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La croix est d’origine païenne


azed1967

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 47 minutes, Lugy Lug a dit :

tu m'aura mal compris.

je suis d'accord avec le fait que les chrétiens croient.:) et qu'il se sont réapproprier une symbolique tout comme aujourd'hui l'on utilise des mots dont le sens premier à changé.

ben tout dépend pour quelle croyance mais en général pour la plupart, sumérien, égyptien, perse, celte ou indo-européen, asiatique, aborigène, certain peuple d'Afrique, d’Indonésie et d’Amérique qui malgré des croyances divers, on une base commune qu'est la réincarnation de l'âme de vie en vie mais avec une possibilité d'évolution ou d'égarement vers des mondes meilleur ou moins bien. cette dernière notion deviendra dans le monothéisme le paradis et l'enfer en quelque sorte.

 

ça pourrai laisser supposé d'une loi métaphysique universelle que chacun aura interprété dans son évolution spirituel et sociale.:unknw:

on notera qu'il y à plus de point commun entre toute les croyances du monde qu'entre deux athées.;)

sinon pour toi il y à ça aussi.

Résultat de recherche d'images pour "anatole et philémond"

désolé mais il fallait que je la fasse.:D

Wouais, le blablabla habituel !

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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 6 958 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 11:15, azed1967 a dit :

La croix est d’origine païenne

 

 

LA CROIX que vous voyez sur le clocher de l’église de votre quartier, au-dessus de l’autel ou suspendue au cou de nombre de vos semblables est, en réalité, un symbole d’origine païenne. Ce symbole était vénéré dans tout le monde païen bien avant l’avènement du christianisme. Ce fait est reconnu par maintes autorités en matière de religion et d’histoire, comme nous allons le voir.

L’Encyclopédie catholique (angl., 1908, tome IV, page 517) déclare : “Le signe de la croix, dont la forme la plus simple est la rencontre de deux lignes se croisant à angles droits, précède de loin, tant en Orient qu’en Occident, la naissance du christianisme. La croix remonte à une époque très reculée de la civilisation humaine.” Dans son ouvrage L’Église primitive (angl.), à la page 316, l’ecclésiastique W. D. Killen est de cet avis quand il dit : “Dès la plus haute antiquité, la croix fut vénérée en Égypte et en Syrie ; les bouddhistes de l’Orient l’honoraient tout autant ; et, ce qui est encore plus extraordinaire, les Espagnols qui débarquèrent pour la première fois en Amérique découvrirent que cet emblème figurait parmi les objets de culte dans les temples dédiés aux idoles à Anahuac. Il convient aussi de noter que vers le début de notre ère, les païens avaient coutume de faire le signe de la croix au front lors de la célébration de certains de leurs mystères sacrés.”

Si vous appartenez à l’une des Églises de la chrétienté, vous a-t-on jamais appris que la croix est un symbole païen ? Si votre Église s’est abstenue de le faire, alors elle vous a caché la vérité. Elle vous a encouragé à vénérer un symbole qui, de l’aveu de tous, est païen. “Mais, direz-vous, les premiers chrétiens ne considéraient-ils pas la croix comme un symbole du christianisme ?” Certainement pas. Ce ne fut pas avant le milieu du troisième siècle de notre ère que les soi-disant chrétiens l’employèrent comme tel. À la page 256 du premier tome du Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.) de W. E. Vine, on peut lire : “Vers le milieu du IIIsiècle, les Églises s’étaient soit écartées de certaines doctrines de la foi chrétienne, ou bien les avaient travesties. Pour accroître le prestige du système ecclésiastique apostat, les Églises admettaient en leur sein les païens sans qu’ils fussent régénérés par la foi, et leur permettaient de conserver, en grande partie, leurs signes et symboles païens. D’où le Tau ou T, dans sa forme la plus répandue, avec la barre transversale abaissée qui fut adopté pour représenter la croix du Christ.”

Au début du troisième siècle, Minucius Felix, écrivant aux païens dans Octavius, leur fit connaître l’attitude que les chrétiens adoptaient en ce temps-là vis-à-vis de la croix. Il dit : “Quant à la question des croix : nous ne les adorons, ni ne les désirons. Mais peut-être que vous qui consacrez des dieux de bois, vous adorez les croix de bois comme des parties de vos dieux (...). Les trophées que vous élevez quand vous êtes victorieux représentent non seulement une simple croix, mais même un homme fixé à cette croix.” (The Ante Nicene Fathers, tome XIV, p. 191). Les véritables chrétiens n’ont jamais vénéré la croix et ne l’ont jamais considérée comme un symbole du véritable christianisme.

