Avant, c'était mieux ! Mythe ou réalité ?

C'est vrai, avant on avait l'inquisition. On avait encore le droit de brûler des femmes sans problème.

On n'avait pas l'islam et ses fous furieux pour nous pourrir la vie.

Ah, ben vala !

(ça m'etonnait aussi qu'un sujet puisse y échapper)

C'est vrai, avant on avait l'inquisition. On avait encore le droit de brûler des femmes sans problème.

"maintenant" c'est beaucoup mieux : on a le droit de brûler un homme enfermé dans une cage (daesh)

"avant" on ne souffrait pas (encore) de toutes ces frustrations et de toutes ces rages non-exprimées. Et pour cause : on venait tout juste de se foutre sur la gueule pendant 5 ans avec 40 millions de morts à la clef !!

Il y a des fois ou je me demande si les vieux c.. qui nous disaient : "ils leur faudrait une bonne guerre à tous ces jeunes" (sic) n'étaient pas très en avance sur leur temps ?

Il y a des fois ou je me demande si les vieux c.. qui nous disaient : "ils leur faudrait une bonne guerre à tous ces jeunes" (sic) n'étaient pas très en avance sur leur temps ?

Mon père, je confesse que ce genre de pensée me traverse de temps en temps l'esprit.

Vous pensez que c'est fini pour moi ? Que je suis un vieux con ?

Dites-moi toute la vérité, ne m'épargnez pas par charité chrétienne...

Mon père, je confesse que ce genre de pensée me traverse de temps en temps l'esprit.

Vous pensez que c'est fini pour moi ? Que je suis un vieux con ?

Dites-moi toute la vérité, ne m'épargnez pas par charité chrétienne...

Je crains -du peu que j'en sais- que tu ne manques beaucoup de maturité... :D

Il y a des fois ou je me demande si les vieux c.. qui nous disaient : "ils leur faudrait une bonne guerre à tous ces jeunes" (sic) n'étaient pas très en avance sur leur temps ?

Ben vas y. Tu peux aller foutre sur la tronche des barbus, ils t'attendent, tu nous raconteras comment c'est génial la guerre, pour remettre les jeunes dans le droit chemin qui est le tien. Montre l'exemple !

A l'époque les philosophes s'appelaient Foucault et Deleuze, aujourd'hui c'est Zemmour et Ménard.

Le gaspillage tout court. Avant les bagnoles et autre machins technologiques étaient fabriqués pour durer, maintenant des types grassement payés s'arrangent pour que la durée de vie des pièces n'excède pas le profit qu'ils veulent tirer de leur business de voleurs mondialement organisé. Quatre fois plus de merde a recycler ou à polluer la planète et nous on trie nos déchets dans les poubelles pour que le merdier dure plus longtemps avant de nous exploser a la gueule.

Et puis on bouffait des aliments normaux pas des machins en plastiques immondes, un poulet un vrai qui court et tout, c'était pas un produit de luxe. Y'avait aussi des fruits et des légumes...

.

La malbouffe est l'un des pire fléaux actuels, et ça va hélas pas aller en s'arrangeant. Quand on a connu les aliments normaux, comme des tomates qui avaient le goût de tomates, des fruits juteux avec un vrai goût, c'est devenu quasi impossible de manger ce qu'on nous propose maintenant, des fois on achète et puis on jette, parce que c'est dégueulasse, ça a pas de goût ou c'est desséché, enfin bref, vous savez comme moi.

Bon, y a la solution d'acheter Bio, on y retrouve en partie le goût, mais tout le monde ne le peut pas.

Avant on pouvait se promener partout en respirant à pleins poumons, maintenant on sait qu'on respire plus de mauvais air que du bon.

Y a quand même des choses mieux : la durée du temps de travail, presque tout le monde a 2 jours de repos par semaine, avant c'était souvent 1 je crois (le dimanche), les congés payés 5 semaines, avant c'était 4, et avant avant ? pas du tout ? et c'est vrai comme je l'ai lu dans un post, pas de chômage, il parait même qu'on pouvait quitter un boulot qui nous convenait pas, on était assuré d'en trouver un autre sans problème, j'ai entendu mon père dire ça.

La malbouffe est l'un des pire fléaux actuels, et ça va hélas pas aller en s'arrangeant. Quand on a connu les aliments normaux, comme des tomates qui avaient le goût de tomates, des fruits juteux avec un vrai goût, c'est devenu quasi impossible de manger ce qu'on nous propose maintenant, des fois on achète et puis on jette, parce que c'est dégueulasse, ça a pas de goût ou c'est desséché, enfin bref, vous savez comme moi.

