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Mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois: non-lieu pour les deux policiers

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kyrilluk

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

.......................Je te Souhaite de "Bien Surveiller" tes Gamins :o°

Et dire a tes Gamins de ne pas Courir devant des Policiers et surtout ne pas aller se Réfugier là ou il y a du Danger :blush:

Merci, mes" gamins" étant adultes , ont jamais senti le besoin de se sauver devant les flics quand on à l'esprit tranquille et rien à se reprocher :p

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Comme d'habitude, l'Etat protège ses flics... En ce jour de deuil pour la justice française, il est bon de rappeler toutes les bavures de la police française:

http://lagendarmerit...es-de-la-police

L’État ne "Protège" pas la Police.............Car l’État c'est la Police,et le rôle de l’État c'est d'une certaine manière faire la Police

L’État c'est NOUS,donc la Police c'est NOUS.........NOUS faisons la POLICE

NOUS sommes un État Policier,chacun se Surveille Juge et Préjuge,mais quand cela nous Concerne c'est toute une autre Histoire

Quand va t'ont "ÉVOLUÉ" Mentalement?

Je suis ANAR..................... "c'est l'ordre sans le pouvoir »,

C'est pour moi la plus haute expression de l'ordre

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)

mais on va chercher quoi ??? des personnes qui se font griller sur des lignes électriques il y en a un paquet chaque année ...

"Deux ouvriers 19 et 60 ans sont morts électrocutés par une ligne à haute tension de 20.000 volts vendredi dans un parc à Laval, alors qu'ils allaient intervenir dans une nacelle sur le réseau électrique. "

il y a certainement dans les deux cas une imprudence

la première provoquée par une volonté d'échapper à un contrôle de police ,la deuxième par une volonté de terminer rapidement une intervention déclenchée peu avant midi ....

Il n'y a pas matière à sensation ....

des charognards s'emparent de ce fait divers pour monter en mayonnaise les situations délicates provoquées par la provenance ethnique et géographique des accidentés ,victimes fuyant la police avant de se réfugier dans un endroit signalé comme étant dangereux ....c'est un accident et rien d'autre et non pas une chasse à courre wacko.gif

.......des policiers les rabattent vers un transformateur ?

crying8vr.gif

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Hors sujet.

La différence c'est que les deux ouvriers n'ont pas été forcé de rester près de cette ligne.

Encore que ce ne serait pas la première fois qu'un chefaillon met la pression pour terminer un chantier à tous prix.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Heureusement ,que Marion Maréchale était là, pour défendre l'honneur de nos valeureux policiers :o°

http://www.leparisie...015-4781247.php

mais on va chercher quoi ??? des personnes qui se font griller sur des lignes électriques il y en a un paquet chaque année ...

"Deux ouvriers 19 et 60 ans sont morts électrocutés par une ligne à haute tension de 20.000 volts vendredi dans un parc à Laval, alors qu'ils allaient intervenir dans une nacelle sur le réseau électrique. "

il y a certainement dans les deux cas une imprudence

la première provoquée par une volonté d'échapper à un contrôle de police ,la deuxième par une volonté de terminer rapidement une intervention déclenchée peu avant midi ....

Il n'y a pas matière à sensation ....

des charognards s'emparent de ce fait divers pour monter en mayonnaise les situations délicates provoquées par la provenance ethnique et géographique des accidentés ,victimes fuyant la police avant de se réfugier dans un endroit signalé comme étant dangereux ....c'est un accident et rien d'autre et non pas une chasse à courre wacko.gif

crying8vr.gif

ils se sont rabattus tout seul, et pas malins, ils ont crus en se planquant dans le transfo, échapper aux flics

le barbecue ne pouvait que fonctionner :dev:

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Membre, 47ans Posté(e)
bcbg Membre 10 855 messages
Mentor‚ 47ans‚
Posté(e)

Quand on fuit c est qu'on a un truc à se reprocher .

Alors il faudrait arrêter de vouloir faire porter le chapeau aux flics .

