http://www.slate.fr/story/173544/crise-gilets-jaunes-catalyseur-violences-physiques-verbales

La crise des «gilets jaunes», catalyseur des violences physiques et verbales

Olivier Biffaud — 16 février 2019 à 11h03

Depuis trois mois, la France est secouée par un mouvement qui, au fil des semaines, a changé de nature. Il a ouvert les portes au complotisme et à l’antisémitisme

Prétendre que le mouvement initial des «gilets jaunes» est globalement violent et antisémite est contraire à la vérité. Inversement, affirmer que cette crise n'y est pour rien dans la «libération» des violences et de la parole antisémite est tout aussi contraire à la réalité. Les faits sont là. Ils n'accusent évidemment pas chaque «gilet jaune», homme ou femme, individuellement, mais ils mettent en évidence un enchaînement d'interactions qui ont ouvert une boîte de Pandore.

....

La crise a changé d'allure et de nature au fil des semaines

Cependant, de samedi en samedi, la mobilisation est devenue de plus en faible, particulièrement au cours du mois de janvier et, surtout début février. Alors qu'ils étaient près de 300.000 dans toute la France, le 17 novembre, les «gilets jaunes» n'étaient qu'un peu plus de 50.000 le 9 février, selon les chiffres diffusés par le ministère de l'Intérieur. Chiffres remis en cause par les manifestants et par ceux qui les soutiennent sur la scène politique.

Car au fil des semaines, ce mouvement qui se voulait «apolitique» et «a-syndical» a fait l'objet de travaux d'approche des formations politiques d'opposition les plus engagées, d'une tentative de convergence de la part de la CGT, d'infiltrations de plus en plus marquées et visibles des extrêmes droite et gauche. Ainsi, la crise a changé d'allure et de nature. Les marges ont pris le dessus.

Les figures féminines initiales du mouvement ont été progressivement marginalisées, écartées ou évincées. Certaines d'entre elles ont été menacées de mort. Ces menaces se sont portées aussi contre un grand nombre de députées et députés du parti présidentiel. Considérés soit à la botte du pouvoir, soit cornaqués par des milliardaires, les journalistes ont également été visés et les médias vilipendés. Des quotidiens ont été plusieurs fois empêchés de sortir de leurs imprimeries. Mécontents du traitement dont ils faisaient l'objet dans la presse des «gilets jaunes» s'en sont pris à des professionnels de l'information, hommes ou femmes.

Le mouvement a entraîné une radicalisation interne et externe

Le dernier incident en date a concerné, le 14 février, l'agence de Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) du Dauphiné. Sans qu'il soit possible d'attribuer tous les actes d'intimidation à des «gilets jaunes» –il ne fait guère de doute qu'ils sont impliqués dans certains d'entre eux, comme ici ou là–, force est de constater que le climat ainsi créé a démultiplié les actes individuels ou collectifs: lettres anonymes, incendies volontaires nocturnes, tags injurieux et antisémites... Il y a eu un durcissement externe.

.........

Propos complotistes et transgression de la parole antisémite

Ce déchaînement de violence qui est monté en puissance s'est accompagné au fur et à mesure d'un développement exponentiel des propos complotistes et d'une «libération», terme impropre puisqu'il s'agit d'une transgression, de la parole antisémite. Déjà visible dans les interventions et les vidéos sur Facebook de deux figures très écoutées des «gilets jaunes», Eric Drouet et Maxime Nicolle, ce complotisme est omniprésent sur Twitter dans cette sphère. Il est même repris par certains qui, sans sourciller, prétendent que les statistiques sur la hausse des actes antisémites en 2018 ne sont publiées, intentionnellement par les pouvoirs publics, que pour faire «diversion» face à un mouvement qu'il ne parvient pas à endiguer.

Ces transgressions cachent mal la volonté de couvrir des débordements antisémites qui sont facilités par la crise en cours et dont certains signes avant-coureurs, ultra-minoritaires, étaient visibles comme cette banderole sur un rond-point à proximité de Lyon (rapidement retirée par des «gilets jaunes» choqués), en décembre. Le problème est qu'il ne s'agit plus d'actes isolés, selon Jérôme Coumet, maire (PS) du XIII^e arrondissement de Paris et défenseur du street art, qui dénonçait, un acte «immonde, abject et surtout lâche!» après la découverte d'un tag de croix gammée sur le portrait de Simone Veil, visage dessiné par un artiste sur une boîte aux lettres du quartier.

