« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons » : pour des femmes, le choix d’un célibat « libérateur »

Il y a 3 heures, goods a dit :

 

Osez le féminisme !, selon qui « le célibat est consubstantiel au féminisme ».

 

ah bon ?! On en est là !!

Donc c'est bien un mouvement misandre depuis le début. Merci. 

Il y a 3 heures, Yemaia a dit :

Elle maltraite son gosse et elle en est fière. Et l'ase là il a pas envie de faire une évaluation de ce couple de merde.

J'ai lu le truc : je plains le gosse.

En revanche j'ai une question : pourquoi le mari ne s'en prend-il pas lui aussi plein la gueule sur les RS? Après tout ils sont deux à 's'occuper' du gamin, non?

J'ai une copine principale de collège. Si elle a du temps à perdre (ce qui est très rare) voilà ce qu'elle fait : quand il arrive un incident avec un gamin et qu'elle doit appeler les parents, elle regarde les fiches et celui qui s'est mis en "autorité parentale n°1" (je ne connais pas le terme exact, mais en PREMIER) quand c'est le père. Et 4 fois sur 5 elle s'entend répondre : ce n'est pas moi qui m'en occupe, voyez ça avec sa mère. Mais dans ce cas là, j'ai envie de dire, peut-être qu'il faut inscrire la mère en premier. Et arrêter l'hypocrisie.

On est d'accord non seulement ça vole du temps de parole aux vraies victimes et c'est assez risible puisque personne ne l'oblige à se mettre en ménage.

Il y a 3 heures, goods a dit :

Un peu plus loin dans l'article à propos du célibat, on peut lire ceci:

« Il y a cette idée que le célibat est une période transitoire, que l’on n’est pas vraiment accompli et heureux quand on vit seule », remarque la journaliste et militante Marie Albert, 27 ans, fondatrice de Sologamie (« le podcast des célibataires qui n’ont besoin de personne »). « Toute la société tourne autour du couple », confirme Louisa Amara, 41 ans, évoquant le prix des chambres d’hôtel, les avantages fiscaux, ou encore la possibilité de prendre ses congés quand on le souhaite.

« Le célibat va à l’encontre des normes dominantes, héritées de la morale religieuse et de l’impératif nataliste. C’est pourquoi la célibataire est vue comme une rebelle, elle est une incarnation de la subversion, parce qu’elle renvoie à l’indépendance des femmes. Or, la liberté des femmes a toujours fait peur », analyse Marie-Cécile Naves, décrivant le célibat comme « un bouleversement de l’ordre établi ».

« Trop exigeante », « trop affirmée », « trop égoïste », « trop âgée », « trop grosse », « trop moche », « trop féministe »… constituent autant de remarques adressées aux célibataires. « A 35 ans, quand je me suis séparée, j’arrivais dans la fameuse tranche d’âge de la femme à la Bridget Jones, qui va forcément vouloir mettre le grappin sur un homme », se souvient Louisa, qui a lancé, en 2020, le podcast Single Jungle, consacré au célibat. En solo depuis cinq ans, la community manager ne compte pourtant mettre le grappin sur personne.

« Dans notre pays, une grande partie des femmes qui vivent seules le vivent très bien, c’est la société qui le vit mal », analyse la porte-parole d’Osez le féminisme !. 

Putain ce qui ne faut pas lire. J'ai rien envers toi Goods rassure toi, en plus je t’apprécie beaucoup, mais lire de telle conneries que tu rapportes franchement il y a de quoi se la prendre pour se la mordre. Le célibat jusqu'à une époque récente était synonyme de mort rapide, tant pour une femme que pour un homme. Tout simplement par ce qu'une personne ne pouvait tout faire pour assurer sa survie. C'est pas sorcier à comprendre. Mais bon que des abrutis s'imagine de l'on puisse vivre au XVe siècle comme  au début du XXIe siécle, rien de commun. Sans compter que jusqu'à une époque récente l'espérance de vie, même a deux était faible, combien sont morts avant 60 ans et combien après.

