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Oncle_Julien

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Tout ce qui a été posté par Oncle_Julien

  1. :cool: Pour déguster les neuf épisodes précédents, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous. http://www.forumfr.c...ustation-9.html :cool: Pour découvrir ce que m'avoue ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image, ci-dessus... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 10 - La saucisse de Quimper Je téléphone à Clémentine. J'entends bien, au son de sa voix, que la jeune fille est très émue de m'entendre. Je lui annonce ma venue pour ce soir, aux environs de vingt heures. J'évoque la surprise que je lui réserve encore. < Tu me ramènes une saucisse ? C'est ça, hein ? De ton séjour en Finistère ? > me demande Clémentine, ravie. Je lui avoue qu'elle a deviné. < Moi aussi, je te réserve une sacrée soirée, mon coquin ! > me lance Clémentine. J'arrive à l'heure. Je gare ma mobylette sous l'auvent du garage. Je suis vêtu de ma tenue de "Rocker" sixties. Je sonne. Clémentine vient m'ouvrir. Elle découvre ma tenue. T-shirt Eddy Mitchell, pantalon en cuir et Santiags. < Put-hein, mais c'est Carnaval ! > me fait-elle en éclatant de rire. J'aime faire rire les filles. C'est tellement bien. J'entre avec mon petit paquet. Je le dépose sur la table de la cuisine. Clémentine ouvre ce bel emballage. < Wouah ! Comme elle sent fort ! Comme elle est grosse ! > fait Clémentine en découvrant ma saucisse de Quimper. Elle se penche pour la renifler longuement et me demande : < C'est du "Chaussée-aux-Moines", le fromage ? >. Je lui révèle la nature du fromage qu'il y a au bout de ma saucisse Quimpéroise. Clémentine est enchantée. < Viens ! Moi aussi j'ai une surprise pour toi. Mets-toi en slip et suis-moi au salon ! > me fait-elle en m'entraînant. J'arrive au salon plongé dans une obscurité totale. Je suis en slip avec un sentiment d'insécurité plutôt excitant. Soudain, la lumière s'allume et, dans un tonnerre d'applaudissements, une dizaine de filles me font un vrai triomphe. Je suis très gêné. Clémentine prend la parole, au milieu de l'assemblée : < C'est le monsieur des saucisses ! >. Dans un brouhaha assourdissant, la dizaine de filles présentes se mettent à crier : < La saucisse ! La saucisse ! >. J'agite ma saucisse Quimpéroise sous un nouveau tonnerre d'applaudissements. Je fais un véritable triomphe. < Tu nous fais ton numéro "Chippendale" ? > me demande Clémentine. Je monte sur la table du salon. C'est la scène. Clémentine m'accompagne à la flûte. Je me mets à remuer du cul en rythme. Je me lance dans une de mes imitations. Je commence par "Couleur menthe à l'eau" de Eddy Mitchell. Les filles reprennent le refrain en cœur. Un vrai succès. Je fais à présent un "Moon Walk" façon Michael Jackson en interprétant "Thriller". Les filles hurlent et m'ovationnent. Clémentine me met une grande plume rose dans le slip, derrière. J'interprète alors une chanson de Dave avec brio. Clémentine arrête de m'accompagner à la flûte et lance à la cantonade : < C'est l'heure des photos ! En place ! >. Sur un trépieds, un appareil photo est fixé en mode "automatique". Je reste debout sur la table. Les filles devant moi. C'est un moment émouvant. Grand. Clémentine immortalise cette soirée Chippendale" avec tout son talent habituel. Les filles sont alignées devant moi. Certaines me tiennent par les cuisses. D'autres y appuient leurs beaux visages. Je remue ma saucisse Quimpéroise sur laquelle Clémentine a étalée de la crème fraîche. Une crème épaisse. Puis, Clémentine m'invite à prendre place dans le grand fauteuil. Nous faisons une nouvelle série de photographies. Des filles sont accroupies à mes côtés, d'autres à genoux et quelques unes, debout derrière moi, me tiennent. Clémentine fait : < Attention, le petit oiseau va sortir ! > avant d'appuyer sur le déclic de l'appareil en mode manuel. < Mais ! Il est déjà sorti le petit oiseau ! > fait une des filles en secouant ma saucisse Quimpéroise devant l'objectif. Nous rions tous de bon cœur devant ce bon mot. Clémentine réalise une vingtaine de clichés de haute qualité. Clémentine nous invite à passer à table. < Nous allons déguster la saucisse Quimpéroise de notre Chippendale ! > Les filles, poussant de petits cris amusés, impatientes et ravies, sautillent autour de ma saucisse Quimpéroise. < C'est quand qu'on goûte ? > demande l'une d'elle avant d'en humer les effluves parfumées. C'est la dégustation. < J'en veux aussi ! > fait la grande brune qui se précipite en bousculant les deux blondes qui savourent en gloussant. Cette magnifique soirée "Surprise" se déroule ainsi dans la joie et la bonne humeur. C'est une véritable réussite. J'en fais part à Clémentine qui, s'essuyant le jus qui lui coule dans le cou, me fait : < Oh oui ! C'est à refaire très vite ! >. Rapidement, il se fait tard. Repues, nourries, sustentées, les filles prennent congé. Elles promettent de revenir. Elles me font toutes la bises, m'embrassent et me chuchotent des choses rigolotes à l'oreille. Je suis un peu la "Star". Une fois seuls, Clémentine me fait part de ses ressentis. < Alors ? Tu as aimé ma soirée "Surprise" ? > fait-elle. Je la rassure sur l'extrême qualité de cette soirée. Sur ma joie. Clémentine me propose alors de dormir à la maison. < Il y a de la place sur le canapé si tu veux dormir chez moi ! >. Nous rions de cette plaisanterie devenue classique. Clémentine m'entraîne dans la chambre à coucher, tout en perdant un de ses souliers noirs, fermés et à talon haut... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: Pour découvrir ce qui est écrit sur les superbes belles images, il suffit de cliquer dessus. Si on veut... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  2. :cool: Pour déguster les huit épisodes précédents, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous. http://www.forumfr.c...ustation-8.html :cool: Pour découvrir ce que m'avoue ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image, ci-dessus... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 9 - La saucisse de Strasbourg Lorsque je téléphone à Clémentine, ce mercredi, vers midi, elle est enchantée. Je l'entends à sa voix. Je lui annonce mon arrivée pour dix neuf heures trente, ce soir. Clémentine est si pressée de me voir. Je suis toujours ému de l'entendre si heureuse quand je lui téléphone. C'est déjà un peu un avant goût. Je me garde bien d'évoquer la surprise que je lui réserve. Je reste très évasif à toutes ses questions. Le soir arrive enfin. Clémentine me voit arriver depuis la fenêtre de sa salle à manger. Elle se précipite. Je gare ma mobylette sous l'auvent de la véranda. Clémentine me saute dans les bras et m'embrasse. < Comme je suis contente de te revoir ! Tu sais que ça sent la saucisse depuis la rue ? > me fait-elle. Pourtant ma saucisse de Strasbourg est bien protégée dans son emballage. Un linge de coton noble. Clémentine m'entraîne dans la salle à manger. < Retire donc ton casque de mobylette ! > me dit-elle. Je dépose mon casque sur le couvercle des toilettes. < Fais-moi voir ta saucisse ! > me fait Clémentine. Je déballe ma saucisse. < C'est quoi le fromage au bout ? On dirait du vieux "Vache qui rit" ! > me dit-elle. Je lui révèle la nature du fromage. < Vieux dégoûtant, va ! Fais-moi vite goûter ! > me fait Clémentine. Penchée au-dessus de ma saucisse pour en respirer les effluves parfumées, Clémentine me demande : < Comme elle sent fort ! En plus, elle est grosse ! C'est toujours comme ça la saucisse de Strasbourg ? > Je lui révèle qu'il existe plusieurs sortes de saucisses à Strasbourg. Pour tous les goûts, toutes les bourses. < Je peux la savourer sèche, cuite, crue, avec de la moutarde ou de la mayonnaise ?> me fait Clémentine. Je l'invite à déguster ma saucisse de Strasbourg comme elle le désire. Je lui déconseille la moutarde. < C'est vrai ! Si je mange de la moutarde, le lendemain, aux toilettes, ça brûle ! > fait Clémentine en goûtant. < Tu sais, ton fromage qui pue, au bout, rajoute encore aux saveurs délicates, vieux coquin ! > me fait-elle. Je regarde Clémentine déguster longuement ma saucisse de Strasbourg qu'elle savoure tiède et humide. Je découvre sur les traits de son beau visage, cet air extatique si caractéristique. Cela fait plaisir à voir. Quelques gémissements ne laissent aucun doute quand à l'onctuosité de la saucisse de Strasbourg. < Tu me passes une serviette en papier, s'il te plaît ? > me demande Clémentine, avec du jus qui coule. Je lui fais remarquer qu'il y a du jus de la saucisse de Strasbourg sur le haut de son chemisier blanc. Clémentine, déglutissant avec peine, me regarde, pleine de reconnaissance dans son regard amoureux. Je lui dépose une bise sur le front. < C'est où ton prochain voyage ? > me demande Clémentine, ravie. Je retourne dans la région de Toulouse, le pays du cassoulet, dès lundi prochain. Je lui en fais part. < Oh ! Tu me ramèneras une saucisse à cassoulet ? > me fait Clémence avec les yeux brillants de joie. Je lui promets de lui ramener non seulement une saucisse à cassoulet, mais un vrai cassoulet ! < Tu es un amour ! Tu dors à la maison cette nuit ? Le canapé est libre ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine me fait la plaisanterie du canapé tous les mercredis soirs. La jeune fille me tripote un peu. Elle m'entraîne dans la chambre, perdant un de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts... La saucisse que j'ai ramené de Strasbourg L'avis d'un fin gourmet ? :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  3. :cool: Pour déguster les sept épisodes précédents, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous. http://www.forumfr.c...ustation-7.html :cool: Pour découvrir ce que m'avoue ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image, ci-dessus... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 8 - La saucisse à Cassoulet (et de Carcassonne) Il est treize heures. Je téléphone à Clémentine pour l'avertir de ma venue, ce soir, pour dix neuf heures trente. Je gare ma mobylette sous l'auvent du garage pour la protéger de la pluie battante de ce printemps pourri. Clémentine vient m'accueillir avec son grand parapluie. Elle m'embrasse avec fougue malgré les bourrasques. Puis Clémentine m'entraîne à l'intérieur. < Comme je suis heureuse de te revoir, tu m'as manqué ! > fait-elle. Clémentine s'assoit sur mes genoux et me demande comment c'était mon séjour dans la ville de Carcassonne. Je lui raconte les fortifications, les magasins folkloriques de la ville médiévale et les découvertes diverses. < Tu as goûté le fameux Cassoulet à Carcassonne ? > me demande Clémentine soudain très attentive. < Bien sûr ! Je t'ai même ramené une belle saucisse à Cassoulet, regarde ! >. Je déballe ma belle saucisse. Clémentine, enchantée, se penche sur ma saucisse pour en respirer longuement les effluves parfumées. < Oh ! C'est de la Fourme d'Ambert, le fromage qui sent si fort, au bout ? > me demande Clémentine en humant. Je lui révèle la nature du fromage. Clémentine, soudain soucieuse, me fait : < On dirait un vieux Cantal ! >. Avec l'ongle de son index, Clémentine racle un peu de fromage, porte le doigt à son nez, puis à sa bouche. < C'est goûteux et ça va bien avec la saucisse ! > me fait encore Clémentine avant de goûter à ma saucisse. Je la regarde entrain de déguster ma saucisse à peine réchauffée et accompagnée de haricots blancs sautés. J'entends les gloussements de plaisir de la jeune fille qui savoure, les yeux fermés, avec un air mystique. < Elle est délicieuse, dis-donc ! Le fromage rappelle le fameux Ossau-Iraty, le fromage de brebis occitan ! > Lorsque Clémence termine enfin son repas, je lui tends une serviette en papier pour s'essuyer le jus qui coule. Elle s'en est mis partout. Il en dégouline dans son cou. Il en ruisselle même au bout des mèches de ses cheveux. Clémentine, ravie, heureuse, m'embrasse, repue et me demande : < Ton prochain déplacement, c'est où ? >. Je lui réponds que je retourne probablement à Strasbourg. < Tu me ramènes une saucisse ? > demande t-elle. Je lui promets de lui ramener une belle saucisse de Strasbourg, bien juteuse, avec un fromage Alsacien. < Tu es un amour ! Tu dors à la maison cette nuit, il y a de la place sur le canapé ! > me fait-elle, mutine et rieuse. Nous éclatons de rire car c'est, une fois encore, la même plaisanterie. Clémentine me saisie par le bras. Elle m'entraine, impatiente et fébrile, vers la chambre à coucher, perdant un de ses escarpins à talons hauts... :cool: Lorsque je clique sur les belles images, je peux même lire ce qui est écrit ! Je clique à gauche avec le doigt... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  4. :cool: Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les six précédents épisodes. 1 - http://www.forumfr.c...ustation-1.html 2 - http://www.forumfr.c...ustation-2.html 3 - http://www.forumfr.c...ustation-3.html 4 - http://www.forumfr.c...ustation-4.html 5 - http://www.forumfr.c...ustation-5.html 6 - http://www.forumfr.c...ustation-6.html :cool: Si on clique sur l'image, on découvre les aveux de Clémentine... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 7 - La saucisse de Strasbourg J'ai prévenu Clémentine de mon arrivée pour dix neuf heure, ce mercredi soir plutôt maussade et pluvieux. J'arrive à l'heure prévue. Je gare ma mobylette sous l'auvent de la porte du garage. La protégeant de la pluie. Clémentine, depuis la fenêtre de sa cuisine, me voit agiter ma saucisse de Strasbourg déjà dans le jardin. La jeune fille se précipite à ma rencontre, manquant de rater la dernière marche de l'escalier de l'entrée. Clémentine m'embrasse longuement avec sa fougue habituelle. Elle se serre contre moi, toute heureuse. < Tu es un amour ! Tu ne viens jamais les mains vides ! Viens, entrons à la cuisine ! > dit-elle en m'entraînant. Je déballe ma saucisse de Strasbourg de son emballage de tissus blanc. Clémentine est silencieuse. Admirative, la jeune fille me demande : < Le fromage, il est de Strasbourg, lui aussi ? >. Nous rions aux larmes. Je dépose ma saucisse de Strasbourg sur le rebord de la table. Clémentine se penche pour la scruter. < Il y a du jus qui suinte sur le tissus. C'est normal ce jus gras et visqueux ? > me demande Clémentine. Je lui explique la nature du fromage et cette recette personnelle qui consiste à en rajouter un peu partout. < En plus, ça sent fort ! > me fait encore Clémentine en grattant avec l'ongle qu'elle porte à son nez. Me voyant quelque peu déçu, Clémentine me rassure en goûtant son doigt : < C'est onctueux ! > me fait-elle. Je lui propose de déguster la saucisse de Strasbourg comme il se "doigt" avec de la moutarde forte de Dijon. < Non, la moutarde, je ne préfère pas ! Le lendemain, aux toilettes, ça me brûle ! > me répond la jeune fille. Je lui propose d'essayer avec de la crème. < Oh oui ! De la bonne crème épaisse, allégée ! > fait Clémentine. Clémentine me propose de passer au salon. J'emmène donc ma saucisse de Strasbourg dans son linge. Tous les deux, confortablement installés dans le canapé, Clémentine goûte à ma saucisse de Strasbourg. < Elle est juteuse ! Elle a macéré longtemps ? > me demande la jeune fille avant de savourer, les yeux fermés. Je regarde Clémentine se régaler. C'est toujours un plaisir d'entendre ses petits contentements discrets. Clémentine, avec son appétit insatiable, déguste longuement. Cela fait plaisir à voir. Elle aime la saucisse. Sa dégustation terminée, Clémentine me demande de lui passer une serviette en papier pour s'essuyer. Je lui fait remarquer qu'il y a quelques grumeaux de fromage qui collent dans le jus qui coule sur son pull. Avec un mouchoir en papier je l'aide à tout essuyer. Clémentine, enchantée, m'embrasse avec fougue. < Merci mon petit éleveur de saucisses ! > fait-elle avant de dire : < Tu dors sur le canapé, cette nuit ? >. Nous rions une fois de plus de cette plaisanterie devenue un grand classique de nos fins de soirées. Clémentine, lâchant un rôt puis un chapelet de proutes, m'entraîne vers la chambre à coucher en riant. Dans son impatience, elle perd un de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts. Sa jupe virevolte. < Ton prochain déplacement, c'est où, mon petit éleveur de saucisses ? > me demande t-elle, espiègle. Elle me fait basculer sur le lit. Je lui parle de mon prochain déplacement à Carcassonne, au pays Cathare. < Wouah ! Tu me ramènes de la saucisse à cassoulet, de là-bas, s'il te plaît ? > me demande Clémentine. Je lui promets de lui en ramener une belle en la mettant en garde des risques de flatulences du lendemain... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  5. :cool: Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les cinq précédents épisodes. 1 - http://www.forumfr.c...ustation-1.html 2 - http://www.forumfr.c...ustation-2.html 3 - http://www.forumfr.c...ustation-3.html 4 - http://www.forumfr.c...ustation-4.html 5 - http://www.forumfr.c...ustation-5.html :cool: Si on clique sur l'image, on découvre les aveux de Clémentine... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 6 - La saucisse de Bruxelles Depuis dimanche, Clémentine m'a envoyé quantité de courriels ainsi que de très nombreux SMS. C'est touchant. Je lui ai promis de passer mercredi soir sur le coup de dix neuf heure. J'arrive donc avec ma ponctualité habituelle. Clémentine guette mon arrivée depuis la fenêtre de sa cuisine. Dès qu'elle me voit franchir le portillon, elle accourt. J'agite mon saucisson Bruxellois sous son nez. Amusée, Clémentine essaie de s'en emparer en riant aux éclats. < Comme je suis heureuse de te revoir ! Une semaine sans ta visite, c'est long ! > me fait Clémentine, heureuse. Elle attrape mon saucisson Bruxellois pour m'entraîner dans son salon. Clémentine m'embrasse longuement. < L'odeur de ton saucisson envahissait tout le quartier. Je savais que c'était toi ! > me fit-elle encore, toute ravie. Je déballe mon saucisson Bruxellois pour le déposer sur le bord de la table. < Il sent fort ! > me fait Clémentine. La jeune fille se penche en avant pour en renifler les effluves parfumées. Les yeux fermés, Clémentine hume. < Le fromage ? Il est Bruxellois lui aussi ? On dirait un vieux "Vache qui rit" ! > me fait-elle en passant le doigt. Clémentine racle un peu du fromage pâteux avec l'ongle de son index. Elle le porte sous son nez et à sa bouche. < Origine indéterminée, mais agréablement goûteux ! > fait-elle en guise de constat. Elle goûte encore un peu. Je lui avoue l'origine et la nature du fromage. Un fromage Bruxellois issu d'une ancienne tradition de Wallonie. < Je trouve que ton fromage est le complément idéal de ton saucisson ! Tu as toujours bon goût ! > fait Clémentine. Je l'observe en train savourer mon saucisson Bruxellois en poussant des petits gloussements caractéristiques. Nul doute, Clémentine déguste en se régalant. Cela fait tellement plaisir à voir. Je regarde, charmé et ému. J'explique à Clémentine que le saucisson Bruxellois est naturellement juteux. Un jus épais et plutôt visqueux. Gras. Tout en s'essuyant la bouche avec un mouchoir en papier, Clémentine me fait remarquer à quel point c'est onctueux. Il y a de longs filaments de fromage qui s'étirent de ses lèvres au saucisson. Clémentine pousse de petits cris. En déglutissant avec peine, elle m'avoue sa passion pour le saucisson. Qu'il soit de Bruxelles ou d'ailleurs. < Ton prochain déplacement, c'est où ? > me demande Clémentine qui termine d'avaler le dernier morceau. Je lui précise que j'irais très prochainement passer deux jours à Viennes et que je lui ramènerais des Viennoises. < Oh oui ! Viennes ! Il paraît que la saucisse Viennoise, lorsqu'elle est véritable, est un délice ! > s'écrie Clémentine. Je lui confirme que la saucisse Viennoise offre également des qualités nutritives sans égales. Clémentine est ravie. Clémentine termine de s'essuyer le jus qui lui dégouline sur le menton et qui perle au bout de ses cheveux. < Un jour, tu m'emmèneras avec toi pour un voyage gastronomique, mon petit choux de Bruxelles ? > fait Clémentine. Je lui promets de l'emmener pour un prochain séjour à Strasbourg. Il y a là-bas la fameuse saucisse de Strasbourg ! < Tu es un amour ! > me dit encore Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. Son haleine sent le sauciflard... < Tu dors à la maison, cette nuit ? Le canapé est libre ! > me fait Clémentine en éclatant d'un rire sonore. La jeune fille me lance la même plaisanterie à chacune de mes visites. Elle m'embrasse longuement. < Viens, mon petit "Cordon-Bleu", je t'emmène dans mon antre. Tu y seras mon cuisinier, mon "Maître-Queue" ! Clémentine m'entraîne dans la chambre. Dans son impatience, elle perd un de ses escarpins à talon haut... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  6. :cool: Oui, certes, mais moi je suis un hétérosexuel à 150 % Je n'ai toujours fait "ça" qu'avec des filles. Je ne fais "ça" qu'avec les filles et je ne ferais toujours "ça" qu'avec les filles. C'est toute la différence... :cool:
  7. :cool: Chères amies lectrices Chers amis lecteurs Rien n'est mieux que de rester "nature", tel que nos gentilles mamans nous ont fait. Mamans dont nous célébrons la fête, le 29 mai. Oui ! C'est la fête des Maires bientôt. Un gland qui coulisse dans un prépuce, c'est déjà tellement jouissant. Et puis ça reste humide, chaud et ce n'est pas moins hygiénique. Beaucoup de noirs sont circoncis et pourtant l'Afrique connait le fléau du Sida. Tout ça ce sont des conneries imposées par les médias dans le bus de conditionner. Véhiculer la crainte afin de programmer les individus à une autre culture. Et, de se faire pomper vec un sexe "entier", est un délice pour la pompeuse. Surtout si elle aime le vieux parmesan grumeleux, finement râpé... :cool: :cool:
  8. :cool: Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les quatre précédents épisodes. 1 - http://www.forumfr.c...ustation-1.html 2 - http://www.forumfr.c...ustation-2.html 3 - http://www.forumfr.c...ustation-3.html 4 - http://www.forumfr.c...ustation-4.html :cool: Si on clique sur l'image, on découvre les aveux de Clémentine... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 5 - La saucisse de Montbéliard Depuis dimanche, Clémentine vit un véritable enfer. Elle est fébrile et impatiente. Elle me fait quantité de courriels. Aussi, lorsqu'elle me voit arriver, hier soir, mercredi, agitant ma saucisse de Montbéliard, elle me saute dans les bras. Je la vois épier le jardin depuis la fenêtre de la cuisine. Je secoue ma saucisse de Montbéliard déjà depuis la rue. < C'est merveilleux, tu as pensé à me ramener une saucisse de ton séjour dans le Jura ! > fait-elle. Enchantée. Je l'embrasse longuement. De la voir si heureuse me fait chaud au cœur. Je suis un sentimental et cela me touche. Clémentine me fait entrer à la cuisine. Aussitôt, je dépose ma saucisse de Montbéliard sur le rebord de la table. Penchée en avant, humant à pleines narines les effluves parfumées de ma saucisse de Montbéliard, elle est ravie. < Le fromage, au bout, c'est du Comté ? > me demande Clémentine en raclant un peu de matière de son index. Je la rassure, ému : < Oui, j'emballe toujours mes saucisses avec un peu de fromage, c'est mieux pour le goût ! >. < Je peux y goûter tout de suite ou tu préfères qu'on passe au salon ? > me demande Clémentine en sautillant. Je lui propose de nous installer confortablement dans son canapé, nous y serons beaucoup mieux pour savourer. < Alors viens vite, je n'en peux plus d'attendre depuis la dernière fois ! >fait-elle, se saisissant de la saucisse. Il y a le miroir ovale, juste devant le canapé. Je peux donc apprécier la vue unique, comme dans un rétroviseur. J'observe donc Clémentine qui hume longuement ma saucisse de Montbéliard en gloussant. Elle est si heureuse. Lorsqu'elle passe la langue pour en laper le fromage, je peux constater que Clémentine est dans un état d'extase. Longuement la jeune fille savoure le fumet particulier. Je lui raconte le procédé de fabrication. Le fumage... Je lui dis :< C'est dans une cheminée en bois, appelée "Tuyé" que ces saucisses sont fumées au bois de hêtre ! > Tout en savourant ma saucisse de Montbéliard, Clémentine écoute avec attention. Je continue donc mon histoire. < Cette spécialité du Jura est fumée durant vingt quatre heures. C'est cette opération qui les rend uniques ! >. Clémentine, se redressant, dit : < Spécialité unique et savoureuse ! je peux en témoigner devant les lecteurs ! >. La saucisse de Montbéliard est plutôt grasse et juteuse. Avec les filaments de fromage fondu, c'est goûteux. Clémentine me fait encore : < Ton prochain déplacement, c'est où ? >. Je lui essuie la bouche avec un mouchoir. Je lui fais remarquer qu'elle a un peu de jus sur le haut du pull et dans les cheveux. Je lui dis : < Bruxelles ! >. Clémentine, juste avant de retourner à sa dégustation me fait encore : < Tu me ramèneras une saucisse Belge ? > Lorsqu'elle a dégusté son délicieux repas, Clémence m'embrasse longuement. < C'était goûteux ! > dit-elle. Ce qui a pour effet de maculer nos bouches du jus de ma saucisse de Montbéliard. Clémentine me sourit. < Tu vas à Bruxelles quand, mon petit choux ? > me fait la jeune fille en rotant. < Dimanche soir > que je lui dit. Je m'empresse de rajouter : < Ils ont là-bas une saucisse au choux qui fait le régal des authentiques gourmets ! > Clémentine me demande, espiègle et mutine : < Tu dors à la maison ? Tu veux dormir sur le canapé ? > Nous rions tous deux de bon cœur de cette plaisanterie devenu un grand "classique". < Bien sûr ! > que je dis. Clémentine, se levant prestement, m'attrape par la main pour m'entraîner dans la chambre à coucher. Dans sa précipitation, Clémentine perd un de ses escarpins noirs, fermé et à talon haut. Sa jupette est tâchée.... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  9. Note de l'auteur Le déroulement des faits vécus sont relatés dans une suite logique et rigoureuse. Les faits narrés sont authentiques et se sont déroulés tels qu'ils sont décrits. Afin de préserver l'anonymat des personnes et des lieux, les noms utilisés ne sont que des pseudonymes. Episode 10 J'étais dans ma chambre, assis à mon bureau. Je venais de terminer de ranger mes affaires dans l'armoire. Nous étions revenus pour dix neuf heure. La petite lampe éclairait mes cahiers d'école, mes crayons et mes stylos. Maman vint me chercher pour me demander de venir à table. Il était dix neuf heure trente. Papa et maman évoquaient les vacances d'été. Nous irions sans doute en Ecosse, dans la famille. Je mangeais avec appétit. La montagne, ça creuse. Après le dessert, j'aidais maman à débarrasser la table. Papa me proposait de regarder les photos prises l'année passée, à Edimbourg, à St-Andrew ou encore à Aberdeen. J'aime l'Ecosse, la lumière, le climat, l'atmosphère et la gentillesse des écossais. J'aime ma famille là-bas. Maman vint nous rejoindre au salon pour commenter les photos. Vers vingt et une heure, tombant de fatigue, je retournais dans ma chambre pour me coucher. Je me déshabillais et revêtais mon pyjama. Je me couchais. Maman vint me faire la bise et éteignit la lumière avant de quitter la chambre en me souhaitant la bonne nuit. Je n'allais pas tarder à m'endormir lorsque soudain le bruit de quelque chose tombant au sol attira mon attention. J'allumais la lampe de chevet. Au sol, il y avait un petit livre ouvert dont une photographie s'était échappée. Je ramassais le livre. Lorsque je me dirigeais vers l'étagère de la petite bibliothèque, j'eus l'impression soudaine de me retrouver dans un froid intense. Je me mis à greloter. Rapidement je revins dans mon lit. Dans cette partie de la chambre, la température était normale. Comment ce livre a t-il pu parcourir horizontalement les trois mètres qui séparaient l'étagère de mon lit ? Ce livre, traitant de coquillages marins, était rangé sur l'étagère du haut. Là où je disposais tous les livres ayant trait aux sciences. Je les ouvrais rarement. Je ne l'avais plus consulté depuis plusieurs mois. Il n'y avait donc aucune raison pour que cet ouvrage se retrouve près de moi. Je restais interrogatif, cherchant une raison logique. Je ramassais la photographie. Je retournais la photographie. Elle nous représentait, Isabelle et moi, assis devant la galette des rois, l'an passé, à la cuisine. Pourquoi ce phénomène qui réunissait une synchronicité évidente et un poltergeist tout aussi évident ? En effet, je venais de passer trois jours avec Isabelle et voilà que cette photographie la ramenait à moi. J'éteignis la lumière et me cachait sous les draps. Je tremblais longuement. Je finis par m'endormir sans autres manifestations dérangeantes. Le lendemain, en début d'après-midi, Isabelle vint me voir. Nous nous sommes assis dans le salon, sur le canapé. Maman nous proposa de la tarte aux pomme et de la tisane. Lorsque nous étions seuls, Isabelle me raconta ce qui lui était arrivé hier soir, vers vingt et une heure quinze, dans sa chambre. Son récit relatait une aventure en tous points similaire à la mienne. Une fois couchée le bruit d'un objet tombant au sol avait attiré son attention. C'était un livre. Du livre s'était échappée une photographie prise par sa maman, l'automne dernier. On y voyait Isabelle et moi, assis sur le banc dans la véranda ! Elle me montra la photographie qu'elle avait emmené. Je lui racontais mon histoire. J'allais chercher la photographie. Nous sommes restés étrangement silencieux un très long moment. Nous écoutions maman jouer du piano. Mozart accompagnait nos réflexions. Isabelle et moi, nous n'étions encore que des enfants, mais un étrange pressentiment nous envahi soudain tous deux. Cette extraordinaire aventure est restée gravée dans nos mémoires... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog "Paranormal Activity" -
  10. :cool: Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les trois précédents épisodes. 1 - http://www.forumfr.c...ustation-1.html 2 - http://www.forumfr.c...ustation-2.html 3 - http://www.forumfr.c...ustation-3.html :cool: Si on clique sur l'image, on découvre les aveux de Clémentine... :cool: La saucisse de Toulouse Je téléphone à Clémentine. Je l'informe de mon passage, ce soir pour les environs de dix neuf heure. Clémentine est toute heureuse. Elle m'attend, impatiente, sur le pas de la porte, en haut de l'escalier. La jeune fille me voit franchir le portillon du jardin, agitant ma saucisse de Toulouse depuis la route. Clémentine se précipite et me saute dans les bras. < Viens, entre vite ! > fait-elle en me prenant la main. < C'était comment Toulouse ? > me demande la jeune fille tout en déballant ma saucisse de Toulouse. Je lui réponds : < C'était vraiment très bien ! >. Clémentine, penchée en avant hume la saucisse. Clémentine reste ainsi de longues minutes à renifler les effluves parfumées de ma saucisse de Toulouse. < C'est normal, le fromage au bout ? > demande t-elle en touchant avec son doigt pour en récupérer. Je la rassure en lui signifiant que ma saucisse de Toulouse était dans le même emballage que le Camembert. < Ah ! Parce qu'ils ont du Camembert en spécialité à Toulouse ? > fait Clémentine, passionnée de découvertes. Nous nous installons confortablement. Clémentine est pressée de découvrir les saveurs de mon cadeau. C'est touchant. Cela fait plaisir à voir. Tant de plaisir, tant de joie et tant de gloussements pour une saucisse ! J'observe Clémentine, les yeux fermés, en train de déguster cette spécialité ramenée de Toulouse. C'est beau. Parfois, cessant sa dégustation pour boire un peu de cidre, elle me regarde les yeux pleins de reconnaissance. Clémentine, gourmande, a du jus de ma saucisse de Toulouse qui lui dégouline sur le menton, en luisant. J'essuie les coulures avec la serviette en papier. < C'est si bon ! Je m'en mets partout ! > fait-elle en riant. Nous prenons tout notre temps. Nous avons toute la soirée. Clémentine, repue, s'assoit sur mes genoux. < Tu dors à la maison, cette nuit ? Tu peux dormir sur le canapé, si tu veux ! > fait-elle en me couvrant de bises. Elle rajoute, espiègle et mutine : < Ton prochain déplacement, c'est où ? >. < Montbéliard > que je lui réponds. < Super ! Encore le Jura ! > fait Clémentine. Je lui dis : < Et je te ramène une belle saucisse de Montbéliard ! >. < Tu es un amour ! > me fait Clémentine en m'entraînant dans la chambre et en perdant un de ses escarpins... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: Si on clique sur l'image, on découvre ce qui est écrit... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  11. :cool: Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les deux précédents épisodes. 1 - http://www.forumfr.com/blogs/b1150e6425-elle-aime-la-saucisse-degustation-1.html 2 - http://www.forumfr.com/blogs/b1150e6451-elle-aime-la-saucisse-degustation-2.html :cool: Je clique sur l'image pour découvrir ce que me dit ma belle admiratrice... :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 3 - La saucisse de Frankfort Je reviens de Frankfort. Au téléphone j'en informe Clémentine. Toute heureuse, elle me propose de passer. J'arrive donc avec mon paquet. J'ai ramené quelques spécialités de Frankfort. De la charcuterie fine. Dès qu'elle me voit arriver, depuis la fenêtre de la cuisine, Clémentine me fait plein de "coucous" de la main. Elle se précipite à ma rencontre. La jeune fille me fait quantité de bises. Elle est si contente de me revoir. A la cuisine, je déballe la saucisse. < Oh, my Gode, de la saucisse de Frankfort ! Vous me gâtez ! > fait-elle. Elle rajoute encore, en appuyant son sourire d'un clin d'œil : < J'ai senti ta saucisse depuis le jardin ! >. Je lui propose de découvrir cette merveille culinaire, la saucisse au fromage, spécialité de la ville de Frankfort. Clémentine renifle longuement les effluves se dégageant de ma saucisse. Saucisse que j'ai posé sur la table. < Wouah, ça schlingue ! > me fait encore la jeune fille en s'emparant de ma saucisse. Elle goûte un peu. Clémentine, toute joyeuse, se met à sautiller en s'écriant : < J'adore la saucisse lorsqu'il y a du fromage ! > Je lui propose d'y goûter sans attendre. Je lui demande : < Je te la prépare à quoi mon petit ange ? >. Clémentine vient m'embrasser. Elle a un peu de fromage aux coins des lèvres de son adorable petite bouche. Je regarde Clémentine en train de déguster ma saucisse. Cela fait plaisir à voir, quelqu'un qui se régale ainsi. J'ai préparé ma saucisse aux olives et aux noix. Le fromage fondu suinte un peu ce qui parfume toute la cuisine. < Tu sais que j'attends avec impatience de savoir ta prochaine destination ! > me fait Clémentine en savourant. Je lui apprends que ce sera un colloque à Toulouse et que je n'omettrais pas de lui ramener une saucisse. < Tu es adorable ! > fait Clémentine en déglutissant. < Oui, je sais ! > que je lui réponds en lui essuyant le menton. < Tu restes là pour dormir ? Tu dors sur le canapé ? > me demande la jeune fille, du jus de la saucisse sur le pull. La coquine, une fois repue, ne manque jamais de me faire la même adorable plaisanterie. Nous rions de bon cœur. < Viens, je vais prendre mon dessert ! > me fait Clémentine en m'entraînant vivement vers la chambre... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  12. :cool: :cool: Chères amies lectrices J'ai une excellente amie, appelons-la "Clémentine", qui est une véritable vampire ! Oh, bien évidemment, je devine un sentiment général de consternation dans l'assistance. Et pourtant, je m'en porte garant, "Clémentine" vit la nuit et se comporte en vampire... Dimanche soir encore, "Clémentine" est venue à la maison. J'étais devant mon ordinateur. Trois coups de sonnettes rapides, trois coups de sonnettes plus longs. C'est le "code". "Clémentine", toute de noir vêtue, est entrée dans mon antre d'alchimiste. Je suis alchimiste ! Lorsque Clémentine me fait la bise, je sens toujours ses incisives sur la peau de mon cou. Oui, aussi sur la peau de mon cou. Lorsqu'elle se blottit contre moi, je sens sa peau froide. "Clémentine", le soir, a toujours froid aux pieds, aux fesses et aux seins. Autant de "signes" ! Oui, autant de "signes" qui ne trompent pas. Les dents contre ma carotide et le corps froid. Soudain, à chaque fois, "Clémentine" se rue sur moi, me reversant sans ménagement. Je suis maintenu de force au fond du canapé. "Clémentine", avec avidité, suce mon sang ! "Clémentine" suce mon hémoglobine en gémissant de plaisir et de bonheur. Elle glousse ! Moi, tremblant, effrayé, je regarde tout ce qu'elle me fait. Elle a les yeux fermés. Consciencieuse. Comme à chaque fois, je trouve que mon cou n'est pas placé au bon endroit de mon corps. Mon "vampire" reste ainsi, quelque fois plus d'une heure à se nourrir de mon énergie. Moi, je suis vidé, "pompé", je me sens vaciller. J'ai des vertiges. Mon corps est agité de spasmes. "Clémentine", repue, se redresse enfin. Elle m'observe, silencieuse, les yeux pleins de reconnaissance. < Je t'ai bien eu ! > me fait-elle alors, en s'essuyant la bouche avec un mouchoir noir. Elle s'empresse de me rassurer en rajoutant : < Ce n'était pas ton sang ! >. Je suis soulagé. "Clémentine" reste encore un peu chez moi pour sacrifier au rituel de la coupé glacée. Même si j'ai peur, à chaque visite de mon vampire, je dois avouer que je lui offre mon sang avec plaisir. Même si elle prétend que ce n'est pas mon sang qu'elle prélève pour survivre jusqu'à la fois d'après. Mon vampire ne peut survivre longtemps sans revenir se régénérer de ma substance vitale. "Clémentine" revient demain soir. Rassurez-moi. Dois-je m'en inquiéter ? :cool: :cool:
  13. :cool: Afin de savourer ce nouvel épisode , dégustons l'épisode précédent en cliquant sur ce lien : http://www.forumfr.c...ustation-1.html :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 2 - La saucisse de Morteau Clémentine me voit arriver depuis la fenêtre de sa cuisine. Elle me fait un "coucou". J'agite ma saucisse de Morteau dès l'entrée du jardin. Elle me fait un grand sourire. Clémentine se précipite à ma rencontre pour m'embrasser. Elle est si contente. < Bonjour. Comment c'était ton séjour dans le Jura ? > me demande t-elle, heureuse. Elle me fait entrer. Je déballe doucement ma saucisse pour la lui faire admirer. Elle se penche pour l'observer attentivement. Elle renifle longuement en humant. < Elle sent fort ! > me fait-elle encore avant de la saisir pour la soupeser en riant. < Regarde, on dirait qu'il y a du fromage qui suinte au bout ! > me dit-elle encore. Clémentine, jeune fille curieuse, en quête d'un savoir nouveau, pose des questions. < Comment c'est Morteau ? >. Je lui parle un peu de la ville et de ses spécialités. Clémentine écoute mes anecdotes et découvre les photographies que j'ai ramené. < Je peux goûter à ta saucisse ? > me fait-elle, ingénue, mutine et espiègle. Clémentine évoque également la petite commune de Saint-Claude, toujours dans le Jura. Saint-Claude, capitale de la pipe, connaît une activité économique stable et exemplaire. Je lui fais une surprise : < Je t'ai ramené une pipe ! Une belle pipe en racine de bruyère ! > < Oh oui ! J'adore lorsqu'il y a du gruyère ! > s'écrie Clémentine en admirant la chose. Clémentine et moi, nous ne fumons pas. Ce sera donc une pipe purement décorative. < Oh, regarde comme elle est bien taillée ! > me fait Clémentine en la caressant. La jeune fille déguste la saucisse de Morteau en gloussant de plaisir. Cela fait plaisir à voir. C'est avec du jus de la saucisse qui lui coule sur le menton qu'elle vient me remercier. < Tu vas voir les commentaires jaloux et envieux au bas de ce texte ! > me fait Clémentine. Je lui signifie : < Ah ! Parce que tu appelle ces déjections canines, des commentaires ? > < C'est vrai, ça fait penser à des crottes de chien au bas d'un réverbère ! > dit Clémentine. Elle savoure la saucisse en me faisant un clin d'œil. Du jus lui dégouline dans le cou. Je la rassure en lui disant qu'il est impossible de laisser un commentaire au bas de mes récits. < Tu as bien fait ! > me fait-elle. Je la regarde déglutir parfois avec peine mais toujours en gloussant. Elle rajoute encore : < Il y a tant de gens qui fréquentent les forums pour êtres désobligeants ! > Je lui signifie que sur mes Blogs, je désactive systématiquement la fonction "commentaire". < Tu veux dormir sur le canapé ? > me fait Clémentine en jouant avec la pipe. Elle se déguise en tyrolienne, et pipe en bouche, m'invite à danser une polka tyrolienne. < Comme elle est bonne ta saucisse. Je m'en reprends demain matin ! > me fait Clémentine. Elle m'entraîne d'un pas endiablé, par la main, dans la chambre... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: Pour lire dans les meilleures conditions, il suffit de cliquer sur les belles images... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal. :cool:
  14. Oncle_Julien

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    :cool: Une belle découverte. Je me suis abonné à quelques "épingles". Des travaux personnels ? :cool:
  15. :cool: Elle aime la saucisse - Dégustation 1 - La saucisse de Lyon Clémentine apprécie les spécialités culinaires. Tout particulièrement charcutières. Aussi, lorsqu'elle me téléphone, elle n'oublie jamais de préciser ses goûts. Comme il m'arrive régulièrement de parcourir la France, je ramène des spécialités. Il m'arrive parfois d'aller dans d'autres pays limitrophes et Européens. La semaine dernière, par exemple, j'étais dans la magnifique région Lyonnaise. J'en ai profité pour y faire quelques marchés, découvrant des spécialités rares. Les connaisseuses savent les spécialités goûteuses qu'on trouve dans les grandes villes. Il suffit de rôder un peu, de traîner par ci, par là, pour pouvoir savourer de vraies douceurs. Aussi, ce lundi soir venteux et pluvieux, j'arrive chez ma meilleure amie Clémentine. Elle revient de son club d'équitation. Autant dire que ses chevauchées ouvrent ses appétits. C'est l'appétit aiguisé qu'elle me fait entrer directement à la cuisine. Elle me sait excellent cuisinier. J'excelle dans la préparation culinaire. Je n'ai pas mon pareil pour assaisonner la saucisse. Clémentine me regarde déballer ma saucisse. Une belle saucisse grasse et épaisse. Légèrement humide par son séjour dans son emballage, son fumet est remarquable. Une superbe belle saucisse bien goûteuse en provenance de la belle ville de Lyon. Je tourne plusieurs fois ma saucisse sous les narines de Clémentine qui hume avec délice. Je lui montre le côté lisse, gras et visqueux de ma saucisse que j'agite sous son nez. < Tu vas me rendre folle avec ta saucisse ! Fais-moi goûter ! > me fait la jeune fille. Je lui propose de consommer ma saucisse "nature", à peine réchauffée et à feux doux. Clémentine roule de grands yeux fébriles, animée de son désir d'une dégustation imminente. Je m'assieds dans le fauteuil de la cuisine. Clémentine observe ma saucisse avec avidité. Doucement, en lui faisant découvrir les parfums de la spécialité, je la laisse goûter. Son gloussement de plaisir ne laisse aucun doute quand à la qualité de la spécialité. Je la regarde savourer avec ce bonheur qui fait plaisir à voir. C'est toujours très émouvant. Clémentine, les yeux fermés, poussant les gémissements du gourmet, déguste avec joie. Nous restons ainsi une grande partie de la soirée à partager ce moment hautement gustatif. < Sais-tu que j'ai une folle envie d'aller passer quelques jours à Lyon ? > me fait-elle en déglutissant. Je réponds : < Oh, tu sais, quantité de villes de France proposent de délicieuses spécialités ! >. S'essuyant le coin des lèvres de sa bouche, Clémentine me regarde pleine de reconnaissance. < Tu vas dans quelle région, prochainement ? > me demande t-elle encore en s'essuyant le menton. Je la rassure. Je lui promets de ramener de la saucisse d'un peu partout et de la régaler encore. Clémentine me propose de passer la nuit à la maison. Je peux dormir sur le canapé si je veux. Demain matin, de bonne heure, je part dans le Jura à Saint-Claude, capitale de la pipe. C'est dans cette petite commune du Jura que sont taillées les meilleures pipes. (Voir Google). < Saint-Claude, près de Morteau ? Quel chance ! > s'écrie Clémentine enchantée et émerveillée. Je lui murmure à l'oreille : < Oui, je te ramènerais de la saucisse de Morteau et une pipe ! >. < Tu es merveilleux ! > me fait Clémence en m'entraînant dans la chambre... Tous droits réservés - © - 2016 - Depuis mon Blog - :cool: Pour découvrir ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur les images... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 . :cool:
