Mouais, ça doit être pace que ce sont des tendres, dans la cité des 3000....

il y a 1 minute, Out of Paprika a dit :

Mouais, ça doit être pace que ce sont des tendres, dans la cité des 3000....

banlieu, lieu du bannissement

il y a 9 minutes, azed1967 a dit :

A Aulnay-sous-Bois, « les contrôles violents, c’est notre quotidien »

D’une même voix, les jeunes de la cité des « 3 000 » évoquent des contrôles d’identité quotidiens, qui tournent souvent à la démonstration de force et à l’humiliation.

LE MONDE | 16.02.2017 à 13h01 • Mis à jour le 16.02.2017 à 14h27 |

http://www.lemonde.fr/violences-policieres/article/2017/02/16/a-aulnay-sous-bois-les-controles-violents-c-est-notre-quotidien_5080694_5078781.html#wYTEb6godvgUHVLO.99

Et si ces braves garçons innocents ( si, si...) se liguaient pour dénoncer leurs collègues voyous, si ces bons ptits gars faisaient eux mêmes le ménage ? Peut-être que leur quotidien changerait non ? Après tout, si on suppose qu'il y a plus de charmants bambins en devenir que de gros voyous, ça ne devrait pas être si difficile d'anéantir la véritable racaille qui jette le discrédit sur ces cités de rêve. La loi du nombre devrait faire gagner l'honnêteté.

il y a 4 minutes, l'abbe resina a dit :

Et si ces braves garçons innocents ( si, si...) se liguaient pour dénoncer leurs collègues voyous, si ces bons ptits gars faisaient eux mêmes le ménage ? Peut-être que leur quotidien changerait non ? Après tout, si on suppose qu'il y a plus de charmants bambins en devenir que de gros voyous, ça ne devrait pas être si difficile d'anéantir la véritable racaille qui jette le discrédit sur ces cités de rêve. La loi du nombre devrait faire gagner l'honnêteté.

 

les banlieue ont toujours été stigmatisées bien avant l'arrivée des maghrébins ou autres

banlieue

Le mot se charge de connotations dépréciatives au début du XIX^e siècle. L'espace périphérique des grandes agglomérations est alors regardé comme le lieu où vit une population géographiquement proche, mais qui conserve des attitudes provinciales vues comme arriérées, car elle ne vibre pas au rythme de la ville. C'est, dans les Misérables de Victor Hugo, le mépris qu'exprime la chanson de Gavroche lorsque l'autorité fait donner des gardes nationaux de banlieue contre les émeutiers de juin 1832 :

On trouve encore l'écho de ce contenu péjoratif du concept de « banlieue » lors de l'apparition du terme « banlieusard », attesté pour la première fois en 1889⁴ à l’occasion d’une polémique de nature politique entre élus de Paris et élus de banlieue, les premiers accusant les seconds d’être des ruraux, attardés et réactionnaires, des « banlieusards »⁵. Le terme a rapidement perdu de sa charge péjorative pour venir désigner les actifs – ouvriers et surtout employés – résidant en banlieue et venant travailler tous les jours à Paris par les chemins de fer, les bateaux ou les tramways. Ce qu’on est convenu d’appeler les « migrations alternantes » ou les « mouvements pendulaires » sont déjà importants à Paris avant 1914. « Banlieusard » a gardé ce sens jusqu’à nos jours⁶.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Banlieue

Deux semaines après sa violente interpellation, Théo est sorti de l'hôpital

http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/arrestation-violente-a-aulnay-sous-bois/deux-semaines-apres-sa-violente-interpellation-theo-est-sorti-de-l-hopital_2062839.html

il y a une heure, Out of Paprika a dit :

D'autant que sur une seule bavure de flics on finit par décrédibiliser toute la profession, comme s'ils avaient besoin de ça.

 

Une bavure de trop  -pas une unique bavure. 

Combien à décrédibiliser "toute" la police ?

il y a une heure, Anatole1949 a dit :

Précaution concernant quoi ?

Quand je vois des flics en rue, je ne siffle pas, pourquoi certains le font-ils s'ils n'ont rien à cacher/reprocher ?

 

Quand vous voyez au loin un contrôle routier  pour souffler dans un ballon, vous continuez quand même ou vous prenez la rue parallèle bien que n'ayez rien bu ?

à l’instant, 'moiselle jeanne a dit :

Une bavure de trop  -pas une unique bavure. 

Combien à décrédibiliser "toute" la police ?

 

Quand vous voyez au loin un contrôle routier  pour souffler dans un ballon, vous continuez quand même ou vous prenez la rue parallèle bien que n'ayez rien bu ?

