Bayrou et le scandale de Bétharram

Le 15/02/2025 à 01:48, zebusoif a dit :

Des abus de toute sorte, il y en a dans les établissements privés, mais également publics.
Ce qui rend un enfant vulnérable c’est lorsque ses parents ne sont pas là pour le protéger.
Beaucoup de parents envoyaient leur enfants à Betharram pour les « redresser » (comportement ou résultats scolaires), pour leur appliquer une discipline plus stricte que dans des établissements plus classiques. Évidemment que ces élèves étaient moins susceptibles d’être écoutés par leurs parents en cas d’abus.

Les parents ne sont pas là quand les enfants sont sous l'autorité d'autres adultes ... Ce n'est pas les parents le problème. Qu'il y ait des parents débiles certes, mais cela n'a rien avoir.

Il y a 4 heures, jimmy45 a dit :

Les parents ne sont pas là quand les enfants sont sous l'autorité d'autres adultes ... Ce n'est pas les parents le problème. Qu'il y ait des parents débiles certes, mais cela n'a rien avoir.

Ce que je veux dire, c’est que pour les abus commis dans une institution telle que Betharram, les parents sont rarement là lors des faits. Cependant, les enfants peuvent parler, et les risques de représailles sont moindres pour les enfants dont les parents sont faibles face aux institutions.

Dans les trois victimes d’abus sexuels dont j’ai entendu parler, un est orphelin, un autre vient de perdre son père, le dernier est le fils d’une femme de ménage de l’école qui a peur de perdre son emploi si elle parle. Ils ont été choisis pour cible. Hasard ?

Bétharram, quel cadre magnifique quand même, un lieu idéal pour les gamins qui ont besoin de se ressoucer. Comment et par qui cet endroit a-t-il été transformé en enfer ?

Il y a 6 heures, zebusoif a dit :

Ce que je veux dire, c’est que pour les abus commis dans une institution telle que Betharram, les parents sont rarement là lors des faits. Cependant, les enfants peuvent parler, et les risques de représailles sont moindres pour les enfants dont les parents sont faibles face aux institutions.

Dans les trois victimes d’abus sexuels dont j’ai entendu parler, un est orphelin, un autre vient de perdre son père, le dernier est le fils d’une femme de ménage de l’école qui a peur de perdre son emploi si elle parle. Ils ont été choisis pour cible. Hasard ?

Bonjour

Il faut que les enfants aient la confiance nécessaire en leurs parents pour leurs parler . Les enfants sentent si ils peuvent ou pas . Pour des raisons diverses : fragilité , le qu'en dira t on , la peur etc .. les enfants voudront protéger aussi leurs parents . Si l'enfant sait qu'il a un pilier en face de lui , il parle . Et puis un autre élément , la communication en profondeur installée , faisant partie des normalités , ça aussi , ça ne va pas forcément de soi .

Reaction d'Aphatie

https://x.com/Elodie_Dievart/status/1891592109431382141

il y a 7 minutes, zebusoif a dit :

Reaction d'Aphatie

 

https://x.com/Elodie_Dievart/status/1891592109431382141

Je ne suis pas étonnée . 

Il y a 8 heures, zebusoif a dit :

Ce que je veux dire, c’est que pour les abus commis dans une institution telle que Betharram, les parents sont rarement là lors des faits. Cependant, les enfants peuvent parler, et les risques de représailles sont moindres pour les enfants dont les parents sont faibles face aux institutions.

Dans les trois victimes d’abus sexuels dont j’ai entendu parler, un est orphelin, un autre vient de perdre son père, le dernier est le fils d’une femme de ménage de l’école qui a peur de perdre son emploi si elle parle. Ils ont été choisis pour cible. Hasard ?

Tu te fais un récit tout simplement à partir de 3 cas parmi des dizaines. Les victimes de viol ou de violences ne se résument pas aux enfants sans parents / parents absents etc ... c'est l'autorité qu'ont les adultes sur ces enfants qui leur permet de maintenir le silence des enfants ... N'importe qui ayant eu des enfants sait que c'est déjà très difficile de base d'obtenir de leur part de te parler quand ils ont des problèmes, ils préfèrent garder ça pour eux. Là s'ajoute l'autorité, la honte, la peur des adultes. Et en particulier dans les établissements privés où l'autorité et la discipline sont particulièrement mis en avant.

Il y a 1 heure, eriu a dit :

Bonjour

Il faut que les enfants aient la confiance nécessaire en leurs parents pour leurs parler . Les enfants sentent si ils peuvent ou pas . Pour des raisons diverses : fragilité , le qu'en dira t on , la peur etc .. les enfants voudront protéger aussi leurs parents . Si l'enfant sait qu'il a un pilier en face de lui , il parle . Et puis un autre élément , la communication en profondeur installée , faisant partie des normalités , ça aussi , ça ne va pas forcément de soi .

