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J’ai déjà essayé de prendre mes distances une fois. Il l’a remarqué et a commencé à débarquer dans ma résidence universitaire, à stalker mes nouveaux potes (qu’il connaissait même pas de base). Et quand j’ai voulu en discuter avec lui, en lui expliquant que j’avais le droit à mon intimité, que ça se fait pas de débarquer chez les gens comme ça, il a commencé à me faire des reproches (toujours sur un ton calme hein, jamais violent). Il m’a sorti qu’en primaire il était là pour moi (ce qui est vrai), qu’il a le droit de savoir ce qui se passe dans ma vie, que c’est le rôle d’un pote, que c’est la base, etc. Ce jour-là, j’ai craqué. Je lui ai dit de dégager. Il est parti sans un mot. Et même pas quelques jours après, il est revenu en disant qu’il était désolé. C’est pour ça que je dis que c’est un gentil au fond. Il se remet toujours en question, mais au final… il recommence un peu toujours les mêmes erreurs
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je pense pas qu'il soit fou (le titre choisi est exagéré) mais je sais qu'il n'est pas stable, il est très intelligent mais niveau émotion, c'est une machine. Et je le remarque de plus en plus quand on traine ensemble avec d'autre.
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alors en effet au début j'ai douté (oui des grenouilles apparemment), mais certains de ses comportements ne sont pas commun, le coup ou il a explosé la mâchoire à un de ses camarades à été vérifié. mais c'est plus le moment présent, enfaite j'ai l'impression de pas connaitre mon meilleur ami et que notre relation n'est pas saine, je le trouve très dépendant de moi. mais j'ai de l'empathie, je l'aime, et c'est même pas question de coupé contacte avec lui, en aucun cas je parlais de ça, mais plutôt la peur qu'ils deviennent quelqu'un de mauvais. jsp. il y a certaine déception qui sont dure, et c'est pas question d'être parfait, loin de là
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c'était de l'humour minimum de ?
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j'ai peur de sa réaction, il est assez lunatique, et bon assez gênant d'en parler, on est assez pudique malgré qu'on soit proche. et je pense aussi que je ne veux pas affronter le "méchant" côté de mon meilleur ami, peur d'être déçu, ou d'y faire face tout simplement. j'ai besoin d'avis neutre et honnête, d'ou le forum.
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c'est de l'humour si jamais... vous vous doutez bien que je ne ferai jamais ça ? c'est de l'humour ?
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je suis d'accord avec vous mais je ne pouvais rien y faire ? ça se soigne ? ou je dois l'enfermer à double tour en hôpital psy ?
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c'est normale que ça choque, surtout la notre c'est à dire ? non là c'est extrême
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Oui, le post est un peu chelou, mais c’est véridique. Nous sommes tous les deux russes, arrivés en France quand nous étions enfants. On s’est connus à l’école primaire. À noter que je suis quelqu’un de… comment dire… très timide, je parle peu, je reste dans mon coin, et (un peu) victime sur les bords. Lui, c’est tout l’inverse : il a un caractère fort, un faux calme. Il m’a un peu “décoincée” et on est devenus très proches, on venait du même pays et on pouvait parler russe entre nous. Problème : avec le temps, il est devenu de plus en plus… possessif ? (Ce n’est pas vraiment le bon mot, parce que ça pourrait faire croire qu’on parle d’amour, alors que ce n’est pas le cas). Mais au collège/lycée, je n’avais pas le droit de traîner tard le soir. À chaque fois que je rentrais chez moi, je devais lui envoyer un message. Tous les matins et tous les soirs, il venait me chercher en voiture (avec son père dont j’ai toujours eu peur, et j’y reviendrai). Petite précision : pendant mon enfance, il a pris un peu le rôle du “grand frère” qui protège la victime (moi, donc). Une fois arrivés à la fac, on a suivi des chemins différents (il a intégré une école très prestigieuse). Mais malgré ça, j’ai appris des choses assez choquantes sur lui. Il faut savoir qu’il avait passé une année dans un autre collège, quand son père avait changé de boulot. Un jour, en soirée, je discute avec un gars qui était dans ce collège. Moi, innocemment, je lui dis qu’il est super sympa. Là, son visage se ferme d’un coup et il me balance que c’est un enfoiré : il tuait des grenouilles dans la cour, jouait avec des cadavres d’oiseaux, ne s’est pas levé pour une minute de silence après un décès au collège, et il aurait même tabassé un gars jusqu’au sang (il lui aurait cassé la mâchoire… au collège). Et pourtant, à cette époque-là, mon meilleur pote me disait que tout allait bien, qu’il s’était fait des amis (alors que ce gars en soirée m’assure qu’il était toujours seul). Et là, je ne sais pas pourquoi, mais tout me revient en mémoire. Je sais qu’il a eu une éducation “à la russe”, mais en bien pire. Il me racontait qu’enfant, il était enfermé dans une cave quand il pleurait. Que son père le jetait, nu, dans des orties quand il était fiévreux ou se plaignait. Moi, à l’inverse, j’ai eu une éducation très religieuse, très calme. Je ne pouvais même pas imaginer qu’on puisse vivre des choses pareilles. Et pourtant… jamais je ne l’ai vu violent avec moi. Jamais. Il n’a jamais été méchant ni autoritaire. Il me sourit tout le temps. Il prend souvent de mes nouvelles (parfois de manière un peu pesante, c’est vrai). Il est très à l’écoute. Mais les autres me décrivent un portrait de lui complètement différent. Un gars violent, sans valeurs, presque inquiétant. Et je ne sais pas quoi penser. J’ai peur qu’il devienne comme son père. Mais en même temps, je me dis qu’il y a de l’espoir. Qu’il n’est pas “fou”, puisqu’il reste encore humain avec moi… Vous ne pensez pas ?