« Les Barjols » seront jugés pour « association de malfaiteurs terroriste » à parti de ce mardi 17 janvier 2023

Ils auraient voulu assassiner le président de la République en 2018. À partir de ce 17 janvier et jusqu’au 2 février, treize personnes – douze hommes et une femme – sont soupçonnées d’avoir préparé une série d’actions violentes, dont un projet d’attaque contre Emmanuel Macron fin 2018, en marge du centenaire de l’armistice.

La plupart ont été en contact via un groupe Facebook, qui avait été créé en 2017, puis une association déclarée en préfecture en août 2018.

[...]

Ancien militant au Front national, depuis rebaptisé Rassemblement national (RN), Denis Collinet anime le groupe sur le réseau social Facebook. Dessus, ses membres se font le relais d’une idéologie antimigrants, anti-islam et antisémite. Les publications évoquant de multiples théories du complot sont également légion.

https://www.ouest-france.fr/societe/justice/qui-sont-les-barjols-dont-des-membres-sont-soupconnes-d-avoir-voulu-attaquer-emmanuel-macron-fd8d35cc-95c5-11ed-9400-7aba786c7303

D'après même leurs avocats, c'est une bande "pieds nickelés" encore plus cons que la moyenne.

C'est dire !

il y a 39 minutes, BELUGA a dit :

D'après même leurs avocats, c'est une bande "pieds nickelés" encore plus cons que la moyenne.

C'est dire !

C'est l'un des moyen de les défendre : les faire passer pour des fêlés !

mais des fêlés dangereux. Allez au trou !

c'est nos QAnon à nous , aussi fêlés , aussi dangereux ! pas de pitié pour les connards boiteux !

il y a une heure, January a dit :

La plupart ont été en contact via un groupe Facebook, qui avait été créé en 2017, puis une association déclarée en préfecture en août 2018.

L'association avait pour nom "tuer Macron"  ?  

il y a 53 minutes, Jim69 a dit :

L'association avait pour nom "tuer Macron"  ?  

Du lien de départ ....

"Mais à quels points tous ces projets criminels étaient-ils avancés ? Pas assez en tout cas pour renvoyer le procès en Cour d’assises. Le Parquet a préféré retenir le chef d’« association de malfaiteurs terroriste délictuelle ». Cette décision de « correctionnaliser » le dossier est une manière de reconnaître l’état très embryonnaire des projets détaillés dans le réquisitoire définitif, comme l’explique Le Monde , qui a eu accès au document.

Des perquisitions avaient tout de mis au jour des armes à feu, dont un fusil-M16, des manuels de fabrication d’explosifs, rapporte Marianne. Les écoutes de Jean-Pierre Bouyer ont révélé des propos inquiétants, mais qui n’ont pas formellement traduit l’existence d’un projet élaboré d’attentat.

Mais au-delà de Jean-Pierre Bouyer, qui encourt dix ans de réclusion, certains profils ont inquiété les enquêteurs. Comme ce collectionneur d’armes fasciné par le nazisme, qui affirme sur Facebook qu’il fera « sauter une mosquée ». Ou ce quadragénaire, qui était dans la voiture avec Jean-Pierre Bouyer lors de l’arrestation, qui a reconnu avoir cherché à se procurer des armes, mais a rejeté le projet d’attaque contre Macron sur Bouyer. Selon Le Monde, il a assuré que leurs propos relevaient de la vantardise."

C'est effarant le nombre d'imbéciles qui sont incapables de comploter en secret ....

Le pouvoir de son côté est bien capable d'inventer un danger pour mettre la pression sur son peuple en impliquant des bandes marginales 

il y a 3 minutes, Clavier a dit :

Le pouvoir de son côté est bien capable d'inventer un danger pour mettre la pression sur son peuple en impliquant des bandes marginales 

Oh que oui ! il l'a déjà fait par le passé !

J'ai pas tout compris dans ce dossier.

Ils ont faut sauter combien de bombes, combien de morts ?

il y a 7 minutes, VladB a dit :

J'ai pas tout compris dans ce dossier.

Ils ont faut sauter combien de bombes, combien de morts ?

