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Tout ce qui a été posté par Marcuse
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Sous-estimé à l’époque, ce déni de démocratie marque pourtant un tournant dans la vie publique française. Commémorer — quelle qu’en soit la manière — est censé contribuer à la cohésion nationale. Occulter ne saurait donc être sans importance. « Ce qui m’épouvante (…), ce n’est pas que le monde moderne détruise tout, c’est qu’il ne s’enrichisse nullement de ce qu’il détruit (1) », écrivait Georges Bernanos. Vingt ans après, que reste-t-il du référendum du 29 mai 2005 par lequel une nette majorité de Français a rejeté le traité constitutionnel européen (TCE) ? Pour beaucoup, le vague souvenir d’un vote populaire bien vite remis en cause. Dans l’ambiance délétère et incertaine de 2025, l’intérêt général ne commande-t-il pas de remettre en lumière cet événement, son sens et sa portée ? https://www.monde-diplomatique.fr/2025/05/BELLON/68352
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Avant de répondre à cette question il faudrait revoir un peu cette manière de présenter l'histoire de la gauche au pouvoir... c'est exactement à cause de ce genre de présentation que ces événements sont oubliés/rejetés. et pourtant ils sont fondateurs
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Sur le pressoir Gaston Couté (1880-1911) Sous les étoiles de septembre Notre cour a l’air d’une chambre Et le pressoir d’un lit ancien ; Grisé par l’odeur des vendanges Je suis pris d’un désir Né du souvenir des païens. Couchons ce soir Tous les deux, sur le pressoir ! Dis, faisons cette folie ?… Couchons ce soir Tous les deux sur le pressoir, Margot, Margot, ma jolie ! Parmi les grappes qui s’étalent Comme une jonchée de pétales, Ô ma bacchante ! roulons-nous. J’aurai l’étreinte rude et franche Et les tressauts de ta chair blanche Ecraseront les raisins doux. Sous les baisers et les morsures, Nos bouches et les grappes mûres Mêleront leur sang généreux ; Et le vin nouveau de l’Automne Ruissellera jusqu’en la tonne, D’autant plus qu’on s’aimera mieux ! Au petit jour, dans la cour close, Nous boirons la part de vin rose Oeuvrée de nuit par notre amour ; Et, dans ce cas, tu peux m’en croire, Nous aurons pleine tonne à boire Lorsque viendra le petit jour. Gaston Couté ici interpété par le groupe La Tordue Une autre ambiance avec Gérard Pierron
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Le temps des barricades : Le temps des ouvriers Episode 2
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Serge UTGE-ROYO - Sur la Commune
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La bordélisation du pays, c’est Macron. Johann Chapoutot
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Accepter de travailler gratuitement ou faire baisser les chiffres du chômage en étant radié ? Cruel dilemne. Et si vous n'avez pas le choix vous devrez accepter n'importe quel boulot de merde payé des miettes.
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CHAMANE de Bartabas
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Résister, c'est tout simplement exister. Exister consister à résister. Alain Guyard
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Fatoumata Diawara - Nterini Mon amour est parti bien loin et ne reviendra peut-etre jamais Il a laissé sa famille et ses amis derrière lui et s'en est allé peut-etre ne reviendra t-il jamais Que vais-je faire? c'etait mon ami et confident comment va t-il? donne moi des nouvelles Tu es maintenant dans une terre lointaine tu me manques tellement Tu as toujours été mon guide Mon amour est parti bien loin et ne reviendra peut-etre jamais
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Angèle - Ta Reine
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La TVA est l'impôt le plus injuste donc il faut le modérer, et non pas l'étendre comme essaye de nous faire croire le gouvernement. De plus, les suppressions d'impôts récentes (redevance Télé, taxe d'habitation, contribution sur la Valeur ajouté des entreprises) ont en réalité été compensés en TVA. Donc c'est le consommateur qui finance en grande partie ce transfert d'impot. Une énorme traitrise fiscale et sociale. écoutez David Guiraud l'expliquer mieux :