De nombreuses personnes prétendent que l’adoption de la croix par les Églises est due au fait que le Christ est mort sur une croix. C’est là ce qu’affirment les Églises, mais ce n’est pas vrai. Avouant son incertitude quant à la mort du Christ sur une croix, le journal paroissial de l’Église d’État évangélique luthérienne du Schleswig-Holstein, L’Église du pays (all.), publia la remarque suivante dans son édition du 2 août 1951 : “Aujourd’hui, il n’est guère possible de déterminer si la croix sur le Golgotha avait une traverse, si elle n’était qu’un simple poteau, ou si elle était en forme de T, c’est-à-dire si elle avait une branche transversale placée au sommet du poteau vertical.”

Le fait que le mot “croix” apparaisse dans de nombreuses versions françaises de la Bible ne prouve pas que l’instrument de la mort du Christ ait eu la forme que les Églises lui attribuent. Le mot “croix” désigne un certain nombre de formes différentes. Il y a le simple poteau vertical, appelé en latin crux simplex, la crux commissa, en forme de “T”, la crux decussata, en forme de “X”, et la crux immissa, qui ressemblait à une lettre “T” dont on aurait abaissé la branche transversale. Ainsi donc, quand, dans les versions de la Bible faites par les Églises, vous rencontrez le mot français “croix”, comment reconnaîtrez-vous laquelle des formes se rapporte à l’instrument de torture de Jésus ?

Le mot grec que les Églises ont traduit en français par “croix” est stauros, mais pour les rédacteurs de la Bible ce mot désignait, non pas la croix que les Églises présentent comme le symbole du christianisme, mais un simple poteau vertical. À la page 256 du premier tome de son livre intitulé Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.), W. E. Vine déclare : “Primitivement, stauros désigne un pieu ou poteau vertical. C’est à cette sorte de poteau qu’on clouait les malfaiteurs pour les faire mourir. Ce nom, ainsi que le verbe stauroô, qui signifie attacher à un poteau ou à un pieu, étaient à l’origine différents de la croix à deux bras, adoptée par le clergé. La forme de cette dernière a son origine dans l’antique Chaldée et elle était employée comme symbole du dieu Tammouz.”

Il convient de noter, d’autre part, ce que dit The Companion Bible, ouvrage publié par la presse de l’université d’Oxford. Dans l’appendice, à la page 186, nous lisons : “Homère emploie le mot stauros pour désigner un simple pieu, poteau ou poutre de bois, et c’est ainsi que ce mot est employé dans tous les classiques grecs. Il ne désigne jamais deux pièces de bois placées en travers pour former un angle, quel qu’il soit, mais toujours une seule pièce de bois. D’où l’emploi du mot xulon (qui signifie poutre) en rapport avec la mort du Seigneur, mot rendu par arbre [dans les traductions anglaises] dans Actes 5:30 ; 10:39 ; 13:29 ; Gal. 3:13 ; 1 Pierre 2:24. (...) Dans le NT grec, il n’y a rien qui laisse même sous-entendre qu’il y aurait eu deux pièces de bois (...). Il y a donc des preuves complètes établissant que le Seigneur fut mis à mort sur un poteau vertical, et non sur deux pièces de bois formant un angle quelconque.”

La croix adoptée par les Églises de la chrétienté n’a aucun rapport, si lointain soit-il, avec le christianisme. C’est au contraire un symbole sacré appartenant aux religions païennes de l’Antiquité, religions que le Dieu de vérité avait en abomination et contre lesquelles il mit en garde la nation d’Israël (Deut. 7:16, 25, 26). Il est reconnu que c’était un symbole de la religion de l’Égypte antique.

La croix égyptienne, connue sous le nom de crux ansata, était surmontée d’un cercle. Cette combinaison représentait les organes de reproduction mâle et femelle. À propos du cercle, symbole féminin qui apparaît sur cette croix et qui est désigné par le mot hindou yoni, le livre Le sexe et le culte du sexe (angl.) de O. A. Wall, déclare à la page 359 : “La crux ansata (croix ansée) était utilisée partout dans le monde depuis l’Inde, l’Assyrie, Babylone, l’Égypte, jusqu’à la Suède et au Danemark (l’ancienne Runique), et dans le continent occidental (...). C’est l’ankh des Égyptiens, le symbole de la vie, parce qu’elle représente le yoni féminin associé à la croix en tau masculin.”

