à l’instant, Elisa* a dit :

Oui bêtement je n’y avais pas exactement pensé ainsi… 

Mais non pas bêtement, du coup je divague aussi me demande si un objet est enfoncé de force dans la bouche , est ce la même chose ? 

à l’instant, hanss a dit :

Mais non pas bêtement, du coup je divague aussi me demande si un objet est enfoncé de force dans la bouche , est ce la même chose ? 

P.E.N.E.T.R.A.T.I.O.N...... cesse de divaguer, va.

On arrête les digressions, les HS, les blagues à deux balles, les règlements de comptes, et on en revient au sujet du topic.

Merci.

Il y a 5 heures, Kyoshiro02 a dit :

Il y en a qui vont sérieusement manger dans ce resto ?

Il faut le boycotter !

 Il a très bien réagi en licenciant ce chef étoilé

J’ai l’impression que c’est comme ça dans pas mal d’endroits, restaurant, école de commerce, police.
 

Il y a 1 heure, zebusoif a dit :

J’ai l’impression que c’est comme ça dans pas mal d’endroits, restaurant, école de commerce, police.
 

On en profite donc pour rappeler :

Le bizutage est puni de 6 mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende. Ces peines sont doublées si la victime est une personne vulnérable.

À savoir  

Les actes de violences, de menaces ou d'atteintes sexuelles sont des infractions différentes du bizutage. Elles sont punies par des peines d'amende ou d'emprisonnement allant jusqu'à 10 ans.

La personne morale: Groupement de personnes physiques réunies pour accomplir quelque chose en commun (entreprises, sociétés civiles, associations, État, collectivités territoriales, etc.). Ce groupe peut aussi réunir des personnes physiques et des personnes morales. Il peut aussi n'être constitué que d'un seul membre (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée - EURL - par exemple). reconnue coupable risque une amende de 37 500 € et la fermeture des locaux qui ont servi au bizutage.

Il y a 1 heure, Axo lotl a dit :

On en profite donc pour rappeler :

 

Le bizutage est puni de 6 mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende. Ces peines sont doublées si la victime est une personne vulnérable.

À savoir  

Les actes de violences, de menaces ou d'atteintes sexuelles sont des infractions différentes du bizutage. Elles sont punies par des peines d'amende ou d'emprisonnement allant jusqu'à 10 ans.

La personne morale: Groupement de personnes physiques réunies pour accomplir quelque chose en commun (entreprises, sociétés civiles, associations, État, collectivités territoriales, etc.). Ce groupe peut aussi réunir des personnes physiques et des personnes morales. Il peut aussi n'être constitué que d'un seul membre (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée - EURL - par exemple). reconnue coupable risque une amende de 37 500 € et la fermeture des locaux qui ont servi au bizutage.

 

Ça fait à peu près 30 ans que cette loi existe, est renforcée… mais pas appliquée, en tout cas pas partout. La loi a du mal à se faire entendre dans l’entre soit des institutions. On lave son linge sale en famille.

Il y a 15 heures, boeingue a dit :

c'est lamentable , tout simplement !!

je ne connais pas la force physique  de la victime , mais  il fallait taper sur la gueule du ou des agresseurs !

c'est n'importe quoi !

Et du coup l'embauche serait tombée à l'eau.

C'est difficile de trouver un emploi, surtout si c'est le premier emploi et il y a des ordures qui en profitent pour assouvir leur besoin d'humilier leur prochain. 

C'est vraiment très très co........

Et tout cela sous la houlette d'un "chef étoilé".

Bien sur. Les trentenaires sont ignobles!

Citation

A 29 ans, le 26 mars prochain Aurélien Largeau prendra la tête des cuisines de l’hôtel du Palais à Biarritz.

article de 2021

https://www.francebleu.fr/emissions/cuisine-ensemble-dans-la-vie-en-bleu-au-pays-basque/pays-basque/aurelien-largeau-le-nouveau-chef-de-l-hotel-du-palais-a-biarritz

Il y a 17 heures, metal guru a dit :

Maintenant il peut y avoir plusieurs explications différentes et ça pourrait aussi être un jeu avec une supposée victime consentante

Pas crédible. Je crois que les jeux sado maso il y a des lieux pour ça avec des acteurs consentants. Les cuisines de palace n'en font pas partie, les liens de subordinations ne permettent pas de supposer le consentement de la victime.

Il est à craindre que ce rituel sordide ne soit pas une première et que les participants aient eux-mêmes subi préalablement un sort semblable

à l’instant, hybridex a dit :

Il est à craindre que ce rituel sordide ne soit pas une première et que les participants aient eux-mêmes subi préalablement un sort semblable

C'est en effet une reflexion intéressante ça.

Il y a 1 heure, hybridex a dit :

Pas crédible. Je crois que les jeux sado maso il y a des lieux pour ça avec des acteurs consentants. Les cuisines de palace n'en font pas partie, les liens de subordinations ne permettent pas de supposer le consentement de la victime.

