Les questions à se poser avant de faire des enfants.

Faire des enfants est un choix qui vous engage jusqu’à la fin de votre vie et mérite d’être bien pesé.

Voici un début de réflexions à engager, avant d’entreprendre ce choix de vie, et être sûr de sa volonté :

·         Capacité financière : il est considéré dans les normes actuelles d’éducation et de bien-être de l’enfant qu’il faille prévoir un budget de 750 euros par mois par enfant jusqu’à l’âge de sa majorité (habillement, loisirs, para-éducation…) ; ce budget ne prévoit pas le coût des études supérieures (c’est ainsi que nous avons moult étudiants dans la misère). Se baser sur les aides sociales en vigueur est un risque, voire une erreur, car elles ne sont pas gravées dans le marbre mais sont tributaires de volontés politiques, de la prospérité du pays (entrées de prélèvements sociaux).

·         Faire l’erreur de considérer que son enfant sera à l’image de ses parents : c’est souvent l’intention des parents, formant un couple épanoui et estimé suffisamment éprouvé, de vouloir prolonger de foyer heureux en y créant descendance. Il est fréquent que les enfants soient à l’opposé des parents. En effet, quand bien même les parents auront pu avoir la volonté de leur transmettre des valeurs, les enfants seront soumis à multiples influences extérieures : école, médias, … qui les forgeront peut être différemment, voire contrariant l’éducation parentale, ce qui pourra devenir dans des cas les plus extrêmes, un enfer familial, et si votre enfant fera des enfants, l'enfer sera peu à peu potentiellement décuplé ; vous ne maitriserez pas ce qu'il en adviendra.

·         Ne pas oublier qu’il soit possible que ce soit un enfant à problèmes : handicap congénital ou ultérieur à la naissance par traumatisme, drogué, délinquant… Et qu’il faudra assumer cela.

·         Faire un enfant n’engage pas que les parents. Tel le mariage, l’enfant, lien encore moins aisé à rompre, va engager le couple dans la durée, même si le couple par la suite fera le choix de se séparer. Mais les engagements vont bien au-delà de cela, ils engagent les branches de la famille aussi, qui n’a pas fait le choix d’avoir cet enfant (c'est tout comme pour le mariage, on ne pense que se marier avec une personne mais on se marie avec toute une famille, et les problèmes qui vont avec). A l’inverse, les parents vont subir, dans le cadre des familles dysfonctionnelles, les obligations familiales : les cas typiques des procès des grands-parents toxiques ou en conflit qui réclament à la justice un droit de visite pour le petit-enfant en vue de créer nuisance dans le couple.

·         Le monde dans lequel va évoluer l’enfant : conflits, perspectives écologiques. Espérance de vie 80 ans, quel sera le monde ? Allez-vous lui donner vie dans un milieu qui sera un enfer à vivre ou sans perspective heureuse pour lui ?

·         La capitulation du père : encore un cas classique, le père qui est là pour les parties de jambes en l’air mais fuit à l’arrivée d’un enfant : prise de conscience tardive qu’il va sacrifier sa vie personnelle pour celle de l’enfant. La mère qui ne va plus être attrayante (déformation physique de la grossesse, etc.). Beaucoup de facteurs qui vont avoir un impact sur le père et qui font de nombreuses mères célibataires rapidement. Ce cas de figure quelques soient les promesses du père est à considérer malgré tout comme un aléa probable dans ce projet de vie et anticiper d’être en capacité d’assumer ce risque.

·         Les problèmes de la mère : dépressions et autres psychopathologies post accouchement, décès à l’accouchement, désintérêt du père au profit d’une liaison fusionnelle avec l’enfant.

Je pense que ces points doivent être remplis:

• Assez d'argent pour le faire
• Logement approprié
• Femme ou/et homme fort parce que c'est pas facile et ça prends beaucoup d'effort
• Accord de la localité voir du national: les gens sont d'accord dans l'entourage, le nation donne l'argent et les pensions
• Être avec les écoles

Je pourrais oublier d'autres points; les autres sont où?

il y a 53 minutes, Emergence a dit :

Faire des enfants est un choix qui vous engage jusqu’à la fin de votre vie et mérite d’être bien pesé.

