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Moi,ma vie ,mon Islam...


soliloquer

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Nouveau, Posté(e)
soliloquer Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour à toutes et à tous.

Que n'a-t-il eu envie,d'un tout nouveau départ

De croire par ces mots,à un si bel espoir

S’épanche de ces lettres l’émoi secret touchant

Frénésie de sa main mène fébrilement

Au vaisseau inconnu, interpréter l’histoire

Viennent clés du langage lui donner le pouvoir

Clairvoyante vision perception de l’instant

Intense sensation qui sublime présent

Et soudain réalise qu’existe un autre part

Apparaissent alors regrets de sa mémoire

Naufrage de soupirs puis de sanglotements

Trop mure de souvenirs brisent le contenant

Comme barrage cède à furie d’un lahar

Débris de ses élans d’autres âges prennent part

Perceptions par milliers jaillissent brusquement

Et racines s’étanchent au plus profondément

Comme bête haletante qu'on mène à l'abreuvoir

Assoiffé de ces mots comme encre sur buvard

Pensées de s'éclairer à ces mots tournoyants

Fusent claquent et l’entourent en le bouleversant

Rêves de s’enrouler sur le grand dévidoir

Des illusions rendues ce nouveau défouloir

Ne marche déjà plus s’envole à travers temps

Il s'écrit à lui-même en se remémorant

Et ses joies et ses peines en vide réservoir

De ce trop-plein de dire resté dans l’isoloir

 

Que de terres promises l'ont oublié un temps

Mais que souffles nouveaux,fondent si beau moment

Il jubile de plaisir,il ne peut pas y croire

C'est pourtant à présent,relevant son regard

Par-dessus les écueils,de longs atermoiements

Se propulse d'un bond,plus haut qu'au firmament

Il découvre en ce texte,un de ces moments rares

Et dans la vie d'un homme,que l'on nomme aussi phare

Il espère et bien plus,que se fixe l’instant

En son for intérieur,il y croit à présent

Qu'en sera-t-il demain ?Cela le laisse hagard 

Se peut-il que d'un coup,a nouveau il s'égare ?