Étant donnés ces faits, si votre Église est surmontée d’une croix et qu’elle utilise ce symbole dans ses offices religieux, cela prouve que le culte qu’on y pratique est païen. Comment un culte paganisé peut-il obtenir l’approbation du vrai Dieu ? Il est indispensable que vous vous sépariez de toutes ces formes de culte babylonien et que vous vous joigniez à ceux qui adorent le Créateur en vérité. — Rév. 18:4.

 

https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1968084#h=2

certains historiens pensent que le symbole de la croix ainsi que le supplice associé seraient d'origine perse.

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Art rupestre avec croix.

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Membre, 71ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 2 879 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 13:40, Morfou a dit :

 

Catéchèse : La Vénération de la Croix

veneration.jpg

Le vendredi saint, au cours de la célébration de l’Office de la Passion, l’Eglise invite tous les fidèles à vénérer la Croix du Christ. Au premier abord, ce mystère de la Croix est le plus troublant qui soit. Pourquoi regarder Jésus crucifié ?  Pourquoi vénérer un instrument de torture ? N'est-ce pas le bonheur et la paix que l’homme désire au fond de lui-même, n'est-ce pas cela qu’il recherche par-dessus tout ?

Le vendredi saint, au cours de la célébration de l’Office de la Passion, l’Eglise invite tous les fidèles à vénérer la Croix du Christ par laquelle nous sommes sauvés.

Le célébrant chante alors à trois reprises, de plus en plus haut, l’invitation à adorer la croix, en la dévoilant progressivement :

« Voici l’arbre de la croix du Christ notre Sauveur,
sur laquelle est suspendu le Salut du monde.
Que toute la terre s’avance ! »

Croix
© esprit-photo.com

L’assemblée et le chœur répondent en chantant l’acclamation :

« Venez, adorons le Seigneur
qui sauve le monde par sa Croix ! »

Et chaque fois, on se prosterne pour adorer durant quelques instants.

Tous viennent ensuite en procession pour vénérer et baiser la Croix, tandis qu’on chante des hymnes, en particulier le chant des impropères ou « chant des reproches » : « L'opprobre (improperium) a brisé mon coeur et les injures de ceux qui t'injurient sont tombées sur moi. Pour nourriture, ils m'ont donné du fiel et dans ma soif ils m'ont abreuvé de vinaigre », prophétise déjà le Psaume.

Visage du Christ
© esprit-photo.com

Pourquoi regarder Jésus crucifié ?

Un supplicié parmi tant d’autres au cours de l’histoire de notre terre si remplie de la violence des hommes. Pourquoi en faire mémoire ? Pourquoi le contempler ? Pourquoi vénérer un instrument de torture ? C’est le bonheur et la paix que l’homme désire au fond de lui-même, c’est cela qu’il recherche par-dessus tout !

Au premier abord, le mystère de la croix est en effet le plus troublant qui soit, parce que ce n’est pas autre chose que le problème du mal sondé à fond, et c’est notre propre mort que le Christ affronte.

Si la liturgie du Vendredi Saint nous invite cependant à tourner nos regards vers le Christ en croix, et même à vénérer cette « sainte croix », c’est en le faisant avec les yeux de la foi : nous ne venons pas gémir sur un vaincu mais célébrer la victoire décisive de Jésus-Christ sur le mal, car ni le péché, ni la mort, ni le diable n’ont pu trouver en lui de complicité. C’est le Christ vainqueur que l’Eglise adore sur la croix. Elle est glorieuse, car elle est condition de la Résurrection - qui tue à jamais la mort.

Ainsi pénétré, ce mystère devient éminemment pacifiant : cette paix est la puissance de la Résurrection au plus profond de la mort. Pour la foi, la croix n’est plus le simple instrument du plus odieux des crimes, mais elle devient « l’arbre de vie planté pour la guérison des nations ».

Croix - Mosaïque
© esprit-photo.com
 

C’est la raison pour laquelle les premières communautés chrétiennes représentaient sur la croix le Christ glorieux. En particulier, sur les peintures des catacombes romaines, la croix est figurée par un arbre en pleine floraison, « l’arbre de vie ».

La passion du vendredi saint est donc indissociable de la résurrection ; elles sont comme les deux faces d’une même réalité. Aussi perçoit-on déjà, dans les chants qui accompagnent la vénération de la Croix, comme un avant-goût de la nuit sainte de la Résurrection :

« Ta croix, Seigneur, nous l’adorons
et ta sainte résurrection, nous la chantons.
C’est par le bois de la croix
que la joie est venue dans le monde.

---------------------------------------------------------------------------------------------------

C’est la raison pour laquelle les premières communautés chrétiennes représentaient sur la croix le Christ glorieux. En particulier, sur les peintures des catacombes romaines, la croix est figurée par un arbre en pleine floraison, « l’arbre de vie ».

