Je suis pour la suprématie de l'homme.

Eprouver la nécessité du rappel de l' irréfragable ascendance naturelle de l' homme sur la femelle révèlera en creux le symptôme d' une fragilité masculiniste des plus blâmables ; ressaisissez-vous, et veuillez donc faire honneur à votre patriarcal devoir de berger de ces troupeaux de brebis foncièrement hystérisés au concept d' une chimérique sinon vaine égalité, en imposant avec dignité l' image impérieuse du mâle glorieusement auréolé de son inflexible légitimité authentique, abandonnant tout doute au bon soin de ces esprits déjà contaminés et aveulis par le poison de la décadence égalitariste...

il y a une heure, swam a dit :

A tout prendre, je ne pense pas que les hommes soient mieux lotis que les femmes dans la société, meme aux époques antérieures a la notre.

Si on excepte les hommes basiques et brutaux, chacun des deux sexes a ses galères et ses avantages, qui ne sont pas les memes.

Au final tout se compense.

 

Bien sûr...

1793 - Instauration du suffrage « universel » ; les femmes sont toujours exclues de la citoyenneté au même titre que les mineurs, les domestiques, les aliénés et les religieux cloîtrés.

1795 - Les femmes sont exclues de la vie politique.

1804 - Le Code civil français déclare la femme incapable juridiquement ; elle est sous l'autorité de son père puis de son mari. En revanche, la veuve jouit, en théorie, de la plénitude de ses capacités juridiques, droit de vote exclu. En effet, la veuve ayant eu des enfants reste surveillée par un Conseil de famille composé de membres de la famille de son mari.

1810 - Le Code pénal qualifie l'adultère de délit. L’adultère du mari est puni d’une amende, celui de la femme d’une peine de prison (de 3 à 24 mois).

1832 - Jusque là délit, le viol est désormais un crime, mais c’est le père ou le mari qui est considéré comme lésé.

1848 - Deuxième République. Rétablissement du suffrage « universel » après un système censitaire, mais les femmes sont toujours exclues du droit de vote.

1875 - La Constitution de la III^e République confirme la privation de droits politiques pour les femmes.

1880 - Accès des femmes aux universités.

1897 - Les femmes peuvent désormais témoigner dans les actes d'état-civil, et dans les actes notariés.

1898 -  La loi permet désormais aux femmes d'être électrices au Tribunal de commerce.

1900 - Les femmes peuvent désormais plaider comme avocates. Ouverture aux femmes de l'École nationale supérieure des beaux-arts.

1907 - La loi permet aux femmes d'être électrices et éligibles aux tribunaux de prud'hommes. Loi sur les biens réservés pour que les femmes (mariées) puissent disposer librement de leur salaire.

1920 - Les femmes mariées peuvent désormais adhérer à un syndicat sans l'autorisation de leur mari.

1923 -  L'avortement est un crime passible de la cour d'assises.

1937 - Les femmes mariées peuvent obtenir un passeport sans l’autorisation de leur mari.

1944 - Droit de vote et éligibilité aux femmes.

1959 - Ouverture de l'École des ponts et chaussées aux femmes.

1960 - Les mères célibataires peuvent avoir un livret de famille.

1965 - Une femme peut avoir un emploi sans avoir à obtenir l'autorisation de son mari et dispose librement de ses biens propres ; réforme des régimes matrimoniaux.

1966 - La loi interdit de licencier une femme enceinte et pendant les 12 semaines suivant l'accouchement.

1967 -  28 décembre. la contraception est autorisée par la loi Neuwirth. Les femmes sont autorisées à pénétrer dans la Bourse de Paris¹.

1970 - La loi dispose que désormais « les deux époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille » : c'est la fin de la notion de « chef de famille » et de l'autorité paternelle, remplacée par l'autorité parentale. Ouverture de l'École polytechnique aux femmes.

1972 - La loi réaffirme la reconnaissance du principe de l'égalité de rémunération entre les hommes et les femmes, pour des travaux de valeur égale.

1973 - La mère peut, comme le père, transmettre sa nationalité à son enfant (légitime ou naturel).

1975 - Promulgation de la loi Veil autorisant l'interruption volontaire de grossesse.

