Le BREXIT a gagné

donc on est d'accord que la BCE n' a aucun rapport avec l'Angleterre et donc que cet argument de la part des pro-brexit était aussi un mensonge

Merci de valider mon argumentaire :smile2:

Quoi Portugal et Espagne?

http://www.la-croix.com/Economie/Monde/Budget-pourquoi-Bruxelles-veut-sanctionner-l-Espagne-et-le-Portugal-2016-07-12-1200775338

http://www.la-croix....7-12-1200775338

Oui, mais ces pays pourraient aussi faire du chantage à une sortie de l'euro, les sanctions risques d'être négligeables, et plus pour la forme, c'est encore la France et l' Allemagne qui paieront les pots cassés, ces deux pays ont touchés énormément d'aides...

http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/la-grande-bretagne-et-l-ue/l-ancien-maire-de-londres-et-leader-de-la-campagne-anti-ue-boris-johnson-est-nomme-ministre-des-affaires-etrangeres-britanniques_1545469.html

C'est parti.

Le Royaume uni renoncé à la présidence tournante de l'Europe en 2017.

http://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2016/07/20/le-royaume-uni-renonce-a-la-presidence-tournante-du-conseil-de-l-ue-en-2017_4972174_4872498.html

Bin, la question n'aurait même pas dû se poser.

Il vont échapper à la directive idiote de Bruxelles, reprise par une dinde, sur le tabac!

Déjà un bon point .La liberté ça coute cher.

Il vont échapper à la directive idiote de Bruxelles, reprise par une dinde, sur le tabac!

Les lois anti-tabac ont été voté par le parlement anglais.

La Grande Bretagne est d'ailleurs l'un des pays européen ayant la législation la plus dure (et les clopes les plus chères).

La sortie de l'Europe ne changera donc rien pour les fumeurs.

Les lois anti-tabac ont été voté par le parlement anglais.

La Grande Bretagne est d'ailleurs l'un des pays européen ayant la législation la plus dure (et les clopes les plus chères).

La sortie de l'Europe ne changera donc rien pour les fumeurs.

Pour la suite on verra.....

61% ont voté contre, donc, au final, à peine 19% des inscrits, qui plus est dans un état (les Pays Bas) qui est quand même loin d'être le plus peuplé d'Europe.

On peut donc assez légitimement trouver anormal (voir antidémocratique?) qu'un si petit nombre de gens puissent bloquer une décision concernant toute l'Europe ?

Pas mal de monde pense la même chose de la commission européenne. Je pense que si on faisait un sondage ça pourrait dépasser les 19%.

Je n'ai pas pu m'empêcher de rire...

http://www.thedailymash.co.uk/news/society/52-per-cent-of-britons-dont-believe-in-moon-landings-and-that-number-sounds-familiar-say-experts-20160720111106

52 per cent of Britons don’t believe in moon landings and that number sounds familiar, say experts

Sévère repli de l'économie britannique en juillet ( comparable à la crise des subprimes )

http://mobile.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2016/07/22/brexit-l-economie-britannique-s-effondre-en-juillet_4973471_4872498.html?xtref=https://www.google.fr/

ça se répercute même sur l'économie mondiale !!!

le Brexit "renforce les incertitudes" pour l'économie mondiale

http://www.boursorama.com/actualites/g20-le-brexit-renforce-les-incertitudes-pour-l-economie-mondiale-897ccaddc919a3970c1da1323175ba67

En quittant la bureaucratie bruxelloise, le Royaume-Uni s'affranchit, outre de sa contribution budgétaire, des innombrables contraintes juridiques de traités touffus et de règlements en croissance exponentielle, recouvrant sa pleine capacité d'édicter les normes qui lui conviennent.

Au demeurant, la fin de la bureaucratie bruxelloise et de la recomposition géostratégique n'a pas attendu le vote formel. A moins de subodorer une immense candeur des dirigeants économiques allemands, le projet de fusion du London Stock Exchange et de la Deutsche Borse a émergé dans un contexte de préparation du retrait britannique et se voit confirmer après la proclamation du Brexit.

http://www.iris-fran...urne-le-brexit/

notamment induit par la stupide politique de la BCE et l'impossibilité qui leur faite de concourir à la guerre des monnaies, vieille arme de relance de l'activité.

Pendant donc que des "analystes" chougnent sur le vote anglais et parlent avec des trémolos de la nécessité de "refonder l'Europe", de ""renforcer le soit-disant "couple franco-allemand" qui compte un sacré cocu depuis plusieurs décennies, les bourses de Londres et de Francfort sont en train de fusionner.

Le projet de fusion du London Stock Exchange et de la Deutsche Borse a du plomb dans l'aile depuis le Brexit et j'ai bien peur qu'il ne se fera jamais.

Sur le sujet de la BCE et de la guerre des monnaies, je vous invite à consulter l'historique des changes avec le dollar

Concernant les libertés du RU d'inventer ses règles, comment veut-il commercer avec l'UE en s'affranchissant de ses normes et règlements ? En nous imposant les siennes ?

Jusqu'à preuve du contraire, dans cette affaire il y a 2 cocus qui se valent : l'UE et le RU.

Theresa May en Pologne pour parler Brexit et immigrants polonais

La Première ministre britannique Theresa May se rendra jeudi en Pologne pour y parler notamment de la situation des immigrés polonais au Royaume-Uni dont le sort une fois que le Brexit sera intervenu préoccupe le gouvernement de Varsovie.