Et que joie et délices acquis si fraîchement

Aussi vite venus,s'en aille subitement

Non cela ne se peut,et il n'est pas trop tard

Pour que si beau cadeau,de son cœur ne s'empare

Fasse naître en son sein la lueur permettant

Laisser dos au passé et affronter le temps

Oubliés les remords serviles désespoirs

Effacés déceptions et regrets,il repart

À l'assaut de ces mots, de ces monts ,il le sent

Il ne pourra les vaincre qu'en ne les gravissant

Sur ces vierges sommets où porte son regard

Le front haut et si fier ,de courage il se pare

Et clamer verbes fort,désormais qu'il est temps

Que du fond de son âme sortent pressentiments

Ne reculera pas, maintenant il s'empare

De ce qu'hier encore paraissait illusoire

Il ne peut contenir les frissons du moment

Tient le cap s'acharne, il en fait le serment

Et ce serait trahir,ou bien pire ne pas croire

Que ces bienfaits du ciel ne puissent être de gloire

À tout prix, ne laissez aucun homme, même cent

Entraver le destin de tous ses sentiments

Chaotiques ordonnés , méritent leurs histoires

Et comment pourrait-il les laisser ainsi choir

Ils n'ont soif que de vivre et plus qu’intensément

Ne jamais plus souffrir d'un tel enfermement

Le carcan sur son cœur cédera aux nectars

Cette soif de partir, de nouveaux territoires

Il ne vivait qu'hiver et son renoncement

Aujourd'hui et demain lui seront son printemps

Qu'en leurs absences hier au milieu du brouillard

Il avait vécu seul sans jamais percevoir

Qu'ils étaient là en lui attendant patiemment

Qu'on leur ouvre la porte pour sortir du néant

Ne pas se résigner et surtout ne pas croire

Qu'au milieu de la boue on ne puisse entrevoir

Maculé de lumière cet émerveillement

Sens qu’un homme debout son épanouissement

Et dans la résonance d'un ton déclamatoire

Voix pleine de puissance de nous conter l'histoire

D'une vie sans relief , apparences seulement

Collé de bout d'ennui se font jaillissements

Aspirant un ailleurs qui tutoie les victoires

Et laissant loin de lui lendemains de cafard

Tous les maux de la terre dont il était souffrant

D'abdiquer sur l'autel du juste jugement

Loin de vie pointillé ou instants accaparent

Années jours et minutes sans autres échappatoires

Que la triste rengaine du recommencement

À moins qu'éclat ne viennent initier mouvement

Que l'alchimie obtienne le glas de l’accessoire

Loin de ses mornes jours qui soudain se séparent

De ce temps avachi terne et assoupissant

Qui nous anéantit enferme l'éloquent

Bientôt il se reprend élocution rembarre

Son être bannira pensés diffamatoires

Il ne saurait plus taire désormais il attend

De faire face à l’austère il leur jette le gant

Tentant dernière fois de leurs réquisitoires

De le faire vaciller et le doute en poignard

Geôliers l'entraveront lui diront méprisants

Qu'il a gâché sa vie qu'il vaut peu,qu’il le sent

Que jamais le corbeau ne devint sur le tard

Pareil au rossignol même dans cauchemar

Qu'il est tard,qu'il est creux ,que personne ne l'attend

Forces le quitteront et ses désirs ardents

Écrire il ne pourra lui pauvre scribouillard

Qu’à la source des mots il ne pourra reboire

Hors de lui chassera sinistre règlement

Les jettera en l’air lui et ses partisans

Avoir voix au Chapitre face à ces goguenards

N’est pas pour lui déplaire dresse des traquenards

Qu'importe la césure et son requis tranchant

Qui inflige morsure lui cassera les dents

Hémistiche coupure de son grand découpoir

Qui toise qui se fiche du plus pur nous dépare

Des syllabes se moque lui est bien plus seyant

Et ce texte les troque en s'en débarrassant

Riches ou pauvres rimes ne pourront que valoir

Que ce qu’elles procurent provoquent grand chambard

Masculines féminines, est-ce donc suffisant ?

Singulières ou plurielles, en les utilisant

Elles qui se contrefichent du discriminatoire

Explosent poudrière de tous ces papelards

Répétitions de mots les assume bégaiements

Jamais ne nous déçûmes de tels rabâchements

Que mélanges des temps les veut ostentatoires

Présent passé futur bien plus évocatoires

De ce mètre comptable fait feu d’enjambement

Que ne trébuchent pieds ainsi en se faisant

Rigueurs académiques dans leur lourd corbillard

Les pulvérisera balaiera ces vantards

Rudesses sémantiques nous privent en se coupant

Des promesses captives lyriques envolements

De l’impact n’en a cure lui qui n’est pas Ronsard

N'a que faire de censure de son grand écumoire

Il compose décompose et inlassablement

Alphabet a pour plaire à son contentement

Et bien qu’il vous assène de ces quelques brocards

Il faudra vous y faire Il tiendra le crachoir

 

Ne vous y trompez pas il n’est pas bien méchant

Son vœu n’est que d’écrire il est même attachant

Ne surtout rien omettre que se vident tiroirs

Du lancinant passé qui perce de son dard

Et ressasse nos vies en nous empoisonnant

Du venin du peut-être aurai-je fait autrement

Au-delà du paraître et de son air criard

Qui nous impose à tous le manipulatoire

S’il ne ressemble à rien, ce texte ,saignement

N’a que pour s’en remettre, ces mots en pansements

Tribuns ,griots, conteurs héritiers lui font-part

Et l’écho d’égaler dans l'éclat se mouvoir

Il n’a pas de tribu et encor moins de clan

L’important est de n’être ni le noir ni le blanc

Langage est sans frontières d’essence migratoire

Là où il passe, il reste résiste et contrecarre

Folies couleurs de peaux, nations empires mourants

Qui saignent humanité depuis la nuit des temps

Que vérité console l’auguste pleurnichard

On ne peut la chasser sortez donc vos mouchoirs

 