Il est à craindre que ce rituel sordide ne soit pas une première et que les participants aient eux-mêmes subi préalablement un sort semblable

Il y avait une émission de radio qui parlait de cette affaire ce matin, il semblerait qu'il n'y ait toujours pas de plainte et que tous les participants ( le chef dont il est question ici maintient qu'il n'y a pas participé ) , victime comprise, affirment que cette dernière était consentante. Si la victime était volontaire pour se faire humilier c'est peut être par peur de ne pas être embauchée mais ça peut être aussi pour d'autres raisons que nous n'imaginons pas !

Ce qu'il y a de formidablement efficace avec les rituels d'humiliation collective, c'est qu'ils dégradent aussi bien ceux qui les organisent que ceux qui les subissent, ceux qui y participent que ceux qui ne s'y opposent pas.

L'ensemble du personnel, en apprenant à s'avilir, acquiert ainsi la souplesse d'échine nécessaire pour satisfaire un chef/une clientèle dont le niveau d'exigence confine au délire mégalo.

Mais la mise à mal de l'ego et l'aliénation sont indispensables à tout processus de professionnalisation. La carotte dans les fesses n'est que l'expression paroxystique de la condition de tout travailleur !

et ça, ça fait mal au culte du travail! 

il y a 25 minutes, metal guru a dit :

Il y avait une émission de radio qui parlait de cette affaire ce matin, il semblerait qu'il n'y ait toujours pas de plainte et que tous les participants ( le chef dont il est question ici maintient qu'il n'y a pas participé ) , victime comprise, affirment que cette dernière était consentante. Si la victime était volontaire pour se faire humilier c'est peut être par peur de ne pas être embauchée mais ça peut être aussi pour d'autres raisons que nous n'imaginons pas !

Si le gars porte plainte ce sera double peine: l'humiliation subie et la fermeture de la carrière.

Pas de plainte ne signifié rien

il y a 1 minute, hybridex a dit :

Pas de plainte ne signifié rien

Non, mais ça ne signifie pas non plus qu'il évite de le faire par peur ! En fait tant que la justice n'a pas déterminé qui a fait quoi et pourquoi, on ne sait pas !

"C'était une petite blague entre amis" : Lucas nie avoir été bizuté à l'Hôtel du Palais à Biarritz

Pas un bizutage, mais une "simple blague entre amis". Première réaction, ce vendredi, du jeune Lucas qui est au cœur de la polémique qui secoue, en cette fin décembre, l'Hôtel du Palais de Biarritz. Il ne se considère pas comme une victime et déplore le limogeage du chef étoilé Aurélien Largeau.

C'est la première fois qu'il s'exprime. Ce vendredi, Lucas, jeune demi-chef de partie aux sauces et aux garnitures dans les cuisines de l'Hôtel du Palais à Biarritz, dénonce la situation dans laquelle il se trouve et déplore l'éviction de l'établissement de luxe de son supérieur, le chef Aurélien Largeau, débarqué après un bizutage controversé dans le palace le 2 décembre dernier. À France Bleu Pays Basque, le jeune homme explique qu'il n'était pas question ce jour-là d'un bizutage, mais "d'une petite blague entre amis". Lucas précise que son départ de Biarritz est "un choix professionnel", après deux années passées dans cet établissement.

Ni carotte, ni pomme

Lucas déplore que personne n'a pris de ses nouvelles depuis le début de cette affaire. "Les seuls appels que j'ai, sont ceux de mon ancien chef, Aurélien Largeau, qui me demande comment je suis en train de vivre tout ça. On parle de moi avec une carotte dans le cul et une pomme dans la bouche, mais c'est faux", explique le jeune homme qui précise qu'il n'arrive plus à dormir et qu'il est harcelé sur les réseaux sociaux. "Je suis dans mon nouvel emploi à l'heure actuelle et quand je me promène dans mon établissement (à Paris, NDLR) on me juge durement", insiste-t-il.

"Ce qui se passe actuellement ne reflète en rien ce qui a pu se passer"

"Tout ce que je peux vous dire, c'est que je suis parti de mon plein gré et qu'une petite blague entre amis a pris des proportions médiatiques énormes", explique Lucas. Il rajoute : "Ce qui se passe actuellement ne reflète en rien ce qui a pu se passer, tout ce que je peux vous dire, je ne me suis pas fait licencier, j'ai décidé de partir pour un cursus carriériste, parce que ça fait deux ans que je travaille pour Aurélien Largeau et qu'il est temps que je découvre une nouvelle cuisine juste pour devenir meilleur. Partir de l'équipe est le pire choix que j'ai dû faire dans ma vie parce que ça a été le chef le plus exceptionnel que j'ai pu avoir dans ma carrière".

Enfin, à propos des photos et des vidéos prises lors de cette affaire, Lucas dément formellement : "Mais est-ce que vous, vous avez vu les photos ? Parce que moi, je vous entends parler de photos et de vidéos que je n'ai jamais vues ? 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/c-etait-une-petite-blague-entre-amis-lucas-nie-avoir-ete-bizute-a-l-hotel-du-palais-a-biarritz-4183331