Bon, y a la solution d'acheter Bio, on y retrouve en partie le goût, mais tout le monde ne le peut pas.

Avant on pouvait se promener partout en respirant à pleins poumons, maintenant on sait qu'on respire plus de mauvais air que du bon.

Y a quand même des choses mieux : la durée du temps de travail, presque tout le monde a 2 jours de repos par semaine, avant c'était souvent 1 je crois (le dimanche), les congés payés 5 semaines, avant c'était 4, et avant avant ? pas du tout ? et c'est vrai comme je l'ai lu dans un post, pas de chômage, il parait même qu'on pouvait quitter un boulot qui nous convenait pas, on était assuré d'en trouver un autre sans problème, j'ai entendu mon père dire ça.

"se promener en respirant à pleins poumons" Euh...ta nostalgie t'égare ! Oui pour les pesticides et les herbicides

100% d'accord, mais pour les bagnoles : quelle horreur ! Et la qualité des eaux de rivière ! Et l'utilisation de l'amiante pour les freins de voiture, le flocage des immeubles l'usage domestique et j'en passe et des bien pires.

Par contre en ce qui concerne l'emploi : j'ai eu des témoignages de femmes qui, dès leur inscription au fameux "cours Pigier"

étaient recrutées dans une entreprise !!! Mais chut !...des jeunes pourraient nous entendre !

J'ai même connu un baby boomer ,nanti du seul BEPC qui a fini sa carrière comme recefeur principal d'un grand bureau de poste parisien ! La chose serait impossible aujourd'hui, mais chut...Oui, pour ça s'était MIEUX avant. Mais pas pour TOUT...

Ce qui était mieux avant :

- y'avait moins de pub partout

- y'avait pas de "réseaux sociaux"

- se loger coûtait beaucoup moins cher

Y a quand même des choses mieux : la durée du temps de travail, presque tout le monde a 2 jours de repos par semaine, avant c'était souvent 1 je crois (le dimanche), les congés payés 5 semaines, avant c'était 4, et avant avant ? pas du tout ? et c'est vrai comme je l'ai lu dans un post, pas de chômage, il parait même qu'on pouvait quitter un boulot qui nous convenait pas, on était assuré d'en trouver un autre sans problème, j'ai entendu mon père dire ça.

Ouais... si on veut.

Sauf qu'avant les gens ne travaillaient pas avec les mêmes cadences, c'était plutôt rare que des types se suicident en chaîne au sein d'entreprises réputées pour faire bosser les gens dans des conditions inhumaines, stressantes etc. Si le travailleur n'était sans doute pas plus respecté, l'homme avait quand même certaines prérogatives qui n'étaient pas niées, ne serait)ce que via ces répondeurs omniprésents qui font qu'il devient comme une espèce de "grâce" d'avoir le droit de parler à un être humain quand quelque chose est problématique.

Il suffit de se promener un peu hors du monde occidental pour voir à quel rythme travaillent les hommes partout ailleurs, ce qu'il produisent en terme de capacité de travail. Les gens "ailleurs" font un truc inouï qu'il faudra un jour conceptualiser avant qu'on en parle comme d'un mythe : ils prennent leur temps !

Certains ont parlé de "donner du temps au temps", c'était quand même moins inhumain que de foutre les gens à la poubelle quand un loup plus efficace se pointe à l'horizon et est prêt à le dévorer pour prendre sa place.

Ce qui était mieux avant :

- y'avait moins de pub partout

- y'avait pas de "réseaux sociaux"

- se loger coûtait beaucoup moins cher

La pub c'est moins grave mais pour les deux dernières, ultra-d'accord !!!!

Là je vais sortir, mais je ne manquerais pas de prendre la balle au bond (surtout les "loyers" !!)

Il y aurait largement de quoi faire deux "sujets" merci de l'avoir évoqué à +

- se loger coûtait beaucoup moins cher

T'imagines que des prolos à une époque se payaient des maisons avec jardin dans le XX° arrondissement parisien ?

Aujourd'hui pour ce genre de luxe, ça nécessiterait à vue de nez, en prélevant un tiers d'un salaire pour se le logement, dans les 250 ans de travail, soit à 40 ans de travail par personne environ 6 vies !

Le progrès social qu'on nous chante...

Ce qui est bien aujourd'hui ce sont ces ordis. Quand on cherche quelque chose en quelques mots tapés sur le clavier,hop, tu as la réponse.