La loi Habby, en créant le collège unique, réaffirme l'obligation de mixité dans l'enseignement primaire et secondaire, tant pour les élèves que pour les enseignements : « Tout enseignement et toute spécialité professionnelle… sous réserve des dispositions du Code du travail, sont accessibles aux élèves des deux sexes.

La loi sanctionne désormais les discriminations fondées sur le sexe, en particulier en matière d'embauche, et garantit l'accès à l'emploi des femmes enceintes.

La loi soumet à un accord commun entre les époux le choix du domicile conjugal.

La loi supprime également la possibilité laissée au mari de contrôler les correspondances de son épouse.

1979 - L'interdiction du travail de nuit est supprimée pour les femmes occupant des postes de responsabilité.

1983 - Loi Roudy sur l'égalité professionnelle hommes/femmes. Rappel de la notion « à travail égal, salaire égal ».

Suppression de la notion de « chef de famille » en droit fiscal.

1985 - France : Les femmes sont autorisées à intégrer le corps des agents de change¹.

1990 - La loi reconnaît qu’il peut y avoir viol entre époux.

1992 - La loi du 22 juillet réprime les violences conjugales. Aggravation des peines pour les époux ou concubins coupables de violences familiales.

Au nom de l’égalité, dénonciation par la France de la convention n^o 89 interdisant le travail de nuit des femmes.

1993 - L'autorité parentale devient conjointe, quelle que soit la situation des parents (mariés, divorcés ou concubins)

1999 - En janvier, le Sénat rejette le texte sur la parité en politique au nom de l'« universalisme républicain ».

Etc etc...

Tout se compense, hein...

Source

 

 

 

 

 

Modifié le 3 décembre 2017 par Mite_Railleuse

il y a 3 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Bien sûr...

1793 - Instauration du suffrage « universel » ; les femmes sont toujours exclues de la citoyenneté au même titre que les mineurs, les domestiques, les aliénés et les religieux cloîtrés.

1795 - Les femmes sont exclues de la vie politique.

1804 - Le Code civil français déclare la femme incapable juridiquement ; elle est sous l'autorité de son père puis de son mari. En revanche, la veuve jouit, en théorie, de la plénitude de ses capacités juridiques, droit de vote exclu. En effet, la veuve ayant eu des enfants reste surveillée par un Conseil de famille composé de membres de la famille de son mari.

1810 - Le Code pénal qualifie l'adultère de délit. L’adultère du mari est puni d’une amende, celui de la femme d’une peine de prison (de 3 à 24 mois).

1832 - Jusque là délit, le viol est désormais un crime, mais c’est le père ou le mari qui est considéré comme lésé.

1848 - Deuxième République. Rétablissement du suffrage « universel » après un système censitaire, mais les femmes sont toujours exclues du droit de vote.

1875 - La Constitution de la III^e République confirme la privation de droits politiques pour les femmes.

1880 - Accès des femmes aux universités.

1897 - Les femmes peuvent désormais témoigner dans les actes d'état-civil, et dans les actes notariés.

1898 -  La loi permet désormais aux femmes d'être électrices au Tribunal de commerce.

1900 - Les femmes peuvent désormais plaider comme avocates. Ouverture aux femmes de l'École nationale supérieure des beaux-arts.

1907 - La loi permet aux femmes d'être électrices et éligibles aux tribunaux de prud'hommes. Loi sur les biens réservés pour que les femmes (mariées) puissent disposer librement de leur salaire.

1920 - Les femmes mariées peuvent désormais adhérer à un syndicat sans l'autorisation de leur mari.

1923 -  L'avortement est un crime passible de la cour d'assises.

1937 - Les femmes mariées peuvent obtenir un passeport sans l’autorisation de leur mari.

1944 - Droit de vote et éligibilité aux femmes.

1959 - Ouverture de l'École des ponts et chaussées aux femmes.

1960 - Les mères célibataires peuvent avoir un livret de famille.

1965 - Une femme peut avoir un emploi sans avoir à obtenir l'autorisation de son mari et dispose librement de ses biens propres ; réforme des régimes matrimoniaux.

1966 - La loi interdit de licencier une femme enceinte et pendant les 12 semaines suivant l'accouchement.

1967 -  28 décembre. la contraception est autorisée par la loi Neuwirth. Les femmes sont autorisées à pénétrer dans la Bourse de Paris¹.