 

Voici un début de réflexions à engager, avant d’entreprendre ce choix de vie, et être sûr de sa volonté :

 

·         Capacité financière : il est considéré dans les normes actuelles d’éducation et de bien-être de l’enfant qu’il faille prévoir un budget de 750 euros par mois par enfant jusqu’à l’âge de sa majorité (habillement, loisirs, para-éducation…) ; ce budget ne prévoit pas le coût des études supérieures (c’est ainsi que nous avons moult étudiants dans la misère). Se baser sur les aides sociales en vigueur est un risque, voire une erreur, car elles ne sont pas gravées dans le marbre mais sont tributaires de volontés politiques, de la prospérité du pays (entrées de prélèvements sociaux).

·         Faire l’erreur de considérer que son enfant sera à l’image de ses parents : c’est souvent l’intention des parents, formant un couple épanoui et estimé suffisamment éprouvé, de vouloir prolonger de foyer heureux en y créant descendance. Il est fréquent que les enfants soient à l’opposé des parents. En effet, quand bien même les parents auront pu avoir la volonté de leur transmettre des valeurs, les enfants seront soumis à multiples influences extérieures : école, médias, … qui les forgeront peut être différemment, voire contrariant l’éducation parentale, ce qui pourra devenir dans des cas les plus extrêmes, un enfer familial, et si votre enfant fera des enfants, l'enfer sera peu à peu potentiellement décuplé ; vous ne maitriserez pas ce qu'il en adviendra.

·         Ne pas oublier qu’il soit possible que ce soit un enfant à problèmes : handicap congénital ou ultérieur à la naissance par traumatisme, drogué, délinquant… Et qu’il faudra assumer cela.

·         Faire un enfant n’engage pas que les parents. Tel le mariage, l’enfant, lien encore moins aisé à rompre, va engager le couple dans la durée, même si le couple par la suite fera le choix de se séparer. Mais les engagements vont bien au-delà de cela, ils engagent les branches de la famille aussi, qui n’a pas fait le choix d’avoir cet enfant (c'est tout comme pour le mariage, on ne pense que se marier avec une personne mais on se marie avec toute une famille, et les problèmes qui vont avec). A l’inverse, les parents vont subir, dans le cadre des familles dysfonctionnelles, les obligations familiales : les cas typiques des procès des grands-parents toxiques ou en conflit qui réclament à la justice un droit de visite pour le petit-enfant en vue de créer nuisance dans le couple.

·         Le monde dans lequel va évoluer l’enfant : conflits, perspectives écologiques. Espérance de vie 80 ans, quel sera le monde ? Allez-vous lui donner vie dans un milieu qui sera un enfer à vivre ou sans perspective heureuse pour lui ?

·         La capitulation du père : encore un cas classique, le père qui est là pour les parties de jambes en l’air mais fuit à l’arrivée d’un enfant : prise de conscience tardive qu’il va sacrifier sa vie personnelle pour celle de l’enfant. La mère qui ne va plus être attrayante (déformation physique de la grossesse, etc.). Beaucoup de facteurs qui vont avoir un impact sur le père et qui font de nombreuses mères célibataires rapidement. Ce cas de figure quelques soient les promesses du père est à considérer malgré tout comme un aléa probable dans ce projet de vie et anticiper d’être en capacité d’assumer ce risque.

·         Les problèmes de la mère : dépressions et autres psychopathologies post accouchement, décès à l’accouchement, désintérêt du père au profit d’une liaison fusionnelle avec l’enfant.

Penser à tout cela risque du coup à dissuader complètement de procréer. 

il y a 4 minutes, Danoketian a dit :

Penser à tout cela risque du coup à dissuader complètement de procréer. 

Tout cela est pour bien réfléchir avant de générer des malheureux. Combien d'enfants souffrent de ces réflexions inexistantes ou abrégées.

Jusqu'il y a peu, les choix matrimoniaux, et par conséquence de naissance, car relevaient des cellules familiales traditionnelles, étaient avant tout des choix de famille et non des personnes concernées, car justement, la perspective économique et la viabilité de l'union prévalaient avant le choix émotionnel et affectueux, ce qui nous parait maintenant cruel, mais néanmoins mettaient dans la balance une partie de l'inventaire que j'ai proposé. 

il y a une heure, Danoketian a dit :

Penser à tout cela risque du coup à dissuader complètement de procréer. 

bonjour, 

effectivement, si l'on se met à penser à tout ( et rationnellement ) , c'est pas "gagné" .

les enfants, c'est avant tout beaucoup de joie mais aussi beaucoup de soucis et en plus quand il deviennent grands ( petits enfants, petits soucis, grands enfants, grands soucis ) et qu'ils pensent eux aussi à faire des enfants , cela vire au casse-tête !

mais je ne conçois pas la vie sans ... et tant pis pour les emmerdements ( et Dieu sait qu'il y en a ) .

en conclusion, "faire" des enfants, c'est une grande ( très ) charge mais aussi de très grandes joies et beaucoup, mais alors beaucoup de souvenirs quand on se permet de regarder en arrière avec eux ....

moralité : faites des gosses mais si et seulement si vous êtes prêts à abandonner un "peu" de votre liberté mais même si cela parait ingrat, c'est quand même un grand bonheur .

bonne journée.

