Loi Travail: l'hôpital Necker vandalisé par des casseurs

Loi Travail: l'hôpital Necker vandalisé par des casseurs

Des casseurs ont vandalisé l'hôpital Necker qui se trouvait sur le parcours de la manifestation parisienne contre la loi Travail ce mardi. Des vitres ont été brisées et de nombreux débris jonchés le sol à proximité du bâtiment. L'établissement est spécialisé dans la prise en charge des enfants. L'AP-HP (Assistance publique – Hôpitaux de Paris) a décidé de porter plainte.

Honte à eux

http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/loi-travail-l-hopital-necker-vandalise-par-des-casseurs-834439.html

.

C'est quoi la prochaine étape ? S'en prendre à une caserne de pompiers ou bien à une école maternelle ?

Décidément cet état d'urgence c'est de la blague.

Non, manque de personnel tout simplement.

Si l'on s'en tient au passage de Nicolas Sarkozy à l'Élysée, en revanche, les effectifs ont bien baissé, comme l'indique un rapport parlementaire paru à l'automne dernier. En 2007, la police nationale comptait 149.965 postes pourvus, équivalents à des temps pleins. Cinq ans plus tard, il n'en restait que 143.872, soit une baisse effective de 6 093 postes. Sur Twitter, le responsable du syndicat Unité SGP Police FO Nicolas Comte va plus loin et pointe 13.000 suppressions de postes dans la police et la gendarmerie entre 2008 et 2012.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/decryptages/2015/01/22/25003-20150122ARTFIG00181-effectifs-de-police-nicolas-sarkozy-a-l-epreuve-des-chiffres.php

Y'a pas de miracle.

Ils ont fait quoi au juste les services d'ordre des syndicats, par ce que c'est eux aussi qui ont une responsabilité. Par ce que le vandalisme de certain abrutis, c'est honteux, mais que les services d'ordre et les syndicats on permis de faire c'est encore plus honteux, c'est complice.

S'il veulent se suicider , se discréditer là ils ont fait vraiment fort, honte sur eux.

A quand le droit de tir à vue sans sommation et en visant la tête ou les genoux ou la colonne pour les forces de l'ordre envers les manifestants, syndicalistes, black blocks, pilleurs, opposants, racistes, fuyards, anti-tout-pro-rien ?

Il faudra y arriver, en urgence, pour apaiser le pays.

Et tout cela pour satisfaire des egos, arrangements et stratégies politiques plutôt que de chercher à remettre la discussion sur la table.

Ils ont fait quoi au juste les services d'ordre des syndicats, par ce que c'est eux aussi qui ont une responsabilité. Par ce que le vandalisme de certain abrutis, c'est honteux, mais que les services d'ordre et les syndicats on permis de faire c'est encore plus honteux, c'est complice.

S'il veulent se suicider , se discréditer là ils ont fait vraiment fort, honte sur eux.

les syndicats n'ont pas grand chose à voir là dedans :gurp:

Et tout cela pour satisfaire des egos, arrangements et stratégies politiques plutôt que de chercher à remettre la discussion sur la table.

autant on ne peut que se plier face au droit de grève, autant rien ne justifie ce que font les casseurs. encore moins sur un hôpital.

dans cette histoire, les coupables sont les casseurs.

autant on ne peut que se plier face au droit de grève, autant rien ne justifie ce que font les casseurs. encore moins sur un hôpital.

dans cette histoire, les coupables sont les casseurs.

Je n'ai pas dit que quoi que ce soit était justifié : simplement qu'il est établi désormais que des casseurs squattent systématiquement les manifestations, et que, pire, les manifestants se retrouvent souvent entre les casseurs et les forces de l'ordre ... et accueillis et traités d'office comme tels par les forces de l'ordre (comme cet aprèm où le rassemblement aux invalides s'est fait sous les jets de gaz lacrymo et de canon à eau.

