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Crève

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Tout ce qui a été posté par Crève

  1. Avant, je l’étais bien plus! Mais je considère comme Amélie Nothomb, que tout intellectuel attend avec passion d’être contredis!
  2. Ce que ça m'apporte ? De la castagne ! Rien de meilleur que de s'emboucanner avec un-e inconnu-e sur le net, en toute clandestinité ;
  3. Je lis un Stephen King : Le Fléau. Ambiance apocalypse : vivons-nous les mêmes instants d'apocalypse, avec nos pandémies Covid et maintenant M-pox ?
  4. Les athées peuvent espérer aussi : si un jour on retrouve un enregistrement, ou un message laissé par Dieu, comme quoi il se serait anéanti, nous laissant le champ libre avec le libre-arbitre. On pourrait dire qu'il a existé, mais qu'il n'existe plus. Que pensez-vous de cette hypothèse ?
  5. En fait, je cherchais à connaître l'histoire de Paris, ses monuments. Auriez-vous des références à me conseiller ? (c'est pour un travail en cours)
  6. Je suis en train de le lire, il me reste deux chapitres. La question qui lui est posée dans une émission, est pourquoi les lecteurs-rices choisissent le livre de Laurent Deutsch ? Des livres d'histoire, il en existe des milliers, alors pourquoi lui a du succès ? Je ne suis pas du tout expert en histoire. Dans les raisons qui peuvent expliquer son succès, je vois déjà une raison marketing : son ouvrage reprend les stations du métro parisien ; chaque chapitre, il y en a vingt, raconte un siècle et a pour titre une station de métro de Paris ; ça parle beaucoup aux Parisiens, qui sont nombreux, et qui veulent s'entendre dire que l'histoire se trouve à Paris, se résume à eux en quelque sorte, l'histoire se trouve à Paris ; ils sont au coeur de l'Histoire de France. Les stations du métro parisiens, c'est leur quotidien, alors pourquoi ne pas en apprendre davantage à leur sujet ? Avec cet ouvrage, les Parisiens se trouvent comme auréolés, sous les feux de la rampe. C'est une astuce narrative ingénieuse, simple et efficace. Et marketing. Ensuite, la notoriété de l'acteur a dû jouer, mais pas tant que ça, au final. Au final, je ne regrette pas ma lecture.
  7. un livre d'histoire ; l'avez-vous lu, @Gouderien ? vous qui aimez l'histoire, que pensez-vous de celui-ci ?
  8. Je n’ai jamais dit que Maxime Chattam était du niveau de Stephen King. J’ai dit que le début de CE roman m’y faisait penser (l’action se situe dans une petite ville, les perso sont des ado) d’ailleurs, il a avoué que King était une source d’inspiration.
  9. J'ai lu le début de ce roman ; ça m'a beaucoup fait penser à du Stephen King.
  10. Le tombeau des lucioles est une expérience, jamais j'aurais cru que des images animées, des personnages dessinés, pouvaient autant nous toucher. Comme j'ai un pied dans la S-F, je vote pour le classique Ghost in the Shell, et le déjà cité Wall-E (bien plus critique qu'il ne le laisse voir). Et si on ajoute les séries, je place Death Note très très haut dans mon estime.
  11. Crève

    Lyon ville de beauf ?

