Aller au contenu

Doïna

Membre+
  • Compteur de contenus

    19 403
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    19

Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Homo sum, et humani nihil a me alienum puto. (Terence)
  2. Il parlait de droit, oui, hors il t'a répété plusieurs fois que des politiques en place ont sciemment fermé les yeux sur des pratiques illégales en France, pourquoi donc ne serait-ce pas de la corruption même en terme de droit ? Perso, que le droit le reconnaisse ou pas comme de la corruption, je trouve que c'en est de toute façon d'un point de vue moral, parce que la morale aussi, ça compte : quand un élu n'est pas condamnable juridiquement mais qu'il a commis quelque chose d'immoral, c'est grave malgré tout. Je me fiche de tes réflexions merdiques sur ma personne, du reste, car tu n'es pas une référence pour moi. Je sais que tu n'as pas d'humour, mais tes assauts désespérés pour défendre la macronie, vois-tu, je préfère en rire.
  3. Il ne s'agit pas d'attaquer la France en particulier, mais du souhait d'une France qui reconnaît son passé, son histoire, même quand ce n'était pas glorieux. C'est ce qui fait aussi la grandeur d'un pays, de ne rien dissimuler.
  4. Une employée avait fait remonter l'info au plus haut niveau de la hiérarchie, elle a été virée. Le pdg était au courant, il laissait courir. Il ne risque rien de toute façon pour les empoisonnements : il est couvert par une bonne assistance juridique, il a les meilleurs avocats pour sa défense. Il ne doit même pas avoir de conscience pour se sentir mal quand il se regarde dans une glace. De nos jours, on ne retrouve pas du boulot d'un claquement de doigt.
  5. Mais moi je te parle de corruption dans son sens général : la corruption des mœurs, etc. Quand on dit d'un politique qu'il est corrompu, cela peut vouloir dire par rapport aux valeurs de la démocratie. Voilà, prends-toi ça dans les dents DDR !
  6. C'est certain que des essais nucléaires n'ont pas eu plus d'impact que des petits pétards du 14 juillet. C'est comme les cancers en Polynésie : c'est parce que les Polynésiens mangent trop de bonbons, soi-disant...
  7. Mais qu'est-ce que la corruption ? Du latin corruptio, « altération, séduction ». 1. Le fait de s’altérer, de se décomposer physiquement. La corruption de la chair. Il y a des terres où les corps se conservent longtemps à l’abri de la corruption. Spécialement. Le fait de perdre sa pureté originelle. La corruption des eaux. La corruption de l’atmosphère dans les grandes villes. Par analogie. La corruption de la langue parlée. La corruption d’un texte. 2. Fig. Avilissement, dépravation. Dénoncer la corruption des mœurs. La corruption du cœur. 3. Le fait de détourner une personne de son devoir, de la soudoyer, de la suborner. User de corruption pour parvenir à ses fins. Recourir sans scrupule à la corruption. Marque de domaine :droit. Corruption active de fonctionnaire, délit consistant à solliciter d’un fonctionnaire un acte contraire à son devoir, en faisant appel à ses intérêts propres. Corruption électorale, pratique consistant à acheter les suffrages lors d’une consultation électorale. La corruption électorale est punie de la privation des droits civiques. Corruption passive, le fait de se laisser détourner de son devoir par de l’argent ou tout autre moyen de subornation. Le trésorier de cette association a été soupçonné de corruption passive. Dans le cas présent, il s'agirait de l'altération de valeurs. Les politiques cités dans ton article : Borne, Kohler, etc. se sont détournés de leur devoir au profit d'un lobby. Donc d'une certaine façon, c'est de la corruption, comme l'a dit @Pierrot89. La corruption ne se limite pas à des pots-de-vin. Ce n'est pas mon avis en ce que le lobbying consiste à influencer