Il baignera visage du levé ravissant

Promesses d’une page aux reflets saisissants

Son passé il le sait n'est pas fruit du hasard

Le cancre qu'il était peut enfin prendre part

À récolte des fruits en a rêvé souvent

Tout au fond de la classe, sans oser pour autant

Montrer que lui aussi devant un auditoire

Ne tremble déjà plus il va au tableau noir

Mots devenus amis hier encore distants

De sa main les unit se montrent alors aimants

Et ses doigts de puiser au vaste répertoire

De l'Alpha l'Oméga ses lèvres s'accaparent

De leur sens désaltère ses écrits balbutiants

Aspergent de leurs gouttes affection se répand

Avide de leur goût s’en délecte à en boire

S'en humecte la bouche du fabuleux pouvoir

De ces mots qui nous touchent traduisent l’émouvant

Le vieillard farouche le transforme en enfant

Qu'hier il a été et le passé s’effare

Parvient du bout des lettres qui lui laissent entrevoir

Qu’entièreté de vie lui donne attachement

Que discours viennent à lui si naturellement

Ils fracassent les murs de tous ces échaudoirs

Que sont ces écorcheurs maîtres du péremptoire

Contemplateurs serviles du malheureusement

Et leurs langues habiles griffent déchirements

Assassins de lueurs aux dires inquisitoires

Les hautains arrogants aux discours braillards

Il n’attend rien de l’homme pas un remerciement

Il puise aussi sa force dans le renoncement

N’en déplaise aux extrêmes de droite ou laïcard

Qu’indispose l’idée qu’indigène blédard

De n’être que racaille peu ou prou approchant

Aligne ,ose, réplique, soit de taille et se fend

De dire haut et fort qu’il est assez bizarre

Au nom de république et de nous, décevoir

Idée si pathétique tel obscurcissement

Qu’on n’accepte que l’autre s’il n’est pas différent

La patrie des lumières s’éclaire d’un bougeoir

Où sont ses droits de l’homme devenus rêves épars

Aux frontons la devise se défait lentement

Liberté pas venue ,était-elle au courant?

Égalité pas vue enfermée au placard

Fraternité vaincue à grand coup d’assommoir

Pas venu pas vu et vaincu, si seulement!

Et comme il lui faut rendre bien lui appartenant

À illustre grand homme jamais ne se compare

Veni, vidi, vici il le laisse à César

 

Assister en muet n’est pas cautionnement

C’est aussi par silences qu’il combat en dedans

Les calomnies sur lui glissent sans prévaloir

N’a que faire des on-dit et de leurs racontars

Qui font taire les hommes et leur discernement

Lui dont les mots résonnent seront-ils raisonnants?

Reddition mots à terre ne peut se concevoir

Que mieux vaut lettres mortes que mots capitulards

Que son droit à la vie il le veut il le prend

Forteresses et prisons jamais plus châtiments

Il est fruit des tempêtes lettres sur aiguisoir

Qui tranche et interprète la fin de l’abattoir

Que son pire ennemi et depuis bien longtemps

N'était autre que lui il le sait à présent

Désormais table rase de sa vie ce prétoire

Médisances des hommes ne pourront le déchoir

Il a de même appris en se désenchaînant

Que c’est en liberté qu’oiseau a plus beau chant

Qu'inspiré par Icare s'évade des couloirs

Les lettres l'ont sauvé du dédale qui égare

Que ses ailles et sa cire mots en enseignement

Qu'à soleil Plumes écrivent pour qu'il soit indulgent

Et vient enfin renfort alexandrin nous narre

Prince de rhétorique Conquête concevoir

Et pour se faire, appelle le roi des conquérants

Qu'est son illustre Aïeul Alexandre le Grand

Qu'il sorte de ses tripes symphonies oratoires

Tableaux énigmatiques qui hantent invocatoires

Qu'océan se retire annonçant imminent

La déferlante vague , grand bouleversement

Ce cri du fond de soi qui lève les amarres

S'amplifie peu à peu et d'un seul coup prépare

Bataille qui s'annonce qu'il soit grandiloquent

Que chemin accompli couronne ce tournant

Que gronde la revanche de son grand tintamarre

Déclenche furibonde le tout nouveau devoir

Que sa verve s’attache comme aboutissement

Que recueil fasse mouche avec ses sentiments

Atteigne émoi farouche qu’il en soit l’amorçoir

De ce remue-méninges de ce grand Trafalgar

Que légions de consciences y prennent engagement

De n'inviter qu'au bien réduire mal au néant

Cette voie cette route ,l’épuisent à la barre

Le récit se précise et libère ces bagnards

Rêverie si fertile dit malhabilement

Que ce texte il y tient qu’il est plus qu’impatient

Qu’il prenne forme et vie qu'enfin il puisse voir

Ce qu'esprit devenu, ce grand laboratoire

Ses ambitions cachées début chuchotements

Murmureront d'abord dans l’enchevêtrement

Des secrets inavoués ces proies du moratoire

De la sincérité qui aujourd'hui déclare

Que celui qu'il était eut faveur de l'élan

Des phrases qui déversent réflexions en torrent

Mots aujourd’hui sur lui se sont mis a pleuvoir

Et ces pluies salvatrices effacent laminoirs

Leurs ondées bienfaisantes en inondent les rangs

Souffles d'inspirations pris de saisissement

Alors allégories fusent de toute part

Et de leurs artifices feux hallucinatoires

Font luire l’édifice de l’étincellement

Qu’est son seul vœu d’écrire en le cristallisant

S'étreignent les désirs et s’éteignent éteignoirs

Rencontre d’une lettre et de son Écritoire

Ses seules armes sa foi son effort l’invitant

Chaque jour au jihad son âme combattant

Qu'il a réalisé que parfois a s’asseoir

Quand tout autour de vous n’est que le dérisoire

D’une réalité sempiternellement

Gâché à ne courir qu’après moulins à vent

Il est bon de sentir et d’entrapercevoir

Que toutes créations n’est que de vibratoire

Délicieuse harmonie de ce contentement

Qui le pousse à l’envie et de voir autrement

Toutes ces particules pléiade de savoir

Heureuses d’exister quittent leur tour d’ivoire

Maintenant elles respirent différentes d’avant

Le succès est si proche fin du renoncement

Elles qui sont maintenant des millions des milliards

Lancent dernières forces du haut des promontoires

Et ses troupes en présence de s'allier chevauchant

Au milieu du tumulte du grand bouillonnement

Elles seront là debout comme des étendards

Et brandies par sa bouche comme les derniers remparts

Face au désert de vie d'où naissent les tourments

Et dont il ne veut plus se soumettre à présent

Ce combat d’une vie voudra faire valoir

Verbe crépitera à leur tête prend part

Et ses inspirations formeront régiments

Endurance et patience en sont les lieutenants

Feront face aux murailles hérissées d’étouffoirs

Ils les éventreront à grands coups de boutoir

Bataillons d’émotions montreront dévouement

Sensations en cohortes derniers retranchements

Repousseront bien loin doutes qui désemparent

Qui lui ont fait baisser les yeux face au miroir

Ses paroles en archers formeront nombreux rangs

Leurs flèches décochées lui perceront le flanc

À ce silence hurlant pareil au laminoir