Bref, tout ce remue ménage parce que le gouvernement a refusé de discuter d'un projet de loi illégitime, amené en fin de mandat comme un cheveu sur la soupe, sur un sujet primordial, qui manifestement coince largement, qu'il l'a passé en force et que l'on voit bien derrière que le but n'est pas le projet de loi en lui même, mais montrer une détermination, gagne une épreuve de force et assurer des carrière politique ou alimenter des calculs pour les prochaines présidentielles.

Bref, déplorable, et tout l'inverse d'un quelconque sens des responsabilités ou du débat démocratique.

Non, manque de personnel tout simplement.

Si l'on s'en tient au passage de Nicolas Sarkozy à l'Élysée, en revanche, les effectifs ont bien baissé, comme l'indique un rapport parlementaire paru à l'automne dernier. En 2007, la police nationale comptait 149.965 postes pourvus, équivalents à des temps pleins. Cinq ans plus tard, il n'en restait que 143.872, soit une baisse effective de 6 093 postes. Sur Twitter, le responsable du syndicat Unité SGP Police FO Nicolas Comte va plus loin et pointe 13.000 suppressions de postes dans la police et la gendarmerie entre 2008 et 2012.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/decryptages/2015/01/22/25003-20150122ARTFIG00181-effectifs-de-police-nicolas-sarkozy-a-l-epreuve-des-chiffres.php

Y'a pas de miracle.

Sur la période 2002-2011, les avis divergent. Dans 11 propositions chocs pour rétablir la sécurité (Fayard), un livre paru en 2011, Jean-Jacques Urvoas avance ses propres chiffes, comme le rappelle Le Monde. Le député PS et spécialiste des questions de sécurité estime que sur ces neuf années, 3000 postes ont été supprimés. Le ministre de l'intérieur Nicolas Sarkozy a effectivement inclu des hausses d'effectifs dans le cadre de la loi de sécurité intérieure (Lopsi, 2003). Mais selon le socialiste, cette croissance se serait trouvée annulée par les suppressions de postes prévues dans le cadre de la révision générale des politiques publiques lancée en 2007.

----------------------------

Dans votre lien, et quand on sait que le gouvernement ignore le nombre de fonctionnaires effectif en France.....

Je n'ai pas dit que quoi que ce soit était justifié : simplement qu'il est établi désormais que des casseurs squattent systématiquement les manifestations, et que, pire, les manifestants se retrouvent souvent entre les casseurs et les forces de l'ordre ... et accueillis et traités d'office comme tels par les forces de l'ordre (comme cet aprèm où le rassemblement aux invalides s'est fait sous les jets de gaz lacrymo et de canon à eau.

Bref, tout ce remue ménage parce que le gouvernement a refusé de discuter d'un projet de loi illégitime, amené en fin de mandat comme un cheveu sur la soupe, sur un sujet primordial, qui manifestement coince largement, qu'il l'a passé en force et que l'on voit bien derrière que le but n'est pas le projet de loi en lui même, mais montrer une détermination, gagne une épreuve de force et assurer des carrière politique ou alimenter des calculs pour les prochaines présidentielles.

Bref, déplorable, et tout l'inverse d'un quelconque sens des responsabilités ou du débat démocratique.

que veux-tu dire par "refuser de discuter du projet" ?

ils (le gvt) ont concédé des points à la CFDT depuis la première version.

et puis en ce moment, le débat se passe au sénat, avec une majorité de droite qui a préparé une version ultra libérale de ce projet.

tout ce que les salariés vont gagner dans cette contestation radicale, c'est encore plus de lois libérales car c'est la droite qui va tirer les marrons du feu d'une gauche éclatée.

les syndicats n'ont pas grand chose à voir là dedans :gurp:

autant on ne peut que se plier face au droit de grève, autant rien ne justifie ce que font les casseurs. encore moins sur un hôpital.

dans cette histoire, les coupables sont les casseurs.

Bonsoir Pere vert, poigne de mains.