les actions, les politiques ou les décisions des représentants du gouvernement, des législateurs ou des organismes de réglementation. Les électeurs ne placent pas des élus aux commandes pour que ces derniers servent des grandes sociétés ou entreprises, et quand ces élus le font, ils bafouent la démocratie. J'ai le droit de n'avoir pas ou plus confiance. J'ai le droit de ne pas croire que Nestlé a voulu protéger les emplois. J'ai le droit de croire que Nestlé a les moyens de se mettre aux normes françaises, mais ne le fait pas pour grossir ses gains, et qu'il fait du chantage avec des menaces à peine voilées de supprimer des emplois si des élus et instituts comme la répression des fraudes le poussent dans ses derniers retranchements. Sans être spécialiste en hydrologie, en dépollution, c'est bien mon droit de ne plus faire confiance à Nestlé qui traîne tant de casseroles dans son sillage : le ré-étiquetage des laits périmés en Colombie, l'exploitation d'enfants dans les cultures de cacaoyers en Afrique et dans les palmeraies à huile indonésiennes, la déforestation pour produire l'huile de palme de ses produits, les intoxications (le lait infantile, la pâte à cookie, etc.), la viande de cheval, l'écoblanchiment des eaux Vittel, les empoisonnements à la pizza. Et maintenant la triche sur les eaux non conformes. A propos de Buitoni ? Rien que cette affaire glauque de pizzas meurtrières, j'aurais aimé que ce fût un roman, malheureusement... Pourquoi me demander des sources, la nouvelle a fait trop de bruit pour que tu n'en aies pas entendu parler. Nestlé est assez riche pour produire en France des eaux aux normes françaises sans renvoyer personne ! On ne me fera pas croire le contraire ! Il faut juste que Nestlé comprenne que, des fois, une entreprise doit respecter plutôt qu'engranger : quand il y a des réglementations à respecter, eh bien elle doit les respecter quitte à investir en ce sens, ce qui implique de renoncer pour un temps à une partie des gains. Une entreprise si puissante soit-elle ne peut exister que pour s'enrichir sans respecter les réglementations.
  8. Il y a toujours eu des variations climatiques, certes, mais les scientifiques démontrant que l'actuel réchauffement climatique résulte des activités humaines sont suffisamment nombreux, et leurs conclusions prévalent sur ta contestation, car tu n'es pas scientifique, tu ne disposes ni des compétences, ni des moyens pour mener des études sérieuses sur la question.
  9. « Bayrou a clairement soutenu l’établissement » à l’époque, accuse l’avocat d’une victime : « Leur garçon de 14 ans avait été frappé par un surveillant de Bétharram, et avait eu le tympan explosé. Puis on lui a imposé le supplice du perron, en sous-vêtements au bord du gave [d’Oloron]. J’ai porté plainte pour blessures volontaires et atteinte à la dignité, cela a débouché sur un procès en 1996, qui s’est traduit par la condamnation du surveillant. Or, l’un des fils de François Bayrou était dans la classe de ce jeune, et ce dossier a été très médiatisé sur un plan local. Ce n’était donc pas possible d’être à Pau à cette époque, et d’ignorer ce sujet, qui plus est quand on était responsable politique. » Dans un article de Sud Ouest datant de 1996, on apprend par ailleurs que François Bayrou, alors ministre de l’Education, s’est rendu à Bétharram pour la réception de travaux de toiture, et qu’il a évoqué cette affaire à cette occasion : « Nombreux sont les Béarnais qui ont ressenti ces attaques avec un sentiment douloureux et un sentiment d’injustice, dit-il alors. Toutes les vérifications ont été favorables et positives. Le reste suit son cours. » « François Bayrou a clairement soutenu l’institut, se souvient Jean-François Blanco. Un comité de soutien s’était par ailleurs créé en faveur de l’établissement