Soudainement fait place a envie d'émouvoir

De ces blessures coulent les desseins abondants

Et du sang de l'obscure jaillit rayonnement

Connaissance est un art l'abandon un ignare

Dire n'est pas savoir, mais écrire est y croire

Fatigués de subir ultimes combattants

Pensés martyrs s’immolent pour que paisiblement

Poussière d’existence puisse s'apercevoir

Que ce qui nous est proche n’est que de provisoire

Qu’être tout simplement c'est mourir chaque instant

Mort n’est que fin de ligne, mais pas achèvement

Que futur et passé ne sont que dérisoires

Et que seul le présent amène au méritoire

Métaphores surgissent fin de l’isolement

Mènent les paraboles dans leurs cheminements

Aux confins de son être s’enfuiront charognards

Qui venus se repaitre dans sombres croupissoirs

Voulant faire renaitre insidieusement

Sur sa main les effets du vile tremblement

Et que mots ne se turent qu’en ne restant avares

À ce flot de vertu qui surgit par égard

À ce vent de valeurs le berçant insouciant

Audace ne se vit qu’avec brin d’inconscient

Inextinguible envie que sorte du pressoir

Sa vérité perdue en sera l’attisoir

Ni épitre ni ode à rien ne ressemblant

Ces propos sont les siens sans titre l’affublant

Matin Fleurs et bourgeons lui ont sans crier gare

Confié de sous leurs voûtes caresses qui réparent

Incapable de dire ce qu'il a et ressent

Dorénavant frissons planent intérieurement

À cime du langage phrases ont trouvé perchoir

Dominant canopée palabre grand bavard

Avec toutes leur branches ses amies l’accueillant

Il s’exprime elles écoutent il leur confie patient

L’invitent le convie au fabuleux au rare

En lui fleurissent alors lettres qui lui font part

Tous ces mots sur ses branches comme pollens au vent

Il aime a le penser s’en iront consolant

Épreuves et douleurs heurtant de toute part

Que le partage en lui il fallait percevoir

Ce texte veut l’offrir à tous les fils d’Adam

Aura-t-il une écoute quelqu’un le comprenant

Ses propos ne reflètent même contradictoires

Que quête d’un repos qui n’est pas provisoire

Son désir d'embrasser ces jardins luxuriants

Ampli du plein été et ces senteurs d’antan

Poème ne se révèle qu'à vers épris de croire

Et que sa mélodie en est le plus beau fard

Ne s’abandonnent mots que véritablement

Qu’a esprit qui foisonne et qui tente humblement

Que lui inspire lettres qu’horizons se chamarrent

À sourire à autrui sans être revanchard

ll est certes naïf n’en est pas moins conscient

Que sont bien plus nombreux les morts que les vivants

Qu’avoir peur de la fin n’empêche pas mouroir

Que vie nous devons craindre et rattraper retard

Et qu’il faut se méfier l’illusionniste temps

Ne fait que nous duper répit nous promettant

Qu’il est vain de remettre à demain et surseoir

Bagages nous faut poser et de rendre les arrhes

Il ne s’est enrichi qu’en ne s’appauvrissant

De ce butin maudit qu’est l’égoïstement

Que du sol à son front il avait dû falloir

Bien plus que se baisser chemins exploratoires

Leçons y faire quête ses plaintes les confiant

À l’Unique Au Suprême Au Doux Au Très Clément

Épreuves qui nous touchent assènent leurs escarres

Arrache à cette vie l’écorce de ses tares

Se juger incapable se fait bien aisément

S'octroyer une chance compter aveuglément

Qu'espérance se peut qu'à qui veut bien y croire

Paroles s'apprivoisent si l'on sait recevoir

Que du cœur à la bouche il nous faut bien souvent

Pour que récit accouche et son avènement

Nous armer d’espérance tenir bon le semoir

Et pour que germent graines éloignant les déboires

Que disparaisse haine qu'on se sente vivant

Que l'on sème d'amour de tendre le blâmant

Que noblesse laboure champ aride et avare

De l’ego qui oppresse qu’en retour le versoir

Arrache cet avide qui rend sourd oubliant

Qu’à esprit qui rayonne plus de renoncement

Qu’œil pour œil dent pour dent n’est pas obligatoire

Que quiconque y renonce charité expiatoire

Qu’avant de ne voir l’autre et son air menaçant

Il fallait faire notre main tendue humblement

Qu’exemples de nos vies invitent a promouvoir

Du merveilleux message de l’Islam fasse part

Fut dit au meilleur homme au tout commencement

« Lis au Nom Du Seigneur» Il Est Le Tout Puissant

Il tressaille elles l’émeuvent ne pouvait pas prévoir

Qu’à force de regarder il n’avait pas su voir