Je partage pas du tout, les syndicats ont un service d'ordre qui doit canaliser les manifestant et faire que la manifestation se déroule bien dans le respect du droit.

Dans ma jeunesse je me suis retrouvé dans un service d'ordre, et j'ai du calmer certains excités, venus là pour semer des troubles, comme des mecs complètement ivre qui aurait pu jeter un discrédit. Si du temps de la grande CGT, c'était possible aujourd'hui c'est plus le cas. Finalement on regrette Thorez- Marchais la CGT était correctement dirigé alors, aujourd'hui, mieux vaut ne plus la fréquenter.

Je n'ai pas dit que quoi que ce soit était justifié : simplement qu'il est établi désormais que des casseurs squattent systématiquement les manifestations, et que, pire, les manifestants se retrouvent souvent entre les casseurs et les forces de l'ordre ... et accueillis et traités d'office comme tels par les forces de l'ordre (comme cet aprèm où le rassemblement aux invalides s'est fait sous les jets de gaz lacrymo et de canon à eau.

Bref, tout ce remue ménage parce que le gouvernement a refusé de discuter d'un projet de loi illégitime, amené en fin de mandat comme un cheveu sur la soupe, sur un sujet primordial, qui manifestement coince largement, qu'il l'a passé en force et que l'on voit bien derrière que le but n'est pas le projet de loi en lui même, mais montrer une détermination, gagne une épreuve de force et assurer des carrière politique ou alimenter des calculs pour les prochaines présidentielles.

Bref, déplorable, et tout l'inverse d'un quelconque sens des responsabilités ou du débat démocratique.

Bonsoir Pere vert, poigne de mains.

Je partage pas du tout, les syndicats ont un service d'ordre qui doit canaliser les manifestant et faire que la manifestation se déroule bien dans le respect du droit.

Dans ma jeunesse je me suis retrouvé dans un service d'ordre, et j'ai du calmer certains excités, venus là pour semer des troubles, comme des mecs complètement ivre qui aurait pu jeter un discrédit. Si du temps de la grande CGT, c'était possible aujourd'hui c'est plus le cas. Finalement on regrette Thorez- Marchais la CGT était correctement dirigé alors, aujourd'hui, mieux vaut ne plus la fréquenter.

bonsoir Prométhée,

à mon avis ça a bien changé.

les casseurs sont je pense plus organisés et déterminés.

les services d'ordre ont déjà pas mal de boulot pour ne pas se faire déborder par les casseurs.

casseurs qui se retrouvent en général à un autre niveau que le cortège des syndicats.

Foutez moi tout ça aux galères.

Je ne pense pas que d’avoir des milliers de policiers en plus changerait grand-chose aux agissements des casseurs. Il faut donner des moyens plus efficaces aux forces de l’ordre, par exemple l’utilisation de balle en caoutchouc cal 12 type Gomm Cogne que leurs petites matraques et grenades lacrymogènes. Les casseurs ont évolué en s’équipant de masques, boucliers, et armes de toutes sortes.

A quand le droit de tir à vue sans sommation et en visant la tête ou les genoux ou la colonne pour les forces de l'ordre envers les manifestants, syndicalistes, black blocks, pilleurs, opposants, racistes, fuyards, anti-tout-pro-rien ?

Il faudra y arriver, en urgence, pour apaiser le pays.

Tu mets des snipers sur les toits et celui qui en fait le plus gagne un séjour aux Seychelles tu vas voir qu'il y aura de la viande froide sur les trottoirs et que la chienlit ne durera pas longtemps. Il faut de temps en temps frapper fort pour faire comprendre où se situent les limites.

Ala la quest ce qu'on ferait sans ces antifas....

On laisse ces gosses de riches occuper leurs journées en faisant la guérilla urbaine... Mais tôut est normal....

Vive le bordel quotidiennement organisé par notre grand Général Martinez qui se lave les mains après chaque casse qu'il ne paiera pas !

Ainsi va l'économie française au bord du gouffre.

Excellent.:smile2: