Les grecs appelés à choisir leur avenir

Le paralléle avec les accords de munich, hollande dans le role de daladier, merkel dans le role de vous savez qui, la gréce dans le role de la sacrifiéeTchécoslovaquie, est interressant à pousser. "on a sauvé la paix" disait l'ancetre du ps à l'époque. Remplacez paix par euro.

Surtout que Daladier n'était pas trop de gauche (du moins, le Parti Radical ne l'était plus lors de la fin de la 3e République), surtout quand son parti s'est allié à la droite de l'époque, mais bon... Qu'importe les approximations, pourvu que ça arrange sa démonstration, non ?

En fait je regrette cette comparaison, qui est assez désobligeante pour Daladier. Ce n'était pas un si mauvais bougre, même si c'était l'archétype du "faux-dur", une espèce d'hommes politiques hélas assez courante en France. Mais il vaut peut-être encore mieux être un faux-dur qu'un vrai mou.

Tsipras commence sérieusement à me gonfler. Si c'était pour capituler finalement sans conditions en rase campagne, ce n'était pas la peine d'organiser ce référendum, qui n'a fait qu'énerver ses partenaires... je veux dire ses adversaires européens.

...on sent là l'amertume des mélanchonistes surprenant alliés du FN qui n'ont pas réussi à faire exploser l'Europe ...

Tu n'as tout de même pas perdu tout sens de la nuance au point de ne pas comprendre la nuance entre "vouloir un idéal européen" et "adhérer à l'orientation politique calamiteuse qui va à l'encontre de cet idéal européen".

Bref, la plupart des représentants du FdG n'ont jamais été et ne sont toujours pas pour la sortie de la Grèce de la Zone Euro ou de l'Europe. Ce n'est pour autant qu'ils se réjouissent d'un tel accord, qui va encore enfoncer la Grèce dans la crise.

Et à vrai dire, les frondeurs du PS et les écologistes de gauche sont plus ou moins sur la même ligne.

Pour te donner une image qui me vient : on peut se réjouir qu'un type ne se soit pas fait fusillé, ce n'est pas pour autant qu'on applaudit à deux mains de le voir se faire rouer de coup de pieds à terre, avec des abrutis qui gueulent en jouissant "Hé, relèves toi, relèves toi !".

que par idéologie on arrive à souhaiter l'exclusion d'un pays de l'idéal Européen

Encore une fois, ce n'est pas le cas du FdG il me semble.

Ce n'est aucunement le mien en tous les cas.

Mais "paradoxalement", je trouves cet accord totalement négatif.

Et ce n'est pas si paradoxal, puisque cet "accord" a dans les fait été extorqué, sous menace de sortie de la zone euro.

Si paradoxe il y a, c'est dans le fait que l'Europe impose un accord contre-productif ... pour l'Europe.

L'europe est sur endetté, la grece aussi, les gens sont endetté, leurs voitures, leurs bien... ne leurs appartient pas vraiment

la dette augmente d'année et année et l'état est pris dans une spirale, chaque années ils empruntent encore plus

le systeme monétaire est une grande escroquerie, il je pense qu'il va s'effondrer

Surtout que Daladier n'était pas trop de gauche (du moins, le Parti Radical ne l'était plus lors de la fin de la 3e République), surtout quand son parti s'est allié à la droite de l'époque, mais bon... Qu'importe les approximations, pourvu que ça arrange sa démonstration, non ?

Si on applique un calque politique entre les partis d'alors et d'aujourd'hui, le ps est ce qui collerait le mieux avec les radicaux qui étaient, grosso modo, le centre gauche. Si tu me dis que le ps d'aujourd'hui ressemble à la sfio de l'époque, j'aurais du mal à adhérer. Et Daladier était plus à gauche que François Hollande. Les radicaux étaient d'ailleurs dans le gvt du front populaire époque léon blum. Mais de toutefaçon, un mec ump aurait agit de la même maniére que notre flamby national, donc ma remarque n'était pas tant sur l'appartennance politique de daladier, mais sur le fait que des mecs clament avoir sauvé la paix en venant de poignarder la tchékoslovaquie pour faire plaisir aux allemands.

Avec le retour d'Édouard Herriot à la tête du parti en 1931, le Parti radical s’engage sur une voie nouvelle. Il reste, et le revendique, un parti de gauche, ce qui l’amène tout naturellement à pratiquer la "discipline républicaine". Mais, au gouvernement, il se comporte en parti du "juste milieu", capable de regrouper autour de lui la majorité des Français attachée à une République traditionnelle, loin des extrêmes, qu’ils soient réactionnaires ou révolutionnaires.