.....

Ce mauvais courant d'antisémitisme a conduit Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, à proposer à tous les partis politiques, Rassemblement national et Debout La France exceptés, un texte intitulé «Ça suffit!» appelant à un rassemblement à Paris, le 19 février. Et comme si ce climat délétère n'était pas suffisant, un parfum rance de guerre civile est répandu par une autre figure des «gilets jaunes», Christophe Chalençon. Filmé en caméra cachée par une journaliste italienne après sa rencontre avec Luigi Di Maio, co-vice-président du Conseil italien et dirigeant du mouvement populiste Cinq étoiles, Chalençon prétend que «des paramilitaires» sont «prêts à intervenir» en France pour «faire tomber le pouvoir». Rien de moins.

Complotisme, antisémitisme, appel factieux à la guerre civile, un cocktail qui pourrait peut-être interroger les derniers «gilets jaunes» lucides!

il y a 38 minutes, DroitDeRéponse a dit :

http://www.slate.fr/story/173544/crise-gilets-jaunes-catalyseur-violences-physiques-verbales

 

La crise des «gilets jaunes», catalyseur des violences physiques et verbales

Olivier Biffaud — 16 février 2019 à 11h03

Depuis trois mois, la France est secouée par un mouvement qui, au fil des semaines, a changé de nature. Il a ouvert les portes au complotisme et à l’antisémitisme

Prétendre que le mouvement initial des «gilets jaunes» est globalement violent et antisémite est contraire à la vérité. Inversement, affirmer que cette crise n'y est pour rien dans la «libération» des violences et de la parole antisémite est tout aussi contraire à la réalité. Les faits sont là. Ils n'accusent évidemment pas chaque «gilet jaune», homme ou femme, individuellement, mais ils mettent en évidence un enchaînement d'interactions qui ont ouvert une boîte de Pandore.

....

La crise a changé d'allure et de nature au fil des semaines

Cependant, de samedi en samedi, la mobilisation est devenue de plus en faible, particulièrement au cours du mois de janvier et, surtout début février. Alors qu'ils étaient près de 300.000 dans toute la France, le 17 novembre, les «gilets jaunes» n'étaient qu'un peu plus de 50.000 le 9 février, selon les chiffres diffusés par le ministère de l'Intérieur. Chiffres remis en cause par les manifestants et par ceux qui les soutiennent sur la scène politique.

Car au fil des semaines, ce mouvement qui se voulait «apolitique» et «a-syndical» a fait l'objet de travaux d'approche des formations politiques d'opposition les plus engagées, d'une tentative de convergence de la part de la CGT, d'infiltrations de plus en plus marquées et visibles des extrêmes droite et gauche. Ainsi, la crise a changé d'allure et de nature. Les marges ont pris le dessus.

Les figures féminines initiales du mouvement ont été progressivement marginalisées, écartées ou évincées. Certaines d'entre elles ont été menacées de mort. Ces menaces se sont portées aussi contre un grand nombre de députées et députés du parti présidentiel. Considérés soit à la botte du pouvoir, soit cornaqués par des milliardaires, les journalistes ont également été visés et les médias vilipendés. Des quotidiens ont été plusieurs fois empêchés de sortir de leurs imprimeries. Mécontents du traitement dont ils faisaient l'objet dans la presse des «gilets jaunes» s'en sont pris à des professionnels de l'information, hommes ou femmes.

 

 

Le mouvement a entraîné une radicalisation interne et externe

Le dernier incident en date a concerné, le 14 février, l'agence de Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) du Dauphiné. Sans qu'il soit possible d'attribuer tous les actes d'intimidation à des «gilets jaunes» –il ne fait guère de doute qu'ils sont impliqués dans certains d'entre eux, comme ici ou là–, force est de constater que le climat ainsi créé a démultiplié les actes individuels ou collectifs: lettres anonymes, incendies volontaires nocturnes, tags injurieux et antisémites... Il y a eu un durcissement externe.

 

.........