1970 - La loi dispose que désormais « les deux époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille » : c'est la fin de la notion de « chef de famille » et de l'autorité paternelle, remplacée par l'autorité parentale. Ouverture de l'École polytechnique aux femmes.

1972 - La loi réaffirme la reconnaissance du principe de l'égalité de rémunération entre les hommes et les femmes, pour des travaux de valeur égale.

1973 - La mère peut, comme le père, transmettre sa nationalité à son enfant (légitime ou naturel).

1975 - Promulgation de la loi Veil autorisant l'interruption volontaire de grossesse.

La loi Habby, en créant le collège unique, réaffirme l'obligation de mixité dans l'enseignement primaire et secondaire, tant pour les élèves que pour les enseignements : « Tout enseignement et toute spécialité professionnelle… sous réserve des dispositions du Code du travail, sont accessibles aux élèves des deux sexes.

La loi sanctionne désormais les discriminations fondées sur le sexe, en particulier en matière d'embauche, et garantit l'accès à l'emploi des femmes enceintes.

La loi soumet à un accord commun entre les époux le choix du domicile conjugal.

La loi supprime également la possibilité laissée au mari de contrôler les correspondances de son épouse.

1979 - L'interdiction du travail de nuit est supprimée pour les femmes occupant des postes de responsabilité.

1983 - Loi Roudy sur l'égalité professionnelle hommes/femmes. Rappel de la notion « à travail égal, salaire égal ».

Suppression de la notion de « chef de famille » en droit fiscal.

1985 - France : Les femmes sont autorisées à intégrer le corps des agents de change¹.

1990 - La loi reconnaît qu’il peut y avoir viol entre époux.

1992 - La loi du 22 juillet réprime les violences conjugales. Aggravation des peines pour les époux ou concubins coupables de violences familiales.

Au nom de l’égalité, dénonciation par la France de la convention n^o 89 interdisant le travail de nuit des femmes.

1993 - L'autorité parentale devient conjointe, quelle que soit la situation des parents (mariés, divorcés ou concubins)

1999 - En janvier, le Sénat rejette le texte sur la parité en politique au nom de l'« universalisme républicain ».

Etc etc...

Tout se compense, hein...

Source

 

 

 

 

 

Dans une vie, il n'y a que les aspects sociétaux qui comptent ?

 

 

il y a 5 minutes, swam a dit :

Dans une vie, il n'y a que les aspects sociétaux qui comptent ?

Quand tu as été, es encore dans une moindre mesure, quoi qu'en disent certains, sous la coupe d'une partie de tes congénères, oui ça compte !! Et que tu poses la question est un total déni de cette emprise.

Suffit pourtant de lire le titre de ce sujet...

Modifié le 3 décembre 2017 par Mite_Railleuse

Il y a 8 heures, JO81 a dit :

 Il existe un mouvement "féministe" mais si l'on se dit "masculiniste" on a pas le droit, dans la "guerre des sexes" l'homme est aujourd'hui désavantagé, sa souffrance passe en second plan, il vit beaucoup de misère affective et sexuelle (atout dont la femme se sert).

Qu'en pensez-vous ? 

Etes vous, vous aussi pour la suprématie de l'homme ?

 

Bonjour,

vous avez le droit d'être "masculiniste". De tels mouvements existent légalement en France et dans d'autres pays. 

 

Modifié le 3 décembre 2017 par sirielle

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Quand tu as été, es encore dans une moindre mesure, quoi qu'en dise certains, sous la coupe d'une partie de tes congénères, oui ça compte !! Et que tu poses la question est un total déni de cette emprise.

Mais non, tu ne comprends pas.

Bon deja il y a plein d'hommes qui sont sous la coupe d'autres hommes, il en a toujours été été ainsi.

Dans une vie il y a la société, il y a la vie privée, il y a les amours, il y a plus ou moins de solitude, il y a la santé....

 

Du point de vue de la société les femmes ont toujours été désavantagées, il ne me viendrait pas a l'idée de le contester.

 

 

il y a 30 minutes, swam a dit :

Dans une vie il y a la société, il y a la vie privée, il y a les amours, il y a plus ou moins de solitude, il y a la santé....