    Lyon est une belle ville, essayez les traboules et la gastronomie, les bouchons lyonnais, le musée cinéma et miniature, et un peu plus loin, le planétarium (à Veaux-en-velus !)
  12. Finalement, ils sont trop chiants ces pisse-vinaigres, qui n’y connaissent absolument rien en économie, mais qui se positionnent toujours en donneur de leçons dans ce domaine. En économie, il y a effectivement l’argent qui sort, mais omettre celui qui entre en retour immédiat ou différé, est un exercice qui doit entrer en ligne de compte. Or, toute acte économique comporte des risques de pertes, mais ne rien entreprendre c’est la garantie absolue de perdre toujours et sur tous les plans, à tous les coups. Les retombés économiques globales sur tout le territoire, avec le tourisme, les hôtels, les restaurants, les musées seront dans les années qui viennent un retour non négligeable au regard des dépenses réalisées ponctuellement pour l’organisation de ce spectacle. S'il y a un point sur lequel je vous suis, c'est bien que je ne m'y connais en rien en économie. Aussi, je compte sur vous pour me dresser le bilan comptable de ces jeux, avec d'un côté débit et de l'autre crédit. Peut-être que ça s'équilibre, peut-être pas. Mais si ça s'équilibre, si l'on a autant gagné qu'on a dépensé, à quoi bon ? à part nous occuper. Je n'oublie pas non plus, dans le coût, les sommes colossales que des perturbateurs ont engendrées en s'attaquant au réseau ferroviaire de France et qui visaient justement à perturber ces jeux juste avant, et que les journaux d'actualité taisent pour faire la place aux jeux. Vous mettrez ça aussi dans la balance ! (En vrai, je ne suis pas tant pisse-vinaigre que ça, si vous lisez les lignes que j'ai écrites au-dessus, et je vais peut-être regarder le tennis de table, sport que je pratique, et suivre les frères Lebrun.)
  13. Dans ce que j'ai suivi, j'ai trouvé que beaucoup de place a été fait à l'art scénique et surtout musical. L'accent a été mis, et la place faite pour les nouveaux artistes, les nouveaux talents. Tant mieux. Ne soyons pas réactionnaires. Les jeux sont faits pour susciter des vocations sportives chez les jeunes, il est dans la logique de retrouver ces références : des rappeurs, des acrobaties sur les toits de Paris façon Assassin's Creed, du Heavy Metal, des chanteuses pop, des films d'animation Les Minions, etc. L'histoire n'est pas en reste, et le show a montré qu'une page a été tournée : la première prestation scénique a été accordée à ... une américaine (Lady Gaga), mais elle chante en français, ouf, l'honneur est sauvé ! Message politique subtil pour montrer que nos alliés sont toujours les USA, mais qu'on garde notre identité ; Ensuite, les dix bustes de femmes mises à l'honneur parce que l'Histoire les oublie ; Nous avons de grandes femmes et les livres d'histoire qu'on a étudié à l'école n'en font pas mention. Il est temps de réparer cet oubli. Ensuite, la Marie-Antoinette décapitée, rappelle que la France a une tradition révolutionnaire, celle de couper les têtes de ses élites, et c'est raccord avec tout ce show qui n'a que très peu filmé Macron et sa Dame ; en même temps, tenir sa tête décapitée peut être une référence à d'autres moments de l'Histoire, comme Saint-Denis, le premier à apporter la parole du Christ à Lutèce (Ancien nom de Paris), a tenu sa tête décapitée. Ca et la Cène détournée par les Drag Queen : le message est clair, le catéchisme n'est plus de mise. Ce que j'en dis ? Rien, je suis plutôt indifférent, et aux valeurs anciennes et aux valeurs nouvelles. Pour moi l'Histoire ne se joue pas là. Ce qui me gène, c'est plutôt ailleurs : le pognon qu'a dû coûter un tel show sur l'impôt des français, show pour nous divertir, pour amuser, nous occuper avec des jeux, pendant que pendant ce temps on manoeuvre politiquement ailleurs, on passe des lois, etc.
  14. Je reconnais volontiers avoir commis une grande source de bêtise avec mon topic : j'ai utilisé le terme "d'influenceur" en matière littéraire, cédant à la mode du moment, pour en faire un titre putaclic ; alors qu'au fond de ma pensée, je le reconnais, le terme "influenceur" instaure déjà une relation de pouvoir entre le regardé sur le regardant, tout ça est fort malsain. Je souhaite corriger le tir et parler plutôt d'analyste. Des personnes, qui, par une réflexion, une culture et un talent, enrobé d'un montage vidéo, une mise en scène (Arte Book Club), propose des analyses fouillées, étayées et propose leur vision d'un classique, ou d'un contemporain, qui ouvre des perspectives. La question posée tel quel : oui, de l'indifférence. La question aurait été "quelque chose contre les influenceuses littéraires", la réponse aurait été : non. Le sexe du regardé n'a pour moi pas d'importance sur le domaine qui m'intéresse, la littérature, ce qui compte c'est la pertinence, l'acuité du regard.
  15. Je connaissais BookTubers ! (et tubeuses)
  16. Je suis preneur aussi, si vous avez des influenceuses à proposer en matière littéraire ; cela va sans dire, je ne m'arrête pas au sexe. J'ai utilisé "influenceur", bien sûr cela comprend aussi les "influenceuses".
  17. Je propose de partager ici des influenceurs dans le domaine de la littérature, qui ont ou non une chaîne dédiée à la littérature, et vous paraissent pertinents, agréables à écouter, ou intelligents. Pour ma part, j'en ai décelé deux : - la chaîne L'Alchimie d'un roman, de Jean-Philippe Depotte [analyse de classiques en littérature, aussi bien imaginaires que romans russes, dystopies, classiques français, fantastiques, etc.] - les deux jeunes hommes qui font le Arte Book Club Tout ce beau monde est plaisant à écouter. Dites-moi à la suite, quels sont vos influenceurs en matière littéraire, pour que nous partagions tout ça dans un moment de convivial enjoyment !
  18. Crève