Modifié par bcbg
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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Il n ' y avait juste pas d 'autre verdict possible.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Un verdict juste et raisonné envers nos défenseurs de l'ordre et de la tranquillité des citoyens :hehe:

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Merci, mes" gamins" étant adultes , ont jamais senti le besoin de se sauver devant les flics quand on à l'esprit tranquille et rien à se reprocher :p

Tant mieux....................mais il ne faut jamais dire "Fontaine je ne Boirais jamais de ton Eau"

Ces Jeunes avaient comme tu dis "l'esprit" tranquille comme tu dis.........et Pourtant :snif:

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Membre, 58ans Posté(e)
essayeur Membre 3 422 messages
Baby Forumeur‚ 58ans‚
Posté(e)

Marion Maréchal Le Pen a laissé un tweet suite à ce jugement :

« Ce verdict prouve que la racaille avait bien mis la banlieue à feu et à sang par plaisir et non à cause d'une bavure policière. »

Quelle psychologie, je ne sais pas, se taire aurait-il été possible ?

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Un verdict juste et raisonné envers nos défenseurs de l'ordre et de la tranquillité des citoyens :hehe:

Au regard du code de déontologie en vigueur depuis 2014 il y a matières a contesté le Comportement "Déontologique" des policiers lors de cette "Affaires"

A lire........pour en être Assuré

Le code de déontologie (en vigueur depuis le 1 janvier 2014)

Titre préliminaire

Article R434-1 - Dispositions générales

Les dispositions du présent chapitre constituent le code de déontologie de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale pour l'exécution de leurs missions de sécurité intérieure1.

Article R. 434-2 - Cadre général de l'action de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale

Placées sous l’autorité du ministre de l’intérieur pour l'accomplissement des missions de sécurité intérieure et agissant dans le respect des règles du code de procédure pénale en matière judiciaire, la Police nationale et la Gendarmerie nationale ont pour mission d'assurer la défense des institutions et des intérêts nationaux, le respect des lois, le maintien de la paix et de l'ordre publics, la protection des personnes et des biens.

Au service des institutions républicaines et de la population, policiers et gendarmes exercent leurs fonctions avec loyauté, sens de l’honneur et dévouement.

Dans l’accomplissement de leurs missions de sécurité intérieure, la Police nationale, force à statut civil, et la Gendarmerie nationale, force armée, sont soumises à des règles déontologiques communes et à des règles propres à chacune d’elles. Ces dernières sont précisées au titre III du présent décret.

Article R. 434-3 – Nature du code de déontologie et champ d’application

I. - Les règles déontologiques énoncées par le présent code procèdent de la Constitution, des traités internationaux, notamment de la convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, des principes généraux du droit, et des lois et règlements de la République.

Elles définissent les devoirs qui incombent aux policiers et aux gendarmes dans l’exercice de leurs missions de sécurité intérieure pendant ou en dehors du service et s’appliquent sans préjudice des règles statutaires et autres obligations auxquelles ils sont respectivement soumis. Elles font l’objet d’une formation, initiale et continue, dispensée aux policiers et aux gendarmes pour leur permettre d’exercer leurs fonctions de manière irréprochable.

II. - Pour l’application du présent code, le terme « policier » désigne tous les personnels actifs de la Police nationale, ainsi que les personnels exerçant dans un service de la Police nationale ou dans un établissement public concourant à ses missions et le terme « gendarme » désigne les officiers et sous-officiers de la Gendarmerie, ainsi que les gendarmes adjoints volontaires.

Titre premier

Chapitre Ier

Autorité et protection

Article R. 434-4 – Principe hiérarchique

I. - L’autorité investie du pouvoir hiérarchique prend des décisions, donne des ordres et les fait appliquer. Elle veille à ce que ses instructions soient précises et apporte à ceux qui sont chargés de les exécuter toutes informations pertinentes nécessaires à leur compréhension.

L’autorité hiérarchique assume la responsabilité des ordres donnés.

Ordres et instructions parviennent à leurs destinataires par la voie hiérarchique. Si l’urgence impose une transmission directe, la hiérarchie intermédiaire en est informée sans délai.

