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La masturbation masculine : une destruction d'enfants à naître ?

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Kyoshiro02

Est-ce que la masturbation masculine est un génocide ?  

28 membres ont voté

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 474 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Tequila Moor a dit :

Vu que c’est le seul or que notre fière nation possède à profusion, il serait certes grand temps. Sinon comment amorcer ce réarmement démographique que notre président bien-aimé appelle de ses virils vœux, hmmm ?

Non nous avons un deuxième or blanc que notre fière nation possède également à profusion, mais qui pour révéler son plein potentiel nécessite que nous sachions mieux exploiter ces pertes productives qui font tant défaut pour augmenter massivement les retraites 

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 5 985 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 20 heures, Neopilina a dit :

Le spermatozoïde et l'ovule, c'est chacun 50 % du génome de l'enfant. Donc, la branlette est un demi-génocide.  :sleep:

Je tiens à remercier Kaliste pour sa réaction ! Parce que, un demi-génocide, c'est comme la demi-tasse de thé proposée à Alice par le Lièvre de Mars et le Chapelier Toqué : une demi-tasse de thé, dans le sens de la hauteur !

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 64 184 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

L’altruisme de cet acte est également confirmé par le fait qu’une grande partie de nos donneurs de sperme sont également des donneurs de sang, pour lesquels aucune indemnisation ni rémunération n’est accordée. En d’autres termes, ces hommes sont animés par le désir d’aider les autres. 
=====

En France aussi les débours peuvent être indemnisés.

A noter Copenhague indemnise moins bien que Zurich

https://fr.statista.com/statistiques/953645/don-de-sperme-remuneration-par-ville-europe/

=====
En France la production disponible chute , peut-être faut-il revoir la procédure de collecte et proposer un choc de simplification pour ne plus perdre notre or blanc ?

Casse tête pour la généalogie et la consanguinité...:hum:

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Invité Ptitissus
Invités, Posté(e)
Invité Ptitissus
Invité Ptitissus Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Morfou a dit :

Casse tête pour la généalogie et la consanguinité...:hum:

Speed dans les airs ,mieux respirer

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 64 184 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Doïna a dit :

Il faut savoir que contrairement à bien d'autres espèces, les femmes sont constamment réceptives, elles n'ont pas de périodes de chaleur très marquées comme par exemple chez les chattes et les juments qui n'agréent la saillie que lors de l'ovulation. Et pourtant les femmes ne sont fécondes que pendant l'ovulation elles aussi, ce qui fait que même si leur partenaire leur fait l'amour quotidiennement, ce n'est que pendant la très courte ovulation qu'un spermatozoïde aura l'occasion de féconder un ovule. Imaginez ce que cela peut représenter de destruction de spermatozoïdes. Hors l'humain est ainsi fait : c'est justement parce que les femmes sont constamment réceptives que les couples peuvent se former durablement, ce qui est nécessaires à la société humaine, l'humain étant à la base un animal grégaire et sociable, et les mères humaines ayant besoin de l'aide de leurs semblables durant leur maternité. Pourquoi ? Parce que sa position debout rend son accouchement particulièrement pénible, parce qu'elle s'en remet plus difficilement que chez d'autres espèces, parce que son bébé ne peut marcher ni se débrouiller tout de suite tout seul. Enfin bref, il y a tout un tas de facteurs qui font que ça se passe comme ça chez nous, les humains. Du coup, les spermatozoïdes, la nature les a prévus pour être sacrifiés en dehors d'un champion de temps en temps.

Z'ont pas (tous?) besoin de femelles pour être en rut...

Il y a 4 heures, chanou 34 a dit :

Euh... je sais pas au danemark mais en france, pas plus de 10 grossesses avec le même donneur. C'est la limite légale.
 

J'espère qu'il y a un contrôle sur qui donne à qui pour la suite...

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Membre, Posté(e)
kakome Membre 1 720 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)
Le 26/01/2025 à 14:49, Kyoshiro02 a dit :

Le débat autour du potentiel de vie humaine est souvent au cœur des discussions éthiques sur l'IVG, où certains considèrent l'embryon comme un "enfant à naître". Si l'on applique cette logique à la masturbation masculine, qui entraîne la perte de millions de spermatozoïdes, pourrait-on alors considérer cet acte comme une destruction d’enfants potentiels ?

Ce sujet propose de réfléchir à la cohérence des arguments sur le "potentiel de vie" dans différents contextes biologiques et philosophiques.


---

1. Le spermatozoïde : un enfant en devenir ?

Certains opposants à l'IVG affirment que dès la conception (la rencontre entre un spermatozoïde et un ovule), un enfant à naître existe, car tout le potentiel génétique est réuni. Si l'on pousse cette réflexion en amont, chaque spermatozoïde représente alors une moitié de ce potentiel.

Cependant, un spermatozoïde seul ne peut donner la vie sans ovule. Peut-on alors parler de "potentiel de vie" au même titre que pour un embryon ou un fœtus ? Ou est-ce une comparaison abusive ?

Le Coran, par exemple, souligne la grandeur du processus créateur dès le tout début de la vie :

> "N’avons-Nous pas créé l’homme d’une goutte de sperme mélangée ?" (Sourate 76, Verset 2)



Cela montre l’importance accordée au début de la vie, mais sans pour autant sacraliser chaque spermatozoïde.


---

2. Comparaison avec l'IVG : cohérence des arguments

Les opposants à l'IVG justifient souvent leur position par la sacralité de la vie dès la conception. Si cette logique s'étend à tout ce qui porte en lui un potentiel de vie humaine, la masturbation masculine pourrait alors être perçue comme une forme d’irresponsabilité face à la perte de "potentiels enfants".

Cependant, d’un point de vue scientifique, des milliards de spermatozoïdes sont naturellement détruits par le corps masculin tout au long de la vie. Devrait-on alors moraliser un processus naturel ?


---

3. Perspectives biologiques et éthiques : où tracer la ligne ?

Position 1 : La masturbation comme perte morale
Dans cette vision, chaque spermatozoïde pourrait être considéré comme une "chance de vie" gaspillée. Certains courants religieux ou philosophiques affirment que toute perte volontaire de ce potentiel, hors du cadre de la procréation, est moralement répréhensible.


Par exemple, dans la Bible, le récit d’Onan (Genèse 38:9-10) a été interprété comme une condamnation de l’émission volontaire de sperme sans but reproductif :

> "Il détruisait sa semence en terre pour ne pas donner une descendance."



Position 2 : Une interprétation biologique et rationnelle
D’un point de vue scientifique, les spermatozoïdes sont des cellules, et leur production massive et naturelle répond à une logique biologique, pas éthique. Tous les spermatozoïdes ne sont pas destinés à donner la vie, tout comme les ovules non fécondés.


Cela peut être mis en perspective avec l’idée que la sacralité de la vie commence réellement après la fécondation et non avant.


---

4. Questions pour nourrir le débat

1. Si l'on considère l'embryon comme un enfant à naître, peut-on alors appliquer cette logique au spermatozoïde comme "enfant potentiel" ?


2. Où commence la vie selon les définitions biologiques, religieuses et philosophiques ?


3. Une comparaison entre la masturbation et l’IVG est-elle cohérente ou relève-t-elle d’une mauvaise interprétation des notions de vie et de potentiel ?

Ne sachant de quel côté tu penches , et bien qu' '' eugéniste '' je te conseille une masturbation pour la raison suivante : si tu t'abstiens trop souvent d'éjaculer , même dans un préservatif , durant trop d'années tu augmentes d'environ 20 % d'avoir un cancer de la prostate , voire des testicules .

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 5 985 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, kakome a dit :

Ne sachant de quel côté tu penches , et bien qu' '' eugéniste '' je te conseille une masturbation pour la raison suivante : si tu t'abstiens trop souvent d'éjaculer , même dans un préservatif , durant trop d'années tu augmentes d'environ 20 % d'avoir un cancer de la prostate , voire des testicules .

Sinon, il y a des garçons qui ne sont pas trop portés sur le tirage d'élastique. Et donc, c'est bien connu, ça donne lieu à des " pollutions nocturnes ", la vidange se fait pendant le sommeil. Désolé  !!! 

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Membre, 70ans Posté(e)
expendable Membre 634 messages
Forumeur forcené ‚ 70ans‚
Posté(e)

Je crois surtout qu'il faut pour l'auteur du sujet cesser d'opposer masturbation et procréation :  les jeux sexuels de toutes sortes  en solo ou à deux, ne sont en aucun cas antinomiques avec  la volonté de faire des enfants !!  Et c'est une idiotie crasse de vouloir peu ou prou considérer  cette 'pratique'  comme pouvant être assimilé à une  IVG   ??!!  