Généralement quand il y a un barrage de contrôle routier il est conçu pour que l'on ne puisse pas y échapper, sinon ce serait trop simple !

Entre avoir un coup dans l'aile et vendre de la drogue (activité criminelle) il y a une nuance...

Après quinze mois d’immersion dans une brigade anticriminalité, le sociologue Didier Fassin brosse un portrait affligeant de ces unités envoyées en territoire «ennemi».

Selon Fassin, cette double distance (origine socioculturelle et géographique) participe du sentiment d’hostilité vis-à-vis de ce monde - la banlieue - qui n’est pas le leur, confortant d’initiaux préjugés culturalistes. Mécanisme entretenu depuis une dizaine d’années par des directives politiques où la rhétorique volontiers belliqueuse («reconquérir les zones de non-droit», «déclarer la guerre à la délinquance») et truffée de références sur une identité et une cohésion nationale menacées vient valider cette idée que la population des banlieues constituerait en soi un «ennemi». A réprimer, plutôt qu’à protéger.

http://www.liberation.fr/societe/2011/11/18/bac-les-flics-mis-en-examen_775543

«La volonté de blesser la masculinité de leur public est fréquente chez les policiers»

Le sociologue Didier Fassin revient sur le caractère sexuel souvent prononcé des interventions des forces de l'ordre dans les quartiers populaires. C’est un élément qui revient souvent dans les récits des interpellations policières violentes au sein des quartiers populaires : un caractère sexuel prononcé. Insultes homophobes, testicules écrasés, fouilles appuyées des parties intimes, jusqu’au pire avec le viol dont aurait été victime Théo à Aulnay-sous-Bois.

A l’évidence, le but des policiers dans ces quartiers n’est pas de maintenir l’ordre public mais d’imposer un ordre social. Il est de rappeler à chacun sa place, de signifier aux jeunes qu’ils peuvent se faire insulter, et de leur faire comprendre ce qu’il leur en coûterait s’ils répondaient. 

Les uns crient leur colère face aux exactions des policiers mais aussi face à l’impunité dont ils ne cessent de bénéficier de la part de leur institution et de la justice. Les autres disent leur désarroi, leur inquiétude et même leur peur, notamment pour leurs enfants. C’est que, depuis des décennies, aucun gouvernement n’a le courage de se confronter au problème d’une police dont les actes mettent quotidiennement en cause le contrat social et le pacte républicain. Au contraire, le pouvoir ne cesse de donner aux forces de l’ordre plus de prérogatives et moins de contrôle démocratique de leurs actions. La loi en préparation qui élargit les conditions d’utilisation de leur arme à feu même sans légitime défense en est la preuve la plus récente. Dans ce contexte, la dignité avec laquelle Théo a réagi à l’inqualifiable agression dont il a fait l’objet devrait faire réfléchir policiers et politiciens.

http://www.liberation.fr/france/2017/02/09/la-volonte-de-blesser-la-masculinite-de-leur-public-est-frequente-chez-les-policiers_1547341

Le jeune Aulnaysien de 22 ans est sorti de l'hôpital où il était hospitalisé depuis deux semaines après sa violente interpellation par quatre policiers.

Il aura été hospitalisé deux semaines.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/affaire-theo-le-jeune-homme-est-sorti-de-l-hopital_1879930.html

il y a 2 minutes, Anatole1949 a dit :

Généralement quand il y a un barrage de contrôle routier il est conçu pour que l'on ne puisse pas y échapper, sinon ce serait trop simple !

Entre avoir un coup dans l'aile et vendre de la drogue (activité criminelle) il y a une nuance...

Heu...  je vous parle de l'attitude quand on a rien à se reprocher, et vous me répondez en comparant des culpabilités...

Donc : si vous voyez un barrage routier pour souffler dans un ballon, continuez-vous quand même ou prenez-vous la rue parallèle bien que n'ayez pas bu une goutte ?

Comme dirait La Palisse, il est bien évident que s'il n'y a pas d'autre rue, vous ne pourrez y échapper (le mot choisi est fort révélateur...)

Ou si vous préférez : un ami vous avertit sur votre portable d'un contrôle alcoolémie à 2 km de là où vous êtes.

Continuez-vous quand même comme si de rien n'était, ou cherchez-vous une rue parallèle pour le contourner, même si vous n'avez rien bu ?

Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Sur la route je vois bien. Et sinon c'est pour prévenir de quoi ?

C'est pas se genre d'attitude qui envoient des gamins dans des centrales électriques ?

y'a même des groupes facebok qui indiquent où sont les flics ainsi depuis peu en tout cas sur Clermont un groupe qui indique la présence des contrôleurs dans les transports en commun.