II. - Le policier ou le gendarme porte sans délai à la connaissance de l’autorité hiérarchique tout fait survenu à l’occasion ou en dehors du service, ayant entraîné ou susceptible d’entraîner sa convocation par une autorité de police, juridictionnelle, ou de contrôle. Article R. 434-5 – Obéissance

I. - Le policier ou le gendarme exécute loyalement et fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.

S’il pense être confronté à un tel ordre, il fait part de ses objections à l’autorité qui le lui a donné, ou, à défaut, à la première autorité qu'il a la possibilité de joindre, en mentionnant expressément le caractère d’illégalité manifeste qu’il lui attribue. Si, malgré ses objections, l'ordre est maintenu, il peut en demander la confirmation écrite lorsque les circonstances le permettent. Il a droit à ce qu’il soit pris acte de son opposition. Même si le policier ou le gendarme reçoit la confirmation écrite demandée et s’il exécute l’ordre, l’ordre écrit ne l’exonère pas de sa responsabilité.

L’invocation à tort d’un motif d’illégalité manifeste pour ne pas exécuter un ordre régulièrement donné expose le subordonné à ce que sa responsabilité soit engagée.

Dans l’exécution d’un ordre, la responsabilité du subordonné n'exonère pas l’auteur de l'ordre de sa propre responsabilité.

II. - Le policier ou le gendarme rend compte à l'autorité investie du pouvoir hiérarchique de l’exécution des ordres reçus ou, le cas échéant, des raisons de leur inexécution. Dans les actes qu'il rédige, les faits ou événements sont relatés avec fidélité et précision.

Article R. 434-6 – Obligations incombant à l'autorité hiérarchique

I. - Le supérieur hiérarchique veille en permanence à la préservation de l’intégrité physique de ses subordonnés. Il veille aussi à leur santé physique et mentale. Il s’assure de la bonne condition de ses subordonnés.

II. - L'autorité investie du pouvoir hiérarchique conçoit et met en œuvre au profit des personnels une formation adaptée, en particulier dans les domaines touchant au respect de l'intégrité physique et de la dignité des personnes ainsi qu'aux libertés publiques. Cette formation est régulièrement mise à jour pour tenir compte des évolutions affectant l'exercice des missions de police administrative et judiciaire.

Article R. 434-7 - Protection fonctionnelle

L'État défend le policier ou le gendarme, ainsi que, dans les conditions et limites fixées par la loi, ses proches, contre les attaques, menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations et outrages dont il peut être victime dans l’exercice ou du fait de ses fonctions.

L'État accorde au policier ou au gendarme sa protection juridique en cas de poursuites judiciaires liées à des faits qui n’ont pas le caractère d’une faute personnelle. Il l’assiste et l’accompagne dans les démarches relatives à sa défense.

Chapitre II

Devoirs du policier et du gendarme

Article R. 434-8 - Secret et discrétion professionnels

Soumis aux obligations du secret professionnel et au devoir de discrétion, le policier ou le gendarme s’abstient de divulguer à quiconque n’a ni le droit, ni le besoin d’en connaître, sous quelque forme que ce soit, les informations dont il a connaissance dans l’exercice ou au titre de ses fonctions.

Article R. 434-9 – Probité

Le policier ou le gendarme exerce ses fonctions avec probité.

Il ne se prévaut pas de sa qualité pour en tirer un avantage personnel et n’utilise pas à des fins étrangères à sa mission les informations dont il a connaissance dans le cadre de ses fonctions.

Il n’accepte aucun avantage ni aucun présent directement ou indirectement lié à ses fonctions ou qu’il se verrait proposer au motif, réel ou supposé, d’une décision prise ou dans l’espoir d’une décision à prendre.

Il n’accorde aucun avantage pour des raisons d’ordre privé.

Article R. 434-10 - Discernement

Le policier ou le gendarme fait, dans l'exercice de ses fonctions, preuve de discernement.

Il tient compte en toutes circonstances de la nature des risques et menaces de chaque situation à laquelle il est confronté et des délais qu’il a pour agir, pour choisir la meilleure réponse légale à lui apporter.

Article R. 434-11 - Impartialité

Le policier et le gendarme accomplissent leurs missions en toute impartialité.

Ils accordent la même attention et le même respect à toute personne et n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l'article 225-1 du code pénal.

Article R. 434-12 - Crédit et renom de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale

Le policier ou le gendarme ne se départ de sa dignité en aucune circonstance.