  :mur:

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  • 10 mois après...
Membre, 150ans Posté(e)
Forumeur Débutant‚ 150ans‚
Posté(e)

Pour être clair d’emblée, la religion n’a rien à voir ici. Ce qui suit n’est pas un discours moral ou religieux, mais une démonstration de ce qu’est réellement l’humain.

L'idée de la séparation du statut biologique et du statut moral et juridique est en soi séduisante. En effet, en philosophie l'homme est bien défini comme un animal rationnel, et non par son seul ADN humain. Il paraît donc cohérent de séparer ces deux choses. Il devient ensuite facile de définir que les droits humains viennent avec le statut moral et non avec le statut biologique. Pourtant, une subtilité critique rend ce jugement erroné. Prenons un homme qui a une grave pathologie mentale, ce qui le rend inapte au jugement, il n'est donc plus responsable de ses actes. Cet homme, appelé communément fou n'est juridiquement pas responsable s'il commet un meurtre. Cet homme fou a perdu ce qui le différencie de l'animal, sa rationalité et ainsi sa capacité de jugement. Philosophiquement, il peut être considéré comme un animal, mais peu nombreux sont ceux qui le considèrent comme tel. Pourquoi ?

Pour mieux le comprendre, voici une analogie : Une machine à café se définit par sa capacité à faire du café. Lorsqu'on l'achète neuve, elle n'a jamais (on l'espère) fait de café. Elle n'a donc jamais exercé l'action qui lui permet de s'identifier comme telle. Pourtant, tout un chacun reconnaitra en elle une machine à café. Et cela pour une raison bien précise. Cette machine à café dispose de tous les éléments pour faire du café. En l'état, si on lui apporte de l'énergie, et du café (en grains de préférence), elle pourra nous faire un café. Elle ne l'avait pourtant jamais démontré par l'accomplissement de sa définition.

Notons quelque chose d'essentiel. La machine à café ne peut faire du café que si elle est alimentée en électricité et en grains. Ces éléments sont nécessaires à son fonctionnement, mais pas à son être. La machine EST une machine à café parce qu'elle possède intrinsèquement le principe organisateur — la structure spécifiquement ordonnée vers la production de café. On peut déduire ce que va produire la machine à café en observant les composants qui la constituent et comment ils sont agencés. On peut donc déduire par là ce qu'est cette machine, par la présence des éléments qui lui permettront d'accomplir sa définition. L'électricité et les grains sont des conditions instrumentales : ils fournissent l'énergie et la matière, mais ne contiennent pas le programme qui détermine qu'il s'agira de café plutôt que de thé, ni comment ce café sera fait. Ce programme réside dans la machine elle-même, dans l'agencement de ses composants. Ainsi, la machine EST ce qu'elle est avant et indépendamment de son fonctionnement actuel, précisément parce qu'elle possède en propre le principe qui définit sa nature.

Cela amène un point très intéressant. Si l'on considère que l'être est l'organisation orientée vers la fonction qui définit l'être, alors une graine d'un chêne peut déjà être considérée comme étant le chêne. Cela pose un paradoxe : on ne peut condamner un homme qui a volé un sachet de graines de la même manière que l'on condamne un homme qui a volé une centaine de chênes. Il apparaît alors évident que tout ce qu'on a énoncé auparavant n'était que pure affabulation et discours sophistique. Pourtant, ici encore, une subtilité se cache. La valeur. La graine du chêne n'a pas la même valeur que le chêne, tout comme la jeune pousse n'a pas la valeur du chêne bicentenaire. La différence qui réside entre ces différentes formes est de nature financière. Et le Code Noir de 1685 étant aboli, on ne peut pas appliquer de valeur à un être humain. On ne peut pas définir que l'homme de 40 ans, qui travaille à plein temps mérite davantage de vivre que l'homme tétraplégique. Cela fait partie de notre humanité que de considérer cela.

La jeune pousse est un chêne, le chêne bicentenaire en est un, et la graine en est un. Lorsque l'on voit le chêne dans chacun de ces états, on peut dire : "ça, c'est une graine de chêne, ça, c'est une jeune pousse de chêne, ça, c'est un vieux chêne". Car dans chacun de ces états, l'objet observé est organisé pour devenir un chêne. Il est organisé pour utiliser les éléments extérieurs afin de se développer dans la forme qui le définit. Mais pourtant, on différencie bien la graine de l'arbre, ils sont donc différents. On sait bien que la graine devient un arbre à un moment précis, lorsque le germe sort. Mais c'est là justement toute la nuance. La graine est devenue un arbre, mais elle était déjà un chêne. Elle n'est pas devenue un chêne au moment où est sorti son germe. L'arbre est un des états du chêne, tout comme la graine est un état du chêne. Mais alors, lorsque le chêne est mort et qu'on en fait une planche ? Ce n'est plus un chêne car il n'est plus organisé de manière à accomplir sa définition. Mais c'est DU chêne. C'est un matériau. La branche qui est tombée est du chêne, pas un chêne, et la branche sur l'arbre encore verte est elle-même du chêne, et non un chêne.