P.-S : merci à nos 2 canailles, qui nous ont "offert" 4 autres canailles ( les chicoufs  ) et l'on espère voir encore les canailles suivantes et comme dans le feuilleton télévisé : Que du bonheur !

Il y a 2 heures, Emergence a dit :

Faire des enfants est un choix qui vous engage jusqu’à la fin de votre vie et mérite d’être bien pesé.

 

Voici un début de réflexions à engager, avant d’entreprendre ce choix de vie, et être sûr de sa volonté :

 

·         Capacité financière : il est considéré dans les normes actuelles d’éducation et de bien-être de l’enfant qu’il faille prévoir un budget de 750 euros par mois par enfant jusqu’à l’âge de sa majorité (habillement, loisirs, para-éducation…) ; ce budget ne prévoit pas le coût des études supérieures (c’est ainsi que nous avons moult étudiants dans la misère). Se baser sur les aides sociales en vigueur est un risque, voire une erreur, car elles ne sont pas gravées dans le marbre mais sont tributaires de volontés politiques, de la prospérité du pays (entrées de prélèvements sociaux).

·         Faire l’erreur de considérer que son enfant sera à l’image de ses parents : c’est souvent l’intention des parents, formant un couple épanoui et estimé suffisamment éprouvé, de vouloir prolonger de foyer heureux en y créant descendance. Il est fréquent que les enfants soient à l’opposé des parents. En effet, quand bien même les parents auront pu avoir la volonté de leur transmettre des valeurs, les enfants seront soumis à multiples influences extérieures : école, médias, … qui les forgeront peut être différemment, voire contrariant l’éducation parentale, ce qui pourra devenir dans des cas les plus extrêmes, un enfer familial, et si votre enfant fera des enfants, l'enfer sera peu à peu potentiellement décuplé ; vous ne maitriserez pas ce qu'il en adviendra.

·         Ne pas oublier qu’il soit possible que ce soit un enfant à problèmes : handicap congénital ou ultérieur à la naissance par traumatisme, drogué, délinquant… Et qu’il faudra assumer cela.

·         Faire un enfant n’engage pas que les parents. Tel le mariage, l’enfant, lien encore moins aisé à rompre, va engager le couple dans la durée, même si le couple par la suite fera le choix de se séparer. Mais les engagements vont bien au-delà de cela, ils engagent les branches de la famille aussi, qui n’a pas fait le choix d’avoir cet enfant (c'est tout comme pour le mariage, on ne pense que se marier avec une personne mais on se marie avec toute une famille, et les problèmes qui vont avec). A l’inverse, les parents vont subir, dans le cadre des familles dysfonctionnelles, les obligations familiales : les cas typiques des procès des grands-parents toxiques ou en conflit qui réclament à la justice un droit de visite pour le petit-enfant en vue de créer nuisance dans le couple.

·         Le monde dans lequel va évoluer l’enfant : conflits, perspectives écologiques. Espérance de vie 80 ans, quel sera le monde ? Allez-vous lui donner vie dans un milieu qui sera un enfer à vivre ou sans perspective heureuse pour lui ?

·         La capitulation du père : encore un cas classique, le père qui est là pour les parties de jambes en l’air mais fuit à l’arrivée d’un enfant : prise de conscience tardive qu’il va sacrifier sa vie personnelle pour celle de l’enfant. La mère qui ne va plus être attrayante (déformation physique de la grossesse, etc.). Beaucoup de facteurs qui vont avoir un impact sur le père et qui font de nombreuses mères célibataires rapidement. Ce cas de figure quelques soient les promesses du père est à considérer malgré tout comme un aléa probable dans ce projet de vie et anticiper d’être en capacité d’assumer ce risque.

·         Les problèmes de la mère : dépressions et autres psychopathologies post accouchement, décès à l’accouchement, désintérêt du père au profit d’une liaison fusionnelle avec l’enfant.