En tout temps, dans ou en dehors du service, y compris lorsqu'il s'exprime à travers les réseaux de communication électronique sociaux, il s’abstient de tout acte, propos ou comportement de nature à nuire à la considération portée à la Police nationale et à la Gendarmerie nationale. Il veille à ne porter, par la nature de ses relations, aucune atteinte à leur crédit ou à leur réputation.

Article R. 434-13 - Non cumul d'activité

Le policier ou le gendarme se consacre à sa mission.

Il ne peut exercer une activité privée lucrative que dans les cas et les conditions définis pour chacun d’eux par les lois et règlements.

Titre II

Dispositions communes à la Police nationale et à la Gendarmerie nationale

Chapitre Ier

Relation avec la population et respect des libertés

Article R. 434-14 - Relation avec la population

Le policier ou le gendarme est au service de la population.

Sa relation avec celle-ci est empreinte de courtoisie et requiert l’usage du vouvoiement.

Respectueux de la dignité des personnes, il veille à se comporter en toute circonstance d’une manière exemplaire, propre à inspirer en retour respect et considération.

Article R. 434-15 - Port de la tenue

Le policier ou le gendarme exerce ses fonctions en uniforme. Il peut être dérogé à ce principe selon les règles propres à chaque force.

Sauf exception justifiée par le service auquel il appartient ou la nature des missions qui lui sont confiées, il se conforme aux prescriptions relatives à son identification individuelle.

Article R. 434-16 – Contrôles d'identité

Lorsque la loi l’autorise à procéder à un contrôle d’identité, le policier ou le gendarme ne se fonde sur aucune caractéristique physique ou aucun signe distinctif pour déterminer les personnes à contrôler, sauf s’il dispose d’un signalement précis motivant le contrôle.

Le contrôle d'identité se déroule sans qu’il soit porté atteinte à la dignité de la personne qui en fait l'objet.

La palpation de sécurité est exclusivement une mesure de sûreté. Elle ne revêt pas un caractère systématique. Elle est réservée aux cas dans lesquels elle apparaît nécessaire à la garantie de la sécurité du policier ou du gendarme qui l’accomplit ou de celle d’autrui. Elle a pour finalité de vérifier que la personne contrôlée n’est pas porteuse d’un objet dangereux pour elle-même ou pour autrui.

Chaque fois que les circonstances le permettent, la palpation de sécurité est pratiquée à l’abri du regard du public.

Article R. 434-17 - Protection et respect des personnes privées de liberté

Toute personne appréhendée est placée sous la protection des policiers ou des gendarmes et préservée de toute forme de violence et de tout traitement inhumain ou dégradant.

Nul ne peut être intégralement dévêtu, hors le cas et dans les conditions prévus par l’article 63-7 du code de procédure pénale visant la recherche des preuves d'un crime ou d'un délit.

Le policier ou le gendarme ayant la garde d’une personne appréhendée est attentif à son état physique et psychologique et prend toutes les mesures possibles pour préserver la vie, la santé et la dignité de cette personne.

L'utilisation du port des menottes ou des entraves n’est justifiée que lorsque la personne appréhendée est considérée soit comme dangereuse pour autrui ou pour elle-même, soit comme susceptible de tenter de s’enfuir.

Article R. 434-18 – Emploi de la force

Le policier ou le gendarme emploie la force dans le cadre fixé par la loi, seulement lorsque c’est nécessaire, et de façon proportionnée au but à atteindre ou à la gravité de la menace, selon le cas.

Il ne fait usage des armes qu’en cas d’absolue nécessité et dans le cadre des dispositions législatives applicables à son propre statut.

Article R. 434-19 – Assistance aux personnes

Lorsque les circonstances le requièrent, le policier ou le gendarme, même lorsqu’il n’est pas en service, intervient de sa propre initiative, avec les moyens dont il dispose, notamment pour porter assistance aux personnes en danger.

Article R. 434-20 – Aide aux victimes

Sans se départir de son impartialité, le policier ou le gendarme accorde une attention particulière aux victimes et veille à la qualité de leur prise en charge tout au long de la procédure les concernant. Il garantit la confidentialité de leurs propos et déclarations.

Article R. 434-21 - Usage des traitements de données à caractère personnel

Sans préjudice des exigences liées à l’accomplissement de sa mission, le policier ou le gendarme respecte et préserve la vie privée des personnes, notamment lors d’enquêtes administratives ou judiciaires.