Ce n'est pas la croix qu'il faut adorer c'est le Christ mis à mort pour nos péchés, et RESSUSCITE pour notre justification. La croix n'est qu'un instrument de mise à mort; une question : " si la guillotine avait existé à l'époque et que le Seigneur ait été décapité nous promènerions-nous avec un bijou en forme de guillotine ? Christ a renoncé à tout pour nous, ce qu'il demande c'est que nous aussi nous renoncions à notre égoïsme ( moi), et ceci pour nous tourner vers les autres, c'est cela porter sa croix. Les croisés malgré les grandes croix tissées sur leurs habits ont tout massacré lorsqu'ils ont pris Jérusalem Juifs et musulmans; drôle de façon d'adorer Jésus, assassins au nom du Christ, ils n'ont pas dû lire l’Évangile.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 127 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 45 minutes, Cochise 90 a dit :

Ce n'est pas la croix qu'il faut adorer c'est le Christ mis à mort pour nos péchés, et RESSUSCITE pour notre justification. La croix n'est qu'un instrument de mise à mort; une question : " si la guillotine avait existé à l'époque et que le Seigneur ait été décapité nous promènerions-nous avec un bijou en forme de guillotine ? Christ a renoncé à tout pour nous, ce qu'il demande c'est que nous aussi nous renoncions à notre égoïsme ( moi), et ceci pour nous tourner vers les autres, c'est cela porter sa croix. Les croisés malgré les grandes croix tissées sur leurs habits ont tout massacré lorsqu'ils ont pris Jérusalem Juifs et musulmans; drôle de façon d'adorer Jésus, assassins au nom du Christ, ils n'ont pas dû lire l’Évangile.

C'est certain que les "autres" les ont laissé faire...

L'Arbre de Vie, ça ne vous dit rien?

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Membre, 71ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 2 879 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, Morfou a dit :

C'est certain que les "autres" les ont laissé faire...

L'Arbre de Vie, ça ne vous dit rien?

Non précisez, merci

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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 19 394 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 19 heures, Cochise 90 a dit :

Ce n'est pas la croix qu'il faut adorer c'est le Christ mis à mort pour nos péchés et RESSUSCITE pour notre justification. La croix n'est qu'un instrument de mise à mort (...) Christ a renoncé à tout pour nous (...) Les croisés malgré les grandes croix tissées sur leurs habits ont tout massacré lorsqu'ils ont pris Jérusalem, Juifs et musulmans ; drôle de façon d'adorer Jésus, assassins au nom du Christ, ils n'ont pas dû lire l’Évangile.

 

Ce n'est pas la croix qu'il faut adorer mais le Christ.

 

Celui qui tue au nom du Christ ne met pas ses pas dans les pas du Christ, il se met au service du Malin, de Satan.

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a une heure, Passiflore a dit :

 

Ce n'est pas la croix qu'il faut adorer mais le Christ.

 

Celui qui tue au nom du Christ ne met pas ses pas dans les pas du Christ, il se met au service du Malin, de Satan.

Si les chrétiens n'avaient pas massacré au nom du Christ pour imposer cette croyance et constituer leur empire et le maintenir, le christianisme n'existerait plus depuis très longtemps !

Alors venir nous dire que, "celui qui tue au nom du Christ ne met pas ses pas dans les pas du Christ", est une fumisterie tout comme de dire que le christianisme ou l'islam sont des religions de paix alors que durant des siècles (encore aujourd'hui pour l'une  d'entre elles) elles n'ont cessé de massacrer et d'imposer des dictatures.

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Membre, 59ans Posté(e)
italove Membre 9 294 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 11:15, azed1967 a dit :

La croix est d’origine païenne

 

 

LA CROIX que vous voyez sur le clocher de l’église de votre quartier, au-dessus de l’autel ou suspendue au cou de nombre de vos semblables est, en réalité, un symbole d’origine païenne. Ce symbole était vénéré dans tout le monde païen bien avant l’avènement du christianisme. Ce fait est reconnu par maintes autorités en matière de religion et d’histoire, comme nous allons le voir.

L’Encyclopédie catholique (angl., 1908, tome IV, page 517) déclare : “Le signe de la croix, dont la forme la plus simple est la rencontre de deux lignes se croisant à angles droits, précède de loin, tant en Orient qu’en Occident, la naissance du christianisme. La croix remonte à une époque très reculée de la civilisation humaine.” Dans son ouvrage L’Église primitive (angl.), à la page 316, l’ecclésiastique W. D. Killen est de cet avis quand il dit : “Dès la plus haute antiquité, la croix fut vénérée en Égypte et en Syrie ; les bouddhistes de l’Orient l’honoraient tout autant ; et, ce qui est encore plus extraordinaire, les Espagnols qui débarquèrent pour la première fois en Amérique découvrirent que cet emblème figurait parmi les objets de culte dans les temples dédiés aux idoles à Anahuac. Il convient aussi de noter que vers le début de notre ère, les païens avaient coutume de faire le signe de la croix au front lors de la célébration de certains de leurs mystères sacrés.”