 

Mais même avec 100% de confiance, avec toute la bienveillance que tu veux, les enfants ne vont pas te parler et si tu les questionnes ils risquent simplement de mentir et de te dire ce que t'as envie d'entendre pour que tu leur lâches la grappe. Cela n'a rien avoir avec les parents. C'est juste la personnalité des enfants. Il y en a qui extériorisent ce qu'ils ressentent et d'autres qui intériorisent.

il y a 13 minutes, jimmy45 a dit :

Tu te fais un récit tout simplement à partir de 3 cas parmi des dizaines. Les victimes de viol ou de violences ne se résument pas aux enfants sans parents / parents absents etc ... c'est l'autorité qu'ont les adultes sur ces enfants qui leur permet de maintenir le silence des enfants ... N'importe qui ayant eu des enfants sait que c'est déjà très difficile de base d'obtenir de leur part de te parler quand ils ont des problèmes, ils préfèrent garder ça pour eux. Là s'ajoute l'autorité, la honte, la peur des adultes. Et en particulier dans les établissements privés où l'autorité et la discipline sont particulièrement mis en avant.

Je sais bien qu’on ne peut pas dériver de valeur statistique d’un échantillon de 3 cas, ce n’est pas assez.

En ce qui concerne l’autorité, j’ai fait les deux, public, privé, je vois pas trop la différence, niveau autorité. En l’occurrence, l’institutrice la plus abusive, qui faisait intentionnellement du mal aux élèves, c’est dans le public que je l’ai rencontrée. Et heureusement que ma mère m’a écoutée et m’a retiré de cet établissement, parce que je pense que comme plein d’autres dans cette petite école de campagne, j’aurais fini en morceaux. La démocratie n’existe ni dans les établissements privés, ni dans les établissements publics, les élèves n’ont pas leur mot à dire sur les programmes, les horaires, et autres.

En ce qui concerne les violences physiques ou psychologiques, comme pour les adultes, les abuseurs s’attaquent aux personnes faibles, et pour les enfants leur force c’est leurs parents. Peu importe que les parents ne soient pas là pendant les abus. Je ne dis pas que les enfants ayant des parents forts ne seront pas abusé, je dis que ça a plus de chances d’arriver pour les enfants peu soutenus par leurs parents, comme le montrent les statistiques, études après études.

Quand on va dans une école catholique pratiquante, il faut s'attendre â beaucoup de pratique et un peu de sentiments pas catholique.

Notre dame pour bêtes à rames, ça voulait dire ce que ça voulait dire

il y a 23 minutes, jimmy45 a dit :

Mais même avec 100% de confiance, avec toute la bienveillance que tu veux, les enfants ne vont pas te parler et si tu les questionnes ils risquent simplement de mentir et de te dire ce que t'as envie d'entendre pour que tu leur lâches la grappe. Cela n'a rien avoir avec les parents. C'est juste la personnalité des enfants. Il y en a qui extériorisent ce qu'ils ressentent et d'autres qui intériorisent.

Je pense que si. On peut vérifier cela en tout cas.

il y a 36 minutes, jimmy45 a dit :

Mais même avec 100% de confiance, avec toute la bienveillance que tu veux, les enfants ne vont pas te parler et si tu les questionnes ils risquent simplement de mentir et de te dire ce que t'as envie d'entendre pour que tu leur lâches la grappe. Cela n'a rien avoir avec les parents. C'est juste la personnalité des enfants. Il y en a qui extériorisent ce qu'ils ressentent et d'autres qui intériorisent.

Oui , bien sûr que la personnalité de l'enfant joue . Mais ce pas juste une histoire de personnalité , certainement pas , surtout pour des événements aussi graves . Non , non .

il y a une heure, jimmy45 a dit :

Mais même avec 100% de confiance, avec toute la bienveillance que tu veux, les enfants ne vont pas te parler et si tu les questionnes ils risquent simplement de mentir et de te dire ce que t'as envie d'entendre pour que tu leur lâches la grappe. Cela n'a rien avoir avec les parents. C'est juste la personnalité des enfants. Il y en a qui extériorisent ce qu'ils ressentent et d'autres qui intériorisent.

Je reviens car la façon dont tu le dis me fait bondir , l'enfant ou l'ado serait responsable , ça renvoie à " c'est à cause de qui il est ou n'est pas " . Je ressens une sorte de déplacement de la " faute" . Si il y a ce que tu décris ( je l'ai mit en gras ) c'est qu'il y a un manque , une faille dans le fait que l'enfant se sente en sécurité pour se confier , pour parler avec les adultes qui s'occupent de lui ( parents , éducateurs etc .) C'est vraiment ce que je ressens quand je te lis , dire ça .