A ce titre, il se conforme aux dispositions législatives et réglementaires qui régissent la création et l'utilisation des traitements de données à caractère personnel.

Il alimente et consulte les fichiers auxquels il a accès dans le strict respect des finalités et des règles propres à chacun d’entre eux, telles qu’elles sont définies par les textes les régissant, et qu’il est tenu de connaître.

Article R. 434-22 - Traitement des sources humaines

A l’occasion de la recherche des renseignements nécessaires à ses missions, le policier ou le gendarme peut avoir recours à des informateurs. Dans ce cas, il est tenu d’appliquer les règles d'exécution du service définies en la matière pour chacune des deux forces.

Chapitre II

Contrôle de l’action de la Police et de la Gendarmerie

Article R. 434-23 – Principes du contrôle La Police nationale et la Gendarmerie nationale sont soumises au contrôle des autorités désignées par la loi et par les conventions internationales.

Dans l’exercice de leurs missions judiciaires, la Police nationale et la Gendarmerie nationale sont soumises au contrôle de l’autorité judiciaire conformément aux dispositions du code de procédure pénale.

Article R. 434-24 - Défenseur des droits

La Police nationale et la Gendarmerie nationale sont soumises au contrôle du Défenseur des droits conformément au rôle que lui confère l’article 71-1 de la Constitution.

L’exercice par le Défenseur des droits de ce contrôle peut le conduire à saisir l'autorité chargée d'engager les poursuites disciplinaires des faits portés à sa connaissance qui lui paraissent de nature à justifier une sanction.

Lorsqu’il y est invité par le Défenseur des droits, le policier ou le gendarme lui communique les informations et pièces que celui-ci juge utiles à l'exercice de sa mission. Il défère à ses convocations et peut à cette occasion être assisté de la personne de son choix.

Article R. 434-25 – Contrôle hiérarchique et des inspections

L'autorité investie du pouvoir hiérarchique contrôle l'action de ses subordonnés.

Le policier ou le gendarme est également soumis au contrôle d’une ou de plusieurs inspections générales compétentes à l’égard du service auquel il appartient.

Sans préjudice des règles propres à la procédure disciplinaire et des droits dont le policier ou le gendarme bénéficie en cas de mise en cause personnelle, il facilite en toute circonstance le déroulement des opérations de contrôle et d’inspection auxquelles il est soumis.

Article R. 434-26 – Contrôle des pairs

Les policiers et gendarmes de tous grades auxquels s’applique le présent code en sont dépositaires. Ils veillent à titre individuel et collectif à son respect.

Article R. 434-27 – Sanction des manquements déontologiques

Tout manquement du policier ou du gendarme aux règles et principes définis par le présent code l’expose à une sanction disciplinaire en application des règles propres à son statut, indépendamment des sanctions pénales encourues le cas échéant.

Titre III

Dispositions propres à la Police nationale ou à la Gendarmerie nationale

Chapitre Ier

Dispositions propres à la Police nationale

Article R. 434-28 – Considération, respect et devoir de mémoire

La fonction de policier comporte des devoirs et implique des risques et des sujétions qui méritent le respect et la considération de tous.

Gardien de la paix, éventuellement au péril de sa vie, le policier honore la mémoire de ceux qui ont péri dans l’exercice de missions de sécurité intérieure, victimes de leur devoir.

Article R. 434-29 – Devoir de réserve

Le policier est tenu à l’obligation de neutralité.

Il s’abstient, dans l’exercice de ses fonctions, de toute expression ou manifestation de ses convictions religieuses, politiques ou philosophiques.

Lorsqu'il n'est pas en service, il s’exprime librement dans les limites imposées par le devoir de réserve et par la loyauté à l’égard des institutions de la République.

Dans les mêmes limites, les représentants du personnel bénéficient, dans le cadre de leur mandat, d’une plus grande liberté d’expression.

Article R. 434-30 - Disponibilité

Le policier est disponible à tout moment pour les nécessités du service.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_d%C3%A9ontologie_de_la_Police_nationale#L.27ancien_code_de_d.C3.A9ontologie_.28valable_jusqu.27au_31_d.C3.A9cembre_2013.29

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 176 messages
scientifique,
Posté(e)

Même si les flics étaient entrés dans le local du transfo, ils auraient trouvé des loques irrécupérables !