Si vous appartenez à l’une des Églises de la chrétienté, vous a-t-on jamais appris que la croix est un symbole païen ? Si votre Église s’est abstenue de le faire, alors elle vous a caché la vérité. Elle vous a encouragé à vénérer un symbole qui, de l’aveu de tous, est païen. “Mais, direz-vous, les premiers chrétiens ne considéraient-ils pas la croix comme un symbole du christianisme ?” Certainement pas. Ce ne fut pas avant le milieu du troisième siècle de notre ère que les soi-disant chrétiens l’employèrent comme tel. À la page 256 du premier tome du Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.) de W. E. Vine, on peut lire : “Vers le milieu du IIIsiècle, les Églises s’étaient soit écartées de certaines doctrines de la foi chrétienne, ou bien les avaient travesties. Pour accroître le prestige du système ecclésiastique apostat, les Églises admettaient en leur sein les païens sans qu’ils fussent régénérés par la foi, et leur permettaient de conserver, en grande partie, leurs signes et symboles païens. D’où le Tau ou T, dans sa forme la plus répandue, avec la barre transversale abaissée qui fut adopté pour représenter la croix du Christ.”

Au début du troisième siècle, Minucius Felix, écrivant aux païens dans Octavius, leur fit connaître l’attitude que les chrétiens adoptaient en ce temps-là vis-à-vis de la croix. Il dit : “Quant à la question des croix : nous ne les adorons, ni ne les désirons. Mais peut-être que vous qui consacrez des dieux de bois, vous adorez les croix de bois comme des parties de vos dieux (...). Les trophées que vous élevez quand vous êtes victorieux représentent non seulement une simple croix, mais même un homme fixé à cette croix.” (The Ante Nicene Fathers, tome XIV, p. 191). Les véritables chrétiens n’ont jamais vénéré la croix et ne l’ont jamais considérée comme un symbole du véritable christianisme.

De nombreuses personnes prétendent que l’adoption de la croix par les Églises est due au fait que le Christ est mort sur une croix. C’est là ce qu’affirment les Églises, mais ce n’est pas vrai. Avouant son incertitude quant à la mort du Christ sur une croix, le journal paroissial de l’Église d’État évangélique luthérienne du Schleswig-Holstein, L’Église du pays (all.), publia la remarque suivante dans son édition du 2 août 1951 : “Aujourd’hui, il n’est guère possible de déterminer si la croix sur le Golgotha avait une traverse, si elle n’était qu’un simple poteau, ou si elle était en forme de T, c’est-à-dire si elle avait une branche transversale placée au sommet du poteau vertical.”

Le fait que le mot “croix” apparaisse dans de nombreuses versions françaises de la Bible ne prouve pas que l’instrument de la mort du Christ ait eu la forme que les Églises lui attribuent. Le mot “croix” désigne un certain nombre de formes différentes. Il y a le simple poteau vertical, appelé en latin crux simplex, la crux commissa, en forme de “T”, la crux decussata, en forme de “X”, et la crux immissa, qui ressemblait à une lettre “T” dont on aurait abaissé la branche transversale. Ainsi donc, quand, dans les versions de la Bible faites par les Églises, vous rencontrez le mot français “croix”, comment reconnaîtrez-vous laquelle des formes se rapporte à l’instrument de torture de Jésus ?

Le mot grec que les Églises ont traduit en français par “croix” est stauros, mais pour les rédacteurs de la Bible ce mot désignait, non pas la croix que les Églises présentent comme le symbole du christianisme, mais un simple poteau vertical. À la page 256 du premier tome de son livre intitulé Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.), W. E. Vine déclare : “Primitivement, stauros désigne un pieu ou poteau vertical. C’est à cette sorte de poteau qu’on clouait les malfaiteurs pour les faire mourir. Ce nom, ainsi que le verbe stauroô, qui signifie attacher à un poteau ou à un pieu, étaient à l’origine différents de la croix à deux bras, adoptée par le clergé. La forme de cette dernière a son origine dans l’antique Chaldée et elle était employée comme symbole du dieu Tammouz.”