Je deteste les AIs.

il y a 23 minutes, pic et repic a dit :

bonjour, 

effectivement, si l'on se met à penser à tout ( et rationnellement ) , c'est pas "gagné" .

les enfants, c'est avant tout beaucoup de joie mais aussi beaucoup de soucis et en plus quand il deviennent grands ( petits enfants, petits soucis, grands enfants, grands soucis ) et qu'ils pensent eux aussi à faire des enfants , cela vire au casse-tête !

mais je ne conçois pas la vie sans ... et tant pis pour les emmerdements ( et Dieu sait qu'il y en a ) .

en conclusion, "faire" des enfants, c'est une grande ( très ) charge mais aussi de très grandes joies et beaucoup, mais alors beaucoup de souvenirs quand on se permet de regarder en arrière avec eux ....

moralité : faites des gosses mais si et seulement si vous êtes prêts à abandonner un "peu" de votre liberté mais même si cela parait ingrat, c'est quand même un grand bonheur .

bonne journée.

P.-S : merci à nos 2 canailles, qui nous ont "offert" 4 autres canailles ( les chicoufs  ) et l'on espère voir encore les canailles suivantes et comme dans le feuilleton télévisé : Que du bonheur !

Nous avons 3 petits fils. 

il y a une heure, Danoketian a dit :

Nous avons 3 petits fils. 

re bonjour, 

4 pour nous ... mais le "score" s’arrêta là !

l'ainé vient d'avoir 15 ans et la petite dernière étrenne ses 7 ans 1/2 ( les 2 autres , c'est 12 et 8 ) 

2 garçons ( les ainés de chaque famille ) 2 filles ... les petites dernières !

chez l'une , 1 garçon calme comme une mer d'huile et une fille qui est une vraie pile survoltée ( un garçon manqué ) tandis que chez l'autre c'est l'inverse ( un garçon ... remuant ( c'est peu de le dire )  et une fille qui est une vraie princesse ) .

... quand on les a, ça nous fait rester jeune ( bon le plus grand ne vient plus souvent ... à 15 ans, on ne va pas chez ses grands-parents sauf quand les parents ne sont pas là la nuit ) .

coup de vieux avec celui de 12 ans ... il y a 2 jours il nous a appelé avec SON téléphone portable ( c'était son anniversaire ) ... SON téléphone , Dieu que le temps passe vite ! 

bonne journée.

Il y a 3 heures, Danoketian a dit :

Penser à tout cela risque du coup à dissuader complètement de procréer. 

Il est vrai que si tous nos projets futurs étaient exclusivement façonnés et anticipés par tous nos ratages possibles et imaginables, en toute logique autant se tirer une balle dans la tête tout de suite !

On a de grande de chance, cette fois, de réussir  l’objectif du premier coup ! 

il y a 7 minutes, Enchantant a dit :

Il est vrai que si tous nos projets futurs étaient exclusivement façonnés et anticipés par tous nos ratages possibles et imaginables, en toute logique autant se tirer une balle dans la tête tout de suite !

On a de grande de chance, cette fois, de réussir  l’objectif du premier coup ! 

Ben j’en connais un qui c’est raté . Est resté en vie si l’on peut dire . 

C’est moche c’est pas une vie .

à l’instant, Sittelle a dit :

Ben j’en connais un qui c’est raté . Est resté en vie si l’on peut dire . 

C’est moche c’est pas une vie .

Il n'a pas eut d'enfants je suppose ?

Donc en toute logique au regard du sujet traité, il n'a pas échoué sur toute la ligne !

il y a 1 minute, Enchantant a dit :

Il n'a pas eut d'enfants je suppose ?

Donc en toute logique au regard du sujet traité, il n'a pas échoué sur toute la ligne !

Certe, mais niveau sujet actuel il a creusé le trou de la secu .  

En tant que  femme les  questions se posent de savoir si:

On est en état de procréer (stérilité/infertilité?) ou si on a atteint l'âge dangereux pour la normalité du foetus. (davantage de trisomie 21 aux alentours de la quarantaine.) 

Si on a la santé pour supporter les conséquences de  l'existence de l'enfant (allaitement, nuits de sommeil haché, surveillance constante du bébé et du jeune enfant, trajets divers et variés...)

 Si l'on a les moyens d'élever un enfant (travail, père qui travaille, économies ou héritage) car il faut l'habiller , le déplacer, le nourrir, le  décrotter (le budget couches est costaud.), payer pour son éducation.