D’un côté, il dirige le gouvernement du Cartel des gauches (1924-1926), d’un autre, après avoir participé à l’élaboration et à la mise en place du Front populaire en 1936, c’est lui qui l’enterre en 1938. Mais cette politique antinomique pousse le Parti radical, lorsqu’il est au pouvoir, à l’immobilisme par la contradiction permanente entre sa majorité et sa politique. Lorsqu’il tente de sortir de cet immobilisme, les gouvernements sont aussitôt renversés. L’issue de cette paralysie politique est l’émeute du 6 février 1934 qui aboutit à la même conclusion que la panique financière de 1926 : les radicaux sont chassés du pouvoir au profit de la droite. Ils y reviennent à la faveur du Front Populaire conclu avec la SFIO et le PCF.

Si si, on les entends toujours, comme des tas d'autres, critiquer ce dictat idéologique, cette Europe tout à fait contestable.

Le cas est alors irrécupérable. Quand vous aurez enfin pigé que c'est la seule et unique europe avec cet euro là que vous pouvez avoir, et que tous les blaireaux types mélenchon racontent nawak à plein tube sans tenir compte des réalités...On s'appelle. On vient en tout cas d'avoir la preuve éclatante, et les danses de mélenchons avec les roulage de mécanique de tsiparas et son ministre marxiste ne les ont pas empéché de se mettre à quatre patte pantalon baissés devant la rigeur allemande. En France, le resultat serait exactement le même.

Au final, qu'a t'il fait de plus que ce qui était déjà prévu ?

On n'arrête pas de parler des investissement à faire en Grèce, par exemple dans l'éolien ou l'exploitation de la mer pour la création énergétique ... et dans le même temps on a un Eurogroupe qui judicieusement cherche à privatiser le secteur de l'énergie ...

N'appliquerait-on pas exactement les mêmes recettes que l'on a appliquées ailleurs dans le monde, défaussant les pays en les appauvrissant de leur souveraineté et s'appropriant leurs moyens de production.

Je pense en effet que l' "Europe" fait peu de cas du peuple grec : l'idée est juste de voir comment assécher au mieux un espace économique et rafler ce qu'il en reste.

Simple. Le mec a réussi aprés son referendum à avoir un accord" deux fois pire qu'auparavant. Tout ça parce qu'il a tenté un bluff sans etre capable une seconde de quitter la zone euro. Quand on vient négocier comme un mendiant avec l'allemagne, on est traité comme un mendiant. Quand en plus on se comporte devant l'Allemage comme un mendiant mauvais payeur et agressif, on en prends deux fois plus dans la gueule. Point barre. Tout le monde sait que cette zone euro n'est pas viable sur le long terme. Tout le monde sait que la grece n'a rien à foutre dans la zone euro. La seule et unique raison pour laquelle elle est restée c'est que vu sa taille, le cout pour la laisser dans sa merde n'est pas trop élever pour garder l'euro. Et c'est tout. Je n'arrive même pas à comprendre comment tsiparas n'a pas encore démissionné.

Simple. Le mec a réussi aprés son referendum à avoir un accord" deux fois pire qu'auparavant. Tout ça parce qu'il a tenté un bluff sans etre capable une seconde de quitter la zone euro. Quand on vient négocier comme un mendiant avec l'allemagne, on est traité comme un mendiant. Quand en plus on se comporte devant l'Allemage comme un mendiant mauvais payeur et agressif, on en prends deux fois plus dans la gueule. Point barre. Tout le monde sait que cette zone euro n'est pas viable sur le long terme. Tout le monde sait que la grece n'a rien à foutre dans la zone euro. La seule et unique raison pour laquelle elle est restée c'est que vu sa taille, le cout pour la laisser dans sa merde n'est pas trop élever pour garder l'euro. Et c'est tout. Je n'arrive même pas à comprendre comment tsiparas n'a pas encore démissionné.

Moi je vois une autre raison pour laquelle l'Europe (enfin surtout l'Allemagne et ses alliés) tient à garder la Grèce dans la zone euro : pour la piller sous prétexte de "privatisations", pour mettre ce pays en coupe réglée, comme on a fait avec l'Europe de l'Est après la chute du mur de Berlin. Les journaux allemands avaient dit dans le passé que la Grèce devrait vendre certaines îles (elle en a plus de 1.500) pour payer ses dettes. A l'époque, c'était une boutade. Maintenant, on va passer de la boutade à la réalité. Quant à Tsipras, soit c'est un vrai con soit un grand maso. Comment il a pu signer ce torchon infâme?