Toi, je te soupçonne d'avoir préféré qu'on les arrête après le passage a l'acte 

Il y a 13 heures, Clavier a dit :

C'est effarant le nombre d'imbéciles qui sont incapables de comploter en secret ....

Le pouvoir de son côté est bien capable d'inventer un danger pour mettre la pression sur son peuple en impliquant des bandes marginales 

Oui c’est aussi ce que disent certains groupes d’ultra gauche ou djihadistes.

Bien qu’ils encourent jusqu’à dix ans de prison, beaucoup donnent l’impression de ne pas saisir les enjeux du procès. A l’image de ce prévenu Julien C., qui demande, par la voix de son avocate à être dispensé d’assister au procès – à l’exception de son audition – en raison de l’état de santé de son… chat. « C’est un chat de race, personne d’autre ne peut l’approcher », insiste son avocate, brandissant le carnet de santé de l’animal devant le regard quelque peu ébahi du président. « Entre la dose d’insuline de votre chat et les enjeux judiciaires pour vous et les autres prévenus… Ça me semble plus important quand même », soupire le magistrat. Même l’homme à l’épaisse barbe noire, soupçonné d’avoir fourni des recettes pour confectionner des explosifs, ne reviendra pas sur sa décision : il ne fera l’aller-retour depuis la Bretagne que pour son interrogatoire.

Ses co-prévenus, eux, mettent pour beaucoup en avant le coût d’un tel procès : trop loin, trop cher, trop chronophage. Tous vivent en province, beaucoup sont au chômage ou titulaires d’un emploi précaire. Pour le plus jeune, le tribunal comme le ministère public ne s’y opposent pas. Cet homme de 26 ans que le leader du groupe, Jean-Pierre Bouyer, présentait comme son « bras droit » est atteint d’un handicap mental. Il confie comprendre « vaguement » le président lorsque celui-ci lui rappelle les infractions qui lui sont reprochées. Au moment de décliner son identité, il ne peut réprimer des sanglots, enfonce ses mains dans ses poches pour tenter de maîtriser ses tremblements. « Soufflez, soufflez », lui glisse, bienveillant, le président.

Pour les autres, en revanche, le magistrat se montre plus ferme. S’il comprend les contraintes, il explique l’importance d’assister aux débats, de pouvoir répondre si on est mis en cause par d’autres prévenus. La nécessité du « contradictoire », en somme. Mais à la barre, Nathalie C., la cinquantaine, cheveux poivre et sel, pull rose, ne veut rien entendre.

Elle fulmine contre les prix « hallucinants » des Airbnb dans la capitale, explique ne pas avoir les moyens de faire quotidiennement des allers-retours entre Paris et la Moselle. « De toute façon, je déteste Paris, ça m’angoisse », lâche-t-elle sans vraiment tenir compte de ce que lui dit le président. « On n’est pas au salon de coiffure », lui rétorque ce dernier. Et d’insister : « Si vous n’êtes pas là, ça vous met en difficulté. »

https://www.20minutes.fr/justice/4019189-20230117-ultradroite-apprend-viree-proces-barjols-prevenus-depasses-enjeux

Ah ben là .. on est chez les barjots, pas de doute.

il y a une heure, January a dit :

Bien qu’ils encourent jusqu’à dix ans de prison, beaucoup donnent l’impression de ne pas saisir les enjeux du procès. A l’image de ce prévenu Julien C., qui demande, par la voix de son avocate à être dispensé d’assister au procès – à l’exception de son audition – en raison de l’état de santé de son… chat. « C’est un chat de race, personne d’autre ne peut l’approcher », insiste son avocate, brandissant le carnet de santé de l’animal devant le regard quelque peu ébahi du président. « Entre la dose d’insuline de votre chat et les enjeux judiciaires pour vous et les autres prévenus… Ça me semble plus important quand même », soupire le magistrat. Même l’homme à l’épaisse barbe noire, soupçonné d’avoir fourni des recettes pour confectionner des explosifs, ne reviendra pas sur sa décision : il ne fera l’aller-retour depuis la Bretagne que pour son interrogatoire.