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Tandis que le déficit du système de protection sociale s’accroît, une nouvelle offensive des organisations patronales remet en question son financement hérité de l’après-guerre, basé sur les cotisations salariales et patronales. Le patronat a repris son bâton de pèlerin. Depuis l’ouverture du « conclave » sur les retraites, ses organisations rivalisent de propositions pour faire face au déficit de la Sécurité sociale, dont le montant a été évalué le 26 mai, par la Cour des comptes, à 15,3 milliards d’euros en 2024 (4,8 milliards de plus que prévu), et qui devrait atteindre 22,1 milliards d’euros cette année. Objectif affiché, et repris mi-mai presque mot pour mot par le président Macron : « réduire le coût du travail ». En d’autres termes, profiter de ces difficultés financières apparentes et organisées – une partie des recettes (CSG et CRDS) sont détournées pour rembourser la « dette Covid » – pour provoquer un big bang des recettes de la Sécu au profit des employeurs, en diminuant à nouveau significativement les cotisations patronales, progressivement rognées depuis le début des années 1990. Pour ce faire, les chefs d’entreprise militent d’abord activement pour une baisse des dépenses. Mais ils proposent aussi d’autres sources de financement, dont le point commun est d’affaiblir notre système de solidarité. Une fuite en avant alors que même la Cour des comptes rappelle dans son dernier rapport sur la Sécurité sociale que son déficit s’explique aussi par « le montant des allégements généraux de cotisations patronales, qui ont pour objet de réduire le coût du travail ». Un montant qui « a presque quadruplé entre 2014 et 2024, pour atteindre 77 milliards d’euros ». Qu’à cela ne tienne. Les patrons ont toute une panoplie de recettes à proposer pour ne plus payer. https://www.humanite.fr/social-et-economie/cotisations-sociales/les-recettes-du-patronat-pour-detricoter-la-securite-sociale
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on a vu le résultat de la casse d'EDF avec l'explosion des tarifs de l'électricité ... La concurrence n'a pas engendré de baisse des prix, c'est tout le contraire, et les anglais l'avaient vécu lontemps avant nous déja ! LE TCE c'est la casse annoncée des conquis sociaux : sécurité sociale, hopitaux et retraites sont attaqués de toute part, et pas beaucoup de patriotistes pour les sauver.
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Le 29 mai 2005, au terme d’une campagne résolument antilibérale menée par la gauche, des associations, des écologistes, des citoyens, le peuple français disait non au traité constitutionnel européen. Mais la droite et les sociaux-libéraux se sont très vite entendus pour enterrer le vote des Français et imposer une Europe libérale où s’est installée une crise démocratique favorisant une montée de l’extrême droite et de l’abstention. Au terme d’une campagne populaire inédite, 54,7 % des électeurs viennent de dire non au traité constitutionnel européen (TCE), que Jacques Chirac a soumis à un référendum. Des collectifs unitaires locaux se constituent avec Attac, des associations, des syndicalistes, des partis de gauche. « L’essentiel du débat portait sur la question sociale, sur le substrat même des traités européens que reprenait le traité constitutionnel européen », tient à rappeler Francis Wurtz, président à l’époque de la Gauche unitaire européenne au Parlement européen. La gauche du non déroule alors ses arguments antilibéraux. Elle brocarde l’interdiction faite aux États membres d’avoir un déficit supérieur à 3 % du PIB et dénonce la libre concurrence qui détricote les services publics. La frustration, carburant de l’extrême droite Car les effets du non s’inscrivent dans le temps long. D’autant plus que le résultat du vote a été honteusement bafoué. Fin 2007, Nicolas Sarkozy fait ratifier le traité de Lisbonne, qui reprend l’essentiel du TCE, par le Parlement réuni en Congrès, avec le soutien des socialistes. La trahison du vote des Français par Nicolas Sarkozy a alimenté une « frustration qui s’est avérée un carburant très efficace pour le populisme d’extrême droite », déplore Francis Wurtz. Cette attitude « a renforcé l’idée selon laquelle on n’a pas tenu compte du résultat », regrette Arthur Delaporte. Pis, « on n’a pas construit l’Europe dont on aurait besoin aujourd’hui ». Fédéraliste, l’Écologiste David Cormand note qu’il en « reste une trace dans la mémoire des Français : « On ne vous fait pas confiance. » Les Grecs ont fait une expérience similaire. En 2015, ils ont dit non par référendum à un nouveau mémorandum d’austérité. Verdict aussitôt enterré par l’UE et le FMI. « Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens », avait alors lâché Jean-Claude Juncker, président de la Commission. En 2025, les traités européens restent un problème démocratique, la source d’une profonde crise sociale et un défi pour la gauche. https://www.humanite.fr/politique/constitution-europeenne/traite-constitutionnel-europeen-vingt-ans-apres-le-non-retour-aux-origines-du-coup-detat-liberal
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L'abomination de l'intervention Israélienne à Gaza.
