Le défi écriture du mois de janvier 2023

Bonjour tous toutes  

Pour le mois de janvier, je vous propose (sur une idée évoquée il y a longtemps), d'écrire une courte fin alternative au conte Le petit chaperon rouge. 

Tout le monde le sait, la fin est heureuse : Le loup mange la grand-mère et le petit chaperon rouge et il s'endort. Mais un chasseur lui ouvre le ventre et remplace la grand-mère et le petit chaperon rouge par des cailloux. Le loup meurt et le chasseur emporte sa peau.

Votre fin commencera quand le loup croque (ou pas puisque vous ré-inventez la fin) la grand-mère. Faites nous rire, trembler, pleurer, vous avez tout le mois de janvier !

Contraintes de longueur du récit ?

Bah c'est l'auteur qui voit.. Après suivant la longueur il sait qu'il sera plus ou moins lu  

Très rapide pour sourire..

Après avoir bien digéré la grand-mère loup se prépare à croquer le petit Chaperon rouge (Elizabeth).

Il la renifle, lui lèche le bout du nez, réfléchit ... et l'invite dans le lit.

Les heures passent.

Après affinités, ils se marièrent et eurent beaucoup de petits louvethommes et louvefemmes.

Fin

il y a 59 minutes, January a dit :

Le loup mange la grand-mère et le petit chaperon rouge et il s'endort.

Notre loup affamé, vient de croquer sans vergogne la grand-mère en plat de résistance, puis se gave avec gourmandise, du petit chaperon rouge en guise de dessert dans la foulée.

Bizarrement, son forfait accompli, il sent bien que son système digestif a du mal à faire passer la pilule.

Il est vrai que la viande et les os d'une grand-mère sont beaucoup plus indigeste, avalés sous cette forme là que lorsque qu’il s’agit d’un plat de viande cuisiné soigneusement comme un bœuf bourguignon, par exemple ?

Une somnolence et une envie irrésistible de dormir l’envahit et l’incite à s’allonger dans le lit de la grand-mère.

Erreur fatale de sa part, notamment pour ceux qui connaissent la fin de l’histoire officielle…

Finalement, le loup ne s’en remettra jamais, du peu que je sais de la fin de l'épisode !

Je vous l’avais bien dit qu’un lit c’était dangereux… 

Version horrifique

La grand-mère dévorée, cet imbécile de chaperon rouge s'enfuit à toutes jambes.

Le loup, repu, s'endormi rapidement. Petit à petit, dans une semi-torpeur, une étrange chaleur l'envahit. D'un vague sentiment de malaise tout d'abord, cette sensation se transforma insensiblement en bien-être, puis en plénitude et enfin en extase.

C'était cela dévorer ? un orgasme né du sacrifice interdit de la chair et du sang ?

Puis, une obsession pris possession du loup : dévorer, dévorer et encore dévorer, puis jouir de cette damnation.

Tapi dans un fossé, patiemment, il aperçoit gambader un jeune gamin, riant et écervelé. Il a l'air si gentil : sa chair n'en sera que plus tendre... Et le plaisir sans limite.

Version Christique

La grand-mère est dévorée, ainsi que ce courageux Chaperon, il ne me reste plus qu'à digérer et m'assoupir mollement.

Cette digestion est étonnante, au malaise physique vient s'ajouter une gêne, puis un dégoût et enfin un sentiment d'horreur.

Jusqu'au moment où une terreur s'empare de moi, comme un pressentiment de la damnation éternelle. Est-ce cette digestion difficile qui crée ce calvaire ? Ou bien la culpabilité qui interdit à mes entrailles de valider cette profanation ?

Au point que je régurgite très vite mes pêchés, incapable d'assumer jusqu'au bout l'assouvissement de mes penchants. La vision de cette nourriture maudite et putride ne fait que renforcer cette insupportable culpabilité.

Enfin, l'inéluctable répétition de cette envie irrépressible puis de cet acte sacrilège, m'entraîne vers cette rivière où je dois, où je vais, me jeter.

Je dois mettre un terme à cette malédiction.

C'était devenu mon rituel, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige, j'avais rendez-vous avec eux. J'aimais leur raconter ma semaine, les histoires des gens... Depuis que j'avais recommencé à sortir... J'avais l'impression de les entendre rire, et je riais avec elles, comme si nous complotions. Chape, c'était beaucoup plus compliqué de m'adresser à elle en confidence. Ma fille, son souvenir, me faisait toujours tomber dans un gouffre de douleur. 

Depuis quelques mois, après qu'on ait capturé Compère le loup, mon cou était nu. J'avais expliqué à Chape que j'avais réfléchi et que je comptais lui donner une petite soeur ou un petit frère.