Ses co-prévenus, eux, mettent pour beaucoup en avant le coût d’un tel procès : trop loin, trop cher, trop chronophage. Tous vivent en province, beaucoup sont au chômage ou titulaires d’un emploi précaire. Pour le plus jeune, le tribunal comme le ministère public ne s’y opposent pas. Cet homme de 26 ans que le leader du groupe, Jean-Pierre Bouyer, présentait comme son « bras droit » est atteint d’un handicap mental. Il confie comprendre « vaguement » le président lorsque celui-ci lui rappelle les infractions qui lui sont reprochées. Au moment de décliner son identité, il ne peut réprimer des sanglots, enfonce ses mains dans ses poches pour tenter de maîtriser ses tremblements. « Soufflez, soufflez », lui glisse, bienveillant, le président.

Pour les autres, en revanche, le magistrat se montre plus ferme. S’il comprend les contraintes, il explique l’importance d’assister aux débats, de pouvoir répondre si on est mis en cause par d’autres prévenus. La nécessité du « contradictoire », en somme. Mais à la barre, Nathalie C., la cinquantaine, cheveux poivre et sel, pull rose, ne veut rien entendre.

Elle fulmine contre les prix « hallucinants » des Airbnb dans la capitale, explique ne pas avoir les moyens de faire quotidiennement des allers-retours entre Paris et la Moselle. « De toute façon, je déteste Paris, ça m’angoisse », lâche-t-elle sans vraiment tenir compte de ce que lui dit le président. « On n’est pas au salon de coiffure », lui rétorque ce dernier. Et d’insister : « Si vous n’êtes pas là, ça vous met en difficulté. »

https://www.20minutes.fr/justice/4019189-20230117-ultradroite-apprend-viree-proces-barjols-prevenus-depasses-enjeux

 

Ah ben là .. on est chez les barjots, pas de doute.

hallucinant !

Le 17/01/2023 à 08:19, January a dit :

Ils auraient voulu assassiner le président de la République en 2018. À partir de ce 17 janvier et jusqu’au 2 février, treize personnes – douze hommes et une femme – sont soupçonnées d’avoir préparé une série d’actions violentes, dont un projet d’attaque contre Emmanuel Macron fin 2018, en marge du centenaire de l’armistice.

 

La plupart ont été en contact via un groupe Facebook, qui avait été créé en 2017, puis une association déclarée en préfecture en août 2018.

[...]

 

Ancien militant au Front national, depuis rebaptisé Rassemblement national (RN), Denis Collinet anime le groupe sur le réseau social Facebook. Dessus, ses membres se font le relais d’une idéologie antimigrants, anti-islam et antisémite. Les publications évoquant de multiples théories du complot sont également légion.

https://www.ouest-france.fr/societe/justice/qui-sont-les-barjols-dont-des-membres-sont-soupconnes-d-avoir-voulu-attaquer-emmanuel-macron-fd8d35cc-95c5-11ed-9400-7aba786c7303

 

Excellentes nouvelles , il faut éradiquer cette vermine qui pollue nos vies , les racistes , xénophobes et autres débiles doivent être lourdement sanctionnés .

« Faut pas prendre toutes mes conneries à la lettre, Monsieur le juge. 

https://www.20minutes.fr/justice/4019394-20230118-ultradroite-allait-vraiment-tuer-president-dangerosite-barjols-ur-proces

Le 19/01/2023 à 08:47, January a dit :

Faut pas prendre toutes mes conneries à la lettre, Monsieur le juge.

Seraient pas un peu barjots les barjols ?

Procès politique bidon fondé sur rien, pour l'exemple.

Même le procureur sait que c'est de la merde, d'ou la qualification de terrorisme délictuel qui prouve que la cour sait d'entrée de jeu qu'il n'y a pas la moindre trace de terrorisme là dedans.

Ils font ça pour l'exemple, pour prouver à la plèbe qu'elle n'a pas le droit de penser ce qu'elle pense. Que penser mal peut la conduire en taule.

Les mêmes qui trouvent impensable qu'on parle de buter Macron parlent toute la journée de buter Poutine. Et ils trouvent ça normal en plus.