  16. :cool: Glory Hole - (Episode 7) Juliette est venue randonner avec moi Vendredi soir, je reçois un appel téléphonique qui me confirme la participation de Juliette à ma randonnée "Glory Hole" du lendemain. Je m'empresse de confirmer ma randonnée. La météo, plutôt agréable, prévue pour le week-end, permettrait de passer un agréable après-midi. Juliette est cette jeune femme qui avait perdu ses clefs sous un de mes Glory Holes. Toute heureuse de les avoir retrouvé, grâce à moi, je devinais de sa part une certaine reconnaissance. (Voir l'épisode précédent). Je proposais à Juliette de passer la prendre à l'endroit de son choix. Rendez-vous fut tout simplement fixé au départ du sentier. Nous allions donc parcourir mon circuit "Glory Hole" tous deux. J'arrive pour quatorze heure. Juliette, dans sa Toyota Yaris est déjà là. Je suis agréablement étonné par une ponctualité plutôt rare. Je gare ma voiture derrière la sienne. Elle sort de la voiture pour venir à ma rencontre. Juliette est vêtue pour une randonnée. Un pantalon moulant, noir, qui met en évidence des formes sublimes. Chaussée de chaussures de marche, ayant passé un pull, la jeune femme porte à la main un petite sac à dos. Nous nous serrons la main. Juliette est grande, mince et plutôt belle. Ses longs cheveux châtains sont attachés en catogan. Le son de sa voix est très agréable. Nous mettons tous deux nos sacs sur le dos et nous nous mettons à marcher. Sur le chemin, tout en bavardant, je découvre une jeune femme de trente cinq ans, divorcée, pleine d'humour et de dérision. Ce qui me passionne immédiatement c'est la culture générale de Juliette. Elle peut citer Oscar Wilde tout comme elle peut évoquer Gustave Courbet en me parlant de la ville natale du peintre d'Ornans. Je suis enchanté de me retrouver en si bonne compagnie. Nous pouvons donc rester dans des préoccupations intellectuelles et cérébrales. Les meilleures... Juliette est à la fois amusée et charmée par mes créations murales. C'est suffisamment original pour susciter son intérêt. Je lui explique la genèse de chacun des orifices percés par mes soins virtuoses. Elle ne manque pas d'évoquer les petits plaisirs sous entendus derrière tous ces trous. En parfait gentlemen, je reste volontairement dans la vue de l'esprit et dans l'hypothétique. Qualités que semblent apprécier particulièrement la jeune femme. A la septième station, je récupère, dans la pile, une planche en excellent état. Je la prend sous le bras. Il me faut remplacer la planche de la station onze. J'explique tout cela à Juliette qui est à se réjouir d'être, pour cette randonnée, mon assistante et ma partenaire. Nous arrivons à la station onze. Rapidement, tirant le matériel de mon sac à dos, je me mets à la tâche. La jeune femme, adroite de ses mains, m'aide avec une efficacité remarquable. Nous arrachons la vieille planche vermoulue. Je dispose la nouvelle. Juliette la tient fermement. Je prends ma visseuse-perceuse Black & Decker, et je fixe la planche avec quatre vis.Puis, je perce le trou idéal de six centimètres de diamètre. La jeune femme me demande de quand date ma passion pour la création murale. Je lui explique ma toute première expérience, sur la Reeperbahn, à Hambourg, lorsque j'avais dix neuf ans, dans le sous-sol d'un Salon de Thé. Juliette me raconte sa découverte de quelques Glory Hole dans quelques lieux "glauques". Toutefois ce n'est que la semaine dernière qu'elle a pu en comprendre le fonctionnement exacte. Accompagnée d'un vieil ami, marié, entrepreneur et "entreprenant". Elle en garde un souvenir mitigé puisque Jean-Claude, le vieil ami, est un "animateur précoce". Je lui propose une prochaine randonnée où je lui soumets l'idée de découvrir les longues joies que je sais offrir à mes partenaires. Partenaires exclusivement féminines, bien évidemment... Une fois le travail terminé, je propose à Juliette de vérifier, si, du côté ou elle se trouve, tout est parfaitement fonctionnel. Je passe derrière la cloison, je glisse la "belle chose" par l'orifice destiné à cet usage. < C'est super ! > fait la jeune femme en éclatant de rire. Je reste ainsi un petit moment. Contractant mes muscles pour faire "bouger". < C'est absolument superbe ! > rajoute Juliette entre deux éclats de rire. Je me réajuste et je rejoins Juliette. Nous continuons la tournée d'inspection. Nous arrivons à la station dix huit, le dernier Glory Hole du circuit. Je lui explique que c'est là, au pied de la paroi, que j'ai découvert ses clefs. La jeune femme me raconte sa seule et unique expérience devant le magnifique trou que j'ai percé là, avec amour, l'été dernier. J'en éprouve soudain une fierté plus grande encore. Nous prenons le chemin du retour. Juliette m'invite à venir manger chez elle le lendemain, dimanche en soirée. Premier dimanche des vacances scolaires de la Toussaint. J'accepte en proposant de ramener le dessert. Une tarte aux noix de ma création. Excellent cuisinier, je suis également très bon pâtissier. Nous nous séparons devant nos véhicules respectifs. Je lui fais les trois bises bretonnes réglementaires. Nous nous suivons sur la petite route jusqu'à l'arrivée au rond-point... ____________________________ Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - Pour découvrir la proposition de ma belle admiratrice, il suffit de cliquer sur son image. Clic à gauche... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 . :cool:
  17. :cool: Ma préférence sexuelle La fellation. :cool:
  18. :cool: Gloryhole - (Episode 6) Randonnée des Gloryholes Je profite de ces journées d'automne pour organiser mes randonnées. Les chemins forestiers sont encore secs. De les parcourir ainsi est beaucoup plus agréable que lorsqu'ils subissent les pluies de plusieurs jours. Rien n'est plus détestable que lorsqu'ils deviennent boueux. Je mets donc à profit chacune de ces sorties pédestres pour faire le circuit de mes Gloryholes. Ce mercredi après-midi, une fois encore, je préparais mon sac à dos contenant les victuailles et le matériel. Je garais la voiture au bas des collines. Au départ du sentier, il est toujours sympathique de découvrir les couleurs de la nouvelle saison. A présent, quantité de feuilles jonchent le sol du chemin. Le roux qui domine, par ses infinies nuances, confère aux arbres une beauté solennelle. Je marchait d'un bon pas pour pouvoir faire mon circuit en pleine lumière. Les journées raccourcissent et la luminosité déclinant de la fin d'après-midi peut s'avérer piégeuse. Rédhibitoire. Les dix premiers Gloryholes visités présentaient un état de conservation absolument parfait. Par contre, lorsque j'arrivais à la station onze, je découvrais un accident. La planche, véreuse et vermoulue, s'était effondrée. Il fallait donc la remplacer ou percer dans une planche voisine. J'optais pour la seconde solution. A ma prochaine visite, il me faudra emmener une planche en bon état. Planche que je récupérerais dans la réserve de la station sept. Au cabanon de pêche. Rapidement, je préparais mon matériel et je perçais l'orifice. Six centimètres de diamètre. Je ponçais soigneusement les bords. Une vingtaine de minutes d'un labeur simple et rapide. Je repris ma route. Le dix huitième Gloryhole, dernier du circuit, sur la descente, avait du servir. En effet, sur la face extérieure, donnant sur l'étang, le long de la planche, il y avait des coulures. Du sperme mélangé à du liquide séminal avait sans doute séché là, laissant des traces jusqu'au bas de la planche. J'inspectais l'herbe au bas de la cloison afin de vérifier si rien n'avait été oublié là. Soudain, entre les feuilles jonchant le sol, je trouvais un trousseau de clefs. Deux clefs qui semblaient êtres celles d'une serrure de porte. Clefs standards. Sans doute perdues par les protagonistes qui avaient profité de l'opportunité de mon Gloryhole. Moi qui suit prêteur, partageur et altruiste, je ressentais une certaine fierté d'avoir pu rendre service à quelques amateurs avertis. Je ramassais les clefs en me promettant de les ramener, au retour, à la gendarmerie du bourg voisin. Cette perte a peut-être été la cause d'un tourment sinon d'un souci certain. Je revenais chez moi pour dix neuf heure, juste pour la tombée de la nuit. Le lendemain soir, je recevais le coup de téléphone d'une dame qui me remerciait pour le dépôt des clefs à la gendarmerie. Je lui expliquais que j'étais le Créateur Mural et que c'était moi qui décorait les cabanons de magnifiques Gloryholes. Elle fut ravie. Je l'invitais à découvrir mon circuit, samedi après-midi, pour une randonnée commune. Elle accepta avec joie... Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - :cool: Pour découvrir ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur sa belle image. :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  19. H :cool: Glory Hole - (Episode 5) Tournée de contrôle de mes Glory Holes Mercredi dernier, dans l'après-midi, désireux de profiter de cette météo plutôt favorable, j'ai préparé mon petit sac à dos. J'avais en projet de partir en randonnée. Je mets toujours à profit cet élan pour parcourir le circuit de mes Glory Holes. Ainsi, tout en alliant les bénéfices de l'exercice et ceux du bricolage, je peux vérifier si tout est parfaitement fonctionnel. Comme à chaque fois, dans mon petit sac à dos, je disposais quelques barres de céréales. Une grande bouteille d'eau gazeuse. Une pomme, des abricots secs, des amandes et des noisettes. Dès le matin, j'avais chargé la batterie de ma petite perceuse. Ainsi, je n'avais plus qu'à la rajouter avec quelques mèches, du papier à poncer et un tube de pâte à bois. Je partais pour quatorze heure. Je garais la voiture au départ du sentier sinueux qui me conduirait à travers bois et collines. Mon petit sac à dos fixé, je commençais ma marche sous un ciel bleu ou régnait un soleil lumineux. Mon circuit comporte dix huit Glory Holes. Dix huit stations équipées de ces trous parfaitement ronds percés dans de belles cloisons de bois. Une fierté artistique... J'avais déjà visité huit trous lorsque j'arrivais au neuvième. Ce Glory Hole est dissimulé dans un cabanon ouvert, servant d'abri aux randonneurs. La planche verticale dans laquelle le trou existait depuis six mois, avait tout simplement été remplacée ! Quelle ne fut pas ma stupéfaction mêlée d'une consternation fâcheuse. Quelqu'un avait détruit une de mes créations murales ! Je m'asseyais à une des deux tables sur un des quatre bancs. Longuement, je contemplais le gâchis. Pour me consoler avant d'entreprendre les travaux nécessaires, je grignotais quelques amandes grillées. Je fis appel à toute ma réflexion. Il faudrait percer et poncer. Une petite demi-heure d'un labeur créatif et plaisant. Sur la table j'étalais mon matériel. Faisant l'inventaire de ce qu'il me faudrait. Mesurant soigneusement les 80 centimètres réglementaires, depuis le sol, je marquais l'emplacement du trou. La planche avait 28 centimètres de larges. C'est donc exactement à 14 centimètres que je traçais le point à l'aide d'un marqueur noir. J'installais une mèche de 6 millimètres à l'extrémité de la petite Black & Decker. Je fis tourner au ralenti. Tout était fonctionnel. Je perçais soigneusement. Lentement. Chacun sait maintenant qu'il vaut mieux l'avoir blanche et raide que Black & Decker... Au bout d'une petite minute, la mèche passa au travers des trois centimètres d'épaisseur de la planche. Un bois d'épicéa à peine sec qui n'offrit qu'une résistance médiocre. Je fixais une mèche ronde, d'un diamètre de 6 centimètres à l'extrémité de ma perceuse. Doucement, avec un soin maniaque, je fis tourner la machine. Les copeaux et la sciure volaient dans tous les sens. Je faisais très attention. Au bout d'une dizaine de minutes d'un travail minutieux, la mèche passa soudain au travers de la planche. Quel bonheur de voir ce trou parfaitement rond. Quelle joie d'apercevoir, par cet orifice, à une trentaine de mètres, la table d'orientation et,, dans le lointain, les ruines du vieux château. Pour immortaliser ce chef-d'œuvre, je fis quelques photographies. Assis, j'admirais ma réalisation en savourant ma pomme. Il était grand temps de poncer les bords. Procéder à un chanfrein qui rendrait le bois lisse, supprimant ainsi les angles qui pourraient blesser. Pour achever ma création murale, du bout des doigts, j'appliquais de la pâte à bois à durcissement rapide. De cette manière, les rares rugosités, une fois lissées, présenteraient le poli de l'ivoire. Une véritable œuvre d'Art. Je continuais ma promenade. Les neuf autres Glory holes présentaient un état parfait. A peine un petit coup de papier à poncer par ci, par là, pour l'entretien. Je revins donc peaufiner la pâte à bois de mon neuvième trou. Je repartais en chantant, heureux du travail accompli. J'étais de retour pour dix heure trente. fourbu mais content, satisfait et fier de mon labeur... Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - :cool: - Pour découvrir ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur son image. Clic à gauche... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  20. Glory Hole - (Episode 4) Randonnée sur le circuit des Glory Holes En ce mercredi après-midi ensoleillé de septembre, j'avais le besoin impérieux d'aller me dégourdir les jambes. Aussi, prenant le prétexte de ce désir de randonner, je préparais mon petit sac à dos. A l'intérieur, je disposais des barres de céréales, des fruits secs, une pomme et une grande bouteille d'eau pétillante. Je n'oubliais pas d'y placer ma petite perceuse, du papier à poncer et quelques accessoires. Je garais la voiture au départ du sentier. De là, je pris ce petit chemin qui sillonnait à flancs de collines. Cette randonnée est toujours source de joies, de découvertes et de surprises agréables. Aussi, pour en égayer le parcours, j'y ai disposé mes Glory Holes. C'est en arrivant à la troisième station que je constatais un premier désagrément. Quelqu'un avait saboté une de mes plus belles créations. Sans doute à l'aide d'une riveteuse, un quidam avait fixé une plaque de fer sur l'orifice. Une plaque de fer qui condamnait l'accès de ce superbe Glory Hole. Sans doute un de mes plus beaux. Impossible de percer cet acier de qualité, impossible d'en desceller les rivets. Sans doute le travail d'un intégriste partit en guerre contre les trous dans les murs. Quelle ne fut pas ma profonde déception. J'avais choisi ce cabanon pour son emplacement stratégique au bord d'un petit étang ravissant. Rien à faire, il me fallait donc percer tout à côté. je sortais ma petite Black & Decker, je disposais une mèche de 3 et me mettais à l'ouvrage. Une fois le premier trou d'amorce réalisé, je pouvais percer avec une mèche ronde de 6 cm. En quelques minutes, j'avais percé un Glory Hole de toute beauté. Avec le papier de verre, je fis une magnifique finition, chanfreinant les bords avec beaucoup de soins. Je passais mon doigt pour constater que c'était doux et lisse. Parfait. Les cavalières qui passaient quelquefois près de l'étang, qui avaient forcément découvert le Glory Hole, pouvaient continuer à fantasmer. Elles pouvaient même s'arrêter pour en savourer les joies ! Je continuais mon circuit pour constater que tous les autres Glory Holes étaient en parfait état. A part débroussailler un peu, enlever le lierre ou les orties, les orifices restaient parfaitement fonctionnels. J'étais de retour pour dix neuf heure. Rassuré, la conscience tranquille, heureux de ma randonnée, je préparais le repas du soir. Ma "coquine" n'allait pas tarder à rentrer... _________________________________ Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - Pour découvrir ce que m'écrit cette délicieuse admiratrice, il suffit de cliquer sur l'image. Si on veut... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  21. :cool: Glory Hole - (Episode 3) Contrôle de routine sur mon circuit de Glory Hole Hier après-midi, profitant de ce magnifique soleil de septembre, j'en ai profité pour partir en randonnée. Dans mon petit sac à dos, en plus de mes fruits secs, de ma pomme, de mes barres de céréales et de ma bouteille d'eau gazeuse, j'avais ma perceuse, mon papier à poncer et quelques accessoires. C'est en arrivant sur le circuit des cabanons de jardin, à flanc de colline, que je fus confronté à l'ignoble. En effet, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'un de mes splendides Glory Hole avait été fermé. Si ! Un carré de bois, cloué ou vissé condamnait le trou magnifique. Outre la malveillance évidente, l'acte de vandalisme ne fait pas l'ombre du moindre doute. Le fait d'avoir bouché ce Glory Hole est un acte délibéré. Il n'est pas rare que le propriétaire d'un cabanon, désireux de marquer son désaccord avec cette pratique à la mode, ferme un beau Glory Hole. Aussitôt, contrarié et consterné, de mon sac à dos, j'ai sorti ma perceuse. L'équipant d'une mèche de 3 mm, j'amorçais un premier petit trou. Puis, prenant une mèche ronde, je creusais un trou d'un diamètre de 6 cm. Avec le papier à poncer, fin, "000", je pratiquais une superbe finition des bords. A présent que le Glory Hole est sauvé et reconstitué, il va me falloir être plus vigilant. J'ai continué mon circuit des Gloryholes pour constater que tout était en ordre. Les douze autres trous sont parfaits. Un peu d'entretien par ci et par là. Nous voilà repartis jusqu'au début de l'automne. Je peux donc continuer, dans la plus parfaite tranquillité d'esprit, la conception et la réalisation de mes créations murales. Les amateurs d'Arts, qui suivent et connaissent mes créations murales, un peu partout sur Internet, seront heureux d'êtres ainsi rassurés. Je leurs présente toutes mes amitiés. Le créateur mural __________________________ Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - Pour découvrir cette merveilleuse réalisation, il suffit de cliquer sur l'image. Si on veut... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  22. :cool: Gloryhole - (Episode 2) Chères amies lectrices La tournée de mes Gloryholes Aujourd'hui, en ce dimanche d'août, avec le retour du soleil, je vais partir en randonnée dès cet après-midi. J'ai organisé mon parcours de façon rationnel. Je vais emprunter mes sentiers préférés selon un itinéraire très précis et élaboré depuis quelques années. Dans mon sac à dos, en plus de ma bouteille d'eau, d'un litre et demi, "Cristalline", mes barres de céréales, mes fruits frais, j'aurais ma petite perceuse, du papier à poncer et un tube de peinture acrylique. Je vais parcourir un itinéraire précis. Un itinéraire élaboré avec soin et passion. Un itinéraire qui va me conduire dans tous les lieux où j'ai mes Gloryholes. Comme je l'ai précisé dans le premier opus, ici même, sur cet épatent forum, j'ai fabriqué moi-même mes propres Gloryholes. Disposés le long d'un circuit balisé, ces Gloryholes, secrets et discrets, méritent une attention particulière. Il faut penser à entretenir ces trous parfaitement ronds. Leurs diamètres de six centimètres, doit rester net et précis. Il faut également supprimer les échardes qui ne manquent pas de se former. Aussi, c'est à l'aide de papier à poncer de grain 000, que je peaufine les arrêtes de mes Gloryholes. Avec la peinture acrylique "Terre de Sienne", je peux procéder aux retouches éventuelles. Il est important de respecter les couleurs de l'environnement naturel "bois". Avec la perceuse, Black & Decker, je peux agrandir un trou éventuellement bouché pour différentes raisons. Pousses sauvages de bosquets. Interventions humaines non souhaitées. Effondrements ou encore occlusions végétales. Plein de facteurs peuvent être les causes de destructions inévitables. J'en profite également pour vérifier si les indications sont toujours placées aux bons endroits. En effet, c'est un code particulier qui permet aux promeneuses "motivées" de trouver leur Gloryhole. Le trou de leurs souhaits du jour. Hélas, je ne peux pas être partout à la fois. Il n'y a donc, le plus souvent, personne pour animer le lieu. Je ne manquerais pas d'informer les lectrices de l'avancée de mes pérégrinations. A bientôt pour des informations codées mais très précises. En voilà une première : < Au-dessus du Dragon, le sentier du château est praticable >... Votre obligé Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - :cool: Pour l'agrandir, on peut cliquer sur la photographie d'un gloryhole à GILBERT. Si on veut. :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
  23. Episode 9 Toute la journée qui suivie fut grise et plutôt fraîche. Aussi, le matin, Isabelle et moi, nous avons joué aux petits chevaux avant d'aller nous promener dehors. Nous ne pensions plus vraiment aux évènements de la veille. Isabelle m'avait bien montré l'endroit où il nous semblait avoir vu cette curieuse forme. En fait, la silhouette d'un grand sapin pouvait évoquer celle de quelque mystérieuse créature. Je restais à regarder en gardant le silence. La maman d'Isabelle nous appella pour le repas de midi. L'après-midi serait consacrée à la visite de quelques artisants locaux dans la vallée. Après le dessert, Isabelle et moi étions conviés à aller nous préparer afin de pouvoir partir vers quatorze heure trente. Une fois dans nos chambres, nous nous préparâmes. A travers la cloison de bois, nous bavardions à haute voix. Isabelle me demanda si c'était moi qui avait laissé la porte de son armoire ouverte. Je lui fis savoir que je n'avais pas mis les pieds dans sa chambre. En même temps, je découvrais que les trois tiroirs de ma commode étaient ouverts. J'en fis part à Isabelle qui me fit la même réflexion. Elle n'était pas non plus entrée dans ma chambre. Etait-ce marraine ? Lorsque nous lui avons demandé, la brave dame nous a assuré qu'elle n'avait pas pour habitude de laisser les portes et les tiroirs ouverts. Notre visite aux villages de la vallée, tout l'après-midi, fut très instructive. Malgré notre jeune âge, Isabelle et moi, nous ne nous sommes pas ennuyés un seul instant. Nous étions de retour vers vingt heure. Aussitôt, marraine réchauffa notre repas du soir. Parrain, un peu fatigué, alla chercher du bois dehors pour assurer la flambée du soir. Il faisait un peu frais dans la maison. Rapidement la douce chaleur du feu de bois envahit l'espace. Le repas fut délicieux. Vers vingt deux heure, après une longue partie de Monopoly, nous fûmes invités à passer à la salle de bain puis à monter nous coucher. En secret, parce que nous avions un peu peur, Isabelle et moi nous nous sommes mis dans mon lit, dans ma chambre. Nous étions ainsi à chuchoter lorsque soudain, le volet de la fenêtre s'ouvrit doucement. Il n'y avait pourtant pas le moindre souffle de vent dans la nuit. Isabelle me prit la main. Je sentais la sueur perler sur mon nez. Mon coeur battait la chamade. Isabelle s'était cachée sous la couverture. La chaise, devant la petite table se mit à grincer comme si quelqu'un s'asseyait dessus. Il y eut le bruit d'un crayon comme si on écrivait sur une feuille de papier. Je sentais mon corps trembler aussi fort que celui d'Isabelle. Tous deux, nous ne respirions plus, tous nos sens aux aguets. Ce curieux phénomène, accompagné d'une lourde oppression, dura quelques minutes. Soudain, tout bruit cessa. Le volet de la fenêtre se referma doucement. Je ne me souviens plus du temps qu'il nous a fallu pour que le sommeil nous gagne, mais je sais qu'au matin, Isabelle et moi étions blottis l'un contre l'autre. De toute la journée, nous n'avons plus évoqué les évènements de la nuit. La journée suivante fut consacrée à la préparation de nos affaires et du chemin du retour. Vers quatorze heure nous prenions la route. Isabelle et moi restâmes étrangement silencieux, à l'arrière de la voiture. Ce ne fut qu'une fois seul, le soir, dans ma chambre, de retour à la maison, que... Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog "Paranormal Activity" -
  24. :cool: Bricolage Fabriquer soi-même son propre Gloryhole. Je suis un fervent adepte du Gloryhole. Hélas, c'est une chose d'une extrême rareté. Combien de fois, au hasard de mes balades, suis-je tombé sur des endroits qui en manquaient cruellement. Combien d'opportunités ratées par l'absence d'un Gloryhole. A présent, depuis quelques années, lorsque je vais randonner sur les petits sentiers de montagne, lorsque je vais marcher sur les petits chemins de campagne, je porte un petit sac à dos. Dans ce sac à dos, je dispose mes crudités dans des Tupperwares, des fruits, des barres de céréales énergétiques et une grande bouteille d'eau. Ce que je n'oublie jamais, c'est cette petite perceuse Black & Decker, dont la batterie est parfaitement chargée. Certes , il vaut mieux l'avoir blanche et raide que Black & Decker , mais cette petite perceuse , toujours dans mon sac à dos , n'est pas lourde et m'a permis de "décorer" , "d'aménager" , bien des endroits au fil de mes pérégrinations . Il est très important de bien poncer , à l'aide d'une feuille de papier à poncer , les bords de notre Gloryhole . Afin de ne pas risquer de se blesser . Il est très important de disposer un petit miroir permettant d'observer de l'autre côté . Afin d'anticiper ... Je suis hétérosexuel et je n'apprécie que la compagnie des femmes , exclusivement . Ce paramètre entre en ligne de compte dans le choix de mes critères de sélection quand aux endroits où je fabrique le nouveau Gloryhole . Je n'aimerai pas attirer ce qui ne m'intéresse pas ! J'évite donc les endroits proches des routes ou des endroits habités . Combien de cabanons de jardins , possèdent , à l'insu de leurs propriétaires , un magnifique Gloryhole , parfaitement ronds dans la cloison donnant sur le sentier qui passe derrière . Combien de cabanons , au bord des étangs de pêche , se voient "customisés" par un magnifique Gloryhole , soigné , propre et très "professionnel" . Oui , je suis fier de participer à la décoration écologique de nos cabanons , souvent livrés aux éléments , oubliés ou abandonnés . C'est du beau travail . Du bon boulot . Une activité artistique ... Ensuite , bien sûr , nous pourrons passer des journées entières derrière ces cloisons de planches et de bois sans qu'il ne se passe rien . Sans la moindre visite d'une de ces promeneuses coquines et curieuses . Ces petites curieuses et voyeuses qui nous procurent ces magnifiques émotions. C'est là , qu'en "petit malin" , il faut savoir faire une "publicité" discrète . Un jeu d'orientation ... Mais , cet aspect des choses est mon petit secret . A chacun de trouver son "truc" . C'est très personnel . Il est très agréable de connaître son circuit et de faire des pauses derrière ses Gloryholes . Un parcours de santé ... Je reste à la disposition des "bricoleuses" désireuses , elles aussi , de fabriquer leurs Gloryholes . Pour des conseils avisés , n'hésitez pas à consulter le vieux "spécialiste" que je suis ... C'est gratuit . Le créateur mural Tous droits réservés - © - 2015 - Depuis mon Blog - Pour découvrir ce superbe outil de créations murales, on peut cliquer sur l'image afin de l'agrandir. Si on veut... :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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