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"Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ? "

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Invité Jane Doe

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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il y a 3 minutes, Dzag a dit :

euh..... y a un truc à comprendre ou on joue tous à un nouveau jeu ?

Je peux plus m’arrêter de rire !

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Invité Jane Doe
Invités, Posté(e)
Invité Jane Doe
Invité Jane Doe Invités 0 message
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il y a une heure, Dzag a dit :

euh..... y a un truc à comprendre ou on joue tous à un nouveau jeu ?

Ça depend. C est quoi ton point de vue à toi ? 

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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Jane Doe a dit :

Ça depend. C est quoi ton point de vue à toi ? 

Mon point de vue c'est que ce sujet est bien trop sérieux pour le confier à de pauvres humains...

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Membre, 45ans Posté(e)
Marzhin Membre 640 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Sur le nihilisme, il y a ce topic ForumFr, à toutes fins utiles concernant celui-ci.

Il y a 7 heures, Jane Doe a dit :

“Dis-moi, quelle nécessité y a-t-il à l'existence de Dieu, du monde et de tout ?

Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?

Ne crois-tu pas que cette idée de nécessité n'est que la forme suprême que prend le hasard dans nos esprits ?”

Miguel de Unamuno / Brouillard

Ça fait du bien, un topic commençant par une citation d'auteur. Il faut lire longuement, lire ainsi éveille l'acuité métacognitive utile en philosophie, parce que c'est comme une méditation.

Quelqu'un durant le fil du topic, a demandé pourquoi "doit" ? ... mais c'était répéter l'énoncé, puisqu'il disait quelle nécessité (ce qui est déjà en douter) suivi de quelque chose comme cette nécessité est une chimère. C'est dire donc que le locuteur, ici, cité par vos soins Jane Doe, dans le texte de Miguel de Unamuno, ne veut pas supporter l'implacable. C'est l'étymologie latine de nécessité : "ce qui ne cède pas", la *cessité là serait "ce qui cède".

Eh bien, la peur de l'implacabilité est quelque chose qui se laisse deviner dans les propos tactiques, tarantinesques et tonitruants d'Annalevine ...

Il y a 6 heures, Annalevine a dit :

C’est l’éternelle question : pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ?

 Cette idée, que l’on croit en Dieu ou pas, que, s’il existe un Dieu, il a créé l’homme à son image m’a toujours bien fait rire ! C’est une façon pour ceux qui croient dans un tel Dieu de se rassurer.

Or à supposer qu’il existe un Dieu je ne vois pas pourquoi il ne serait pas cruel. Au point de décider de supprimer l’humanité un jour. Après tout pourquoi dépendrait-il de l’humanité ?

Ceux qui croyant en un tel Dieu, pensent qu’il a créé l’homme à son image ont en fait peur de l’éventuelle cruauté de ce Dieu.

Il y a 6 heures, Annalevine a dit :

Pour ceux qui pensent que Dieu est assez cruel pour tout détruire, Dieu est loin d’être une béquille. En fait Dieu s’est assagi avec les chrétiens. Il est devenu un père Noël ( presque).

Du temps des Crecs, de Latins ou  même des Russes encore récemment, le Père peut tuer ses enfants. Voir la cruauté des Russes exposée dans histoire de la Russie.

Je me souviens avoir lu quelque part que les Grecs à un moment, du moins les guerriers, allaient au combat en pensant qu’après la mort ils vivraient des tourments éternels. 
Là c’est une foi sacrément  anti béquilles ! 
Mieux vaut ne pas croire que de croire dans de telles réalités !

... car en effet, la vie s'éprouve dans la survie, ce qui ne signifie pas qu'il faille être cruel. L'implacabilité des choses, que nous vivons régulièrement comme cruelle, est-elle cruelle ? L'implacable est-il le cruel ? ... Dans les films catastrophes, quand une âme tragique se suicide pour la survie du groupe, est-ce cruel ? ... Je crains que non.

Nous ne voulons pas endurer ce qui ne cède pas, l'implacable, la nécessité, parce que plus généralement nous ne voulons pas supporter la pression. Car c'est une pression, dans tous les sens du terme (force subie, souffrance, détresse, panique). Miguel de Unamuno, dans la citation proposée par Jane Doe, raisonne au fond, de telle sorte à dénier la pression de la nécessité, par peur de l'implacabilité.

Qui lui en voudrait ? Cette personne fictive, qui pourrait être le premier d'entre nous, exprime très clairement un souci ontologique, d'où qu'on se demande bien pourquoi il doit/devrait y avoir quelque chose. Et pourtant, se le demander fait déjà qu'il y a quelque chose (une demande). C'est implacable. C'est là, ça a lieu, ça "événemente". L'événement est une nécessité.