Il convient de noter, d’autre part, ce que dit The Companion Bible, ouvrage publié par la presse de l’université d’Oxford. Dans l’appendice, à la page 186, nous lisons : “Homère emploie le mot stauros pour désigner un simple pieu, poteau ou poutre de bois, et c’est ainsi que ce mot est employé dans tous les classiques grecs. Il ne désigne jamais deux pièces de bois placées en travers pour former un angle, quel qu’il soit, mais toujours une seule pièce de bois. D’où l’emploi du mot xulon (qui signifie poutre) en rapport avec la mort du Seigneur, mot rendu par arbre [dans les traductions anglaises] dans Actes 5:30 ; 10:39 ; 13:29 ; Gal. 3:13 ; 1 Pierre 2:24. (...) Dans le NT grec, il n’y a rien qui laisse même sous-entendre qu’il y aurait eu deux pièces de bois (...). Il y a donc des preuves complètes établissant que le Seigneur fut mis à mort sur un poteau vertical, et non sur deux pièces de bois formant un angle quelconque.”

La croix adoptée par les Églises de la chrétienté n’a aucun rapport, si lointain soit-il, avec le christianisme. C’est au contraire un symbole sacré appartenant aux religions païennes de l’Antiquité, religions que le Dieu de vérité avait en abomination et contre lesquelles il mit en garde la nation d’Israël (Deut. 7:16, 25, 26). Il est reconnu que c’était un symbole de la religion de l’Égypte antique.

La croix égyptienne, connue sous le nom de crux ansata, était surmontée d’un cercle. Cette combinaison représentait les organes de reproduction mâle et femelle. À propos du cercle, symbole féminin qui apparaît sur cette croix et qui est désigné par le mot hindou yoni, le livre Le sexe et le culte du sexe (angl.) de O. A. Wall, déclare à la page 359 : “La crux ansata (croix ansée) était utilisée partout dans le monde depuis l’Inde, l’Assyrie, Babylone, l’Égypte, jusqu’à la Suède et au Danemark (l’ancienne Runique), et dans le continent occidental (...). C’est l’ankh des Égyptiens, le symbole de la vie, parce qu’elle représente le yoni féminin associé à la croix en tau masculin.”

Étant donnés ces faits, si votre Église est surmontée d’une croix et qu’elle utilise ce symbole dans ses offices religieux, cela prouve que le culte qu’on y pratique est païen. Comment un culte paganisé peut-il obtenir l’approbation du vrai Dieu ? Il est indispensable que vous vous sépariez de toutes ces formes de culte babylonien et que vous vous joigniez à ceux qui adorent le Créateur en vérité. — Rév. 18:4.

 

https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1968084#h=2

Oui et alors ?

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  • 2 semaines après...
Membre, 57ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 57ans‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 11:15, azed1967 a dit :

La croix est d’origine païenne

 

 

LA CROIX que vous voyez sur le clocher de l’église de votre quartier, au-dessus de l’autel ou suspendue au cou de nombre de vos semblables est, en réalité, un symbole d’origine païenne. Ce symbole était vénéré dans tout le monde païen bien avant l’avènement du christianisme. Ce fait est reconnu par maintes autorités en matière de religion et d’histoire, comme nous allons le voir.

.... Blabla... blalbla...

 

https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1968084#h=2

Encore un islamiste qui cherche à convertir les chrétiens !

C'est vrai que les islamistes fondamentalistes recrutent beaucoup.... C'est qu'il en faut de la "main-d'oeuvre" pour accomplir tous ces attentats terroristes à travers le monde.

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 125 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

il ne faut pas être grand clerc pour tracer un signe de croix. Ce signe est enseigné aux jeunes enfants dès la maternelle avec le point,le  bâton, le cercle, le triangle, l'étoile , le carré c'est tout à fait normal que nos ancêtres aient su le faire, eux aussi.

Je  le vois plutôt come un symbole d'appartenance religieuse que comme objet de vénération.

Et aussi plutôt comme le signe de la fin inéluctable et de la commémoration  de la fin d'une vie.Et encore comme une sorte de rappel:tu peux t'éclater dans la vie (ou pas) mais la fin est toujours douloureuse!

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 11:15, azed1967 a dit :

La croix est d’origine païenne

 

 

LA CROIX que vous voyez sur le clocher de l’église de votre quartier, au-dessus de l’autel ou suspendue au cou de nombre de vos semblables est, en réalité, un symbole d’origine païenne. Ce symbole était vénéré dans tout le monde païen bien avant l’avènement du christianisme. Ce fait est reconnu par maintes autorités en matière de religion et d’histoire, comme nous allons le voir.