- Mon amour... tu es là... tu seras toujours là... mais tu es parti... tu es loin et tu ne reviendras jamais, je l'ai accepté... j'ai envie d'essayer, tu sais... 

J'avais soupiré, tenté de ravaler mes larmes, et j'avais joué avec sa chainette au bout de mes doigts.

- Elle commence à peser lourd... je sais que tu ne m'en voudras pas... je crois que je suis prête... Je vais l'enlever... Je t'aimerai toujours, ça ne changera pas, mais c'est différent maintenant... je sais vivre sans toi...

J'avais embrassé la tombe et accroché sa chainette dessus. Mes yeux avaient débordé. Puis je m'étais relevée. 

- A la semaine prochaine mes amours. Chape, Maman...

J'étais parti sans me retourner.

Tiens quand j' aurai un moment je me pencherai au chevet de mère- grand...

...

Le loup mange la grand mère, l'assaisonne aux petits oignons, il digère, les heures passent... Il est pris de crampes terribles, commence à vomir, et fini par vomir ses propres tripes.... Sur ce le petit chaperon rouge arrive et crache au loup agonisant "imbécile ! depuis le temps que ce conte existe, tu t'imagines qu'on a pas appris à se défendre ! On tète de la cigüe dès le biberon ! Tu penses bien que mémé en était farcie jusqu'au trou de balle !!!"

et tandis que le loup rendait l'âme, le joli chaperon rouge chantonna doucement :

Bonsoir

- dit donc toi , espèce de chien sauvage, t'à bouffé m'a grand mère alors que tu cherchait de la chaire fraiche?

question de gastronomie tu repassera .j'ai une galette comme désert, mais avec ce que tu à bouffé , s'en boire aprés , tu veut me bouffer comme dessert ?tu à les yeux plus gros que le ventre et l'auteur du conte ni connaît rien en gastronomie ?

Monsieur Perrault , veuillez prendre en considération ,la petite fille que je suis et laissez moi manger le loup s'il vous plait.

- Bon m'à petite , laisse l'auteur raconter ses conneries et ne cherche pas à comprendre ,

tu n'est pas équipée pour .

Bonne soirée

, 

Chaperon entra chez sa mère-grand, les bras emplis de fleurs cueillies dans la forêt et se dirigea vers le lit pour les lui offrir. S’approchant pour l’embrasser, elle fut surprise. Mais quelle était donc cette étrange maladie qui la déformait à ce point, la transformant en une créature étrange.

- Oh maminette, que tu as donc de grands yeux !

- C’est pour mieux te voir ma jolie bichette...

-  Oh maminette, que tu as donc de grandes oreilles !

- C’est pour mieux entendre ta voix cristalline...

- Oh maminette, que tu as donc de grandes mains ?

- C’est pour mieux te câliner, petit Chaperon...

- Oh maminette, que tu as donc de grands pieds...

A ces mots, le loup qui avait enfermé mère-grand dans le cagibi sous l’escalier pour prendre sa place, éclata en sanglots. Chaperon, effrayée, courut se réfugier derrière la grosse table à manger, tremblant de tous ses membres. Mais le loup, inconsolable, n’en finissait plus de larmoyer, de gémir, à fendre le caillou le plus dur.

Chaperon, émue par ce désespoir, s’approcha de nouveau, et posant timidement sa petite main sur la grosse patte, lui demanda la raison de cet immense chagrin.

- Mes pieds sont ma malédiction !  Gros, difformes, crochus... Ils me font l’allure pataude, maladroite, ils m’handicapent. Alors que ma meute court comme le vent, légère, et bondissante, je clauquedique et suis toujours à la traîne, réduit à  me déguiser en mère-grand pour trouver ma pitance...

- Ne sois plus triste, le loup ! Réfléchissons ! Nous allons bien trouver quelque chose qui transforme ton malheur en chance et nous sauver toi, maminette et moi...

Et c’est ainsi, qu’après de longs jours, d’épuisantes nuits de concertation, de créativité et de bonne volonté, le petit Chaperon rouge et le loup Boutin, eurent une idée, L’IDÉE...

Ils s’associèrent, vécurent heureux, riches, célèbres et côtés en bourse...

Je n'irai plus au bois,jamais

  Car ? Ooh ouiMamie est dévorée

 Et ce grand crétin de loup

Croît me faire un mauvais coup

 Comme si je ne le reconnaissais pas

Même grimé, avec les habits de grand-Ma.

Le petit chaperon rouge étala le beurre sur la galette

et dit:-"que vous avez de grands yeux, Mazette" 

-"C'est pour mieux te voir mon enfant, ma mie"

-"Que vous avez de grandes oreilles , oh, oui!"