Mais tout est imbriqué. Un problème "sociétal" influe sur la vie privée et réciproquement. Tu ne peux pas tout compartimenter.

Modifié le 3 décembre 2017 par Mite_Railleuse

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Mais tout est imbriqué. Un problème "sociétal" influe sur la vie privée et réciproquement. Tu ne peux pas tout compartimenter.

Je ne crois pas que tout soit imbriqué.

 

Les femmes n'ont jamais eu des hommes a leurs pieds, meme parmi les plus grands ?

Les femmes n'ont jamais pu se faire aimer, adorer ?

Il y a beaucoup de femmes qui ont souffert de la solitude ou d'un désinteret ?

 

 

Les sexes se comparent souvent mais il y a peu d'hommes ou de femmes qui  aimeraient vraiment changer de sexe.

 

Il y a bien longtemps que je considère toute revendication de suprématie masculine comme d'une prodigieuse stupidité. C'est  indépendant  de tout jugement moral. Prétendre à une supériorité masculine  relève juste pour moi d'une forme d'imbécilité. De toutes façons je trouve les machistes infiniment pénibles.

Plus les relations entre sexes sont égalitaires, plus la vie est agréable.

il y a 1 minute, swam a dit :

Les femmes n'ont jamais eu des hommes a leurs pieds, meme parmi les plus grands ?

Les femmes n'ont jamais pu se faire aimer, adorer ?

Il y a beaucoup de femmes qui ont souffert de la solitude ou d'un désinteret ?

 

Mais quel rapport ??

Je sais pas moi mais quand même on est au 21eme, avec des progrès technologiques impressionnants, avancées scientifiques, etc...

Il serait encore question d’hégémonie d’un sexe sur l’autre ?!

Tristezza... 

 

Modifié le 3 décembre 2017 par Yokkie

Il y a 9 heures, JO81 a dit :

Bref. Il existe un mouvement "féministe" mais si l'on se dit "masculiniste" on a pas le droit, dans la "guerre des sexes" l'homme est aujourd'hui désavantagé, sa souffrance passe en second plan, il vit beaucoup de misère affective et sexuelle (atout dont la femme se sert).

Qu'en pensez-vous ?

C'est vrai que si tu veux niquer dans la France de 2017, il vaut mieux se dire féministe.

Il y a 9 heures, JO81 a dit :

Bonjour à tous.

 

 

Comme le titre l'indique, je suis pour le retour de l'autorité de l'homme, pour sa suprématie, vis-à-vis de la femme, en effet, pour moi, l'homme doit avoir un certain rôle et certaines tâches et la femme d'autres, c'est ainsi. Je suis ce qu'on appelle souvent un "machiste", mais je trouve ça un peu excessif, je pense que l'homme dans notre société actuelle est globalement désavantagé, il doit subvenir aux besoins de sa famille, se priver de beaucoup de choses, assumer, et doit souvent récupérer des nanas tarées avec des gosses.

Bref. Il existe un mouvement "féministe" mais si l'on se dit "masculiniste" on a pas le droit, dans la "guerre des sexes" l'homme est aujourd'hui désavantagé, sa souffrance passe en second plan, il vit beaucoup de misère affective et sexuelle (atout dont la femme se sert).

Qu'en pensez-vous ? 

Etes vous, vous aussi pour la suprématie de l'homme ?

 

  Et dire qu' on dit que c' est moi le vieux crouton , et tout , et tout , du forum .

il y a 42 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Mais quel rapport ??

Si on ne veut parler que de l'aspect sociétal, je suis pleinement d'accord lutter contre les inégalités.

 

Mais si on prend le tout, je ne dirais pas qu'un sexe est privillégié par rapport a un autre.

Il y a 4 heures, Kyoshiro02 a dit :

Merci JO, grâce à toi, j'ai compris que le balai, la serpillière , le fer à repasser et la vaisselle ne sont qu'une affaire de femmes....

Sauf si tu fais faire ça par ton lave-vaisselle, tes robots ménagers, (sols,vitres)il ne reste que le repassage.

Quelle suprématie? De par leur conformation et leur incapacité à porter la vie, l'homme ne peut qu'être qu' un mendiant de l'amour.

D'abord dépendant de sa mère un machiste demande d'une certaine façon à l'être de sa femme. Pour ma part, je préfère largement un homme  polyvalent, débrouillard, multitâches. Histoire qu'il sache prendre le relais quand je serai malade, ou impotente.

