément que toute la Chine fut communiste , mais non il existait une bourgeoisie Chinoise qui a fuit le nouveau régime , d'ou une forte diaspora chinoise partout dans le monde notament aux Etats unis  . C'est l'exemple du fameux bruce Lee , issue d'une famille plutôt aisé qui a fuit le régime chinois , née à san francisco puis s'est établit à Hong Kong .

Le 06/04/2025 à 09:04, Doïna a dit :

Bonjour,

Dans son nouvel ouvrage «Les riches contre la planète», la sociologue Monique Pinçon-Charlot évoque le séparatisme environnemental des milliardaires, qui tentent de préserver leur position dominante et de masquer leur responsabilité manipulatrice dans le dérèglement climatique.

Dès les années 1970, les milliardaires américains dont la richesse est liée au pétrole, comme celle de David Rockefeller, sont inquiets des conséquences écologiques des extractions fossiles. En septembre 2001, Serge Halimi mentionne dans un article le penchant des riches pour les refuges en Patagonie: «Soucieux de tolérance et de justice sur Terre, Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve. Ted Turner s'est lui aussi acheté un ranch dans cette région désormais envahie de ranchs hollywoodiens pour milliardaires écologistes.»

Plusieurs dizaines de patrons de la Silicon Valley ont également acheté des terres en Nouvelle-Zélande pour se préparer aux conséquences sociales et politiques du dérèglement climatique. Le milliardaire américain Reid Hoffman, un homme d'affaires, capital-risqueur et cofondateur du réseau social professionnel LinkedIn, s'exprime ainsi dans le New Yorker: «Le pays va-t-il se retourner contre les riches ? Contre l'innovation technologique? Est-ce que ça va se transformer en désordre civil? En tout cas, plus de 50% des milliardaires de la Silicon Valley ont pris, d'une manière ou d'une autre, une assurance contre l'apocalypse.»

Des ONG peuvent ainsi servir de couverture pour acheter des terres en Patagonie chilienne et en faire des réserves écologiques alors qu'elles sont liées, comme c'est le cas pour Pew Charitable Trust, à l'industrie pétrolière privée du Texas, avec l'avantage de bénéficier du système de la compensation pour la neutralité carbone. Le carbone ainsi stocké pourra être revendu au prix fort le moment venu. De surcroît, ce processus d'accaparement de ces terres se fait au détriment des populations autochtones, des plus pauvres au profit des plus riches de la planète.

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a lui jeté son dévolu un peu plus haut dans le Pacifique Nord en achetant une petite île au large d'Hawaï. Il a payé les poignées de familles présentes sur ces terres qui cultivaient de la canne à sucre, pour partir. Il entend s'y faire bâtir une propriété et une ferme bio de 27 hectares, en autosuffisance totale.

Ces ultra riches anticipent donc une guerre de classe lorsque les peuples auront compris qu'ils ont été manipulés, qu'on leur a fait croire à une «transition écologique», alors que le capitalisme continue à permettre aux dominants d'engranger toujours plus de dividendes au détriment de la vie sur Terre en cumulant le capitalisme fossile et le capitalisme vert.

Article entier :

https://www.slate.fr/societe/bonnes-feuilles-les-riches-contre-la-planete-violence-oligarchique-chaos-climatique-monique-pincon-charlot-editions-textuel-dereglement-climat-survivalisme-milliardaires-environnement-capitalisme

Et en fin de page des liens vers d'autres articles sur le même sujet :

Serge Halimi, «Comment le dépenser», Le Monde diplomatique, septembre 2001. 

Pierric Marissal, «Nouvelle-Zélande: là où fleurissent les bunkers des milliardaires», L'Humanité, 16 avril 2019. 

Evan Osnos, «Quand les ultrariches se préparent au pire – Reportage chez les survivalistes de la Silicon Valley», traduit de l'anglais par Bruno Gendre, Revue du Crieur, n°7, La Découverte, pages 4 à 21, 2017. 

 

 

Et..il a pas peur de la montée du niveau des océans?

Le 06/04/2025 à 10:30, Garlaban a dit :

Encore de la haine des riches ! ...

Ah parce que ça ne vous met pas en colère vous, quand vous lisez ce genre de chose:

"Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve" ??

Ben c’est triste mais les ultra riche en ont rien à faire de la planète tout simplement…

J’arrive à être végétarienne, à acheter du 2nd main & de moins en moins de plastique. En revanche j’aime trop voyager, et donc je pollue par l’avion (moyenne de 2x/an). 