Je ne vois pas comment siffler indiquer la présence de la police devrait conduire les gamins dans une centrale électrique.

C'est pour prévenir de leurs présences point si vous croyez que les gamins dealent entre eux en bas des tours vous avez tort, les flics en tout cas le savent très bien. Les dealers ne risquent pas de laisser des grosses quantités de drogue sur leur lieu d'habitation.

il y a 1 minute, 'moiselle jeanne a dit :

Heu...  je vous parle de l'attitude quand on a rien à se reprocher, et vous me répondez en comparant des culpabilités...

Donc : si vous voyez un barrage routier pour souffler dans un ballon, continuez-vous quand même ou prenez-vous la rue parallèle bien que n'ayez pas bu une goutte ?

Comme dirait La Palisse, il est bien évident que s'il n'y a pas d'autre rue, vous ne pourrez y échapper (le mot choisi est fort révélateur...)

Ou si vous préférez : un ami vous avertit sur votre portable d'un contrôle alcoolémie à 2 km de là où vous êtes.

Continuez-vous quand même comme si de rien n'était, ou cherchez-vous une rue parallèle pour le contourner, même si vous n'avez rien bu ?

On ne peux pas comparer l'exemple que vous citez avec des gens qui sifflent à la vue de la police  pour informer des vendeurs de drogue de l'arrivée de la police...

Si je vois un barrage, alcool ou non, j'y vais vu que je n'aurais pas le choixo

Je ne vois pas l'intérêt...pourquoi avoir peur d'un contrôle si l'on n'a rien à se reprocher?

Perso, je double même les voitures de flics du moment que je ne dépasse pas la vitesse autorisée alors que je vois des clampins rouler gentiment derrière à 70 alors que l'on peut rouler à 90!

C'est débile comme comportement....et cela m'horripile au plus haut point! d'autant plus si je suis pressée....

il y a 3 minutes, hanss a dit :

y'a même des groupes facebok qui indiquent où sont les flics ainsi depuis peu en tout cas sur Clermont un groupe qui indique la présence des contrôleurs dans les transports en commun.

Je ne vois pas comment siffler indiquer la présence de la police devrait conduire les gamins dans une centrale électrique.

C'est pour prévenir de leurs présences point si vous croyez que les gamins dealent entre eux en bas des tours vous avez tort, les flics en tout cas le savent très bien. Les dealers ne risquent pas de laisser des grosses quantités de drogue sur leur lieu d'habitation.

 

Bravo pour le signalement des contrôleurs. C'est donc aux pauvres cons qui paient leurs tickets de financer les transports en commun.

il y a 10 minutes, 'moiselle jeanne a dit :

Heu...  je vous parle de l'attitude quand on a rien à se reprocher, et vous me répondez en comparant des culpabilités...

Donc : si vous voyez un barrage routier pour souffler dans un ballon, continuez-vous quand même ou prenez-vous la rue parallèle bien que n'ayez pas bu une goutte ?

Comme dirait La Palisse, il est bien évident que s'il n'y a pas d'autre rue, vous ne pourrez y échapper (le mot choisi est fort révélateur...)

Ou si vous préférez : un ami vous avertit sur votre portable d'un contrôle alcoolémie à 2 km de là où vous êtes.

Continuez-vous quand même comme si de rien n'était, ou cherchez-vous une rue parallèle pour le contourner, même si vous n'avez rien bu ?

On ne peux pas comparer l'exemple que vous citez avec des gens qui sifflent à la vue de la police  pour informer des vendeurs de drogue de l'arrivée de la police...

Si je vois un barrage, alcool ou non, j'y vais vu que je n'aurais pas le choix car les barrages sont généralement conçus  pour empêcher toute fuite, mais si j'avais le choix, peut-être que je prendrais la tangente.

Mais encore une fois, me prévenir d'un contrôle n'a rien à voir avec le fait de prévenir des voyous qui ont une activité criminelle.

Je vous signale qu'en Belgique le système Coyote prévient les automobilistes de la présence de radars, des accidents, des bouchons et même des contrôles policiers et cela avec précision, ce système est légal !

il y a 4 minutes, Out of Paprika a dit :

Bravo pour le signalement des contrôleurs. C'est donc aux pauvres cons qui paient leurs tickets de financer les transports en commun.