De même, un être humain est humain parce qu’il possède intrinsèquement le principe organisateur de l’humanité, tout comme la machine à café possède en elle le programme qui déterminera qu’elle produira du café dès qu’on lui fournira énergie et grains. Le fœtus n’a peut-être pas encore manifesté les caractéristiques propres à l’humain — rationalité, conscience, interaction sociale — tout comme la machine à café n’a jamais fait de café. Mais ces éléments extérieurs ne déterminent pas ce que sont ces êtres : ils ne sont que des conditions instrumentales, nécessaires pour le développement ou l’exercice de ce qui est déjà contenu dans l’organisation interne de l’être.

La structure interne du fœtus, sa composition biologique et génétique, constitue le principe organisateur de ce qu’il est. Ce principe, tel que la machine contient le programme du café, suffit à déterminer sa nature humaine. Il n’a pas besoin d’exercer ses facultés pour être humain : il est déjà humain en vertu de ce que son organisation interne permet et ordonne.

Il est important de distinguer cette logique des cas où l’on possède des éléments biologiques issus de l’humain mais non organisés en un tout susceptible de développement autonome. Les spermatozoïdes, les ovules ou un cheveu contiennent certes du matériel génétique humain, mais ils ne possèdent pas le principe organisateur qui définit un être humain en développement. Un spermatozoïde isolé, ou un ovule, n’est pas structuré pour se développer en individu ; il ne contient pas en lui-même l’organisation nécessaire au déploiement d’un corps humain complet. De même qu’un grain de café ou un brin de bois n’est pas en soi une machine à café, ces éléments corporels ne sont pas des êtres humains : ils sont des composants matériels potentiellement utilisables dans la reproduction, mais ils ne sont pas un tout organisé vers l’accomplissement de la nature humaine.

La dépendance du fœtus à la mère, réelle et nécessaire pour sa survie et son développement, n’altère en rien le principe organisateur qui définit son humanité. Tout comme une machine à café a besoin d’électricité et de grains pour fonctionner, mais reste une machine à café même avant de produire un café, le fœtus a besoin des conditions fournies par la mère. Ces éléments externes ne constituent pas sa nature : ils ne sont que des conditions instrumentales permettant le déploiement d’un principe déjà en lui.

Ainsi, tout comme l’on reconnaît immédiatement une machine à café comme telle avant qu’elle ait fonctionné, on doit reconnaître que le fœtus est humain avant même d’exercer sa rationalité. Ce qui définit son humanité n’est pas l’accomplissement actuel de ses fonctions, mais l’organisation interne qui le rend capable de les accomplir : le principe même de son développement, de sa maturation, de son action future. Supprimer ou nier cette humanité en raison de l’absence d’exercice de ces fonctions ou de sa dépendance à la mère reviendrait à nier l’être lui-même, à confondre l’acte avec l’essence, la manifestation avec le principe.

En résumé, le fœtus, tout comme la machine à café, est pleinement ce qu’il est déjà, indépendamment des conditions extérieures, de sa dépendance ou des actes encore non réalisés. Sa nature humaine est contenue en lui dès le départ, et les conditions instrumentales — nutrition, oxygène, environnement maternel — ne font que permettre le déploiement d’une organisation déjà intrinsèquement orientée vers la réalisation des capacités caractéristiques de l’humain. L’humanité du fœtus ne dépend donc ni de la conscience, ni de la rationalité actuelle, ni de son autonomie : elle réside dans la structure interne qui ordonne son développement vers ces fonctions et qui le distingue ontologiquement de tout autre être ou objet.

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Membre, Posté(e)
garthriter Membre 6 906 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 1/28/2025 à 19:53, expendable a dit :

Je crois surtout qu'il faut pour l'auteur du sujet cesser d'opposer masturbation et procréation :  les jeux sexuels de toutes sortes  en solo ou à deux, ne sont en aucun cas antinomiques avec  la volonté de faire des enfants !!  Et c'est une idiotie crasse de vouloir peu ou prou considérer  cette 'pratique'  comme pouvant être assimilé à une  IVG   ??!!  

