Etudiants étrangers : Pourquoi ils rapportent plus à la France qu’ils ne lui coûtent

il y a 2 minutes, pluc89 a dit :

Comme pour toute réflexion de ce type, il faut penser à court terme, à moyen terme et à long terme. Que des étrangers d'où qu'ils viennent, d'Asie, d'Amérique, d’Afrique, d'Europe (de l'UE ou pas) ou d'Océanie, étudient en France, et du même coup parlent le français, le parleront toute leur vie, se font des relations en France, des amis, s'imprègnent de la Culture française, de l'Histoire française, ça ne peut qu'être profitable à la France, si ce n'est à court terme, ce sera à moyen et long terme.

L'avenir ne se pense pas au présent, voire au passé. L'avenir se pense au futur.

Certains l'apprennent le Français d'autres absolument pas. Il y a tout un tas de doctorant qui sont incapable de parler après 3 ans et qui partent ensuite sans jamais avoir à nouveau un contact avec la France. La vraie question, ce n'est pas si l'étudiant est étranger ou non, mais quelle place à l'étudiant dans la société Française. Vu le nombre de défenestration pendant le covid dont tout le monde se foutait, je dirais qu'elle n'est pas grande.

Il y a 2 heures, pluc89 a dit :

1 sur combien ? Une "arbre" qui cache la forêt ! L'art et la manière de faire d'une exception une généralité.

Aucune généralité là-dedans. Je m'interroge juste sur ce genre d'études avec souvent derrière des motivations idéologiques. Qui passent à la trappe des coûts indirects qui pourraient aller à l'encontre de ce qu'ils veulent démontrer.

L'étude a été faite par des économistes français une société d'analyse de données et de conseil, basée à Londres. Pour un "organisme public chargé des étudiants étrangers". 

Plusieurs centaines de milliers d'étudiants étrangers en France. Dont de très nombreux hébergés par exemple dans des logements étudiants avec les étudiants Français boursiers. 

Or en France on manque déjà cruellement de logement étudiants. Et bien entendu, ça coûte une fortune d'en construire. Ce n'est même pas pris en compte par l'étude. Ce n'est qu'un exemple de coût indirect non pris en compte.

il y a une heure, LAKLAS a dit :

Oui...en toute bonne logique si on ne travaille pas on a pas de revenus et donc ceux qui sont attribués viennent d'aides sociales et ont donc un coût ! Bien sûr il y a des petits boulots chez macDo par exemple pour améliorer ses revenus mais je ne pense pas que ça suffise pour compenser le coût des études à 100% !

A priori on parle de personnes qui sont plutôt issues des CSP+ dans l'ensemble. Dont les familles ont des ressources et qui envoient de l'argent qui va être dépensé en France. Pour résumer ce que dit l'article, ceci contribuerait à soutenir la demande intérieure, et donc le PIB.

Bon après, s'ils achètent des produits importés, ça soutient surtout l'économie asiatique...

il y a 58 minutes, garthriter a dit :

Plusieurs centaines de milliers d'étudiants étrangers en France. Dont de très nombreux hébergés par exemple dans des logements étudiants avec les étudiants Français boursiers. 

Les logements pour étudiants réservés aux étudiants français uniquement, c'est ça ? Et on fait comme aux Etats Unis il y a encore quelques décennies : interdit aux Noirs ? 

Liberté, Egalité, Fraternité tu rayes tout d'un coup, mais c'est pas grave tu trouveras autre chose n'est-ce pas ?? 

il y a 13 minutes, Totof44 a dit :

A priori on parle de personnes qui sont plutôt issues des CSP+ dans l'ensemble. Dont les familles ont des ressources et qui envoient de l'argent qui va être dépensé en France. Pour résumer ce que dit l'article, ceci contribuerait à soutenir la demande intérieure, et donc le PIB.

Bon après, s'ils achètent des produits importés, ça soutient surtout l'économie asiatique...

C'est vrai que je suis un peu largué en tout ce qui concerne les études, j'ai arrêté les miennes à 17 ans 

il y a 18 minutes, LAKLAS a dit :

C'est vrai que je suis un peu largué en tout ce qui concerne les études, j'ai arrêté les miennes à 17 ans 

Et comme tu en as 104, ça revoie à 1935 !

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Certains l'apprennent le Français d'autres absolument pas.

Le DELF se compose de 4 niveaux indépendants correspondants aux quatre niveaux du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues, le DALF de deux niveaux. Le DELF B2 et ou le DALF C1 / C2 vous permettent de candidater aux universités françaises (à condition d'avoir le niveau académique requis).

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Il y a tout un tas de doctorant qui sont incapable de parler après 3 ans

Et ils réussissent leurs examens  !

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Il y a tout un tas

Un main, on le sait, c'est 5. Une pléiade, on le sait, c'est 7. Une "chiée", on le sait c'est 11 (car, pour les rares qui ne sauraient pas, "On s'fait chier"), mais un tas, c'est combien ?