Quand quelqu'un se place sur du 20 000 V, c'est la mort immédiate est sans rémission possible.

Non seulement le coeur et les poumons sont arrêtés et c'est la mort cérébrale définitive dans les 2 minutes, mais en plus il est inutile et même stupide de tenter toute réanimation à moins que l'on veuille faire vivre en poumon artificiel une légume pendant des décennies.

Outre les jeunes cons qui en sont mort, on peut condamner EDF pour ne pas avoir suffisamment verrouillé le local de son transfo.

Tiens ! au lieu d'apprendre le latin ou l'arabe ou l'allemand, on ferait mieux d'apprendre aux jeunes les dangers du courant électrique !

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Invité Atrebate
Invités, Posté(e)
Invité Atrebate
Invité Atrebate Invités 0 message
Posté(e)

Marion Maréchal Le Pen a laissé un tweet suite à ce jugement :

« Ce verdict prouve que la racaille avait bien mis la banlieue à feu et à sang par plaisir et non à cause d'une bavure policière. »

Pa plaisir non, ils ont réussi à faire décoller Sarkozy.

Hey, 2 ans avant l'élection de 2007, y'a 10 ans !

Les républicains croisent les doigts pour une nouvelle révolte du shit !

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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Dans cette histoire, deux gamins sont morts, et l 'on se jette la responsabilité à la figure. Mais est on vraiment conscient de ce qui s ' est passé ou pas? Cela nous intéresse t il ou s ' agit il juste d 'un prétexte pour donner son avis sur le mode de fonctionnement de la police, de la justice de la société?

Les deux personnes accusées depuis plus de 10 ans pour "non assistance à personnes en danger" sont ,au choix, des excuses ou des faire valoir.... et à l 'arrivée, ne sont pas plus et pas moins responsables que d ' autres.

C 'est "un peu" facile de donner du "flic" par ci et "flic " par là et de passer au post suivant. Faire porter toute la responsabilité de la société sur ces deux seuls individus n ' était pas vraiment une mesure équitable à prendre.... mais si il y avait eu la moindre petite faille, ces deux là auraient été cloués au pilori, sans aucun doute.

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Membre, Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche, 57ans Posté(e)
lepequenot Membre 3 914 messages
57ans‚ Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche,
Posté(e)

Marion Maréchal Le Pen a laissé un tweet suite à ce jugement :

« Ce verdict prouve que la racaille avait bien mis la banlieue à feu et à sang par plaisir et non à cause d'une bavure policière. »

Quelle psychologie, je ne sais pas, se taire aurait-il été possible ?

Pour une fois (comme quoi ça arrive) le petite n'a pas tort.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Marion Maréchal Le Pen a laissé un tweet suite à ce jugement :

« Ce verdict prouve que la racaille avait bien mis la banlieue à feu et à sang par plaisir et non à cause d'une bavure policière. »

Quelle psychologie, je ne sais pas, se taire aurait-il été possible ?

Elle a dit ce que une bonne partie des Français pensent, la racaille l'emporte sur la loi, les émeutes sont là pour le prouver

si tu penses le contraire ,c'est que tu es de leur côté, ou parce que c'est elle qui le dit et que tu veux la contredire pour nous faire plaisir :o°

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Membre, 46ans Posté(e)
renard79 Membre 3 212 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
Posté(e)

svp, arrêtez de dire des conneries plus grosses que vous et écoutez les gens sensés.

Ce qui vient de se passer avec ce non lieu pour les policiers est une insulte à la justice. Je vous invite vraiment à regarder le spécial investigation ci-dessous:

https://www.youtube.com/watch?v=uwUWacuS8ak

On nous explique à quel point l'Etat a voulu étouffer cette affaire et comment Sarkozy s'est servi de ce drame pour se faire élire président de la République. Le pire, c'est que les émeutes de 2005 auraient pu être évités mais nos politichiens ont su mettre de l'huile sur le feu au moment le plus inattendu pour que ça pète. Cette histoire n'est qu'un enchainement de provocation de la part de l'Etat et de ses policiers.

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