Il y a 9 heures, eriu a dit :

Je reviens car la façon dont tu le dis me fait bondir , l'enfant ou l'ado serait responsable , ça renvoie à " c'est à cause de qui il est ou n'est pas " . Je ressens une sorte de déplacement de la " faute" . Si il y a ce que tu décris ( je l'ai mit en gras ) c'est qu'il y a un manque , une faille dans le fait que l'enfant se sente en sécurité pour se confier , pour parler avec les adultes qui s'occupent de lui ( parents , éducateurs etc .) C'est vraiment ce que je ressens quand je te lis , dire ça .

Aucunement, tout ce que je raconte c'est que croire qu'en tant que parent tu peux protéger tes enfants de ces prédations c'est illusoire. Vous avez du mal avec le concept mais je le redis, le problème c'est l'autorité. A partir du moment où un adulte à une autorité sur un enfant, le risque existe. Et ce peu importe ce que tu feras en tant que parent. Il y a des moments où tu vas confier tes enfants à l'autorité d'un autre adulte, il y a des moments où ils vont d'eux même se retrouver sous l'autorité d'un adulte sans que tu sois au courant. Et c'est d'autant plus difficile s'il n'y a pas qu'un seul adulte et si c'est tout un système qui ferme les yeux comme dans le cas de cette école. La plupart des viols ont lieu dans le cercle familial et dans le cercle des connaissances de la famille. Ce n'est pas réservé aux enfants fragiles. Ce n'est pas réservé aux pauvres. Ce n'est pas réservé aux enfants qui n'ont qu'un seul parent ou qui ont des parents absents, ce n'est pas réservé aux enfants qui ont des difficultés à parler à leurs parents, souvent le comportement des enfants change justement après avoir subit ces horreurs. Comme tjrs sur toutes les questions les gens refusent de voir les causes institutionnelles ... Oui le public n'est pas épargné mais le simple fait de tolérer des écoles privées axées sur l'autorité, la discipline ou la religion sont clairement les principaux éléments qui permettent à tous ces systèmes de prospérer et de perdurer, et à tous ces prédateurs d'être protégés.

Je sais pas à un moment ouvrez les yeux. Si on veut mettre fin à ce genre d'histoires, il faut mettre fin aux dérives de l'enseignement privé et religieux.
 

La défense de François Bayrou dans l'affaire Bétharram fait des remous. Le Premier ministre, une nouvelle fois interrogé lors des questions au gouvernement, a de nouveau nié toute connaissance de violences au sein de l'établissement scolaire. "Je ne savais pas, d'autres savaient", a même lancé le maire de Pau.

Trois ministres socialistes pointés du doigt

Il a ainsi assuré que le gouvernement, socialiste, de l'époque était en revanche était au courant des violences. "J'affirme devant vous, et vous le vérifierez, que le procureur général a tenu informé la chancellerie à quatre reprises durant l'année 1998", a-t-il déclaré, visant ainsi la garde des Sceaux de l'époque Élisabeth Guigou. Selon BFMTV, cette dernière avait été avertie en 1998.

Le Premier ministre a également jugé inimaginable que le ministre de l'Education nationale d'alors Claude Allègre, décédé en janvier dernier, et la ministre de l'Enseignement scolaire Ségolène Royal n'aient pas été "avertis" d'un "signalement aussi important".

Ségolène Royal examine "un dépôt de plainte pour diffamation et dénonciation calomnieuse"

Une mise en cause que Ségolène Royal n'a pas apprécié du tout. Sur X, elle se dit "scandalisée par les attaques" du Premier ministre, et publie des extraits d'un document qu'elle présente comme une circulaire prise en août 1997 contre les violences sexuelles sur les enfants.

Mais surtout, dans un autre message, elle annonce examiner la possibilité "d’un dépôt de plainte pour diffamation et dénonciation calomnieuse suite aux attaques indignes d’un PM paniqué, alors qu’il sait à quel point je me suis engagée et agit pour lutter contre les agressions sexuelles sur les enfants et les violences qu’ils subissent", écrit-elle notamment.

Jusqu'à 5 ans de prison et 45 000 euros d'amende

Une plainte, si elle voit le jour, entrainerait des poursuites contre le Premier ministre. L'article 226-10 du Code pénal prévoit une peine allant jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende pour dénonciation calomnieuse.

Quant à la diffamation publique, selon l’article 32 de Loi du 29 juillet 1881, son auteur encourt une amende de 12 000 €, portée à 45 000 € en cas de circonstances aggravantes, et notamment lorsque la diffamation vise un élu ou un parlementaire. Ce qui pourrait être le cas puisque Ségolène Royal était ministre lors des faits reprochés par François Bayrou.

source :

https://fr.news.yahoo.com/affaire-betharram--que-risque-francois-bayrou-sil-est-poursuivi-par-segolene-royal-pour-diffamation-et-denonciation-calomnieuse-172332280.html

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Bayrou essaie de créer une diversion en rejetant l'accusation sur quelqu'un d'autre, en l'occurance Ségolène Royal...

bien mal lui en prend, vu qu'on peut reprocher un tas de chose à Ségolène Royal sur le plan politique, mais certainement pas le fait de couvrir des prêtres pédophile puisqu'elle les as combattu à l'époque !