Et que ligne après ligne narration se faisant

Ses écrits lui ont dit vérité révélant

Que son vœu de partance nouvelle trajectoire

Blanche page dévoile du mystère se dépare

Lui cisèle ses lèvres comme seul dévouement

Révélant ces orfèvres qu’avant tout est croyant

Il chutera sans doute, mais sans larmes il repart

De ses combats perdus naîtront bien des victoires

Un matin sans nul doute fatigué et mourant

Il posera le glaive des mots et souriant

Conscient que tout se peut rien n'est aléatoire

Et qu’il aura fallu pour cela le vouloir

À l’âtre de ces mots son esprit demeurant

À éclairé esprit épris d’entendement

Que ces mots il les aime ils lui sont déversoirs

Pareil au prisonnier espérant le parloir

Harassé du chemin et souvent vacillant

Des souvenirs passés aux accents inspirants

S’était caché sous terre pour ne plus jamais voir

Élevé dans le ciel pour ne pas perdre espoir

Que sa réalité ne l'était pas vraiment

Et que s'il s'est trompé se pardonne à présent

Derrière le décor de sa vie à l’écart

Il s’était éreinté avait serré mâchoires

Tirera des leçons dressera le bilan

Que chemin accompli couronne ce tournant

Baisse lumière déjà arrive le grand soir

Appelle ses parents seul au milieu du noir

Il n’y aura plus trace de ce ressentiment

Il se retournera de ses yeux contemplant

Toutes ses émotions couchées sur le blafard

De ces feuilles désertes lui seront exutoires

Sur le champs de bataille froissés au sol jonchant

Par ses mains déchirées nées de l’acharnement

D’une plume trempée de vœux conciliatoires

Qui n’a souhaité que paix comme porte-étendard

Il a aimé la vie, mais à dire vraiment

Ne la pleurera pas son âme s’échappant

Et lui ce funambule sur le fil du rasoir

Franchira sans péril crépuscules barbares

S’est blotti vie durant dans le recueillement

À l’ombre du mystère en secret espérant

Qu’existence confié ne soit pas repoussoir

Que ses actes passés de bonté y pourvoir

Résonne sa poitrine de tous les battements

De ce cœur métronome qui assène moments

La lumière est si proche il ne peut y mécroire 

À fontaine des mots, il n’a cessé de boire

Au chevet de sa vie sont venus doucement

Effleurer son esprit déposer testament

Ont consolé ses peines ils ôtent le foulard

Qu’il porta vie durant fin du colin-maillard

Et c’est en l’écrivant qu’il est saisit conscient

Que les cieux sont largesses si généreusement

Monde parfois cruel lui est rédhibitoire

A-t-il fait de son mieux pour y faire la part

De l’éveil ou du rêve que vivons-nous vraiment

Tant de choses dont l’homme est encore ignorant

Rendre grâce il lui reste et à bien des égards

Que rennes du destin ne peuvent décevoir

Les yeux mi-clos bercés accueillent agréments

File vers le couchant lumière l’y attend

Ses feuillets d’existence sur le grand étendoir

Conjugueront destin avec le verbe croire

Il n’a pas tout saisi de la vie sûrement

Espère le pardon des fautes et errements

Qu’avant de ne partir et de dire au revoir

Son Créateur il loue vie n’est que transitoire

Atteste de sa foi à l’Unique Omniscient

Que parcours ne fut riche qu’à Son Consentement

Cette manne Céleste moments jubilatoires

Qui l’a vu choisir être pour délaissé avoir

Il lui aura manqué toute sa vie durant

Ce paradis rêvé qu’il attend maintenant

Avant que mal et bien dans balance comparent

Implorera sans doute Le Clément Y Pourvoir

Lui a Serti son âme d’un cœur compatissant

Que sagesse est un don précieux immensément

Il sait à ce moment et rien d’équivaloir

Que plus belle parole est Allah Ouakbar

Que la vie et l’amour et tous les sentiments

Ne se peuvent l’a compris que d’éternellement

Ne les attendaient plus les perpétuels fuyards

Que supplique présente lui soit prémonitoire

En tenue d’apparat et victorieusement

Lettres en capitales convieront dénouement

De leurs bannières au vent éloigneront pillards

Toutes ces certitudes lui étaient un fermoir

Et point final levé si solennellement

Il rendra dernier souffle feuilles à la main gisant

Sentira partir âme pour l’interrogatoire

Se dira qu’il a cru n’être qu’un vieux grimoire

Sur la pointe des pieds silence accompagnant

Poussiéreux esseulé, mais o combien vivant

Sur lequel sont venus se poser, mais bien tard

Quelques mots ,quelques rimes à l’ultime départ.