catholique, avec à sa tête l’avocat de Notre-Dame, un proche de François Bayrou qui adhérait au même parti [l’UDF]. » En 1998, éclate « l’affaire du père Carricart » : Pierre Silviet-Carricart, ancien directeur de Bétharram, avait été mis en examen pour viol et tentative de viol, avant d’être exfiltré à Rome, et de mettre fin à ses jours, en 2000. « Une instruction a été ouverte, menée par le juge Mirande, ce qui a donné lieu à une couverture médiatique intense, rappelle Jean-François Blanco. Il est incompréhensible que François Bayrou prétende ne pas avoir eu connaissance de cette procédure, d’autant plus qu’il est avéré qu’il a rencontré le juge. » Le juge Mirande a en effet expliqué que François Bayrou, inquiet pour son fils, était venu le trouver pour lui parler. L'épouse de François Bayrou a assisté aux obsèques du père Carricart », en 2000. Une victime avait écrit à Bayrou : « En 1957, arrive au dortoir un jeune ecclésiastique dont nous avions une peur irraisonnée, écrit-il dans cette lettre qu’il nous a transmis. La suite vous la subodorez… Venir la nuit, soutane ouverte, accroupi au pied de mon lit, pour venir me faire des attouchements et des fellations… Puis il allait faire sa macabre mission sur d’autres copains… Avec toujours le même lexique : "Rendormez-vous, c’est rien." Cela a duré jusqu’en fin 1961. » « C’était un courrier explicite, il ne peut pas dire qu’il ne savait pas. Mais le pire dans tout cela, est qu’il ne m’a jamais répondu… J’aurais aimé qu’il m’envoie un mot, qu’il me défende. Cela veut bien dire qu’il n’en a rien faire. » Article entier : https://www.20minutes.fr/societe/4138554-20250214-affaire-betharram-bayrou-facilement-pu-faire-cesser-agissements-sein-institut-catholique
  10. Affaire Bétharram : un ex-gendarme reparle d'une "intervention" de François Bayrou, lors d'une commission d'enquête parlementaire Mi-février à l'Assemblée nationale, le Premier ministre avait affirmé n'être "jamais" intervenu, "ni de près, ni de loin", dans cette affaire. Ce n'est pas ce que dit l'ex-gendarme Alain Hontangs. Le 26 mai 1998, cet enquêteur à la section de recherches (SR) de Pau devait présenter à un juge d'instruction le père Pierre Silviet-Carricart. L'ancien directeur de l'institution catholique du Béarn, au cœur aujourd'hui d'un vaste scandale d'agressions sexuelles, était alors accusé de viol par un ancien élève, le premier à avoir dénoncé de tels faits. Article entier : https://www.francetvinfo.fr/societe/education/affaire-de-violences-sexuelles-a-notre-dame-de-betharram/affaire-betharram-un-ex-gendarme-reparle-d-une-intervention-de-francois-bayrou-lors-d-une-commission-d-enquete-parlementaire_7181937.html
  11. Perso, j'y crois pas : un mastodonte comme Nestlé a largement les moyens de mettre sa production en conformité avec les exigences d'un pays où il produit, mais plutôt que de céder à des dépenses en ce sens il a seulement usé de chantage au licenciement pour continuer ses profits effrénés. C'est toujours la même histoire : que ce soit buitoni, etc. jusque dans le bureau du pdg on sait ce qui se passe mais on ferme les yeux et on met dans sa botte la complaisance les élus en place. C'est ça, continue à tenter de noyer le poisson, tu te fatigues pour rien, c'est juste vain !
  12. Et même en lisant l'article que tu cites, @DroitDeRéponse, je peux lire des choses qui ne me convaincront pas du contraire : Et malgré l'intervention de la répression des fraudes et de l'afssa : Enfin, je ne vais pas tout faire remonter : relis ton article ! Après ça, qui espères-tu convaincre ? Et tu as beau tempêter après le terme "corruption", quand on a lu ça, on ne peut que constater que Nestlé a corrompu des gens des plus hautes sphères de l'Etat par le lobbying, le chantage à la suppression d'emploi, etc.