Il y a 3 heures, Yemaia a dit :

Des personnes transgenres vivent dans la souffrance. Alors machins transgenre ça passe pas. 

Ce ne sont pas les seuls, hélas, et se serai trop beau que ce soit les seul.

Toute l'humanité vit dans la souffrance, la souffrance est dans la vie, alors la souffrance des transgenre une souffrance parmi d'autres. Et la mère qui a perdu son enfant, et la mère qui a perdu plusieurs enfants au Bataclan, leur souffrance ne compte pas aussi. Les transgenre font parti de l'humanité, sans plus.

Il y a 2 heures, Yemaia a dit :

Non. Non et non !!

Ces personnes sont nées dans le mauvais corps. Ce n'est pas un trouble psychiatrique, pas plus  que l'homosexualité ne l'était. 

Reéducation ? Comme on le fait dans les sectes contre les homosexuels ?  Je vais aller gerber. 

 

Hell Spawn parle des idées, pas des individus. Dame nature fait des erreurs, oui c'est pas d'aujourd'hui qu'elle en fait. Il souffrent oui et alors tu connais quelqu'un qui ne souffre pas.

Un neveu par alliance très jeune nous raconte qu'il est une fille, oui bon ça plait pas au père, la mère dit trop rien, mais elle trouve le petit si sensible si attachant , c'est pas la brute qu'est son père. A huit ans les parents sont covoqué à l'école par ce que le petit neveu se tripote avec les autres garçons, puis que le garçon passe sont temps a jouer avec les filles. La mère se la ferme, le père fait un esclandre. A 14 ans le neveu est surpris en train d'embrasser un autre garçon, tout le monde ne dit rien au père, la mère discrétement informé quelque semaines plus tard il est découvert que le neveu aime les garçons, lui il dit depuis qu'il sait parlé que c'est une fille, et bien c'est une fille dans un corps d'hommes qui va se faire sodomiser par les autres garçon, comme ça ils seront pas vraiment pédé, par ce qu'ils enculeront un garçon qui sait qu'il est une fille ça arrange tout le monde et il n'y a pas besoin d'en faire une pendule contoise. Au final c'est de l'hétéro sexualité entre homme tout ça. Il doit bien en exister le pendant féminin. Dès qu'il y a vie il y a souffrance, sortir du ventre d'une femelle est une souffrance.

Il y a 2 heures, Maurice Clampin a dit :

   Ça , c' est vrai (ou à peut près) jusqu'à 55/60 ans ... 

Mais après l' ennui , la solitude pèsent bien plus lourd ....

J' ai connu plusieurs personnes qui travaillent en maison de retraite ou chez des personnes agées qui me disent :

Comme il y a beaucoup plus de mémés que de petits vieux , dés qu' il y en a un qui se libère , c' est harro sur le pépé . Les mamies n' ont plus de retenue . 

 

Tout a fait vrai j'ai pu le constater, c'est terible en fait, mais bon vous entrez par ce que vous êtes plus en état et là vous avez une nuée de mémés insupportables qui se jette sur vous, en disant il est à moi. Je me flingue avant.

En fait, il y a une confusion entre le droit des célibataires a être considérés par la société (parce qu'il est vrai qu'il y a de fait pas mal de différenciations) et d'avoir la liberté d'assumer ce choix.

Ça, OK, dire que le célibat doit être une liberté face à la norme du couple.

Mais c'est le problème de tous ces pseudo-féministes, celle d'essentialiser et de rendre les choix binaires, en se contenter d'inverser les normes comme si cela faisait évoluer quoi que ce soit.

Donc, non, le célibat n'est pas LA liberté ! C'est une liberté, comme le couple peut en être une autre.

Au final, l'important c'est un peu de faire ce que l'on veut sans se voir étiqueté.

J'ai du mal lorsque je lis/entends qu'une femme veut éduquer , dresser son compagnon .