Propos complotistes et transgression de la parole antisémite

Ce déchaînement de violence qui est monté en puissance s'est accompagné au fur et à mesure d'un développement exponentiel des propos complotistes et d'une «libération», terme impropre puisqu'il s'agit d'une transgression, de la parole antisémite. Déjà visible dans les interventions et les vidéos sur Facebook de deux figures très écoutées des «gilets jaunes», Eric Drouet et Maxime Nicolle, ce complotisme est omniprésent sur Twitter dans cette sphère. Il est même repris par certains qui, sans sourciller, prétendent que les statistiques sur la hausse des actes antisémites en 2018 ne sont publiées, intentionnellement par les pouvoirs publics, que pour faire «diversion» face à un mouvement qu'il ne parvient pas à endiguer.

Ces transgressions cachent mal la volonté de couvrir des débordements antisémites qui sont facilités par la crise en cours et dont certains signes avant-coureurs, ultra-minoritaires, étaient visibles comme cette banderole sur un rond-point à proximité de Lyon (rapidement retirée par des «gilets jaunes» choqués), en décembre. Le problème est qu'il ne s'agit plus d'actes isolés, selon Jérôme Coumet, maire (PS) du XIII^e arrondissement de Paris et défenseur du street art, qui dénonçait, un acte «immonde, abject et surtout lâche!» après la découverte d'un tag de croix gammée sur le portrait de Simone Veil, visage dessiné par un artiste sur une boîte aux lettres du quartier.

 

.....

Ce mauvais courant d'antisémitisme a conduit Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, à proposer à tous les partis politiques, Rassemblement national et Debout La France exceptés, un texte intitulé «Ça suffit!» appelant à un rassemblement à Paris, le 19 février. Et comme si ce climat délétère n'était pas suffisant, un parfum rance de guerre civile est répandu par une autre figure des «gilets jaunes», Christophe Chalençon. Filmé en caméra cachée par une journaliste italienne après sa rencontre avec Luigi Di Maio, co-vice-président du Conseil italien et dirigeant du mouvement populiste Cinq étoiles, Chalençon prétend que «des paramilitaires» sont «prêts à intervenir» en France pour «faire tomber le pouvoir». Rien de moins.

Complotisme, antisémitisme, appel factieux à la guerre civile, un cocktail qui pourrait peut-être interroger les derniers «gilets jaunes» lucides!

Rrrrâââ....M'enfin DDR .....(même si vous n'êtes pas l'auteur de ces lignes...)...

Et l'humilité et l'autocritique et la connaissance et ... l'altérité (je sais "kézako" ...) et le "connais-toi toi même"?

Tellement plus facile de flatter, dans une foule d'anonymes, la bête immonde qui  trouvera toujours une raison de vomir sa haine de cet /te autre qui lui est inaccessible par manque d'efforts ou de ce qui est décrit ci-dessus;

il y a 27 minutes, kilitout a dit :

Rrrrâââ....M'enfin DDR .....(même si vous n'êtes pas l'auteur de ces lignes...)...

Et l'humilité et l'autocritique et la connaissance et ... l'altérité (je sais "kézako" ...) et le "connais-toi toi même"?

Tellement plus facile de flatter, dans une foule d'anonymes, la bête immonde qui  trouvera toujours une raison de vomir sa haine de cet /te autre qui lui est inaccessible par manque d'efforts ou de ce qui est décrit ci-dessus;

Ca vomit pas mal en ce moment 

Ce brave GJ face à une police pas gentille

est l’auteur de 

Ca permet de comprendre cette haine de GJ pour Finkielkraut , ou la deco d’un rond point jaune 

Allons, allons, DDR...

On nous a tellement gavé de "Padamalgam" et de "Cepaçalislam" de «Touche pas à mon pote» qu’il n’y a pas de quoi s’étonner. Je me demande de quelle région française sont originaires "les GJs antisionistes portant keffieh" cet accoutrement ne faisant pas partie de nos costumes traditionnels.

Il y a 10 heures, LouiseAragon a dit :

Restons dans le sujet gilets-jaunes-quel-avenir-pour-le-mouvement ... ne suivons pas les trolls

 

Ni les journaux de propagande étrangère...

Mais bon, avec l'Huma et le PCF sponsorisés si longtemps à l'abreuvoir russe, c'est une habitude difficile à perdre...