 

Que n’a-t-il eut envie d’un tout nouveau départ…

Copyright "©" SOLILOQUER

 

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Membre, 116ans Posté(e)
nerelucia Membre 12 886 messages
Baby Forumeur‚ 116ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, l'abbe resina a dit :

:hum: :help:

au secours !!!!!!

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Membre, 62ans Posté(e)
PapesseJeanne Membre 2 167 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Il aurait dû choisir une police plus grande...

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Invité Kretine
Invités, Posté(e)
Invité Kretine
Invité Kretine Invités 0 message
Posté(e)

Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris :sleep:

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Membre, 156ans Posté(e)
fullmetal06 Membre 4 145 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)

j'ai envie de vomir c'est normal docteur !!

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Invité philkeun
Invités, Posté(e)
Invité philkeun
Invité philkeun Invités 0 message
Posté(e)

Mdr, c'est pas considéré comme un gros spam de merde ça ?

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 800 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Au secouuuurs !! J'ai même pas scroller jusqu'à la fin ! Laisse tomber.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Il mérite au moins ça:

12100706564211697510408228.jpg

:D

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Membre, 75ans Posté(e)
hybridex Membre 8 333 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

Le Coran sourate 26 (les poètes)  versets 221 et suivants

"

221. Vous apprendrai-Je sur qui les diables descendent ?

 

222. Ils descendent sur tout calomniateur, pécheur.

 

223. Ils tendent l'oreille… Cependant, la plupart d'entre eux sont menteurs.

 

224. Et quant aux poètes, ce sont les égarés qui les suivent.

 

225. Ne vois-tu pas qu'ils divaguent dans chaque vallée,

 

226. et qu'ils disent ce qu'ils ne font pas ?"

 

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Membre, Zigbu, 76ans Posté(e)
Zigbu Membre 6 639 messages
76ans‚ Zigbu,
Posté(e)

Faut avoir du souffle pour lire une phrase aussi longue ! Pas réussi.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Un sacré pavé , pour une entrée , c'est pas mal :smile2:

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 889 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Enfiler les mots comme des perles ne fait pas la littérature. Et la ponctuation ? Ca n'existe pas les signes diacritiques ?

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Membre, 71ans Posté(e)
Caravage Membre 5 998 messages
Baby Forumeur‚ 71ans‚
Posté(e)

on dirait un peu de l'alsacien!!:ange2:

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 14 heures, soliloquer a dit :

Bonjour à toutes et à tous.

 

Que n'a-t-il eu envie,d'un tout nouveau départ

De croire par ces mots,à un si bel espoir

etc etc un pavé de m......

 

Moi, ma vie, mon athéisme....

mais ça ne me viendrait pas à l'idée de venir faire chier tout le monde avec ça....

et merdalors on constate une nouvelle foi que c'est un musulman qui vient nous faire braire avec une page indigeste de prosélytisme de merde!

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Membre, Posté(e)
versys Membre 17 114 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 32 minutes, dubandelaroche a dit :

et merdalors on constate une nouvelle foi que c'est un musulman qui vient nous faire braire avec une page indigeste de prosélytisme de merde!

Rien d'étonnant venant de cette catégorie de musulmans, d'abord, comme ici, la provoc, et tout de suite aprés, la victimisation... :mef:

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Scénon Membre 3 531 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a 35 minutes, dubandelaroche a dit :

... mon athéisme... ça ne me viendrait pas à l'idée de venir faire chier tout le monde avec ça.

 

Soliloquer en est à sa toute première contribution, et si son poème est long, sa proclamation de foi s'y fait plutôt discrète.

Vous, c'est la cent vingt-troisième fois que je lis, sans m'en plaindre, que vous vous dites athée.

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Scénon a dit :

 

Vous, c'est la cent vingt-troisième fois que je lis, sans m'en plaindre, que vous vous dites athée.

Sauf que je le dis pour me situer dans des échanges et sans faire chier le monde avec des dizaines de lignes de prosélytisme à ce sujet....

nb: 123????? donc j'ai logiquement eu 123 occasions de constater que, de votre côté, vous êtes croyant et ce sans m'en plaindre....

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