  13. Ce n'est pas moi qui ai dit qu'il était corrompu, néanmoins je trouve que tu joues beaucoup sur les mots et que tu pinailles, parce que si ce n'est pas de la corruption, ça y ressemble, en tout cas ce type -Kohler- n'est pas honnête, et il ne fait pas honneur à la SG qui l'accueille en son sein, même si je me doute que des comme lui, il doit y en avoir des bancs entiers dans cette mer-là. Surveille un peu ton langage et revois les cgu. Aussi, avant de balancer aux autres qu'ils font des "affirmations de merde" et qu'ils sont dans la langue de bois "politisée et militante", balaye un peu devant ta porte de militant macroniste. Le lobby Nestlé s'est invité à l'Elysée, c'est un fait ! Tu peux raconter ce que tu veux, on a compris ce que valait le bonhomme, on a compris que dans la macronie on ferme les yeux sur les agissements déloyaux et/ou illégaux des grands lobbies.
  14. Bonjour, Les trois organisations non gouvernementales (ONG) Quota Climat, Data for Good et Science Feedback, dévoilent, jeudi 10 avril, une note qui démontre une hausse de la désinformation sur le dérèglement climatique dans l’audiovisuel français. Depuis trois mois, « une dizaine de cas par semaine » ont été recensés. Basée sur les données recueillies par l’Observatoire des médias sur l’écologie, la première mouture de cette étude qui sera complétée pour septembre 2025 fait état, sur trois mois d’antenne – donc, télévision et radio combinées – de 128 cas de désinformation, soit une dizaine de cas par semaine. 64 % de la désinformation dans les chaînes privées et 36 % dans les publiques : Sud Radio y apparaît comme étant le principal relais de désinformation avec 40 cas détectés sur trois mois. La station est suivie par la chaîne du groupe Bolloré CNews (26 cas). Vient ensuite LCI et RMC avec 11 cas, BFMTV et Europe 1 avec 10 cas, franceinfo TV avec 9 cas, France 2 avec 4 cas, puis France info radio et France Inter avec 2 cas. Seul un cas de désinformation a été détecté chez Arte, France Culture et RTL sur la période observée. Autre point inquiétant, la note de 31 pages pointe « une prévalence de la désinformation climatique (…) à proximité des grands moments politiques et géopolitiques ». Concrètement, les stations de radio et les chaînes de télévision françaises contribuent à « une forte perméabilité du débat public » lors de moments politiques majeurs – par exemple lors de la période ayant précédé et suivi l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Les médias observés impulsent ainsi, selon la note, « des vagues de désinformation sur des moments démocratiques d’importance ». Les trois ONG citent plusieurs cas de désinformation dans leur note. Genre "la voiture électrique pollue plus que la voiture thermique" ou encore la remise en question du réchauffement climatique. Article entier : https://www.humanite.fr/environnement/catastrophe-climatique/la-television-et-la-radio-francaise-tirent-largement-la-desinformation-climatique-a-la-hausse-alertent-trois-ong
  15. Ouiiii, bien sûr, hé hé hé , mais pour en revenir à Kohler, il n'en est pas à son coup d'essai, car ce n'est pas la première fois qu'il dégage des vapeurs de soufre. Par conséquent, si ce n'est pas de la corruption, ce n'est pas de l'honnêteté non plus. En fait, Kohler, c'est un de ces arrivistes de la macronie qui ne respectent plus la ligne rouge dans leur course effrénée à l'échalote et qui se font volontiers les chevaux de Troie des grands lobbies industriels et financiers.
  16. C'est bien qu'on sache à qui on a affaire, donc non, mon article Wikipédia n'est pas hors-sujet. Concernant les articles en intro, on peut lire clairement : l’Elysée savait que Nestlé trichait ces documents publiés par le Sénat qui mettent en cause le bras droit d’Emmanuel Macron (etc), Donc, si ce n'est pas de la corruption, c'est quand même de la malhonnêteté. Kohler se barre à la SG ? Il y a longtemps qu'il aurait dû être remercié, à présent il mériterait d'être au chômage : pour moins que ça, d'autres se sont retrouvés à la rue !
