Mon père est un homme battu et personne ne le prend au sérieux (TEMOIGNAGE)

En effet il ne peut s'agir que d'un mensonge de plus venant des hommes!!!!, en France les hommes battus cela n'existe pas, Madame La ministre à organié le grenelle des violences conjugales, en n'évoquant que des femmes battues par leur maris.

En France il "n'existe pas" d'hommes battus par leurs femmes, tout comme il n'existe pas de femmes battues par des compagnes femmes!

 Taisez-vous les hommes !

C'est en Belgique. Ici, parle de Maxime Gaget. Mais tu n'as peut être pas connaissance de son atroce calvaire ?

il y a une heure, MarcThor a dit :

Mon père est un homme battu et personne ne le prend au sérieux (TEMOIGNAGE)

Contribution externe

Publié le lundi 09 avril 2018 à 14h31 - Mis à jour le lundi 09 avril 2018 à 14h34

 

Une opinion de Yaël K., étudiante de 21 ans (*).

"Un homme qui se fait frapper par sa femme, c’est une tapette !",

J’ai déjà entendu ça… Ce n’est pas vraiment étonnant quand on y réfléchit. Après tout, ne dit-on pas, quand on est enfant, qu’il ne faut pas taper les filles ? Dès l’enfance, l’homme est identifié comme celui qui frappe et la femme comme une potentielle victime.

Sauf que chez moi, c’est la femme qui frappait. Mon père a subi les coups, les humiliations, le harcèlement psychologique, les cris, les tentatives de viol, les menaces, et tout ça devant nos yeux, à mon frère, ma sœur et moi. Mon père a été victime de sa femme, victime de cette maladie qu’est l’alcoolisme.

Les hommes, le sexe fort?

 

Mon père : un homme battu, humilié, privé de cette virilité qui est si importante dans notre société. Le traumatisme que peut causer une telle situation n’est plus à prouver. Néanmoins, la pire chose pour lui fut sans doute le manque de reconnaissance, d’aide, ce dédain et même ce manque de confiance en ses dires. Parce que c’est ainsi, dans l’inconscient collectif, un homme battu, ça n’existe pas, il n’y en a que pour les femmes. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’organisations venant en aide aux femmes battues ou les campagnes contre les violences conjugales : on ne parle que des femmes. Pour moi, cela n’est pas seulement malsain pour les hommes battus, qui sont totalement déconsidérés, mais ça l’est également pour les femmes. Parce que oui, ça nous place, nous, en tant que femmes, en potentielles victimes. Certes, d’après les chiffres, les femmes battues sont plus nombreuses que les hommes battus, mais vouloir faire des campagnes et des aides genrées, cela ne contribue-t-il pas à créer cette image d’une société où les hommes seraient le sexe fort, celui qui bat, et les femmes le sexe faible, celui qui est maltraité et qui subit ?

Cette image, en tout cas, ma mère l’avait bien saisie, se faisant passer pour ce que la société attendait d’elle : une victime frappée par son mari. Il suffisait qu’il se défende un minimum, qu’il tente de la retenir pour éviter les coups. Il suffisait d’un bleu, d’un cri ou d’une chute dans les escaliers simulée… Et bien entendu, tout le monde y a cru.

Alors, mon père est parti...

Tous. Les institutions, la société, la famille et même nous, les enfants. J’étais la plus grande, j’avais 10 ans. Bien sur on voyait des “trucs”. Mais notre mère était vraiment très très forte pour se faire passer pour une victime. C’est bizarre. Un peu comme si on s’était fait retourner le cerveau. Je voyais des choses, je savais que c’était ma mère qui était violente, mais je ne voulais pas le voir. Dans ma tête, il fallait que ce soit mon père. C’est un peu surréaliste. Mais déjà que l’esprit humain est plus ou moins facile à manipuler, ales celui d’un enfant…

Quand mon père a décidé de quitter le domicile et a voulu avertir la police de ce qui lui était arrivé. Il n’a reçu que du mépris. Même résultat auprès du juge des enfants, qui l’a totalement ignoré quand il a réclamé notre garde, alors qu’il avait peur pour notre sécurité. Résultat, mon père est parti, sans femme, sans enfants, sans maison, et sans aucune reconnaissance, seul. Il aura fallu attendre plusieurs années de combat et que je sois à mon tour victime de ces violences pour qu’il obtienne notre garde.