Je me demande toujours de quel droit elles veulent se charger de ça . Si un homme n'est pas à votre goût passez  votre chemin  . Voilà restez célibataire   

Les cinglées il y en a alors question féminisme il y en a des très sérieux, déjà  https://www.soroptimist.fr/

Ensuite je ne saurai trop recommander Clio, c'est une revue vraiment intelligente c'est pas des merde grand public qui se foutent de la femme comme certaine revue dite féminine.https://journals.openedition.org/clio/

extraits: "

Le 14 janvier 2020, des travailleurs et travailleuses de nombreux secteurs entament leur 41e jour de grève.   Ce mouvement ne concerne pas la seule préservation des régimes spéciaux ou de privilèges corporatifs   spécifiques. Il s’agit de défendre un système de protection sociale mais aussi des valeurs telles que la solidarité, le service public, la justice sociale. Le comité de la revue Clio FGH entend lui aussi, comme les comités de revues scientifiques qui ont ouvert la voie et nous ont fourni les mots, dénoncer la future Loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), "loi darwinienne et inégalitaire de la recherche" comme l’appelait de ses voeux le président du CNRS. Les documents préparatoires à cette loi prouvent qu’elle va encore fragiliser les conditions de production des savoirs et de transmission des connaissances, en dépit de constats clairs sur les besoins (emplois pérennes, accroissement des financements fondamentaux, faiblesse des salaires, etc.).

Le comité de rédaction de Clio FGH juge indignes les situations d’emplois précaires dans lesquels se trouvent de nombreux-ses et talentueux-ses jeunes collègues, en raison de la réduction drastique des emplois pérennes à l’Université et dans les établissements de recherche. Il est également très inquiet devant la précarisation des emplois du personnel de l’administration de la recherche – dédié à des fonctions d’édition par exemple – emplois très qualifiés et indispensables au fonctionnement et à la diffusion de nos disciplines. Il s’élève contre les logiques managériales de performance qui menacent nos métiers et qui assignent aux revues un rôle pernicieux d’évaluation des carrières et non plus de l’intérêt proprement scientifique des résultats de recherche.

Évidemment ça braille pas, c'est pas grotesque, c'est pas impudique, c'est sérieux, car le féminisme c'est sérieux.

Il y a 8 heures, Promethee_Hades a dit :

Les cinglées il y en a alors question féminisme il y en a des très sérieux, déjà  https://www.soroptimist.fr/

Ensuite je ne saurai trop recommander Clio, c'est une revue vraiment intelligente c'est pas des merde grand public qui se foutent de la femme comme certaine revue dite féminine.https://journals.openedition.org/clio/

extraits: "

Appel du comité de rédaction de Clio, Femmes, Genre, Histoire

Le 14 janvier 2020, des travailleurs et travailleuses de nombreux secteurs entament leur 41e jour de grève.   Ce mouvement ne concerne pas la seule préservation des régimes spéciaux ou de privilèges corporatifs   spécifiques. Il s’agit de défendre un système de protection sociale mais aussi des valeurs telles que la solidarité, le service public, la justice sociale. Le comité de la revue Clio FGH entend lui aussi, comme les comités de revues scientifiques qui ont ouvert la voie et nous ont fourni les mots, dénoncer la future Loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), "loi darwinienne et inégalitaire de la recherche" comme l’appelait de ses voeux le président du CNRS. Les documents préparatoires à cette loi prouvent qu’elle va encore fragiliser les conditions de production des savoirs et de transmission des connaissances, en dépit de constats clairs sur les besoins (emplois pérennes, accroissement des financements fondamentaux, faiblesse des salaires, etc.).

Le comité de rédaction de Clio FGH juge indignes les situations d’emplois précaires dans lesquels se trouvent de nombreux-ses et talentueux-ses jeunes collègues, en raison de la réduction drastique des emplois pérennes à l’Université et dans les établissements de recherche. Il est également très inquiet devant la précarisation des emplois du personnel de l’administration de la recherche – dédié à des fonctions d’édition par exemple – emplois très qualifiés et indispensables au fonctionnement et à la diffusion de nos disciplines. Il s’élève contre les logiques managériales de performance qui menacent nos métiers et qui assignent aux revues un rôle pernicieux d’évaluation des carrières et non plus de l’intérêt proprement scientifique des résultats de recherche.