Quand vous aurez enfin pigé que c'est la seule et unique europe avec cet euro là que vous pouvez avoir,

Elargis : en gros, à tout les coups on perd.

Quoi qu'on dise, qu'on fasse, qu'on sorte de l'Euro ou pas : les groupes d'intérêt qui décident sont inébranlables, aucun mouvement politique ou populaire ne pourra remettre en cause leur prédominance. Même depuis l'intérieur des pays mêlés à cette dominance.

Donc on en revient au même constat qu'avec Murat, tu préconise qu'on arrête cette ineptie de tenter quoi que ce soit au niveau politique ou démocratique.

Tout le monde rentre chez soi, et on se laisse béatement diriger.

Quant à Tsipras, soit c'est un vrai con soit un grand maso. Comment il a pu signer ce torchon infâme?

Simple : il était au premier plan pour voir que l'Allemagne avait également un programme pour faire sortir la Grèce de la zone Euro et la dépecer malgré tout.

Et entre choisir une misère programmée avec un drame humanitaire à la clé, ou alors une voix certes imposée mais avec un maigre espoir au bout, le calcul est rapide.

Je pense que Tsipras n'avait pas les épaules pour ce job. Comme je l'ai déjà écrit ici, la démission forcée de Varoufakis au lendemain du succès du "Non" au référendum était un très mauvais signe. C'était un cadeau fait aux ennemis de la Grèce. En tant de guerre - et la guerre économique est une guerre comme les autres - on ne fait pas de cadeau à ses ennemis, du moins pas sans contrepartie. Les Allemands et les autres ont dès lors compris à qui ils avaient affaire, et ils ont chargé la barque.

Bien sûr, n'est pas de Gaulle - ou Churchill - qui veut. Plus on est faible, plus on doit être intransigeant. C'est ce qu'avait magnifiquement compris de Gaulle en 1940.

Maintenant la bonne question n'est pas "ce plan a-t-il une chance de réussir?", vu qu'il n'en a à peu près aucune. La bonne question est : "dans combien de temps ce pays va-t-il sombrer dans le chaos?" Tient, "chaos" c'est un mot grec, à l'origine ça s'écrivait "khaos". Amusant, non?

Non, finalement, c'est pas très amusant.

Mais si vous avez des vacances à prendre, n'hésitez pas, partez en Grèce, ça va bien attendre encore quelques semaines avant d'exploser!

En tant de guerre - et la guerre économique est une guerre comme les autres - on ne fait pas de cadeau à ses ennemis, du moins pas sans contrepartie.

Sauf que cette guerre est bien plus politique qu'économique. Car économiquement, les grecs veulent rester dans le même "camp".

Plus on est faible, plus on doit être intransigeant. C'est ce qu'avait magnifiquement compris de Gaulle en 1940.

Et ils auraient gagné quoi ? Se faire dégager de la zone Euro ?

Tu y vois peut-être là une alternative, mais Tsipras et une majorité de Grecs ne voient absolument pas les choses comme toi.

L'intransigeance de Tsipras aurait peut-être mené là où tu attendais la Grèce, mais pas forcément là où ils voulaient aller : il faut également accepter cela. Tsipras a cru que le référendum exposerait suffisamment la situation de la Grèce pour que cela soit une base à prendre en compte dans les négociations, à la fois pour mettre l'Eurogroupe devant ses responsabilités, et pour de son côté récupérer une légitimité plus globale.

Ce n'était pas en soit idiot ... si en face on avait eu des dirigeants qui en avait quelque chose à carrer de l'Europe et qui ne méprisaient pas les peuples.

Comme l'a dit je ne sais plus qui sur un plateau tv, Tsipras avait de toute façon perdu "la confiance" de l'Europe en était élu sans appartenir à la caste aux ordres des "institutions".

Moi je vois une autre raison pour laquelle l'Europe (enfin surtout l'Allemagne et ses alliés) tient à garder la Grèce dans la zone euro : pour la piller sous prétexte de "privatisations", pour mettre ce pays en coupe réglée, comme on a fait avec l'Europe de l'Est après la chute du mur de Berlin. Les journaux allemands avaient dit dans le passé que la Grèce devrait vendre certaines îles (elle en a plus de 1.500) pour payer ses dettes. A l'époque, c'était une boutade. Maintenant, on va passer de la boutade à la réalité. Quant à Tsipras, soit c'est un vrai con soit un grand maso. Comment il a pu signer ce torchon infâme?