 -"c'est pour mieux t'entendre mon enfant"

 -"que vous avez un grand nez, vraiment!"

 -"c'est pour mieux te sentir mon enfant "

Et, ce faisant il reniflait goulûment le petit tendron 

 En rapprochant dangereusement sa truffe et ses crocs du chaperon mignon

 -"Mais que vous avez de grandes dents."

 -"c'est pour mieux te croquer, à l'instant..".

Dit-il en ouvrant un gosier tout béant

Mais prestement la petite enfourna la galette dans la gueule  en un seul morceau

et en bourra le gosier du loup qui décéda étouffé, en une minute chrono.

 Moralité: il faut bien mâcher sa nourriture avant de l'avaler et en prendre de petites bouchées...

Sinon, comme le loup, vous finirez!

Mamie dormait si profondément qu' elle n' entendit pas le loup entrer dans la chambre , ce dernier marchait sur la pointe des pied façon  rat de l' opéra pour ne pas la réveiller , convoitant déjà l' objet9 de ses désirs.

Passant sa langue sur ses lèvres,  il préparait le terrain, ses dents brillaient dans la pénombre  en passant devant la petite lampe de chevet.

Une ombre affreuse s' étendait  sur tout le mur du fond de la pièce modeste.

Loup se penchait maintenant près  du visage de mere -grand qui ne pouvait sentir son haleine , ayant perdu l' odorat suite à  un covid foudroyant.

Loup voyant qu' elle dormait à  poings fermés tendit le bras et d' un geste expert agrippa le rouge à  lèvres que mamie avait mis sur la table de nuit, puis se posant devant la coiffeuse, il entreprit avec dextérité ses lèvres  charnues avec le rouge carmin.

Se mirrant,la bouche en cul de poule devant  un miroir affolé. 

Puis il mis la perruque de mamie, fouillant dans les affaires il se redessina un contour très  féminin,  eut un peu de mal pour caser sa queue derrière le string à  dentelles d' un noir velouté. 

C'est  à  ce moment que la porte claqua et que chaperon rouge fit son entrée fracassante, le loup reculait devant la petite fille qui criait:

- dégage sale pervers, espèce  de connard à  paillettes, je vais te défoncer ta tronche de malade, c'est  toi qui pique mes culottes sur le fil à  linge?

Le pauvre loup tremblait et en perdit son string,  tomba pris dedans, ses larmes faisaient couler le mascarat sur ses joues emaciées .

Mamie réveillée regardait la scène et se mit à  rire, puis tous riaient de la situation.

Loup fut puni et il du faire la vaisselle habillé en soubrette  pendant  un mois.

Il ne fût  jamais en retard et emmenait parfois du travail à  la maison.

Les chasseurs baissaient leurs fusils pas exités du tout.

La forêt  retrouva ses fantômes et la vie continua.

Il y a 23 heures, January a dit :

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Pour le mois de janvier, je vous propose (sur une idée évoquée il y a longtemps), d'écrire une courte fin alternative au conte Le petit chaperon rouge. 

 

Tout le monde le sait, la fin est heureuse : Le loup mange la grand-mère et le petit chaperon rouge et il s'endort. Mais un chasseur lui ouvre le ventre et remplace la grand-mère et le petit chaperon rouge par des cailloux. Le loup meurt et le chasseur emporte sa peau.

 

 

Votre fin commencera quand le loup croque (ou pas puisque vous ré-inventez la fin) la grand-mère. Faites nous rire, trembler, pleurer, vous avez tout le mois de janvier !

Bonjour January,  il y avait, fut un temps, un concours sur un sujet dans littérature,  c' était  assez amusant,  et des gens qui avaient beaucoup de talent...

...qu' en est il aujourd'hui?

C'est le principe ici, on les attend les belles plumes. Il y en a. Je rejette l'idée de "compétition", voilà pourquoi plutôt que "concours" avec vote et tout le bazar, je préfère rassembler, que chacun se sente à l'aise pour participer, sans être "noté". Mais il n'est pas interdit de dire quel est le partage le plus apprécié, à la fin  

Ce n'est que le mois de janvier.. Ca va se corser au fur et à mesure. La fin alternative d'un conte, c'est une promenade de santé !  

il y a 4 minutes, January a dit :

C'est le principe ici, on les attend les belles plumes. Il y en a. Je rejette l'idée de "compétition", voilà pourquoi plutôt que "concours" avec vote et tout le bazar, je préfère rassembler, que chacun se sente à l'aise pour participer, sans être "noté". Mais il n'est pas interdit de dire quel est le partage le plus apprécié, à la fin  

Ce n'est que le mois de janvier.. Ca va se corser au fur et à mesure. La fin alternative d'un conte, c'est une promenade de santé !  