 

J'ai pas dit que c'était bien je suis même étonnée que de tels groupes existent sur Facebook.Ils ne sont pas signalés parce que ca en arrange beaucoup.

il y a 15 minutes, hanss a dit :

y'a même des groupes facebok qui indiquent où sont les flics ainsi depuis peu en tout cas sur Clermont un groupe qui indique la présence des contrôleurs dans les transports en commun.

Je ne vois pas comment siffler indiquer la présence de la police devrait conduire les gamins dans une centrale électrique.

C'est pour prévenir de leurs présences point si vous croyez que les gamins dealent entre eux en bas des tours vous avez tort, les flics en tout cas le savent très bien. Les dealers ne risquent pas de laisser des grosses quantités de drogue sur leur lieu d'habitation.

 

https://aulnaycap.com/2016/12/10/aulnay-sous-bois-plaque-tournante-du-trafic-de-drogue-dans-lhexagone/

http://www.leparisien.fr/aulnay-sous-bois-93600/aulnay-sous-bois-saisie-de-5-5-kg-de-cannabis-et-deux-interpellations-18-01-2017-6585726.php

https://aulnaycap.com/2017/01/14/4-individus-arretes-a-aulnay-sous-bois-pour-trafic-de-drogue/

............

Signaler les contrôleurs pour aider les fraudeurs. Chouette . On applaudit ?

Donc signaler les flics pour quoi ?

il y a 3 minutes, hanss a dit :

J'ai pas dit que c'était bien je suis même étonnée que de tels groupes existent sur Facebook.Ils ne sont pas signalés parce que ca en arrange beaucoup.

Oui ok, c'était pas non plus un bravo dans ton sens.

Je crois qu'on trouve de tout sur fb, et ça me désole vraiment cette mentalité de profit.

Le problème c'est  que le gouvernement achète la paix sociale en laissant s'étendre  l'économie souterraine dans ces quartiers dits sensibles. C'est aussi que l'état s'est retiré depuis longtemps de ces zones de non-droits.

Alors quand les flics sont obligés de se rendre dans ces quartiers, qu'on le veuille ou non, ils doivent véhiculer une certaine image de l'autorité et la faire respecter un minimum. Or, l'état ne veut pas de bavure ( sinon la région va s'embraser ), il ne veut pas s'opposer réellement à l'économie souterraine  tout en feignant de la combattre.

La position des flics est intenable.

Hollande s'est rendu au chevet de Theo, mais ne s'est pas rendu au chevet de l'agent brûlé vif. L'un, trafiquant, qui refuse de se soumettre à un contrôle, l'autre qui fait son job ! Pourquoi cette compassion sélective ?

Nos politiques appliquent  le deux poids, deux mesures ! Honte à eux !

Je n'ai pas vu l'émission , à vérifier ....

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/aulnay-une-technique-d-189613

Aulnay : Une technique d’immobilisation près de l’anus avec le bâton de défense serait la cause de la pénétration !

Les techniques d'utilisation avec les points de pression pour immobiliser un individu au sol avec un bâton de défense télescopique, des explications et des infos dans l'émission : 24 heures en questions sur LCI !

Le 09/02 sur LCI vers les 18 h 10, il y avait l'émission ! 24 heures en questions d'Yves Calvi, le sujet était les événements d'Aulnay sous bois avec le titre :Théo « héros martyrisé ». L'un des intervenant Frédéric Ploquin

explique très bien le scénario de l'intervention, ceci c'est à partir de 12 mns. Vers les 16 mns, il explique que la juge qui a mis en accusation le fonctionnaire, pour viol, n'a pas pu visionner les images, car son ordinateur n'était pas compatible !!! Ensuite à 18 mns, Frédéric Ploquin explique qu'il s'est rendu dans un lieu de police, ou un formateur lui a expliqué ce qu'était un bâton de défense télescopique et il lui a montré quels étaient les différents points de pression sur le corps pour maintenir un individu allongé sur le sol, la réponse que lui a été apportée par le formateur étaient : les fesses, les cuisse et les mollets. A la fin de son explication, Yves Calvi lors d'un appui sur les fesses a évoqué la possibilité « d'un glissement » du bâton de défense. Voir ce passage à 19 mn où ce fait a été évoqué que le pantalon du jogging de Théo avait glissé, et qu'il avait dû le remonter à plusieurs reprises.Dans le feu de l'action bousculades etc, l’hypothèse d'un glissement de la pointe du bâton de défense est tout à fait plausible, car avoir les fesses à l'air, sans la protection de son vêtement ( le pantalon de jogging ) a fait que rien hélas n'a pu stopper ou amortir la course de l'embout en acier du bâton de défense, ce qui a provoqué sa pénétration dans l'anus de Théo. (à qui je souhaite un sincère rétablissement )