Malheureusement, même là, faire reconnaître ce qui avait pu se passer n’a pas été aisé : au moment de porter plainte contre ma mère (ce qui n’est déjà pas quelque chose d’évident ), le policier qui s’occupait de moi m’a clairement accusée de mentir. Même après ça, une garde alternée a été mise en place sans la moindre forme de surveillance et l’histoire s’est répétée avec ma sœur…

... Sans obtenir de soutien

Sans cette norme si profondément ancrée, sans cette aveuglement de la part des autorités et institutions, beaucoup de mal aurait pu être évité et je pense que oui, la société telle qu’elle est, est en partie responsable de tout ce qui a pu se passer.

Pour ce qui est de mon père, je ne peux pas savoir ce qu’il ressent au quotidien mais aujourd’hui encore, je sais qu’il est marqué par tout ce qui s’est passé et qu’il a été profondément traumatisé par cette période de sa vie. Je pense qu’il ne s’en remettra jamais. Il n’a jamais reçu de soutien de la part d’associations et aujourd’hui, il refuse de reconnaître qu’il aurait eu et qu’il a toujours besoin de cette aide qui lui a été refusée. Mais qui pourrait l’en blâmer ? Car il a non seulement été victime de violences conjugales mais son identité d’homme, aux yeux des autres et même, et c’est pour moi le pire, à ses propres yeux, a été profondément touchée. Parce qu’après tout, un homme battu, dans notre société, n’est plus vraiment un homme.

Lien:

https://www.lalibre.be/debats/opinions/mon-pere-est-un-homme-battu-et-personne-ne-le-prend-au-serieux-temoignage-5acb230acd702f0c1acaa4f4

Un autre exemple typique:

témoignage d ‘ un mari battu pendant 9 ans

http://www.homme-battu.fr/temoignage_homme_battu_pendant_9_ans/

Oui il serait plus judicieux à tous points de vue de parler de violences conjugales et non seulement des violences faites aux femmes. Il est vrai que les violences physiques de femmes contre les hommes n'ont généralement pas le même impact que l'inverse à cause du dysmorphisme sexuel. Mais premièrement les violences subies peuvent être essentiellement psychologiques et secondement pour les hommes qui subissent de fortes violences physiques, la relative rareté va ajouter de la honte aux traumatismes. Ensuite les couples notamment officiels sont de plus en plus homosexuels et là le dysmorphisme n'a pas sa place.

il y a 5 minutes, CAL26 a dit :

Oui il serait plus judicieux à tous points de vue de parler de violences conjugales et non seulement des violences faites aux femmes. Il est vrai que les violences physiques de femmes contre les hommes n'ont généralement pas le même impact que l'inverse à cause du dysmorphisme sexuel. Mais premièrement les violences subies peuvent être essentiellement psychologiques et secondement pour les hommes qui subissent de fortes violences physiques, la relative rareté va ajouter de la honte aux traumatismes. Ensuite les couples notamment officiels sont de plus en plus homosexuels et là le dysmorphisme n'a pas sa place.

Je ne suis pas du tout d'accord avec toi.Justement ,on ne parle que des violences conjugales concernant les femmes, les féministes ne voulant pas qu'on aborde celles des hommes battus par leurs conjointes.

Tu parles de relative rareté.Es-tu au courant du nombre reconnu(en réalité bien plus) d'hommes battus?Du pourcentage qu'ils représentent dans l'ensemble des violences conjugales?

Je pense que les hommes victimes de violences physiques ou psychiques ou les 2 devraient témoigner pour informer .

il y a 5 minutes, MarcThor a dit :

Je ne suis pas du tout d'accord avec toi.Justement ,on ne parle que des violences conjugales concernant les femmes, les féministes ne voulant pas qu'on aborde celles des hommes battus par leurs conjointes.

Tu parles de relative rareté.Es-tu au courant du nombre reconnu(en réalité bien plus) d'hommes battus?Du pourcentage qu'ils représentent dans l'ensemble des violences conjugales?