On peut toujours se plonger dans un bain pour amoindrir la pesanteur, que cela n'ôte rien à la pesanteur, mais que cela risque à la longue, sans exercice, d'atrophier nos muscles et fragiliser notre peau. Il faut quoiqu'il en soit de la bravoure (action de braver, de passer outre) ou du courage (grandeur de cœur émotionnel) pour seulement accepter la peur de l'implacabilité, la pression de la nécessité, le souci ontologique. Le personnage d'Inamuno me semble alors dans le déni.

Il y a 2 heures, Annalevine a dit :

Le sens n’est pas quelque chose que l’on découvre le sens est quelque chose que l’on impose, par un acte de volonté.

Le sens "événemente" sans que nul ne le veuille, parce qu'il est courage (émotion) et bravoure (défi, défiance), c'est la vie-même. Les enfants sont ainsi, dans leurs pires comme leurs meilleurs moments, c'est pour cela qu'ils nous réveillent de notre torpeur insensée, car c'est une torpeur.

Mais permettez-moi de vous dire à tous que l'insensé, c'est toujours le sens du non-sens, c'est-à-dire ce qui pointe directionnellement vers son abolition. Quelqu'un sur le fil a dit, en citant Régis Debray, que nous étions sémiopathes : oui, a condition de bien comprendre ce pathos comme l'émotion-défi(ante). La vérité, c'est qu'elle nous émeut jusque dans nos plus placides vanités à dire que tout ne serait que vanité, par nihilisme. D'où que le nihilisme lui-même n'est qu'une maladie, maladie de la volonté en effet, puisque c'est toujours de la volonté, qui veut s'abolir. La vie-même en est-là, nous n'y pouvons rien, c'est une pression de la nécessité que cherche en vain à résorber Miguel de Unamuno, une implacabilité dont il n'y a pas à avoir peur. C'est Alea Athena.

Je crois que la spiritualité en provient essentiellement, de cette absence de peur. Par contre, quelqu'un qui ne sentirait pas cette provenance, serait effectivement quelqu'un qui utiliserait la spiritualité pour manipuler (à commencer par se mentir à soi-même) en éludant la pression de la nécessité/la peur de l'implacabilité. Hélas, même les nihilistes, c'est-à-dire généralement ceux qui dénient le spirituel, mais aussi plus généralement encore ceux qui vendent le non-sens, sont des manipulateurs. Le nihilisme, pour singulier que ce soit, est la spiritualité de l'antispiritualité, qui nécessairement/implacablement a besoin de la spiritualité, pour être antispirituel.

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
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Pourquoi tout au lieu de rien sur une p'tite planète qui paye pas de mine ?

Déjà, je ne sais pas si la planéte l'a décidée alors l'homme ?!

Modifié par brooder
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Membre, 43ans Posté(e)
InstantEternité Membre 1 134 messages
Baby Forumeur‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 39 minutes, Marzhin a dit :

Sur le nihilisme, il y a ce topic ForumFr, à toutes fins utiles concernant celui-ci.

Ça fait du bien, un topic commençant par une citation d'auteur. Il faut lire longuement, lire ainsi éveille l'acuité métacognitive utile en philosophie, parce que c'est comme une méditation.

Quelqu'un durant le fil du topic, a demandé pourquoi "doit" ? ... mais c'était répéter l'énoncé, puisqu'il disait quelle nécessité (ce qui est déjà en douter) suivi de quelque chose comme cette nécessité est une chimère. C'est dire donc que le locuteur, ici, cité par vos soins Jane Doe, dans le texte de Miguel de Unamuno, ne veut pas supporter l'implacable. C'est l'étymologie latine de nécessité : "ce qui ne cède pas", la *cessité là serait "ce qui cède".

Eh bien, la peur de l'implacabilité est quelque chose qui se laisse deviner dans les propos tactiques, tarantinesques et tonitruants d'Annalevine ...

... car en effet, la vie s'éprouve dans la survie, ce qui ne signifie pas qu'il faille être cruel. L'implacabilité des choses, que nous vivons régulièrement comme cruelle, est-elle cruelle ? L'implacable est-il le cruel ? ... Dans les films catastrophes, quand une âme tragique se suicide pour la survie du groupe, est-ce cruel ? ... Je crains que non.

Nous ne voulons pas endurer ce qui ne cède pas, l'implacable, la nécessité, parce que plus généralement nous ne voulons pas supporter la pression. Car c'est une pression, dans tous les sens du terme (force subie, souffrance, détresse, panique). Miguel de Unamuno, dans la citation proposée par Jane Doe, raisonne au fond, de telle sorte à dénier la pression de la nécessité, par peur de l'implacabilité.

Qui lui en voudrait ? Cette personne fictive, qui pourrait être le premier d'entre nous, exprime très clairement un souci ontologique, d'où qu'on se demande bien pourquoi il doit/devrait y avoir quelque chose. Et pourtant, se le demander fait déjà qu'il y a quelque chose (une demande). C'est implacable. C'est là, ça a lieu, ça "événemente". L'événement est une nécessité.