 Il faudra: Envisager des gardes alternatives. (crèche, nounous, grands parents...), prévoir du temps, des visites médicales pour se remettre.

Revoir l'organisation générale de sa vie.

il y a 23 minutes, Enchantant a dit :

Il est vrai que si tous nos projets futurs étaient exclusivement façonnés et anticipés par tous nos ratages possibles et imaginables, en toute logique autant se tirer une balle dans la tête tout de suite !

On a de grande de chance, cette fois, de réussir  l’objectif du premier coup ! 

Certes mais il faut aussi envisager toutes les possibilités et s'organiser en conséquence, après tout, même les petits oiseaux construisent un nid avant de pondre leurs oeufs!

il y a une heure, pic et repic a dit :

re bonjour, 

4 pour nous ... mais le "score" s’arrêta là !

l'ainé vient d'avoir 15 ans et la petite dernière étrenne ses 7 ans 1/2 ( les 2 autres , c'est 12 et 8 ) 

2 garçons ( les ainés de chaque famille ) 2 filles ... les petites dernières !

chez l'une , 1 garçon calme comme une mer d'huile et une fille qui est une vraie pile survoltée ( un garçon manqué ) tandis que chez l'autre c'est l'inverse ( un garçon ... remuant ( c'est peu de le dire )  et une fille qui est une vraie princesse ) .

... quand on les a, ça nous fait rester jeune ( bon le plus grand ne vient plus souvent ... à 15 ans, on ne va pas chez ses grands-parents sauf quand les parents ne sont pas là la nuit ) .

coup de vieux avec celui de 12 ans ... il y a 2 jours il nous a appelé avec SON téléphone portable ( c'était son anniversaire ) ... SON téléphone , Dieu que le temps passe vite ! 

bonne journée.

Pour ce qui est du record  de fertilité dûment attesté  tu es bien loin de ce brave béninois  qui a eu 157 descendants.

il y a 8 minutes, querida13 a dit :

 

Revoir l'organisation générale de sa vie.

 

Voila la seule phrase reelement pertinante de votre tirade .

il y a 30 minutes, querida13 a dit :

Pour ce qui est du record  de fertilité dûment attesté  tu es bien loin de ce brave béninois  qui a eu 157 descendants.

bonjour, 

et combien de compagnes car j'ai "un peu" de mal à imaginer que cela soit issu d’une seule et unique femme !

même à 10 par tête de pipe ... cela en fait en paquet ( il devait être "riche" pour subvenir à toute cette grande famille !) .

en ce qui me concerne : 2 enfants ( garçon et fille ) ayant eux-mêmes 2 enfants ( garçon et fille ) ... nous somme dans la moyenne "haute" en France !

autour de moi, c'est un peu la norme ( sauf 1 ami qui a eu ... 4 garçons et pour la petite histoire nos épouses respectives étaient à la clinique en même temps mais , devant la déception d'avoir un 4ème garçon, sa femme passait plus de temps avec ma petite donzelle qu'avec son gamin et à Noël , vu la différence de comportement et d'éveil entre les 2 rejetons, elle a compris qu'elle faisait une grand erreur et s'est un peu plus investie pour son 4éme !) .

le taux par femme en France n'est même plus de 2 ( 1.6 en 2025 quand il était de 2.02 en 2010 ) .

2 c'est déjà pas mal de travail et soucis .

bonne journée .

Il y a 2 heures, Sittelle a dit :

Je deteste les AIs.

 

En effet. Quelle tristesse de se voir dresser une telle liste par une "machine". Comme si elle savait de quoi elle parle concernant le fait de donner la vie, devenir parents, l'amour ect. 

il y a 2 minutes, Kaliste a dit :

En effet. Quelle tristesse de se voir dresser une telle liste par une "machine". Comme si elle savait de quoi elle parle concernant le fait de donner la vie, devenir parents, l'amour ect. 

C’est dommage pour toutes les discutes en fait . 

Quel interet pour le forum ?

il y a 1 minute, Sittelle a dit :

C’est dommage pour toutes les discutes en fait . 

Quel interet pour le forum ?

Complètement d'accord mais là y'a en plus une certaine ironie je trouve 

il y a 2 minutes, Kaliste a dit :

Complètement d'accord mais là y'a en plus une certaine ironie je trouve 

Arff pas vus l’ironie .