 

Évidemment ça braille pas, c'est pas grotesque, c'est pas impudique, c'est sérieux, car le féminisme c'est sérieux.

Je suis d'accord avec toi mais cette revue qui la lit? Cette association, combien de membres? Il arrive un moment où défendre une cause aussi importante que le droit des salariées ou l'accès à l'école des filles dans le monde ne peut plus se faire en catimini, dans l'indifférence totale, comme d'hab.

Merde quoi! 50% de l'humanité et il faudrait constamment s'excuser de "déranger"! Est-ce que les hommes s'excusent de gueuler, d'exagérer, d'occuper l'espace public? Non. Quand certaines le font, tout d'un coup elles sont cinglées. Non, elles sont pénibles, peut-être.... C'est un peu fait pour.

Il y a 11 heures, bcbg a dit :

J'ai du mal lorsque je lis/entends qu'une femme veut éduquer , dresser son compagnon .

 

Où avez-vous lu qu'elle a employé le terme "dresser" ?

Il y a 17 heures, Yemaia a dit :

En même temps, vu le terme utilisé, c'est qu elle n'a pas dû comprendre ce que c'est que l'amour. Donc le célibat est sûrement le choix le plus adapté pour elle. 

Et pout le potentiel compagnon. ça doit être lourd de vivre aux coté de ce genre de boulet 

https://www.lefigaro.fr/international/face-a-la-vague-des-transgenres-la-suede-commence-a-douter-20210614

@Morfou Même un pays comme la Suède a des doutes, j'ai le droit d'avoir les miens Mama Morfou ? 

https://ici.radio-canada.ca/info/2019/05/transgenre-sexe-detransitionneurs-transition-identite-genre-orientation/

Il y a 7 heures, Beebee a dit :

Je suis d'accord avec toi mais cette revue qui la lit? Cette association, combien de membres? Il arrive un moment où défendre une cause aussi importante que le droit des salariées ou l'accès à l'école des filles dans le monde ne peut plus se faire en catimini, dans l'indifférence totale, comme d'hab.

Merde quoi! 50% de l'humanité et il faudrait constamment s'excuser de "déranger"! Est-ce que les hommes s'excusent de gueuler, d'exagérer, d'occuper l'espace public? Non. Quand certaines le font, tout d'un coup elles sont cinglées. Non, elles sont pénibles, peut-être.... C'est un peu fait pour.

Les pauvres mâles ont grand peur de perdre leurs prérogatives...

Ce qui me fait marrer, ce sont certaines réponses, sans avoir lu l'article dans son intégralité. Attention, j'ai bien dit certaines.
Et avant que l'on ne me pose la question, oui, je l'ai lu, je suis abonnée au Monde.

Il y a 4 heures, .iO a dit :

https://www.lefigaro.fr/international/face-a-la-vague-des-transgenres-la-suede-commence-a-douter-20210614

@Morfou Même un pays comme la Suède a des doutes, j'ai le droit d'avoir les miens Mama Morfou ? 

https://ici.radio-canada.ca/info/2019/05/transgenre-sexe-detransitionneurs-transition-identite-genre-orientation/

https://www.philippeblazquezpsychanalyste.com/masculin-feminin

D'après le lien canadien, les réseaux sociaux ont leur part de responsabilité!

Je présume qu'en Suède c'est la même chose!

Ca n'empêche qu'il y a de vraies personnes en difficulté avec ce qu'ils paraissent et ce qu'ils ressentent  être! et qui ont beaucoup de mal à le supporter!