Ce n' est pas l' esprit de compétition qui motivait, mais ça  permettait de suivre.

Un peu comme dans la rubrique photos pour des sujets.

La plainte du petit Chaperon rouge  

<<  Mère-Grand avait mis sur le frigo " De retour vers minuit ". A 23 H 00 je suis réveillée par le flow assourdissant d ' un chasseur qui s' est tiré une balle dans le pied.  A 00 H 00 je suis effrayée par un loup garou dans le lit de mère-grand. Déjà que je ne dors plus assez depuis que je me suis séparée de mon loup ...  >>      

 De fleur en fleur, le Petit Chaperon rouge s’enfonçait toujours plus profondément dans la forêt en chantonnant.

Lorsqu’un bruissement la fit tressaillir. 
Elle se retourna alors vivement et le bruit cessa : un son étrange comme un craquement ou peut-être simplement  le bruit des feuillages ?

Hâtant le pas, peu rassurée, elle continua son petit chemin, les yeux attirés par la magnificence des arbres majestueux, puis se mit à cueillir des fleurs  de toutes les couleurs par-ci par-là,  dans le bois. Tant et si bien qu’elle finit par se détourner  de sa route.
Fort heureusement, les Trois Petits  Cochons tout roses rentraient joyeusement chez leur maman, non loin de chez Mère-Grand, après être allé chercher de quoi fabriquer leur future maison. 
Ils sortirent du fourré tandis que Petit Chaperon papillonnait :
- Hey bien le bonjour, Chaperon Rouge s’exclamèrent-ils en cœur !
- Ah c’était donc vous, mes jolis amis, déclara Petit Chaperon dans un soupir de soulagement. 
Vous m’avez fait  une de ces peurs : j’ai cru que c’était le Loup !
- Et bien continuons notre route ensemble. Nous en profiterons pour venir saluer Mère-Grand.

Pendant ce temps, celle-ci impatiente de retrouver sa petite fille pour le goûter, s’affairait dans la cuisine après avoir concocté ac amour une délicieuse tarte aux pommes qui refroidissait tranquillement sur le rebord de la fenêtre.
Prise d’une grande fatigue, elle alla se reposer.

Le Loup, quant à lui déguisé ac un grand foulard, se dirigeait vers la maison de Mère-Grand. 
Très alléché à l’idée de croquer cette juteuse dame, il s’imaginait déjà, repu, faire ensuite une bonne sieste dans le lit bien douillet de la maisonnée.

Arrivé devant la maison, il frappa à la porte. 
- Qui est là ?
- C’est le Petit Chaperon rouge qui t’apporte du gâteau et du vin, dit le Loup en prenant une petite voix.
- Tire la chevillette et entre, dit la grand-mère.
Je suis trop faible et je ne peux me lever.
Le Loup tira la chevillette, la porte s’ouvrit et sans dire un mot, il allait se jeter sur la grand-mère.

Au moment même où il ouvrait tout grand sa gueule  dégoulinante ac ses énormes crocs pointus,  prêts à croquer Mère Grand… surgirent de justesse les Trois Petits Cochons qui l’empoignèrent et le bâillonnèrent tandis que Petit Chaperon l’attacha. 
- Qu’allons-nous faire de lui maintenant ? interrogea Petit Chaperon.
- Le remettre à un Chasseur, dirent en cœur les Trois Petits Cochons. 
- Et bien déjà fêtons cela et dégustons, sous son nez, cette délicieuse tarte aux pommes en attendant de prendre une décision, proposa Mère-Grand, bien heureuse d’avoir été sauvée par tout ce joli monde.

Finalement, ils firent le choix de le remettre en liberté dans la forêt. 
Pour les remercier de leur clémence, le Loup jura ses grands dieux de ne plus jamais essayer de les croquer ! 

Bonjour

Le Petit Chaperon rouge frappe à la porte de la chaumière de sa Grand grand Mère.

une voie rauque lui répond? 

- ENTRE...

tient se dit-elle, grand mère à du attrapé froid, je ne reconnais pas sa voie?

Elle entre timidement et la HORREUR , grand mère est couchée avec un type ?celui-ci n'a même pas retiré son manteau en poile d'ours ou d'autres choses?

La fillette ne sait plus quoi faire ,elle s'apprète à ressortir quand l'inconnu tourne sa tête

c'est un loup qui lui dit

- tu à apportée le désert petite , mais je ne mange que de la chaire fraîche, je finit t'à grand mère , et de toi, je ferait m'on dessert ...

ET LA, la petite fille se réveille , c'était un cauchemar .elle s'habille chaudement et prend son panier .vite se dit-elle , le chemin est long et je suis en retard ...

Bonne journée