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Pheldwyn

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  1. Pas certain vu comment la route a été préparée pour l'extrême-droite. Ou si l'on regarde les nombreuses entraves à la démocratie sous Macron.
  2. .... et avec laquelle la moitié du PS n'a pas rompu. D'où certaines craintes. Mélenchon, je peux le comprendre. La 6ème République, j'avoue avoir du mal à le comprendre. Surtout vu comment nos institutions sont à la ramasse et vieillotes.
  3. Ca me fait surtout sourir. Ah, Roussel. Comment dire ? Alors c'est drôle hein, il dit tellement de trucs qui font plaisir aux gens de droite, que ceux-ci ne voient même pas tout le reste de son programme avec lequel ils sont assez logiquement en total désaccord. Comique quoi.
  4. Loin d'être un illustre inconnu (du moins pour qui suit la politique). C'est le président du groupe socialiste à l'assemblé, si je ne dit pas de bêtise. (et pour le côté people, le mari de Najat Vallaud-Belkacem) Maintenant, peut-il fédérer la gauche ? Je pense que malheureusement personne issu du PS ne pourrait rassembler. Question de confiance et de crédibilité largement entamée par le passé.
  5. Je pensais davantage à l'international.
  6. Je ne suis pas certain. Je pense globalement du bien de Ruffin, mais j'ai peur qu'il ne fasse pas le poids, que ce soit dans l'image nécessaire malgré tout pour l'élection, que sur certains dossiers. Après il doit compter avec d'autres, là dessus je suis d'accord.
  7. Je suis embêté, car il a raison sur le fond : pour moi l'union à gauche doit se faire autour d'un projet de rupture, tel que défendu par LFI et repris par la NUPES. Une partie (malheureusement minoritaire) du PC est sur cette ligne, les écolos aussi (lorsqu'ils ne sont pas dans une logique partisane), et même le PS de Faure peut suivre cette voie. Mais oui, lui - et sa "cour" - pose problème. C'est malheureusement ce qui manque à Mélenchon pour être un grand homme politique : il se voit leader et pense à son égo, mais il est paradoxalement incapable d'aller au bout de ses idées qui justement fustigent les leaders. Il pense à sa gueule avant la cause. Il aurait dû rester sur sa conclusion du "faites mieux". Bon, non, l'idée d'élisez moi premier ministre était bonne cela dit : mais depuis, il étouffe toute possibilité d'union. Alors bien évidemment, il n'est pas le seul (q Mais justement, ce ne sont pas de ces gens dont la gauche a besoin !
  8. Euh... C'est tout autant discriminant. Et puis surtout c'est grave d'en arriver là, à se dire que la sélection dépend d'hommes qui ne sauraient pas se comporter, et que ce ne serait pas eux que l'on remettrait en question. Les femmes qui étaient peut être plus jolies n'étaient pas forcément moins méritantes ni n'avaient moins besoin du boulot. Après, je ne dis pas, il y a toujours une part de subjectivité lors d'un recrutement et l'impression que l'on a eu sur untel ou une telle, mais j'essaierais de motiver mon choix sur autre chose que le physique, dans un sens ou dans l'autre.
  9. Bah dès les résultats des législatives, tout le monde disait que les LR n'avaient aucun intérêt à voter une motion de censure. Après, au passage, il ne faut pas non plus oublier que motion de censure n'implique pas forcément une dissolution.
  10. LR n'avait pas besoin de faire un sondage : on a vu la dégringolade lors des dernières législatives, le score à la présidentielle, etc ... Bref, on se doute qu'en cas de dissolution, les LR y perdraient certainement. Ils ne vont pas voter sans doute, pour beaucoup. Du coup, mécaniquement, ça va favoriser ceux qui votent RN.