Marcuse a répondu à un(e) sujet de frunobulax dans International
L'israel exporte avant tout en Europe. Un embargo pourrait être déterminant pour faire pression. Encore faut-il la volonté politique de ne plus soutenir un tel régime. Et au delà des mots passer aux actes. -
Musiques de film , score, BO , Compositeurs, postez vos thèmes préférés.
Marcuse a répondu à un(e) sujet de Diogene738 dans Musiques
Spring, Summer, Fall, Winter … And Spring OST | Farewell -
Emmanuel Macron : son lien avec des consultants de McKinsey, ce témoin raconte - Cash Investigation
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Dans un rapport publié ce mardi, l’Observatoire des multinationales documente les allers-retours entre le public et le privé, monnaie courante en Macronie, et leur rôle dans l’approfondissement de la crise démocratique. Christophe Castaner, Cédric O, Muriel Pénicaud… On ne compte plus les responsables macronistes qui ont fait le choix de se reconvertir dans le privé, avec tous les risques de conflit d’intérêts que cela comporte. Ex-ministre de l’Intérieur, le premier a été embauché comme conseiller par l’entreprise chinoise de fast-fashion chinoise Shein ; ancien secrétaire d’État au Numérique, le second a posé ses valises comme lobbyiste dans une start-up d'intelligence artificielle ; ancienne ministre du travail, la troisième a intégré le conseil d'administration du géant de l'enseignement Galileo à sa sortie du gouvernement. https://www.humanite.fr/social-et-economie/christophe-castaner/dex-ministres-devenus-lobbyistes-comment-le-pantouflage-mine-la-democratie le rapport intitulé "PORTES TOURNANTES : Comment les allers-retours entre le public et le privé minent notre démocratie" https://multinationales.org/IMG/pdf/portes_tournantes-v2.pdf le site de l'observatoire : https://multinationales.org/fr/
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"Ces livres qui sont devenus des palmes d'or"
Marcuse a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Littérature
J'ai adoré Le trésor de la Sierra Madre de Traven, en revanche je n'ai jamais vu le film. quelqu'un l'a vu et le recommande? est-ce à la hauteur du livre ? -
L'abomination de l'intervention Israélienne à Gaza.
Marcuse a répondu à un(e) sujet de frunobulax dans International
Lors d'une session du Parlement espagnol mercredi 14 mai 2025, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a qualifié Israël d'« État génocidaire ». Si c'est la première fois que le plus haut dirigeant espagnol qualifie explicitement Israël d'État génocidaire, la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, a déjà tenu des propos similaires. « Nous ne pouvons ignorer ce qui se passe à Gaza, qui est un véritable génocide », a déclaré Mme Robles dans une interview accordée l'année dernière. https://www.humanite.fr/monde/armee-israelienne/a-gaza-un-crime-de-genocide-qui-ne-dit-pas-son-nom Après dix-neuf mois de bombardements, de destructions, d’une famine qui s’installe, la question de la qualification des actes commis par l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne fait de moins en moins de place au doute. La nature de l’offensive contre la population civile et les déclarations du gouvernement qui l’accompagnent étayent l’accusation de génocide tel que défini par les Nations unies en 1948. -
Macron, l’ami des milliardaires Comment il braque la France pour eux Élu à l'Élysée en 2017, Emmanuel Macron affirmait vouloir "rassembler" et "répondre aux attentes de tous les Français". Mais très vite, il a multiplié les réformes fiscales favorisant les plus fortunés, notamment des propriétaires de médias comme Xavier Niel, Bernard Arnault, Patrick Drahi, Martin Bouygues ou ou Vincent Bolloré. Un documentaire signé Matéo Larroque et Etienne Millies-Lacroix. https://www.off-investigation.fr/macron-ami-des-milliardaires-comment-il-braque-la-france-pour-eux/
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qu'on l'apprécie ou pas, il dit tout haut ce que bon nombre de journalistes s'osent plus dire :
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Une définition de la Macronie par Yohann Chapoutot : "La macronie c'est quand même une sale engeance, ce sont des rebuts de BDE d'écoles de commerce, qui ont rapport purement utilitariste et prédateur aux choses : ils viennent, ils se servent, ils cassent, ils repartent. Il font ça avec l'hopital, l'école, la police, l'Etat de manière générale. On a élu des gens d'une médiocrité moral et intellectuelle assez stupéfiante."