On peut toujours se plonger dans un bain pour amoindrir la pesanteur, que cela n'ôte rien à la pesanteur, mais que cela risque à la longue, sans exercice, d'atrophier nos muscles et fragiliser notre peau. Il faut quoiqu'il en soit de la bravoure (action de braver, de passer outre) ou du courage (grandeur de cœur émotionnel) pour seulement accepter la peur de l'implacabilité, la pression de la nécessité, le souci ontologique. Le personnage d'Inamuno me semble alors dans le déni.

Le sens "événemente" sans que nul ne le veuille, parce qu'il est courage (émotion) et bravoure (défi, défiance), c'est la vie-même. Les enfants sont ainsi, dans leurs pires comme leurs meilleurs moments, c'est pour cela qu'ils nous réveillent de notre torpeur insensée, car c'est une torpeur.

Mais permettez-moi de vous dire à tous que l'insensé, c'est toujours le sens du non-sens, c'est-à-dire ce qui pointe directionnellement vers son abolition. Quelqu'un sur le fil a dit, en citant Régis Debray, que nous étions sémiopathes : oui, a condition de bien comprendre ce pathos comme l'émotion-défi(ante). La vérité, c'est qu'elle nous émeut jusque dans nos plus placides vanités à dire que tout ne serait que vanité, par nihilisme. D'où que le nihilisme lui-même n'est qu'une maladie, maladie de la volonté en effet, puisque c'est toujours de la volonté, qui veut s'abolir. La vie-même en est-là, nous n'y pouvons rien, c'est une pression de la nécessité que cherche en vain à résorber Miguel de Unamuno, une implacabilité dont il n'y a pas à avoir peur. C'est Alea Athena.

Je crois que la spiritualité en provient essentiellement, de cette absence de peur. Par contre, quelqu'un qui ne sentirait pas cette provenance, serait effectivement quelqu'un qui utiliserait la spiritualité pour manipuler (à commencer par se mentir à soi-même) en éludant la pression de la nécessité/la peur de l'implacabilité. Hélas, même les nihilistes, c'est-à-dire généralement ceux qui dénient le spirituel, mais aussi plus généralement encore ceux qui vendent le non-sens, sont des manipulateurs. Le nihilisme, pour singulier que ce soit, est la spiritualité de l'antispiritualité, qui nécessairement/implacablement a besoin de la spiritualité, pour être antispirituel.

Belle analyse. J'avoue que perso je ne connais pas du tout "Miguel de Unamuno" et sa philosophie. Dans son oeuvre, comme vous l'avez expliqué, il est sûrement question d'implacabilité, le fait que nous sommes "gênés" qu'il y est quelque chose (si j'ai bien compris).

Cependant, dans un tout autre registre, la question "Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?" ne peut-elle pas être abordée d'une manière purement ontologique ? C'est-à-dire en fin de compte traduire cette question en le pourquoi de l'existence ? [Et cela sans recourir à une approche religieuse...??]

Modifié par InstantEternité
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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 728 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Jane Doe a dit :

“Dis-moi, quelle nécessité y a-t-il à l'existence de Dieu, du monde et de tout ?

Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?

Ne crois-tu pas que cette idée de nécessité n'est que la forme suprême que prend le hasard dans nos esprits ?”

Miguel de Unamuno / Brouillard

Bonsoir,

La combustion génère de la chaleur, et la chaleur génère de la combustion.

Ça s'appelle l'ignition.

Mais il ne s'agit là que d'ignition énergétique, et très entropique.

Pourquoi ne pas envisager un principe, lui aussi rétroactif, qui permettrait une ignition existentielle ?

 

Comme un média qui induirait un neurone, puis ce neurone qui transcenderait ce média.

L'existence serait le fruit de cette relation : un rapport de plasticité, et de contrainte, neurone-média ; une grammaire autosuffisante.

Cordialement, Fraction

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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)
il y a 8 minutes, Fraction a dit :

une grammaire autosuffisante.

Tout rêve d'autosuffisance (dans le sens d'un système de raisonnement) est tombé à l'eau depuis des lustres (CF Gödel).

Faudrait chercher ailleurs ! :)

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 728 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, Spontzy a dit :

Tout rêve d'autosuffisance (dans le sens d'un système de raisonnement) est tombé à l'eau depuis des lustres (CF Gödel).

Faudrait chercher ailleurs ! :)

Bonsoir,

L'ignition corpusculaire est systématiquement entropique.

Mais l'ignition dimensionnelle peut être envisagé comme néguentropique.

Cordialement, Fraction

Modifié par Fraction
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Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, Fraction a dit :

néguentropique.