Relative rareté signifie que ce n'est pas la majorité. Et incontestablement la violence physique d'un homme sur une femme a globalement plus d'impact que l'inverse. Je voulais donner des nuances à un point de vue que nous partageons.

il y a 27 minutes, CAL26 a dit :

Relative rareté signifie que ce n'est pas la majorité. Et incontestablement la violence physique d'un homme sur une femme a globalement plus d'impact que l'inverse. Je voulais donner des nuances à un point de vue que nous partageons.

Désolé d'avoir mal interprété ton propos. La question n'est certainement pas de minimiser les violences conjugales subies par les femmes mais de souligner que celles subies par les hommes le sont. Elles représentent 30 pourcents des cas et sont de 149000 (ONDRP)...Et pourtant, aucun mot sur eux au Grenelle des violences conjugales, pas un mot les concernant aux infos et 0 structure d'écoute, 0 centre d'hébergement pour eux(l'un ouvert par une femme a été fermé faute de financement,les féministes refusant qu'on y consacre 1 centime) et 0 centre d'éloignement pour leurs conjointes. Il n'y en a pas assez sans doute déjà pour les femmes victimes mais 30 pourcents ne devraient-ils pas être consacrés aux hommes victimes?Leur situation n'est-elle pas plus indicible que celle des femmes(pression sociale,être cru ,problème de la garde des enfants en cas de séparation du fait de la situation inégalitaire elle-aussi devant les JAF etc)Pourquoi les féministes refusent-elles qu'on se préoccupe des hommes victimes?

https://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2016/05/09/hommes-battus-pourquoi-on-ne-les-croit-pas

Il y a 1 heure, January a dit :

C'est en Belgique. Ici, parle de Maxime Gaget. Mais tu n'as peut être pas connaissance de son atroce calvaire ?

Si,je connais, mais justement, c'est un rare cas médiatisé. Il y en a tant d'autres.Je pensais plus pertinent ce cas avec le témoignage de la fille de cet homme victime, pour couper court aux remarques du genre"c'est lui qui le dit" de certaines "féministes pour l'égalité"...

Il y a 1 heure, January a dit :

C'est en Belgique. Ici, parle de Maxime Gaget. Mais tu n'as peut être pas connaissance de son atroce calvaire ?

Le deuxième lien est un cas français qui est,quant à lui, symbolique des agissements des femmes-bourreaux pour inverser l'accusation ainsi que de certaines difficultés attendant un homme-victime auprès des services de police-justice(même si ici cela va encore, il y a bien pire) ..de plus, comme on a la fin en happy end, c'est un exemple positif (l'un des rares).

Connais-tu les études américaines évoquées dans le lien suivant( notamment deMurray Straus, Richard Gelles et Suzanne Steinmetz.de Reena Sommer)

https://www.courrierinternational.com/article/1997/12/18/la-violence-conjugale-n-est-pas-l-apanage-des-males

Ce documentaire est édifiant

On est en France.. Et quoi que tu en dises, la mentalité et les perceptions ne seront pas les mêmes qu'aux USA, en Belgique, au Canada. 

Il y a très peu de cas médiatisés en France, les hommes se cachent, ils ont honte, mais là pour reprendre un slogan bien connu : la honte doit changer de camp.

Attention, parmi les membres de ce forum, à en juger par la façon dont elle s'exprime, il y a au moins 1 femme à testosterone capable de cogner un homme ... en tout cas je n'aimerais pas m'approcher d'elle IRL ...   

Il y a 11 heures, January a dit :

C'est en Belgique. Ici, parle de Maxime Gaget. Mais tu n'as peut être pas connaissance de son atroce calvaire ?

Le premier cas est en effet en Belgique, le deuxième en France...

149 000 hommes ont été victimes de violences au sein de leur couple en 2012 et 2013, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (qui s'appuie l'enquête de victimisation « cadre de vie et sécurité »).

C'est beaucoup moins que les femmes, mais c'est tout de même important...et passé totalement sous silence!