  :mur:

Un homme produit quelque chose comme 150 millions de spermatozoïdes par jour. Ca va, il n'y a pas pénurie.

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 720 messages
scientifique,
Posté(e)
Le 26/01/2025 à 14:49, Kyoshiro02 a dit :

Le débat autour du potentiel de vie humaine est souvent au cœur des discussions éthiques sur l'IVG, où certains considèrent l'embryon comme un "enfant à naître". Si l'on applique cette logique à la masturbation masculine, qui entraîne la perte de millions de spermatozoïdes, pourrait-on alors considérer cet acte comme une destruction d’enfants potentiels ?

Ce sujet propose de réfléchir à la cohérence des arguments sur le "potentiel de vie" dans différents contextes biologiques et philosophiques.


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1. Le spermatozoïde : un enfant en devenir ?

Certains opposants à l'IVG affirment que dès la conception (la rencontre entre un spermatozoïde et un ovule), un enfant à naître existe, car tout le potentiel génétique est réuni. Si l'on pousse cette réflexion en amont, chaque spermatozoïde représente alors une moitié de ce potentiel.

Cependant, un spermatozoïde seul ne peut donner la vie sans ovule. Peut-on alors parler de "potentiel de vie" au même titre que pour un embryon ou un fœtus ? Ou est-ce une comparaison abusive ?

Le Coran, par exemple, souligne la grandeur du processus créateur dès le tout début de la vie :

> "N’avons-Nous pas créé l’homme d’une goutte de sperme mélangée ?" (Sourate 76, Verset 2)



Cela montre l’importance accordée au début de la vie, mais sans pour autant sacraliser chaque spermatozoïde.


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2. Comparaison avec l'IVG : cohérence des arguments

Les opposants à l'IVG justifient souvent leur position par la sacralité de la vie dès la conception. Si cette logique s'étend à tout ce qui porte en lui un potentiel de vie humaine, la masturbation masculine pourrait alors être perçue comme une forme d’irresponsabilité face à la perte de "potentiels enfants".

Cependant, d’un point de vue scientifique, des milliards de spermatozoïdes sont naturellement détruits par le corps masculin tout au long de la vie. Devrait-on alors moraliser un processus naturel ?


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3. Perspectives biologiques et éthiques : où tracer la ligne ?

Position 1 : La masturbation comme perte morale
Dans cette vision, chaque spermatozoïde pourrait être considéré comme une "chance de vie" gaspillée. Certains courants religieux ou philosophiques affirment que toute perte volontaire de ce potentiel, hors du cadre de la procréation, est moralement répréhensible.


Par exemple, dans la Bible, le récit d’Onan (Genèse 38:9-10) a été interprété comme une condamnation de l’émission volontaire de sperme sans but reproductif :

> "Il détruisait sa semence en terre pour ne pas donner une descendance."



Position 2 : Une interprétation biologique et rationnelle
D’un point de vue scientifique, les spermatozoïdes sont des cellules, et leur production massive et naturelle répond à une logique biologique, pas éthique. Tous les spermatozoïdes ne sont pas destinés à donner la vie, tout comme les ovules non fécondés.


Cela peut être mis en perspective avec l’idée que la sacralité de la vie commence réellement après la fécondation et non avant.


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4. Questions pour nourrir le débat

1. Si l'on considère l'embryon comme un enfant à naître, peut-on alors appliquer cette logique au spermatozoïde comme "enfant potentiel" ?


2. Où commence la vie selon les définitions biologiques, religieuses et philosophiques ?


3. Une comparaison entre la masturbation et l’IVG est-elle cohérente ou relève-t-elle d’une mauvaise interprétation des notions de vie et de potentiel ?

un spermatozoïde n'est pas un enfant en devenir ! la biologie élémentaire est formelle !

La vie biologique d'un individu commence à la conception mais sa vie indépendante commence à la naissance.

l'éjaculation lors d'une  masturbation n'a rien d'un IVG

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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 23 434 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 56 minutes, Répy a dit :

un spermatozoïde n'est pas un enfant en devenir ! la biologie élémentaire est formelle !

La vie biologique d'un individu commence à la conception mais sa vie indépendante commence à la naissance.

l'éjaculation lors d'une  masturbation n'a rien d'un IVG

 

En effet, il faut qu'un spermatozoïde fusionne avec un ovule pour qu'il ait commencement de vie.