Il y a 7 heures, Pales a dit :

Ils ont une assurance pour ce genre de Sinistre!!!

Qui te parles de ces Personnes?

Non ils n'ont pas d'assurances pour ce genre de délit dont ils sont victimes...

Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Après s'en être pris au Républicain Lorrain et d'autres journaux , les forces jaunes poursuivent leur action de rééducation de la presse

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2019/02/16/97001-20190216FILWWW00153-gilets-jaunes-l-agence-de-ouest-france-au-mans-attaquee.php

 

«Gilets jaunes» : l'agence de Ouest-France au Mans attaquée

 

 

Z'ont bien cassé  au Mans ce samedi...

-----------------Au Mans, des Gilets jaunes organisent un événement baptisé « 24h Pacifiq’Mans », entre marche et course, prévu pour durer de samedi, 9 h, à dimanche, 9 h. ---------

Bin c'est raté...pour le pacifisme on repassera...

Il y a 16 heures, LouiseAragon a dit :

Macron : Président des riches ?

Des "prix cassés" pour Macron. Dans sa plainte déposée le 14 juin, Anticor dénonçait de possibles "tentatives de détournements de fonds publics", "abus de confiance", "abus de bien sociaux" et violation du principe d'égalité entre les candidats.

L'association anticorruption s'appuyait sur le travail de médias - dont Mediapart, Le Monde et Radio France - qui accusaient principalement la campagne de l'actuel président d'avoir bénéficié de "prix cassés" et de "ristournes cachées", en particulier pour les locations de lieux de meeting et de matériel. Le parti d'Emmanuel Macron avait reproché à la presse de "monter en épingle des pseudo-révélations". 

 

L' "Après Macron" dictatorial  remettra tout à plat...

Et surtout, confisquera la possibilité de venir débattre, et surtout se plaindre, sur des forums d'expression libre, ce qui autorisera notre nouveau dictateur, de droite ou de gauche, c'est pareil, d'affirmer et de se convaincre qu' UN PEUPLE SOUMIS EST UN PEUPLE HEUREUX...

Un avenir radieux, Louise, ou Anticor, Facebook, Tweeter, Médiapart, etc... auront disparu des écrans... 

Il y a 16 heures, DroitDeRéponse a dit :

Je m’insurge en faux . Après sa déprime post présidentielle 2012 JLM a passé un peu de temps au plus près du pays le plus démocratique au monde . Un peu comme le leader du PCF pouvait se ressourcer dans la douce Roumanie ceaucescuienne

https://m.huffingtonpost.fr/2012/08/16/jean-luc-melenchon-vacances-venezuela_n_1789095.html

Aller se ressourcer, comme on va en pèlerinage, est une chose et permet de regonfler à bloc ses batteries progressistes... en n'oubliant pas, bien sûr, de détourner les yeux chaque fois qu'on croise la misère matérielle et morale dans ces contrées ou l'étatisme fait ruisseler ses bienfaits sur le bon peuple.

Mais le plus important, après avoir fait le plein idéologique (avec plomb, bien sûr...), est de retourner fissa dans le cocon occidental confortable, et continuer à vomir sereinement sur ce même système occidental.

Car vomir sur le système en place est le fond de commerce, fort lucratif au demeurant, des extrémistes de droite et gauche qui n'hésitent plus à se coaliser pour le faire tomber... calcul fort imprudent pour nos coalisés, et toujours désastreux pour le peuple qui, comme toujours, sera le premier à en faire les frais.

Je suis heureuse en France, pays qui gave ses feignants d'allocs diverses.

il y a 6 minutes, versys a dit :

Car vomir sur le système en place est le fond de commerce, fort lucratif au demeurant, des extrémistes de droite et gauche qui n'hésitent plus à se coaliser pour le faire tomber... calcul fort imprudent pour nos coalisés, et toujours désastreux pour le peuple qui, comme toujours, sera le premier à en faire les frais.

Il n'est pas interdit au peuple (et même salutaire) de faire savoir à ces extrémistes qu'on ne veut pas d'eux.

Il y a 4 heures, Morfou a dit :

Z'ont bien cassé  au Mans ce samedi...

-----------------Au Mans, des Gilets jaunes organisent un événement baptisé « 24h Pacifiq’Mans », entre marche et course, prévu pour durer de samedi, 9 h, à dimanche, 9 h. ---------

Bin c'est raté...pour le pacifisme on repassera...