    Bettlejuice 2

    Dans les années 90-2000, on avait une proportion de films novateurs de l'ordre 80/20 : 8 sur 10 étaient nouveaux, et deux sur 10 étaient des suites, des 2. Aujourd'hui, c'est l'inverse : 80 % sont des suites (Bad Boys, Twister, Mad Max, pour ne prendre que ce qui est à l'affiche en ce moment), et 20 % sont des idées neuves. Le cinéma (américain) s'est dégradé, et quand enfin on trouve quelque chose de valable aujourd'hui, on le prend pour un chef-d'oeuvre, quand 25 ans plus tôt, ce même aurait tout juste été passable. La même chose arrive aux séries.
  19. Sapiens, de Yuval Noah Harari, je le lis en anglais, c'est abordable. Ce que je peux reprocher à cet essai, qui tente un résumé de l'aventure humaine, c'est que ce n'est pas très organisé, on passe du coq à l'âne, ce n'est pas linéaire mais thématique, avec parfois des considérations au milieu d'un chapitre qui n'ont rien à voir avec le chapitre. On trouve pêle-mêle, la création de l'argent, des religions, de la science, les premières villes, les premiers empires. Je n'ai pas le courage de vérifier chaque information, je fais confiance à l'auteur. Il fait partie de ces livres qui tentent de résumer un pan entier de l'humanité ; je pense à Le Monde de Sophie, qui résume l'histoire de la pensée sur des siècles. Certaines informations sont du vu et revu, mais dans l'ensemble, ça se lit bien.
  20. le 21 juil', dans mes mails intempestifs, on me propose un produit pour une érection puissante ; pourquoi les algorithmes ont senti un amollissement de ce côté-là ? je n'ai rien senti, moi. tout marche, la pression est dans le slip, comme dirait h. bref, à demain pour de nouvelles aventures !
  21. Gourou : Tout bien que tu détiens, est un soucis qui te retient. Je suis là pour vous ôter tous vos soucis !
  22. J’ai pour ma part abandonné Changer l’eau des fleurs, nul, en referment la question « À quoi bon ? »
  23. On peut pas mettre tout le roman dans le film, aussi long soit-il. N’oublions pas que toute adaptation se mesure à la qualité de sa trahison ! @Gouderien (j’ai de grandes lacunes en effet ; je m’attache à les réparer, mais c’est comme un bateau qui prend l’eau : aussitôt qu’on s’attache à réparer une fuite, une autre se découvre dans la foulée « quoi, t’as pas lu ça ! ». Je vais de ce pas, sur vos recommandations, me saisir de l’exemplaire dans la bibliothèque de ma mère de ce grand roman !
  24. Même constat pour moi : superbe film, je suis heureux de voir le cinéma français réaliser de telles pépites. L'histoire est sacrément efficace, je n'ai jamais lu le roman, mais j'apprécie l'intrigue. La musique sait parfaitement habiller les scènes, notamment Adieux à Eugénie ; cette musique m'a mis les larmes aux yeux, je l'ajoute instantanément dans ma liste à écouter quand j'écris.
  25. la dé-pression est dans le slip, ou la PREssion ?
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