Entropique ou néguentropique n'est pas la question. Par construction, une grammaire autosuffisante est incohérente, ou stérile.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 728 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, Spontzy a dit :

Entropique ou néguentropique n'est pas la question. Par construction, une grammaire autosuffisante est incohérente, ou stérile.

Si, il existe des grammaires notionnelles auto-suffisantes.

Il existe de nombreuses notions récursives, comme la volonté, la véracité et le réalisme :

Il est impossible de douter de sa propre véracité, parque la véracité est récursive, donc formellement autosuffisante.

 

Pourquoi le Bien est-il bien ?

Parce que le meilleur est mieux que le pire.

Le Bien s'auto-suffit donc sémantiquement.

Comme je le développe dans mon blog :

Cordialement, Fraction

Modifié par Fraction
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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, Marzhin a dit :

lire ainsi éveille l'acuité métacognitive

Bon ben moi j'ai essayé de te lire pour éveiller mon machin métatruc, parce que tu m'avais l'air assez sympathique.... mais en fait tu m'as perdu dès la première phrase ;)

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Invité Jane Doe
Invités, Posté(e)
Invité Jane Doe
Invité Jane Doe Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Dzag a dit :

Bon ben moi j'ai essayé de te lire pour éveiller mon machin métatruc, parce que tu m'avais l'air assez sympathique.... mais en fait tu m'as perdu dès la première phrase ;)

Moi aussi ils m'ont perdu, viens avec moi j'ai la direction du café :)

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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)
il y a 4 minutes, Jane Doe a dit :

Moi aussi ils m'ont perdu, viens avec moi j'ai la direction du café :)

Moi je te propose un truc. Vu que c'est toi qui a les clés.... on les enferme tous à l'intérieur pour qu'ils éveillent leur metamachin d'acuitruc... et nous on fait notre vie peinard :)

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 33 minutes, Spontzy a dit :

Tout rêve d'autosuffisance (dans le sens d'un système de raisonnement) est tombé à l'eau depuis des lustres (CF Gödel).

Faudrait chercher ailleurs ! :)

Je suis surpris de lire ceci de ta plume alors qu'aux dernières nouvelles tu exprimais, dans la lignée du livre Impostures intellectuelles de A.Sokal et Bricmont que Gödel ne concerne que le domaine très restreint de l'arithmétique et non l'ensemble de ce qu'on pourrait regrouper sous l'appellation système de raisonnement (qui ne comprend pas nécessairement l'arithmétique !).

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Jane Doe a dit :

“Dis-moi, quelle nécessité y a-t-il à l'existence de Dieu, du monde et de tout ?

Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?

Ne crois-tu pas que cette idée de nécessité n'est que la forme suprême que prend le hasard dans nos esprits ?”

Miguel de Unamuno / Brouillard

La trouille ! Voilà la réponse.

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Membre, 52ans Posté(e)
Aruna Membre 527 messages
Forumeur balbutiant‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, Dzag a dit :

Bon ben moi j'ai essayé de te lire pour éveiller mon machin métatruc, parce que tu m'avais l'air assez sympathique.... mais en fait tu m'as perdu dès la première phrase ;)

Tu n'as pas dû mettre assez de coeur à l'ouvrage ou alors tu n'as pas la foi ou sinon, encore pire, tu es tout simplement dépourvu de machin metatruc ! 😁

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Invité Dzag
Invités, Posté(e)
Invité Dzag
Invité Dzag Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Aruna a dit :

Tu n'as pas dû mettre assez de coeur à l'ouvrage ou alors tu n'as pas la foi ou sinon, encore pire, tu es tout simplement dépourvu de machin metatruc ! 😁

Les trois, mon capitaine ! :first:

il y a 4 minutes, pila a dit :

La trouille ! Voilà la réponse.

ouais je suis terrorisé rien qu'à l'idée d'une potentielle sanction divine....

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)

Il me semble que plus on a l'expérience de la vie, plus on a réfléchit en profondeur sur ses tenants et aboutissants, plus on se pose en effet la question: 

A quoi ça rime tout ça ?  ( ou est ce qu'il vaut la peine d'accéder a l'existence ? )

Ce qu'il y a de plus cohérent pour moi  ( le moins absurde) c'est la doctrine de la réincarnation et du Karma.

Mais si progresser de vies en vies amènent finalement a réaliser la vacuité de toutes choses et la fin de la souffrance, en quoi est ce préférable au néant ?

 

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Invité riad**
Invités, Posté(e)
Invité riad**
Invité riad** Invités 0 message
Posté(e)
il y a 17 minutes, Aruna a dit :

Tu n'as pas dû mettre assez de coeur à l'ouvrage ou alors tu n'as pas la foi ou sinon, encore pire, tu es tout simplement dépourvu de machin metatruc ! 😁

Il faut croire pour avoir la foi, autrement dit : il faut avoir la foi pour avoir la foi.

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