Il y a 12 heures, MarcThor a dit :

Mon père est un homme battu et personne ne le prend au sérieux (TEMOIGNAGE)

Contribution externe

Publié le lundi 09 avril 2018 à 14h31 - Mis à jour le lundi 09 avril 2018 à 14h34

 

Une opinion de Yaël K., étudiante de 21 ans (*).

"Un homme qui se fait frapper par sa femme, c’est une tapette !",

J’ai déjà entendu ça… Ce n’est pas vraiment étonnant quand on y réfléchit. Après tout, ne dit-on pas, quand on est enfant, qu’il ne faut pas taper les filles ? Dès l’enfance, l’homme est identifié comme celui qui frappe et la femme comme une potentielle victime.

Sauf que chez moi, c’est la femme qui frappait. Mon père a subi les coups, les humiliations, le harcèlement psychologique, les cris, les tentatives de viol, les menaces, et tout ça devant nos yeux, à mon frère, ma sœur et moi. Mon père a été victime de sa femme, victime de cette maladie qu’est l’alcoolisme.

Les hommes, le sexe fort?

 

Mon père : un homme battu, humilié, privé de cette virilité qui est si importante dans notre société. Le traumatisme que peut causer une telle situation n’est plus à prouver. Néanmoins, la pire chose pour lui fut sans doute le manque de reconnaissance, d’aide, ce dédain et même ce manque de confiance en ses dires. Parce que c’est ainsi, dans l’inconscient collectif, un homme battu, ça n’existe pas, il n’y en a que pour les femmes. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’organisations venant en aide aux femmes battues ou les campagnes contre les violences conjugales : on ne parle que des femmes. Pour moi, cela n’est pas seulement malsain pour les hommes battus, qui sont totalement déconsidérés, mais ça l’est également pour les femmes. Parce que oui, ça nous place, nous, en tant que femmes, en potentielles victimes. Certes, d’après les chiffres, les femmes battues sont plus nombreuses que les hommes battus, mais vouloir faire des campagnes et des aides genrées, cela ne contribue-t-il pas à créer cette image d’une société où les hommes seraient le sexe fort, celui qui bat, et les femmes le sexe faible, celui qui est maltraité et qui subit ?

Cette image, en tout cas, ma mère l’avait bien saisie, se faisant passer pour ce que la société attendait d’elle : une victime frappée par son mari. Il suffisait qu’il se défende un minimum, qu’il tente de la retenir pour éviter les coups. Il suffisait d’un bleu, d’un cri ou d’une chute dans les escaliers simulée… Et bien entendu, tout le monde y a cru.

Alors, mon père est parti...

Tous. Les institutions, la société, la famille et même nous, les enfants. J’étais la plus grande, j’avais 10 ans. Bien sur on voyait des “trucs”. Mais notre mère était vraiment très très forte pour se faire passer pour une victime. C’est bizarre. Un peu comme si on s’était fait retourner le cerveau. Je voyais des choses, je savais que c’était ma mère qui était violente, mais je ne voulais pas le voir. Dans ma tête, il fallait que ce soit mon père. C’est un peu surréaliste. Mais déjà que l’esprit humain est plus ou moins facile à manipuler, ales celui d’un enfant…

Quand mon père a décidé de quitter le domicile et a voulu avertir la police de ce qui lui était arrivé. Il n’a reçu que du mépris. Même résultat auprès du juge des enfants, qui l’a totalement ignoré quand il a réclamé notre garde, alors qu’il avait peur pour notre sécurité. Résultat, mon père est parti, sans femme, sans enfants, sans maison, et sans aucune reconnaissance, seul. Il aura fallu attendre plusieurs années de combat et que je sois à mon tour victime de ces violences pour qu’il obtienne notre garde.

Malheureusement, même là, faire reconnaître ce qui avait pu se passer n’a pas été aisé : au moment de porter plainte contre ma mère (ce qui n’est déjà pas quelque chose d’évident ), le policier qui s’occupait de moi m’a clairement accusée de mentir. Même après ça, une garde alternée a été mise en place sans la moindre forme de surveillance et l’histoire s’est répétée avec ma sœur…

... Sans obtenir de soutien

Sans cette norme si profondément ancrée, sans cette aveuglement de la part des autorités et institutions, beaucoup de mal aurait pu être évité et je pense que oui, la société telle qu’elle est, est en partie responsable de tout ce qui a pu se passer.