  17. Pour tout savoir sur Kohler, on peut faire confiance à Wikipédia aussi : Alexis Kohler, né le (...), est un haut fonctionnaire français, secrétaire général de la présidence de la République française de mai 2017 à avril 2025. Directeur de cabinet de Pierre Moscovici puis d'Emmanuel Macron au ministère de l'Économie et des Finances sous la présidence de François Hollande, il a été secrétaire général de l'Élysée durant 8 ans, sous la présidence d'Emmanuel Macron. En 2022, il est mis en examen pour prise illégale d'intérêts, trafic d'influence et corruption passive pour ses conflits d'intérêts avec l'entreprise Mediterranean Shipping Company (MSC). ... Encore un faux qui a plaqué la gauche pour suivre Macron et qui a soutenu le projet de réforme des retraites d'Edouard Philippe en 2020. Il a supervisé la privatisation tant décriée des aéroports de Paris. Il a défendu le projet de réforme sur l'assurance chômage, la chasse aux sorcières contre les chômeurs devrais-je dire. Il a été visé par une enquête pour trafic d'influence par le parquet financier suite à la fusion Véolia-Suez. Et maintenant les magouilles avec Nestlé. Mais qu'est-ce que Macron attend pour renvoyer ce courtisan ?
  18. Elles demandent de stopper le projet qui, selon elles, aura un impact néfaste sur un biotope, mais ce n'est qu'une demande, pas intimation ni même une injonction menée devant des juges. Une demande qui ne prête pas à conséquence donc, libre au lecteur de la lettre de tenir compte de cette demande ou pas, même si ces associations disposent des connaissances et informations nécessaires pour pouvoir se targuer de la formuler. Militantisme a une tout autre connotation.
  19. Cela a été exprimé par un courrier, sans plus. Une démarche tout à fait courtoise. C'est précisé dans l'article que je ne peux publier en entier.
  20. "Enfin, il existe d'autres sources de financement qui ont l'avantage de garantir une réelle indépendance. Le don, par exemple. Si tous les indignés de la situation donnaient à ces associations, elles n'auraient pas besoin de subvention régionale." : oui, on laisserait les associations se contenter des dons, comme ça on rayerait de la carte les associations qui défendent les droits des plus modestes, ceux-ci n'ayant pas les moyens de faire des dons. Pour le reste, tu peux bien raconter ce que tu veux, on retiendra qu'un élu ripouxblicains a supprimé les subventions de trois associations juste pour un avis contraire au sien. Quand tu causes de militantisme, tu causes de celui de l'élu LR ? Nan, parce que les associations, elles n'ont pas milité dans l'histoire, elles ont juste émis un avis défavorable sur un projet, ce qui n'est pas du militantisme. Nous avons tous des avis sur tout et sur rien, cela ne suffit pas à faire de nous des militants.
  21. A quoi servent les associations si elles ne peuvent même pas donner leur avis ? Une faute grave aurait été commise, je ne sais pas moi : de l'argent détourné, une association qui engrange et se repose sur ses lauriers, des agressions... je pourrais comprendre que le versement de subventions soit remis en question, mais là, si c'est juste pour un avis... Cela laisse présager ce qui arriverait si ce parti revenait au pouvoir : le droit de citer serait réservé à ceux qui sont de leur côté, mais pas les autres. Il ne s'agissait pas d'injonctions mais d'un simple avis. Les associations ne sont de toute façon pas en position de prononcer des injonctions, qui relèvent plutôt du système judiciaire et des pouvoirs publics. Ou parce qu'ils sont plus respectueux de la liberté d'expression ? Je pencherais plutôt pour ça.
  22. Quand est-ce qu'on envoie Wauquiez en Antarctique ?
×