Quand je pense dans combien de bibliothèques j'ai dû me rendre pour consulter des tas de bouquins parfois non prêtés pour avoir ce que vous avez, ce que NOUS avons grâce à internet, eh bien je n'excuse plus personne de rester inculte...

Et que de pétrole, de papier,de mécanique,d'air,des cellules de vos corps vous n' userez pas en ne vous déplaçant plus parce que vous serez livrés à la maison!

Et dire que je peux vous parlez à vous qui habitez aux quatre coins de la France et du monde...C'est magique!!

"se promener en respirant à pleins poumons" Euh...ta nostalgie t'égare ! Oui pour les pesticides et les herbicides

100% d'accord, mais pour les bagnoles : quelle horreur ! Et la qualité des eaux de rivière ! Et l'utilisation de l'amiante pour les freins de voiture, le flocage des immeubles l'usage domestique et j'en passe et des bien pires.

Par contre en ce qui concerne l'emploi : j'ai eu des témoignages de femmes qui, dès leur inscription au fameux "cours Pigier"

étaient recrutées dans une entreprise !!! Mais chut !...des jeunes pourraient nous entendre !

J'ai même connu un baby boomer ,nanti du seul BEPC qui a fini sa carrière comme recefeur principal d'un grand bureau de poste parisien ! La chose serait impossible aujourd'hui, mais chut...Oui, pour ça s'était MIEUX avant. Mais pas pour TOUT...

oui, je n'ai pas pensé aux pesticides et aux herbicides en écrivant ça, à tout ce qui n'a pas d'odeur en fait. Ce que je voulais dire, c'est que ça ne puait pas, dehors :) et on pouvait se baigner dans une rivière dont on pouvait voir le fond. Mes premières vacances sur l’île de Noirmoutier, émerveillée de voir le fond de l'eau, limpide, chaque jour, quelle que fut la hauteur à laquelle je regardais de ma personne, c'était en 1982. Nostalgique de cette belle plage (la plage des Dames), j'y retourne 10 ans plus tard, quelle déception... terminé, la belle eau limpide.

Et oui, bien vu, avant, c'était pas nécessaire d'avoir un bon diplôme pour décrocher un bon job.

Ouais... si on veut.

Sauf qu'avant les gens ne travaillaient pas avec les mêmes cadences, c'était plutôt rare que des types se suicident en chaîne au sein d'entreprises réputées pour faire bosser les gens dans des conditions inhumaines, stressantes etc. Si le travailleur n'était sans doute pas plus respecté, l'homme avait quand même certaines prérogatives qui n'étaient pas niées, ne serait)ce que via ces répondeurs omniprésents qui font qu'il devient comme une espèce de "grâce" d'avoir le droit de parler à un être humain quand quelque chose est problématique.

Il suffit de se promener un peu hors du monde occidental pour voir à quel rythme travaillent les hommes partout ailleurs, ce qu'il produisent en terme de capacité de travail. Les gens "ailleurs" font un truc inouï qu'il faudra un jour conceptualiser avant qu'on en parle comme d'un mythe : ils prennent leur temps !

Certains ont parlé de "donner du temps au temps", c'était quand même moins inhumain que de foutre les gens à la poubelle quand un loup plus efficace se pointe à l'horizon et est prêt à le dévorer pour prendre sa place.

On travaille moins mais on est ficelé au patron 7 jours sur 7 grâce à ce cher téléphone portable, qui vous envoie des sms ou vous appelle direct, n'importe quand, n'importe quelle heure, juste pour vous demander un truc dont il a oublié de vous parler et ça peut pas attendre demain, c'est urgent...

Même en vacances, impossible de décrocher total.

T'imagines que des prolos à une époque se payaient des maisons avec jardin dans le XX° arrondissement parisien ?

Aujourd'hui pour ce genre de luxe, ça nécessiterait à vue de nez, en prélevant un tiers d'un salaire pour se le logement, dans les 250 ans de travail, soit à 40 ans de travail par personne environ 6 vies !

Le progrès social qu'on nous chante...

OK, Mais avant le crédit était cher:mon premier appartement, je l'ai acheté avec un crédit de 10,5% et c'était encore une affaire, ce taux là à l'époque!