Piller quoi ? Ce n'est qu'une question géopolitique au regard de la position stratégique de la Grèce ( pourquoi croit-tu que les Américains s'inquiètent s'il n'y a pas d'accord ) d'une part et la crédibilité de l'Europe consistant à aider un pays en difficulté dans la zone Euro d'autre part.

Dans cette affaire, Hollande s'en bas la coquille car ce n'est pas son fric qui est en jeu, mais sa réélection. Le prêt de la France passant de 650 euros par tête à 900, soit environ 6% de PIB ou 3 ans de budget de nos armées. Il me semble là aussi que le "Moi Président" aimerait bien que l'on se focalise sur la Grèce plutôt que de regarder les 30 000 euros par tête que doit la France à ses créanciers.

Quand à l'Allemagne, elle a effacé 54 milliard de crédit au frais de ses contribuables depuis le début de cette crise ( donc même si on accuse l'Allemagne de préserver sa dominance, les efforts sont là, mais bien entendu, faut surtout pas le dire et davantage pointer Satan ) et les contribuables Teutons voient que 14 milliards supplémentaires s'ajoutent et dont ils sont sûr qu'ils devront s'en passer. Faut donc simplement comprendre l'attitude de la Chancelière, car c'est 80% de sa population qui en a ras le bol de la Grèce.

Quand à nous ? Pas de soucis, Hollande gère...au frais des contribuables, car d'ores et déjà ses 15 000 euros mensuels de retraite + avantages sont acquis.

    Les Etats-Unis, qui n'ont jamais tenu l'U.E. dans leur coeur, se réjouissent de "l'accord" grec : ce qui en dit long sur cette reddition de monsieur Tsipras. Vae victis.

Piller quoi ?

La potentialité énergétique, et les zones portuaires.

Le prêt de la France passant de 650 euros par tête à 900, soit environ 6% de PIB ou 3 ans de budget de nos armées. Il me semble là aussi que le "Moi Président" aimerait bien que l'on se focalise sur la Grèce plutôt que de regarder les 30 000 euros par tête que doit la France à ses créanciers.

et donc, comme déjà dit, 30650 ou 30900, ça change quoi ? De plus, encore une fois, il n'est pas prévu de rembourser cet argent avant ... avant jamais sans doute.

Par ailleurs, tu préconises quoi ? Ne pas faire de prêt à la Grèce et l'éjecter de l'Europe ? De ce que j'ai compris, la note serait bien plus salée (et exigible, pour le coup, bien plus rapidement).

Et encore une fois, si nous en sommes là, c'est parce que :

- l'Allemagne et la France ont décidé de reprendre la dette aux banques. C'est peut-être ce qu'il fallait faire pour sauver ces banques (et encore), mais lorsque l'on reprend une dette qui n'est pas la notre, il faut l'assumer par la suite : peut-être qu'il aurait été intelligent de procéder autrement à l'époque.

- la Troïka e envenimé la situation pendant 5 ans et plongé encore davantage la Grèce dans le marasme ... et derrière la Troïka, il y a qui ?

    Les Etats-Unis, qui n'ont jamais tenu l'U.E. dans leur coeur, se réjouissent de "l'accord" grec : ce qui en dit long sur cette reddition de monsieur Tsipras. Vae victis.

Sans doute qu'ils préfèrent la Grèce sous emprise européenne que sous influence de la Russie.

La Grèce devrait exiger un copyright sur toute production utilisant les données de sa culture, de la mythologie et passant par les maths, à mon sens, la dette serait vite remboursée alors.

Comme pas mal d'archéotypes viennent de leur culture, peut-être pourraient-ils aussi se pencher dessus pour voir comment dépasser le neurolinguistique qui en découle, neurolinguistique qui nous met, actuellement, dans cette 'logique' de dette.

Tu n'as tout de même pas perdu tout sens de la nuance au point de ne pas comprendre la nuance entre "vouloir un idéal européen" et "adhérer à l'orientation politique calamiteuse qui va à l'encontre de cet idéal européen".

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oui j'aurais dû écrire "surprenante alliance du FN et du front de gauche pour des raisons différentes "

Alors que le FN souhaite plus de nationalisme le front de gauche refuse l'Europe libérale ....

l'idéal Européen est avant tout politique mais pour fonctionner il lui faut du carburant ...