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Membre, 125ans Posté(e)
chanou 34 Membre 26 312 messages
Maitre des forums‚ 125ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, garthriter a dit :

Un homme produit quelque chose comme 150 millions de spermatozoïdes par jour. Ca va, il n'y a pas pénurie.

Euh...ce chiffre est en train de prendre une sacrée gifle d'après l'INSERM

https://www.inserm.fr/actualite/fertilite-masculine-y-a-t-il-peril-en-la-demeure/

 

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Membre, 55ans Posté(e)
kilitout Membre 2 645 messages
Mentor‚ 55ans‚
Posté(e)

EVIDEMMENT...NON!! Puisque aucun spermato ne peut fabriquer un enfant sans un ventre féminin

+ PAS un génocide mais un BIENFAIT un BONHEUR pour toutes les femmes qui ne sont pas (ne veulent pas être)  des "bassines à sperme"!

Autrement dit: les hommes qui se masturbent = un BIENFAIT pour l'humanité! :fleur:

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 114 860 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Tant pis pour les soi-disant enfants à naitre.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de Harvard et de l'université de Boston, aux États-Unis, atteindre l’orgasme régulièrement permettrait de réduire les risques de cancer de la prostate.

Les hommes auraient tout intérêt à se masturber s’ils souhaitent éviter tout risque de cancer de la prostate. Voici la conclusion pour le moins surprenante d’une étude publiée dans le journal European Urology. Selon ces travaux, atteindre l'orgasme au moins 21 fois par mois permettrait en effet de réduire le risque de contracter un cancer de la prostate. Une étude qui pousse les autorités sanitaires britanniques à encourager l’onanisme.

 

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs américains ont épluché les résultats d’un questionnaire auquel près 31 000 hommes en bonne santé avaient participé en 1992. Ce questionnaire portait sur la fréquence de leur éjaculation. Âgés de 20 à 29 ans et de 40 à 49 à l'époque, ces participants avaient ensuite été suivis jusqu'en 2010. Pendant ces 18 ans, près de 4 000 hommes ont développé un cancer de la prostate.

https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=cancer-prostate-reduire-risques-masturbation-orgasme

Messieurs, à vos mains, prêts  ? ..... secouez ! 

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Membre, 55ans Posté(e)
kilitout Membre 2 645 messages
Mentor‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Tant pis pour les soi-disant enfants à naitre.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de Harvard et de l'université de Boston, aux États-Unis, atteindre l’orgasme régulièrement permettrait de réduire les risques de cancer de la prostate.

Les hommes auraient tout intérêt à se masturber s’ils souhaitent éviter tout risque de cancer de la prostate. Voici la conclusion pour le moins surprenante d’une étude publiée dans le journal European Urology. Selon ces travaux, atteindre l'orgasme au moins 21 fois par mois permettrait en effet de réduire le risque de contracter un cancer de la prostate. Une étude qui pousse les autorités sanitaires britanniques à encourager l’onanisme.

 

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs américains ont épluché les résultats d’un questionnaire auquel près 31 000 hommes en bonne santé avaient participé en 1992. Ce questionnaire portait sur la fréquence de leur éjaculation. Âgés de 20 à 29 ans et de 40 à 49 à l'époque, ces participants avaient ensuite été suivis jusqu'en 2010. Pendant ces 18 ans, près de 4 000 hommes ont développé un cancer de la prostate.

https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=cancer-prostate-reduire-risques-masturbation-orgasme

Messieurs, à vos mains, prêts  ? ..... secouez ! 

TOUT...... à .....FAIT!!!! 

Ne jamais oublier  (encore une fois , elle...)  la religion qui a tout "pourri" avec ses dogmes (à la c***) pétris d'intolérance(je sais de quoi je parle ai subi le caté pendant qq années) et qui a fait culpabiliser (sûrement) tant d'hommes

Preuve: certains de ses membres ont pétri manipulé volontiers de jeunes innocents.

Donc: gloire à LA SCIENCE AVEC....conscience!!! Et sus aux miasmes (que l'on ressent) façon vers la fin du /"le nom de la rose" (Umberto Ecco) qui ont pourri la vie de génération de femmes et notamment l'abject "devoir conjugal".

-du coup grand grand écart vers les violences conjugales= 42% des plaintes sont classées ENCORE...sans suite (ref/lefigaro)

Si les mâles humains se "vidangeaient" (car c'EST cela et rien d'autre)  un peu plus, les femmes verraient plus clair dans leur vie "d'amour-euse".(=pas d'amour SANS RESPECT!!!)

 

Modifié par kilitout
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