Contrairement à ce que l'on croit, c'est mieux aujourd'hui malgré les crises que nous subissons, je me souviens encore des bidonvilles énormes aux portes de Paris, les guerres; Indochine, Algérie, Corée, Vietnam, Egypte et bien d'autres encore, quand j'allais dans le village de ma grand mère dans l'Oise, moi qui venait de Bruxelles j'avais l'impression de tomber en plein Moyen-Age, il fallait encore appeler l'opératrice pour avoir une communication téléphonique et avoir de la patience (pour ceux qui avait le téléphone bien sûr), le village était à peine à 45km de Paris et la plupart des mes amis d'enfance n'y avaient jamais mis les pieds, quand il voyait la bagnole américaine de mon père (à l'époque c'était banale en Belgique), la moitié du village venait voir, les vieux alcoolos se battaient à coups de hache chaque vendredi soir sur la place devant l'église, d'autres voyant la nuit et au loin des lumières dans les champs, croyaient au martiens alors qu'il s'agissait de tracteurs ce qui alimentait les conversations le matin chez le boulanger, le boucher et au bar tabac, prendre un car pour aller à la "grande ville", Pontoise (à 11km) était toute une affaire, monter à Paris (car et train) un grand événement préparé 5 jours à l'avance, par nuit noire du jardin on regardait au loin le phare de la Tour Eiffel et dans le ciel, les premiers spoutniks made in URSS...

Toute les femmes me paraissaient vieilles, habillées souvent en noire, mon père avec sa grosse bagnole mettait presque une journée entière pour arriver dans ce village (Bxl - village, 340 km), aujourd'hui c'est 3 heures de route.

J'allais aussi dans la petite maison ma mère située au-dessus de Menton, là c'était pire, j'avais l'impression de tomber dans un village reculé de la Sicile, l'eau à la fontaine, femmes toutes habillée de noir taille maximum 1m45, patois italien incompréhensible, chats faméliques, maisons en semi ruine, un car par jour pour aller à Menton (6 km), croisement sur la route zigzagante avec un autre véhicule impossible, 5 ans d'attente (sinon marche arrière et bonjour le précipice), pour avoir le téléphone, une seule épicerie ouverte quelques heures par jour, la boulangerie au fond d'une cave ouverte que de 7h du mat à 10h, 12h le dimanche.

Je m'en souviens comme si c'était hier et le souvenir est néanmoins délicieux.

C'était dans les années 50 et début 60.

Aujourd'hui on a tout ou presque et on tombe dans la misère dès que l'on ne sait pas acheter immédiatement le dernier smartphone ou remplacer son écran plat.

OK, Mais avant le crédit était cher:mon premier appartement, je l'ai acheté avec un crédit de 10,5% et c'était encore une affaire, ce taux là à l'époque!

Ma première maison à 18%80!

Crédit voiture d'occase à 23%!

Ils t'ont eue à l'usure, Morfou!

Je me souviens de grandes disparités vestimentaires entre le pauvre et le riche,une ostentation méprisante du riche qui attisait la haine du démuni,alors que les bobos sont devenus plus cool, quand même, de nos jours et arborent des tenues un peu plus passe-partout!

Les centre -ville étaient plus vivants et surpeuplés.Il paraît que beaucoup de magasins ferment en ce moment.

Je pensais à ce topic en me préparant un café avec ma zolie Tassimo :D

Et je me disais : si on te propose de vivre maintenant, en 2016, comme il y a une trentaine d'années (années 1980/1985), que choisis tu ?

Petit plongeon dans ces années là. Je vivais bien financièrement, jamais besoin de regarder les prix en faisant les courses par exemple, le compte en banque était toujours largement positif, tout juste besoin de vérifier juste pour voir le surplus dégagé en fin de mois.

Mais au niveau confort, c'était pas ça du tout... un ballon d'eau où fallait faire gaffe à la consommation ou le mettre en manuel sinon plus d'eau chaude, une voiture qu'il fallait protéger l'hiver, sinon pour démarrer, bonjour, une maison en pleine campagne où il a fallu attendre 1 an avant d'avoir le téléphone, au boulot, pas d'ordinateurs mais des machines à écrire, même si modernes car électriques par rapport aux anciennes, c'était pas la joie, pas plus que les photocopieurs, etc.

Donc à choisir, je préfère vivre en 2016 avec le confort que l'on connait, même si je dois regarder maintenant les prix, à cause de l'euro (car je me plains pas financièrement, j'ai largement de quoi bien vivre mais je pourrais virer au rouge avec cette satanée monnaie, même si elle est bien pratique car la même dans de nombreux pays).

Si demain, on devait ré afficher les prix en francs à coté des prix en euros, on aurait souvent les cheveux qui se dresseraient sur la tête