  11. Je ne suis pas d'accord avec sa position, mais il ne faut pas déformer son propos. Elle dit : "Cela ne revient pas à glorifier leurs atrocités. Et cela ne signifie en aucun cas que je soutiens les actions du Hamas ou que je considère que leurs actions sont justifiées. […] Expliquer n’est pas exonérer." https://www.liberation.fr/idees-et-debats/apres-ses-propos-sur-le-hamas-judith-butler-explique-persiste-et-signe-20240312_CHN2V5MLKFCCBHLMJNQBGHWN7Y/ Bref, elle condamne les actes. Ce n'est pas le sujet de sa réflexion. Pour le coup, je rejoins @jimmy45 sur ce point : il y a là une biais sur l'utilisation du terme résistance, en le réservant qu'à une démarche glorieuse, justifiée, etc ... Politiquement, résister c'est apporter une opposition face à une forme d'oppression, et il n'y a pas de critères pour venir encadrer davantage le terme ou les moyens qu'il met en oeuvre. Des crimes horribles ont été commis au nom de nombre de résistances. Or, cette oppression existe et existait à Gaza et en Cisjordanie avant le 7 octobre (et encore davantage aujourd'hui). Et l'existence du Hamas s'est bien faite dans ce cadre, se désignant comme un mouvement de lutte armée ... et donc de fait de résistance. Bref, je rejoins Bertrand Badie sur ce point (et sur les autres aussi d'ailleurs). Bref, il y a de fait une composante de résistance dans la motivation des actes du Hamas, le nier me paraît compliqué. Là où je ne partage absolument pas les propos de Judith Butler, c'est lorsqu'elle oppose cette motivation au principe d'un acte terroriste. Or, comme je l'ai déjà dit par ailleurs, le terrorisme n'est pas une idéologie, c'est un moyen d'action (complètement condamnable évidemment). Bref, il n'y a rien d'incompatible entre le fait de qualifier les actes du 7 octobre de terroristes, tout en observant qu'ils ont été commis dans une démarche qui associe une volonté de résistance, mais également une idéologie antisémite, et je suis clairement une nouvelle fois en désaccord avec elle lorsqu'elle tente de le nier. Bref, pour moi l'erreur de toute part, assez incompréhensible d'ailleurs, c'est de vouloir à tout prix n'avoir qu'une lecture simpliste et binaire des motivations du Hamas et du 7 octobre, de ne vouloir les ranger que dans une seule case, de ne devoir retenir qu'un qualificatif pour les désigner, qualificatif qui annulerait tous les autres. Ce serait soit du terrorisme, soit de l'antisémitisme, soit une barbarie abominable, soit un crime contre l'humanité, soit un acte de guerre, soit un acte de résistance. Et pourtant, c'est tout ça à la fois en même temps. Même si tu dis que l'horreur qui dépasse l'entendement sortirait ces crimes du giron d'une forme de résistance, il est pourtant manifeste qu'ils n'ont pas été commis sans raison, sans motivations, et qu'il ne s'agit pas simplement d'antisémitisme ou de radicalisme religieux (même si cela fait partie aussi des motivations des criminels du Hamas). Nier que derrière c'est aussi la manifestation d'une lutte contre un régime dans un contexte historique d'oppression, c'est ne pas regarder la vérité en face. Alors je vois bien que ce n'est pas ta position, mais que c'est le terme de "résistance" qui ne te vas pas. Mais déjà, je ne vois pas quel autre terme serait plus adéquat, et ensuite si le débat se fait sur la sémantique et non sur le fond, là encore c'est passer à côté du sujet. C'est en effet une grande constante. Surtout là bas, où de part et d'autre on pense que la sécurité va passer par les plus revendicatifs et les plus violents, n'entraînant que des cycles d'escalade de la violence. Et ce cycle ne fait que s'auto-alimenter. Et hélas, les modérés n'ont absolument pas voix au chapitre. Les défenseurs de la paix sont inaudibles en ce moment en Israël, dont la population ne regard même pas en face ce qu'il se passe à Gaza, tant ils sont encore dans le traumatisme du 7 octobre. Et comme tu le dis, ce sont les mêmes qui tirent leur épingle du jeu.
  12. Toujours pas. Dessiner des enfants qui sont à la rue et qui courent après un rat pour manger, pour toi ce n'est pas dénoncer la famine ? Dessiner la main d'un cadavre qui sort d'un tas de décombres, pour toi ce n'est pas dénoncer les bombardements ? Je crois que tout le monde voit très bien où se situe la mauvaise foi.
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