Une vie de couple réussie étant bien davantage qu'une relation de maître à esclave, c'est plutôt une collaboration volontaire et consentie dans l'intérêt de la famille et pour assurer le bien-être de chacun de ses membres .

Il y a 2 heures, hybridex a dit :

Il y a bien longtemps que je considère toute revendication de suprématie masculine comme d'une prodigieuse stupidité. C'est  indépendant  de tout jugement moral. Prétendre à une supériorité masculine  relève juste pour moi d'une forme d'imbécilité. De toutes façons je trouve les machistes infiniment pénibles.

Plus les relations entre sexes sont égalitaires, plus la vie est agréable.

Qui plus est, vouloir cantonner les femmes aux taches domestiques revient surtout clairement à reconnaître qu'on a une trouille bleue de se retrouver en compétition professionnelle avec une femme.

On se demande donc où est la pseudo "supériorité" de l'homme s'il n'est même pas foutu de l'emporter dans une "compétition" d'égal à égal avec une femme ?

C'est quand même assez bidonnant de voir des mecs qui se la pêtent "mâle dominateur" vouloir que la société les protège contre le "sexe faible" !

PS:
Il serait également bon que l'auteur de ce topic comprenne que les féministes se battent (à quelques très rares exceptions près...) pour l'égalité entre hommes et femmes, pas pour la "suprématie" des unes par rapport aux autres.
Donc rien à voir avec son pseudo "masculinisme"... qui n'est en fait que du bon gros machisme de Mimile-de-base. 

Modifié le 3 décembre 2017 par frunobulax

Il y a 11 heures, JO81 a dit :

Bonjour à tous.

 

 

Comme le titre l'indique, je suis pour le retour de l'autorité de l'homme, pour sa suprématie, vis-à-vis de la femme, en effet, pour moi, l'homme doit avoir un certain rôle et certaines tâches et la femme d'autres, c'est ainsi. Je suis ce qu'on appelle souvent un "machiste", mais je trouve ça un peu excessif, je pense que l'homme dans notre société actuelle est globalement désavantagé, il doit subvenir aux besoins de sa famille, se priver de beaucoup de choses, assumer, et doit souvent récupérer des nanas tarées avec des gosses.

Bref. Il existe un mouvement "féministe" mais si l'on se dit "masculiniste" on a pas le droit, dans la "guerre des sexes" l'homme est aujourd'hui désavantagé, sa souffrance passe en second plan, il vit beaucoup de misère affective et sexuelle (atout dont la femme se sert).

Qu'en pensez-vous ? 

Etes vous, vous aussi pour la suprématie de l'homme ?

 

Ben on a déjà vu ce que cela a donné ...

 

Il y a 12 heures, JO81 a dit :

Bonjour à tous.

 

 

Comme le titre l'indique, je suis pour le retour de l'autorité de l'homme, pour sa suprématie, vis-à-vis de la femme, en effet, pour moi, l'homme doit avoir un certain rôle et certaines tâches et la femme d'autres, c'est ainsi. Je suis ce qu'on appelle souvent un "machiste", mais je trouve ça un peu excessif, je pense que l'homme dans notre société actuelle est globalement désavantagé, il doit subvenir aux besoins de sa famille, se priver de beaucoup de choses, assumer, et doit souvent récupérer des nanas tarées avec des gosses.

Bref. Il existe un mouvement "féministe" mais si l'on se dit "masculiniste" on a pas le droit, dans la "guerre des sexes" l'homme est aujourd'hui désavantagé, sa souffrance passe en second plan, il vit beaucoup de misère affective et sexuelle (atout dont la femme se sert).

Qu'en pensez-vous ? 

Etes vous, vous aussi pour la suprématie de l'homme ?

 

 Je pense que tu as surtout un fu***ing problème ! Tu as du en chier pour tomber si bas.....

 

Tu me ferai rire si tout ceci n'était pas d'une bêtise à pleurer.............

Modifié le 3 décembre 2017 par Alain75

Il y a 11 heures, JO81 a dit :

Qu'en pensez-vous ? 

Etes vous, vous aussi pour la suprématie de l'homme ?

Ah mais moi je suis pour la parité.