Pacifisme, Citoyenneté, Revendications... les Gilets Jaunes enrobent leur mouvement d'une guimauve lénifiante...

En réalité, l' Ultra violence est leur seule dynamique et le dézinguage de Macron leur unique objectif. 

Je ne comprend pas les GJ : pourquoi se laissent ils infiltrer par ces petites merdes ? Ils gagneraient en sympathie si ils faisaient oeuvre utiles en virant ces extrémistes manu militari de leurs manifs. Et leur mouvement redeviendrait limpide pour l'opinion.

il y a 7 minutes, BELUGA a dit :

Il n'est pas interdit au peuple (et même salutaire) de faire savoir à ces extrémistes qu'on ne veut pas d'eux.

Certes, mais les contextes insurrectionnels, comme actuellement, peuvent conduire à balancer à la benne l'ensemble du concept Démocratique... les premiers à plonger étant, bien entendu notre brillante coalition RN/LFI...

Dans ce contexte, le peuple n'a plus DROIT à la parole, et celui qui cogne le plus fort prend le Pouvoir.

L' Après Macron, c'est : ?????? !!

Il y a 5 heures, Morfou a dit :

Z'ont bien cassé  au Mans ce samedi...

-----------------Au Mans, des Gilets jaunes organisent un événement baptisé « 24h Pacifiq’Mans », entre marche et course, prévu pour durer de samedi, 9 h, à dimanche, 9 h. ---------

Bin c'est raté...pour le pacifisme on repassera...

Ce mouvement est bizarre : depuis Noël, par ici, on ne voit plus l'ombre d'un GJ, les ronds points sont redevenus vides, tout le monde vit sa vie peinard, on regarde les infos en pensant que tout ce bordel se passe dans un autre pays... curieux comme impression. Même les réunions "grand dégâts" sont rares.

il y a 6 minutes, versys a dit :

L' Après Macron, c'est : ?????? !!

Ségolène Royal.

il y a 6 minutes, versys a dit :

L' Après Macron, c'est : ?????? !!

Tous ces gens me fatiguent, tant que ce n'est ni l'extrême droite, ni l'extrême gauche, je crois que je vais m'en foutre.

« Le niveau d’inégalité n’est plus toléré »

Gilets jaunes - Aux origines de la colère  : la crise de la répartition des richesses. Le mouvement des « gilets jaunes » se situe au carrefour de cinq crises que cinq experts, sollicités par  La Croix analysent toute la semaine. (...)

" Dans les pays de l’OCDE, le revenu des 10 % des ménages les plus riches est, en moyenne, 9,5 fois plus élevé que le revenu des 10 % des ménages les moins favorisés. En France, le rapport est de 1 à 8."  (...) Nous sommes arrivés, en France et ailleurs, à un niveau d’inégalités qui n’est plus toléré. On a atteint une limite. Si bien que toute mesure perçue comme injuste peut générer des réactions qui peuvent paraître disproportionnées. https://www.la-croix.com/Economie/France/Gilets-jaunes-Le-niveau-dinegalite-nest-tolere-2018-12-13-1200989371  

Il y a 2 heures, marine10 a dit :

Je suis heureuse en France, pays qui gave ses feignants d'allocs diverses.

Attend toi un Jour d’être a ton tour  "Gaver" de la sorte................. A ce moment là tu nous en diras des nouvelles

Je ne pense pas que tu cracheras dessus

Il y a 3 heures, BELUGA a dit :

Je ne comprend pas les GJ : pourquoi se laissent ils infiltrer par ces petites merdes ? Ils gagneraient en sympathie si ils faisaient oeuvre utiles en virant ces extrémistes manu militari de leurs manifs. Et leur mouvement redeviendrait limpide pour l'opinion.

Mais ils ne sont pas laissés infiltrer 

Ces  "petites merdes", comme tu dis sont la depuis le départ et sont ceux qui ont lancé le mouvement.

Drouet, Nicolas et Chalençon ont toujours fait partie des meneurs et même s'ils ont réussi à  berner entraîner beaucoup de gens de gauche avec eux  c'est bien une majorité de gens d'extrême droite qui l'a initié.