Il y a 23 heures, goods a dit :

« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons » : pour des femmes, le choix d’un célibat « libérateur »

Après avoir vécu en couple les mécanismes de domination masculine, de nombreuses féministes remettent aujourd’hui en question le modèle hétérosexuel de la vie à deux.

Après dix ans de relation, Ludivine Demol a quitté son compagnon « pour une histoire de tache de sauce tomate ». « La tache de trop », précise celle pour qui l’engagement féministe ne faisait plus bon ménage avec la vie de couple. « Ma séparation s’est clairement faite pour des raisons féministes », assume la trentenaire, qui souhaite aujourd’hui « se passer des hommes ».

En mettant en lumière la dimension systémique de la domination masculine, le regain du mouvement féministe est venu questionner nos rapports intimes, au point d’ébranler le sacro-saint modèle du couple hétérosexuel. « Les débats sur l’injonction à la conjugalité sont très présents dans les milieux militants », constate Céline Piques, porte-parole d’Osez le féminisme !, selon qui « le célibat est consubstantiel au féminisme ».

« La remise en cause du couple, et plus encore du mariage hétérosexuel, a été portée par toutes les vagues féministes », rappelle Marie-Cécile Naves, directrice de l’Observatoire genre et géopolitique à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Dès les années 1970, les activistes du Mouvement de libération des femmes (MLF), sous l’impulsion des militantes lesbiennes, paraphrasaient la féministe américaine Gloria Steinem : « Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette. »

Source.

Ouf!!!!Enfin une qui a compris...au moins en partie!

Car, bien évidemment une compagne quelle qu'elle soit n'a pas vocation à être mère prof psy  d'un quelconque "proch"

mâle humain sauf si ....elle en a décidé ainsi.

Et , en partie si, elle a aussi compris qu'une fois dans ledit"célibat" elle aaussi compris qu'on ne profite pas de la PMA 

pour fairenaître  sans être en CAPACITE de nourrir abriter soigner éduquer instruire distraire etc...DECEMMENT( en satisfaisant les besoins du nouveau venu à TOUTES les étapes de sa "croissance"= au minimum 20/ 25 ans....)

...nouveau ou nouvelle venu/e

Il y a 19 heures, Beebee a dit :

J'ai lu le truc : je plains le gosse.

En revanche j'ai une question : pourquoi le mari ne s'en prend-il pas lui aussi plein la gueule sur les RS? Après tout ils sont deux à 's'occuper' du gamin, non?

J'ai une copine principale de collège. Si elle a du temps à perdre (ce qui est très rare) voilà ce qu'elle fait : quand il arrive un incident avec un gamin et qu'elle doit appeler les parents, elle regarde les fiches et celui qui s'est mis en "autorité parentale n°1" (je ne connais pas le terme exact, mais en PREMIER) quand c'est le père. Et 4 fois sur 5 elle s'entend répondre : ce n'est pas moi qui m'en occupe, voyez ça avec sa mère. Mais dans ce cas là, j'ai envie de dire, peut-être qu'il faut inscrire la mère en premier. Et arrêter l'hypocrisie.

Oui mais lui apparemment, il ferme sa gueule. C'est elle qui vient se vanter de négliger son môme pour une cause. Et même si elle a raison, en théorie, on ne fait pas payer la santé de son gosse juste pour avoir raison.

il y a une heure, Morfou a dit :

https://www.philippeblazquezpsychanalyste.com/masculin-feminin

 

D'après le lien canadien, les réseaux sociaux ont leur part de responsabilité!

Je présume qu'en Suède c'est la même chose!

Ca n'empêche qu'il y a de vraies personnes en difficulté avec ce qu'ils paraissent et ce qu'ils ressentent  être! et qui ont beaucoup de mal à le supporter!

On est d'accord alors (.^^.) car je n'ai pas nié de souffrances. Ni même un peu raillé, je me pose la question de l'essor soudain de se mouvement et ces conséquences. Aujourd'hui on peut avoir quelques chiffres sur les cas de retour en arrière de ces personnes qui pour certaines sont allés loin.