L’Encyclopédie catholique (angl., 1908, tome IV, page 517) déclare : “Le signe de la croix, dont la forme la plus simple est la rencontre de deux lignes se croisant à angles droits, précède de loin, tant en Orient qu’en Occident, la naissance du christianisme. La croix remonte à une époque très reculée de la civilisation humaine.” Dans son ouvrage L’Église primitive (angl.), à la page 316, l’ecclésiastique W. D. Killen est de cet avis quand il dit : “Dès la plus haute antiquité, la croix fut vénérée en Égypte et en Syrie ; les bouddhistes de l’Orient l’honoraient tout autant ; et, ce qui est encore plus extraordinaire, les Espagnols qui débarquèrent pour la première fois en Amérique découvrirent que cet emblème figurait parmi les objets de culte dans les temples dédiés aux idoles à Anahuac. Il convient aussi de noter que vers le début de notre ère, les païens avaient coutume de faire le signe de la croix au front lors de la célébration de certains de leurs mystères sacrés.”

Si vous appartenez à l’une des Églises de la chrétienté, vous a-t-on jamais appris que la croix est un symbole païen ? Si votre Église s’est abstenue de le faire, alors elle vous a caché la vérité. Elle vous a encouragé à vénérer un symbole qui, de l’aveu de tous, est païen. “Mais, direz-vous, les premiers chrétiens ne considéraient-ils pas la croix comme un symbole du christianisme ?” Certainement pas. Ce ne fut pas avant le milieu du troisième siècle de notre ère que les soi-disant chrétiens l’employèrent comme tel. À la page 256 du premier tome du Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.) de W. E. Vine, on peut lire : “Vers le milieu du IIIsiècle, les Églises s’étaient soit écartées de certaines doctrines de la foi chrétienne, ou bien les avaient travesties. Pour accroître le prestige du système ecclésiastique apostat, les Églises admettaient en leur sein les païens sans qu’ils fussent régénérés par la foi, et leur permettaient de conserver, en grande partie, leurs signes et symboles païens. D’où le Tau ou T, dans sa forme la plus répandue, avec la barre transversale abaissée qui fut adopté pour représenter la croix du Christ.”

Au début du troisième siècle, Minucius Felix, écrivant aux païens dans Octavius, leur fit connaître l’attitude que les chrétiens adoptaient en ce temps-là vis-à-vis de la croix. Il dit : “Quant à la question des croix : nous ne les adorons, ni ne les désirons. Mais peut-être que vous qui consacrez des dieux de bois, vous adorez les croix de bois comme des parties de vos dieux (...). Les trophées que vous élevez quand vous êtes victorieux représentent non seulement une simple croix, mais même un homme fixé à cette croix.” (The Ante Nicene Fathers, tome XIV, p. 191). Les véritables chrétiens n’ont jamais vénéré la croix et ne l’ont jamais considérée comme un symbole du véritable christianisme.

De nombreuses personnes prétendent que l’adoption de la croix par les Églises est due au fait que le Christ est mort sur une croix. C’est là ce qu’affirment les Églises, mais ce n’est pas vrai. Avouant son incertitude quant à la mort du Christ sur une croix, le journal paroissial de l’Église d’État évangélique luthérienne du Schleswig-Holstein, L’Église du pays (all.), publia la remarque suivante dans son édition du 2 août 1951 : “Aujourd’hui, il n’est guère possible de déterminer si la croix sur le Golgotha avait une traverse, si elle n’était qu’un simple poteau, ou si elle était en forme de T, c’est-à-dire si elle avait une branche transversale placée au sommet du poteau vertical.”

Le fait que le mot “croix” apparaisse dans de nombreuses versions françaises de la Bible ne prouve pas que l’instrument de la mort du Christ ait eu la forme que les Églises lui attribuent. Le mot “croix” désigne un certain nombre de formes différentes. Il y a le simple poteau vertical, appelé en latin crux simplex, la crux commissa, en forme de “T”, la crux decussata, en forme de “X”, et la crux immissa, qui ressemblait à une lettre “T” dont on aurait abaissé la branche transversale. Ainsi donc, quand, dans les versions de la Bible faites par les Églises, vous rencontrez le mot français “croix”, comment reconnaîtrez-vous laquelle des formes se rapporte à l’instrument de torture de Jésus ?