Il y a 9 heures, chanou 34 a dit :

Et..il a pas peur de la montée du niveau des océans?

Cela dépend, il y a peut-être des hauteurs dans cette île. C'est vrai cependant que les hauteurs à Hawaï sont plutôt des volcans.

Le 06/04/2025 à 10:30, Garlaban a dit :

Encore de la haine des riches ! ... il faudrait tous être pauvres !

Il ne s'agit pas de haine des riches, en revanche ces individus démontrent à quel point ils méprisent le restant de l'humanité.

Mais je m'attendais, en publiant ce topic, à ce que des soumis me balancent leur sempiternel argument à la noix : on critique les ultrariches qu'on haïrait soi-disant, et je m'étonne de n'avoir pas encore lu cette stupidité d'accusation de jalousie, comme si le fait de pointer du doigt les comportements ignobles de ces nantis cupides qui se croient au-dessus du commun des mortels était dû à de la haine ou de la jalousie.

Le 06/04/2025 à 10:30, Garlaban a dit :

Encore de la haine des riches ! ... il faudrait tous être pauvres !

Ha il n’y a pas un intermédiaire?

Au lieu de balancer votre réponse qui forcément donnera réponse pauvre riche qui pleure car incompris. 

Il faudrait changer un peu le disque. 

il y a 20 minutes, Doïna a dit :

Il ne s'agit pas de haine des riches, en revanche ces individus démontrent à quel point ils méprisent le restant de l'humanité.

Mais je m'attendais, en publiant ce topic, à ce que des soumis me balancent leur sempiternel argument à la noix : on critique les ultrariches qu'on haïrait soi-disant, et je m'étonne de n'avoir pas encore lu cette stupidité d'accusation de jalousie, comme si le fait de pointer du doigt les comportements ignobles de ces nantis cupides qui se croient au-dessus du commun des mortels était dû à de la haine ou de la jalousie.

Que de jalousie et de ressentiment !

Envier quel vilain défaut !

il y a 1 minute, Garlaban a dit :

Que de jalousie et de ressentiment !

Envier quel vilain défaut !

Ha bon alors pourquoi tu envie les riches. 

Tu es juste jaloux en essayant de faire croire que c'est les autres qui le sont. 

Ha mon pauvre tu fais pitié. 

et surtout continuez bien à trier vos dechets tous les jours !

Il y a 7 heures, Passiflore a dit :

 

Ah parce que ça ne vous met pas en colère vous, quand vous lisez ce genre de chose:

"Luciano Benetton y possède 900.000 hectares. Ayant eu besoin d'eau pour ses milliers de moutons mérinos, il a détourné une rivière dont les ressources étaient cependant vitales à une population indienne vivant en aval du fleuve" ??

Bah non il est trop envieux. 

Il y a 8 heures, Garlaban a dit :

Que de jalousie et de ressentiment !

Envier quel vilain défaut !

Mouai, c'est ça ! Sauf que non, je ne les envie pas, juste parce que j'ai pas envie de ressembler à ces infâmes individus cupides qui détruisent nos environnements pour s'enrichir toujours davantage. Ils en sont conscients puisqu'ils préparent leurs arrières, et quand le temps sera venu pour eux d'aller se réfugier dans leurs bunkers de luxe, pendant que nous crèverons la gueule ouverte dans un monde qu'ils auront empoisonné, eux pourront encore se regarder dans un miroir tellement ils sont égoïstes et sans scrupules.

Bah, s’il suffisait d’être « pauvre » pour respecter l’environnement, ça se saurait. Suffit de voir les comportements au quotidien pour être persuadé que c’est très loin d’être le cas. La seule différence avec les ultra riches, ce sont les moyens. Mais l’irrespect, la spoliation, c’est une histoire de conscience…

Il y a 11 heures, Doïna a dit :

Il ne s'agit pas de haine des riches, en revanche ces individus démontrent à quel point ils méprisent le restant de l'humanité.

 

Disons qu'ils se sentent clairement au-dessus du lot.

par contre que laisseront-ils à l'humanité?

En comparaison d'un Beethoven, d' un Georges de la Tour, d'un Noureiev, d'un  Victor Hugo,  ou même simplement des ouvriers qui ont bâti Notre Dame de Paris...à chacun de voir.

Il y a 11 heures, Garlaban a dit :

Que de jalousie et de ressentiment !

Envier quel vilain défaut !

Ni jalousie ni ressentiment pour ma part. Simple indifférence. Ce qu'ils sont, ce qu'ils font, ne m'intéresse pas.