Selon un communiqué laconique du service de presse de la Première ministre polonaise Beata Szydlo, un entretien entre les deux chefs de gouvernement est prévu dans le cadre de cette visite. Aucune précision sur le lieu et l'heure de la rencontre n'a été fournie.

La communauté polonaise, forte de quelque 790.000 membres, forme le plus gros contingent des trois millions de citoyens de l'Union européenne installés au Royaume-Uni où le polonais est même la langue la plus parlée après l'anglais.

Après plusieurs mois d'une campagne agressive pour le référendum dans laquelle la limitation de l'immigration des travailleurs européens a joué un rôle central, les Polonais ont été victimes de nombreux incidents xénophobes visant leur communauté, des dérapages que les autorités britanniques ont condamnés sans réserve.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/07/26/97001-20160726FILWWW00196-brexit-theresa-may-se-rendra-jeudi-en-pologne.php

Autre son de cloche ....

Forte croissance au Royaume-Uni avant le Brexit

Le PIB britannique a progressé plus fortement que prévu au deuxième trimestre, avant le référendum.

La majorité des économistes s'attendaient à un trou d'air. Mais les trois mois avant le référendum du 23 juin sur le Brexit ont en réalité connu une forte activité économique au Royaume-Uni, en dépit des incertitudes.

Le PIB a progressé de 0,6% sur la période, selon la première estimation publiée mercredi, soit deux fois plus que certaines prévisions. C'est une accélération par rapport au premier trimestre (0,4%).

En rythme annuel, la croissance britannique s'établit à 2,2%, faisant mentir les prévisions alarmistes, notamment du FMI.

Selon le chef économiste de l'Office for National Statistics, Joe Grice, «les incertitudes à l'approche du référendum semblent avoir eu un effet limité».

Le nouveau chancelier de l'Echiquier, Philip Hammond, se félicite de cette bonne performance, dont il est lui-même surpris alors qu'il estimait il y a quinze jours que l'économie avait «subi un choc».

«Il est clair que nous entamons nos négociations pour quitter l'UE dans une position de force économique», peut-il désormais se rassurer.

La production industrielle a bondi de 2,1% au deuxième trimestre, son plus fort niveau depuis 1999.

«Détérioration spectaculaire en juillet»

La semaine dernière, l'indice PMI de l'enquête Markit auprès des directeurs d'achat annonçait «une détérioration spectaculaire de l'activité en juillet». Des annulations de commandes et reports de projets étaient majoritairement imputés au Brexit. Une étude de l'organisme patronal CBI publié cette semaine évoque un «nuage d'incertitude» flottant au-dessus des embauches et décisions d'investissements.

Contredisant cet attentisme, le géant pharmaceutique GSK a annoncé mercredi un investissement de 275 millions de livres (330 millions d'euros) pour renforcer sa production de médicaments sur deux sites au Royaume-Uni, au nord-est de l'Angleterre et en Ecosse.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/07/27/20002-20160727ARTFIG00161-forte-croissance-au-royaume-uni-avant-le-brexit.php

O n y est le Royaume Uni explose Kate demande la nationalité française..

http://www.lemainelibre.fr/actualite/sarthe-brexit-kate-et-sa-famille-vont-demander-la-nationalite-francaise-31-07-2016-167334

:smile2:

On entend plus parler de l'Angleterre, sans doute aura-t- elle explosée, ou implosée comme prévue par nos experts médiums!

C'est triste, moi j'aimais bien!

La Banque d'Angleterre (BoE) a estimé jeudi que le Royaume-Uni devrait éviter de tomber en récession dans les deux ans à venir, tout en abaissant nettement ses prévisions de croissance pour le pays qui se dirige vers une sortie de l'Union européenne. Elle a abaissé ce jeudi d’un quart de point son principal taux directeur à 0,25%, son plus bas niveau historique. C’est la première fois qu’elle actionne le levier de la politique monétaire depuis 2009.

La BoE prévoit dans son dernier rapport de politique monétaire une "croissance nettement plus faible à court et moyen terme", après la décision prise par les Britanniques de quitter l'UE lors du référendum du 23 juin.

Pour 2017, l'institut table sur un ralentissement de la croissance à 0,8% du produit intérieur brut (PIB) contre 2,3% dans ses dernières prévisions publiées en mai. Pour 2018, la croissance du pays serait de 1,8%, contre 2,3% également dans les prévisions antérieures.

En revanche, la progression de l'économie britannique devrait se maintenir à 2,0% cette année, comme prévu en mai, selon la BoE.

Avec ces prévisions, l'institut d'émission écarte de facto le scénario d'une plongée du pays en récession, évoquée par de nombreux économistes depuis le référendum.

"Il s'agit d'une hypothèse centrale, le résultat le plus probable que nous attendons", a expliqué le gouverneur de la banque d'Angleterre, Mark Carney, lors d'une conférence de presse, en commentant les prévisions de la BoE.

“Ces mesures pourront être renforcées. Le Comité de politique monétaire, peut encore abaisser les taux, augmenter le régime de refinancement bancaire, et élargir le programme de rachat d’actifs”, a poursuivi le gouverneur de l’institution monétaire brintannique.

Si la baisse des taux était attendue par les économistes, l’augmentation du programme d’assouplissement quantitatif l‘était moins. La BoE a en effet annoncé le rachat supplémentaire de 60 milliards de livres d’obligations d‘État et 10 milliards de livres d’obligations d’entreprises.

La croissance dans la zone euro aussi est revue à la baisse .

L'Irlande doit réclamer Belfast et le reste de l'île