Le mot grec que les Églises ont traduit en français par “croix” est stauros, mais pour les rédacteurs de la Bible ce mot désignait, non pas la croix que les Églises présentent comme le symbole du christianisme, mais un simple poteau vertical. À la page 256 du premier tome de son livre intitulé Dictionnaire interprétatif des mots du Nouveau Testament (angl.), W. E. Vine déclare : “Primitivement, stauros désigne un pieu ou poteau vertical. C’est à cette sorte de poteau qu’on clouait les malfaiteurs pour les faire mourir. Ce nom, ainsi que le verbe stauroô, qui signifie attacher à un poteau ou à un pieu, étaient à l’origine différents de la croix à deux bras, adoptée par le clergé. La forme de cette dernière a son origine dans l’antique Chaldée et elle était employée comme symbole du dieu Tammouz.”

Il convient de noter, d’autre part, ce que dit The Companion Bible, ouvrage publié par la presse de l’université d’Oxford. Dans l’appendice, à la page 186, nous lisons : “Homère emploie le mot stauros pour désigner un simple pieu, poteau ou poutre de bois, et c’est ainsi que ce mot est employé dans tous les classiques grecs. Il ne désigne jamais deux pièces de bois placées en travers pour former un angle, quel qu’il soit, mais toujours une seule pièce de bois. D’où l’emploi du mot xulon (qui signifie poutre) en rapport avec la mort du Seigneur, mot rendu par arbre [dans les traductions anglaises] dans Actes 5:30 ; 10:39 ; 13:29 ; Gal. 3:13 ; 1 Pierre 2:24. (...) Dans le NT grec, il n’y a rien qui laisse même sous-entendre qu’il y aurait eu deux pièces de bois (...). Il y a donc des preuves complètes établissant que le Seigneur fut mis à mort sur un poteau vertical, et non sur deux pièces de bois formant un angle quelconque.”

La croix adoptée par les Églises de la chrétienté n’a aucun rapport, si lointain soit-il, avec le christianisme. C’est au contraire un symbole sacré appartenant aux religions païennes de l’Antiquité, religions que le Dieu de vérité avait en abomination et contre lesquelles il mit en garde la nation d’Israël (Deut. 7:16, 25, 26). Il est reconnu que c’était un symbole de la religion de l’Égypte antique.

La croix égyptienne, connue sous le nom de crux ansata, était surmontée d’un cercle. Cette combinaison représentait les organes de reproduction mâle et femelle. À propos du cercle, symbole féminin qui apparaît sur cette croix et qui est désigné par le mot hindou yoni, le livre Le sexe et le culte du sexe (angl.) de O. A. Wall, déclare à la page 359 : “La crux ansata (croix ansée) était utilisée partout dans le monde depuis l’Inde, l’Assyrie, Babylone, l’Égypte, jusqu’à la Suède et au Danemark (l’ancienne Runique), et dans le continent occidental (...). C’est l’ankh des Égyptiens, le symbole de la vie, parce qu’elle représente le yoni féminin associé à la croix en tau masculin.”

Étant donnés ces faits, si votre Église est surmontée d’une croix et qu’elle utilise ce symbole dans ses offices religieux, cela prouve que le culte qu’on y pratique est païen. Comment un culte paganisé peut-il obtenir l’approbation du vrai Dieu ? Il est indispensable que vous vous sépariez de toutes ces formes de culte babylonien et que vous vous joigniez à ceux qui adorent le Créateur en vérité. — Rév. 18:4. 

 

https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/1968084#h=2

L'ensemble des outils font un instrument vérité, et l'ensemble des armes font l'instrument de torture comme la croix. (Idiome instrumental avertisseur)

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)

La croix objet de torture existait bien avant l'arrivée du Christ, de plus il existe des tas de croix différentes qui n'ont aucun rapport avec le christianisme et nombre de gens portent une croix parce que de bijou et non pas comme preuve d'attachement à une croyance.

Enfin, choisir comme emblème la croix (objet de torture) en dit long sur la mentalité pitoyable du christianisme....

 

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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Bah, inventée pour tirer les gens à 4 épingles....

Que du bonheur. :D

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  • 1 an après...
Membre, 25ans Posté(e)
Aurélien79 Membre 35 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
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Le 31/05/2018 à 14:23, cheuwing a dit :

Pas du tout, suffit de voir la sentence infligée aux esclaves sous la revolte de spartacus

Grave mdr, et quand on y pense, il y a surement eu plus que ça.

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Membre, 25ans Posté(e)
Aurélien79 Membre 35 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)
Le 31/05/2018 à 13:57, Lugy Lug a dit :

 

 pour crabe fantôme, il me semble que des études scientifique on démontré que la crucifiction chez les romains était un mythe.

Est-ce que tu penses que à la guerre il y a des tortures ? 

Maintenant, est-ce que tu penses que les romains ont fait des crucifiction ? 

Tu as ce que tu penses. 

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