Pour ce qui est de mon père, je ne peux pas savoir ce qu’il ressent au quotidien mais aujourd’hui encore, je sais qu’il est marqué par tout ce qui s’est passé et qu’il a été profondément traumatisé par cette période de sa vie. Je pense qu’il ne s’en remettra jamais. Il n’a jamais reçu de soutien de la part d’associations et aujourd’hui, il refuse de reconnaître qu’il aurait eu et qu’il a toujours besoin de cette aide qui lui a été refusée. Mais qui pourrait l’en blâmer ? Car il a non seulement été victime de violences conjugales mais son identité d’homme, aux yeux des autres et même, et c’est pour moi le pire, à ses propres yeux, a été profondément touchée. Parce qu’après tout, un homme battu, dans notre société, n’est plus vraiment un homme.

Lien:

https://www.lalibre.be/debats/opinions/mon-pere-est-un-homme-battu-et-personne-ne-le-prend-au-serieux-temoignage-5acb230acd702f0c1acaa4f4

Un autre exemple typique:

témoignage d ‘ un mari battu pendant 9 ans

http://www.homme-battu.fr/temoignage_homme_battu_pendant_9_ans/

oui, c'est vrai, il y a des époux qui sont battus, humiliés par leur conjointe et ce sujet ne prête pas à rire du tout, il est aussi grave que son contraire. 

il y a 19 minutes, libredeparler a dit :

C'est beaucoup moins que les femmes, mais c'est tout de même important...et passé totalement sous silence!

Parce-qu'ils ne parlent pas. Tu vois que les femmes ont raison de faire ce boucan ! Eh bien les hommes allez-y : faites vous aussi du boucan ! On ne vous entend pas !

il y a 3 minutes, jacky29 a dit :

oui, c'est vrai, il y a des époux qui sont battus, humiliés par leur conjointe et ce sujet ne prête pas à rire du tout, il est aussi grave que son contraire. 

Un homme qui aura déclaré qu'il est homme battu, sera considéré à vie comme un moins que rien, mauviette aux yeux des femmes et de son entourage.....

Il ne lui restera la fuite, changer de lieu de vie, d'entourage, et obligation de taire son passé à une éventuelle futur compagne...

il y a 5 minutes, libredeparler a dit :

Un homme qui aura déclaré qu'il est homme battu, sera considéré à vie comme un moins que rien, mauviette aux yeux des femmes et de son entourage.....

Il ne lui restera la fuite, changer de lieu de vie, d'entourage, et obligation de taire son passé à une éventuelle futur compagne...

pas pour moi, il serait sans doute temps, de voir la misère humaine sous un autre jour, non? 

il y a 5 minutes, January a dit :

Parce-qu'ils ne parlent pas. Tu vois que les femmes ont raison de faire ce boucan ! Eh bien les hommes allez-y : faites vous aussi du boucan ! On ne vous entend pas !

Je ne suis pas concerné perso, dans mon passé associatif, j'ai eu affaire aux violences conjugales, femmes comme hommes, sur les très rares hommes qui sont venus, un a quitté la région après la première audience au tribunal... et les autres ont retirés leurs plaintes pour différentes raisons...dans un des cas ile type était alcoolique, avec un total  manque de cohérence dans ses affirmations

il y a 7 minutes, libredeparler a dit :

Un homme qui aura déclaré qu'il est homme battu, sera considéré à vie comme un moins que rien

Ah bah si c'est ça alors il n'y a aucune solution ?

C'est là que c'est intéressant, parce-que c'est vous les hommes la plupart du temps, entre vous, qui vous considérez comme ça. C'est vous les plus sévères là dessus, pas les femmes, moi je ne crois pas.

En deux secondes @jacky29 dit "pas moi", et moi aussi je vais dire "pas moi".

Je rejoins @jacky29 et @January

J'ajouterai aussi mon "pas moi". La violence quelle qu'elle soit et peu importe de qui elle émane n'est pas acceptable. Il n'y a pas à juger les victimes, juste à les aider.