Bayrou s'enfonce chaque jour davantage dans ses mensonges.

Qui savait quoi ? Va savoir !

Le 13/02/2025 à 11:17, Répy a dit :

Ah ! la curaille et ses affaires de sexe !

On n'en sortira donc jamais ?

moi perso j'ai fait du privée catholique pendant des années , toute mes années colléges , pensionnaire 1 an . 

je n'ai jamais ete témoin de fait sexuel ni emmerdé pas un curé ou un autre , tout les prêtres que jai pu croisé à l'école chez les scouts au catéchisme , enfant de choeur , jai à mon actif plusieurs camps dont 2 gros pélerinages etc etc , je n'ai jamais eut de souci avec ça ,  ils ont tous étaient trés correct avec des prêtres trés sympa  .... franchement oui . 

par contre pendant mon année colége en pension pendant ma 4em dans le privée , jai vue tout de même des punitions exercés sur des plus jeunes un petit peu exagéré je trouve , dans le style humiliation ça y aller bon train ,  à genoux les mains sur la tête contre le mur , ça je l'ai vue . Des paires de baffe j'en ai vue aussi et pas uniquement dans le privée j'en ai d'ailleurs pris  , des coups de régles sur les doigts ça je l'ai vue  .... et aussi des marches forcés en pyjama en plein hiver dans la cours parce que cé'atit le bordel dans le dortoir ...ça jai vue aussi et j'y ai participé  .  ça n'a jamais ete plus loin . 

ah oui quand même ils nous faisaient ramasser le raisIn pendant nos heures de sport ..... ça je m'en souviens bien ....   dés la rentrée des classes c'était les vendanges chez le viticulteur voisin qui partagé son pinard avec la direction du collège ;  BREF du travail dissimulé quoi ....mdr   c'était tout de même gonflé nous faire faire des vendanges peendant nos heures de sport .... faut reconnaitre ! lol   mais bon on se marrait bien , les raisins volaient dans tout les sens .

Si  Bayrou  était poussé a la démission  sur ce dossier  ( ce que je ne souhaite pas )                                   Je vous fiche mon billet (de 5 € )    que l'affaire  BETHARRAM  retombe dans l'oubli  aussitot   !!!               les politicards sont dans la plaine , ils sont toujours dans la plaine  !    

il y a 31 minutes, Elbaid1 a dit :

moi perso j'ai fait du privée catholique pendant des années , toute mes années colléges , pensionnaire 1 an . 

je n'ai jamais ete témoin de fait sexuel ni emmerdé pas un curé ou un autre , tout les prêtres que jai pu croisé à l'école chez les scouts au catéchisme , enfant de choeur , jai à mon actif plusieurs camps dont 2 gros pélerinages etc etc , je n'ai jamais eut de souci avec ça ,  ils ont tous étaient trés correct avec des prêtres trés sympa  .... franchement oui . 

par contre pendant mon année colége en pension pendant ma 4em dans le privée , jai vue tout de même des punitions exercés sur des plus jeunes un petit peu exagéré je trouve , dans le style humiliation ça y aller bon train ,  à genoux les mains sur la tête contre le mur , ça je l'ai vue . Des paires de baffe j'en ai vue aussi et pas uniquement dans le privée j'en ai d'ailleurs pris  , des coups de régles sur les doigts ça je l'ai vue  .... et aussi des marches forcés en pyjama en plein hiver dans la cours parce que cé'atit le bordel dans le dortoir ...ça jai vue aussi et j'y ai participé  .  ça n'a jamais ete plus loin . 

ah oui quand même ils nous faisaient ramasser le raisIn pendant nos heures de sport ..... ça je m'en souviens bien ....   dés la rentrée des classes c'était les vendanges chez le viticulteur voisin qui partagé son pinard avec la direction du collège ;  BREF du travail dissimulé quoi ....mdr   c'était tout de même gonflé nous faire faire des vendanges peendant nos heures de sport .... faut reconnaitre ! lol   mais bon on se marrait bien , les raisins volaient dans tout les sens .

p'tête que les bons pères de Betharam suivent la tradition de la petite Bernadette !!! Pauvrette les gens du cru et les bonnes soeurs de Nevers lui en ont fait voir de toutes les couleurs... et quand on voit tout le fric qu'elle ramène depuis a l'Eglise !!!

Je me demande combien d’€€€€ ont été proposés aux victimes de Betharram pour qu’elles restent… silencieuses.