Si on lui conteste sa puissance économique ,pour se centrer uniquement sur le volet social il va mourir d'inanition ...pour distribuer ,il faut déjà créer de la richesse ...

Avec la Grèce on a distribué ,avant même d'avoir l'argent pour le faire ,on voit ce qu'il est advenu de ce pays qui peut être considéré comme un laboratoire ...

Sans doute qu'ils préfèrent la Grèce sous emprise européenne que sous influence de la Russie.

    A jauger la situation grecque, à regarder en coin les inégalités en France qui ne font que progresser, des dettes qui appartiennent à la BCE et au FMI qui font pression sur la politique des pays européens (encore une magistrale démonstration ces jours-ci), grévant complètement les souverainetés, protégeant ces créanciers qui se gavent d'intérêts et spéculent sur les Etats en les attaquants dès qu'il y a un menton qui se relève...

Ah oui quel pied ! Quelle corne d'abondance cette U.E...

La Grèce est un cas particulier ... pour d'autres pays (de la baltique par exemple) ,c'est effectivement la corne d'abondance ...

lorsqu'on mutualise ,il y a forcément des gagnants et des perdants

    Cette cynique légèreté face aux réelles souffrances de millions de personne me laisse pantois. Pays scandinaves qui, en tous cas pour le Danemark, ne pratiquent pas la sociale démocratie prônée actuellement pour la Grèce. La Norvège, elle, bénéficie surtout de ses rentes pétrolières. Du reste, 20 millions d'habitants qui se portent à peu près bien, sur les 500 millions qu'en comptent l'U.E., je doute qu'il y ait là matière à fanfaronner et s’esclaffer : "ça marche !"

en quoi le reste des européens est plus malheureux que les états nordiques ?

le Portugal par exemple a vu son niveau de vie multiplié par 6 ces trente dernières années ,la Grèce par 7 depuis son entrée dans l'UE ....

'l'UE ne représente que 7% de la population mondiale et pourtant elle représente 20% des échanges commerciaux

"L’Union européenne, c’est l'union politique et économique de 28 pays. Si ces 28 pays n’en formaient qu’un, l’UE serait l’une des principales puissances de la planète, que ce soit en terme politique, démographique ou économique.

c'est un monstre de puissance que Bruxelles ne maîtrise pas ....

'l'UE ne représente que 7% de la population mondiale et pourtant elle représente 20% des échanges commerciaux

"L’Union européenne, c’est l'union politique et économique de 28 pays. Si ces 28 pays n’en formaient qu’un, l’UE serait l’une des principales puissances de la planète, que ce soit en terme politique, démographique ou économique.

c'est un monstre de puissance que Bruxelles ne maîtrise pas ....

Et de la meme maniere, si les etats asiatiques (Chine, Japon, Coree, India) decidaient de s'unir, il serait la premiere puissance mondiale, devant une UE unifiee...

Mais comme on dit, avec les "si"..

Et oui, Tsipras et la Grèce affrontent seuls

une meute affamée prête à tout pour mater

la désobéissance civile et la souveraineté

du peuple grec !

C'est facile de juger Tsipras et de l'accuser de trahison !

Il s'est battu seul contre une meute enragée

qui préserve les privilèges d'1% de nantis

assoiffés de pouvoir et d'argent !

Cette meute défend "sa dette spéculative"

et montre bien jusqu'à quel point elle peut aller!

La meute est forte et ose tous les coups,

tous les cynismes, tous les mensonges, elle

a décidé de mettre à bas le courage de celui qui

tente la désobéissance.

Et oui, Tsipras a combattu seul!

http://www.legrandsoir.info/varoufakis-pourquoi-l-allemagne-refuse-d-alleger-la-dette-de-la-grece-the-guardian.html

A t-il tout perdu ? Non, il a fait savoir au monde

la supercherie que cette Europe impose aux travailleurs

européens ! Oui, tous les travailleurs européens

sont assujettis à ce principe !

Les travailleurs européens reprendront-ils ce combat

et suivront-ils l'exemple de la Grèce ?

Les travailleurs européens lèveront-ils la tête

et s'associeront-ils au combat initié par les grecs ?

Avant d'accuser Tsipras de trahison faut-il peut-être

soutenir son combat et le porter avec lui !

Les travailleurs français et tous les autres auront-ils

le courage de s'allier aux travailleurs grecs ?

Pour gagner la partie il faudrait lutter !

Peut-on se contenter de compter les points

et de regarder la Grèce à terre sans rien faire ?