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

qui partent ensuite sans jamais avoir à nouveau un contact avec la France.

et qui n'ont pas de diplôme. Donc cela peuvent bien repartir glander ailleurs.

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

La vraie question, ce n'est pas si l'étudiant est étranger ou non, mais quelle place à l'étudiant dans la société Française.

En effet, ce point mérite un sujet à lui seul. Évitons  le HS.

Il y a 2 heures, garthriter a dit :

L'étude a été faite par des économistes français une société d'analyse de données et de conseil, basée à Londres. Pour un "organisme public chargé des étudiants étrangers". 

Vous pouvez nous fournir le lien SVP. C'est toujours intéressant de TOUT lire !

il y a 15 minutes, pluc89 a dit :

Le DELF se compose de 4 niveaux indépendants correspondants aux quatre niveaux du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues, le DALF de deux niveaux. Le DELF B2 et ou le DALF C1 / C2 vous permettent de candidater aux universités françaises (à condition d'avoir le niveau académique requis).

 

 

Et ils réussissent leurs examens  !

Un main, on le sait, c'est 5. Une pléiade, on le sait, c'est 7. Une "chiée", on le sait c'est 11 (car, pour les rares qui ne sauraient pas, "On s'fait chier"), mais un tas, c'est combien ?

et qui n'ont pas de diplôme. Donc cela peuvent bien repartir glander ailleurs.

En effet, ce point mérite un sujet à lui seul. Évitons  le HS.

Tu peux être doctorant ou post-doc sans parler un mot de français, là tu me parles pour recruter du personnel fixe. Un doctorant n'a pas d'examen, mais tu ne sembles pas savoir ce qu'est un doctorant. Dans ma petite équipe quand j'y étais, trois incapables de parler français sur 6 en thèse. En post-doc, sur 6 dans le bureau, 3 qui ne parlaient pas le français. Je suis à l'heure actuel en Israël, sur tous les doctorants et post-doc de mon équipe, un seul a fait l’effort de parler Hébreu. En outre, il y a maintenant des masters entièrement en anglais comme la cryptographie à Limoge par exemple. Donc aucune nécessité d'apprendre le Français. Tu ne sembles pas bien connaitre le milieu académique. Mais on peut continuer à se branler trois heures sur la nationalité d'un étudiant, je crois que le problème dans le supérieur est à l'heure actuelle bien ailleurs.

Les étudiants étrangers rapportent à la France non pas pour des raisons mesquinement comptables, ce qui est une approche plutôt ridicule, mais pour des raisons d'avenir :

• Ceux qui vont rester, c'est de l'élite dont le pays d'origine a élevé l'individus jusqu'à son âge adulte et c'est la France qui va en retirer les fruits.
• Ceux qui partent restent avec le souvenir de leurs études et son susceptibles de faire du business avec la France plus tard.

Il y a 4 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Certains l'apprennent le Français d'autres absolument pas. Il y a tout un tas de doctorant qui sont incapable de parler après 3 ans 

Doctorants en quoi ? en quelle langues les cours sont-ils enseignés ? 

Il y a 3 heures, Exo7 a dit :

Les logements pour étudiants réservés aux étudiants français uniquement, c'est ça ? Et on fait comme aux Etats Unis il y a encore quelques décennies : interdit aux Noirs ? 

Liberté, Egalité, Fraternité tu rayes tout d'un coup, mais c'est pas grave tu trouveras autre chose n'est-ce pas ?? 

Heu, il n'y a en France que 13% d'étudiants pouvant bénéficier de logements universitaires. Alors oui, on pourrait faire comme aux Etats Unis et en construire tellement plus. Ceci dit, considérant que ce sont les parents des étudiants Français, qui par leurs impôts financent les rares logements étudiants, effectivement, il est logique qu'ils soient attribués en priorité aux étudiants Français et figure toi que l'attribution ne tient pas compte de la couleur de l'étudiant. 

Liberté, égalité, fraternité, ne veut en aucun cas dire priorité aux étrangers ! 

Il y a 1 heure, Virtuose_en_carnage a dit :

Tu peux être doctorant ou post-doc sans parler un mot de français, là tu me parles pour recruter du personnel fixe. Un doctorant n'a pas d'examen, mais tu ne sembles pas savoir ce qu'est un doctorant. Dans ma petite équipe quand j'y étais, trois incapables de parler français sur 6 en thèse. En post-doc, sur 6 dans le bureau, 3 qui ne parlaient pas le français. Je suis à l'heure actuel en Israël, sur tous les doctorants et post-doc de mon équipe, un seul a fait l’effort de parler Hébreu. En outre, il y a maintenant des masters entièrement en anglais comme la cryptographie à Limoge par exemple. Donc aucune nécessité d'apprendre le Français. Tu ne sembles pas bien connaitre le milieu académique. Mais on peut continuer à se branler trois heures sur la nationalité d'un étudiant, je crois que le problème dans le supérieur est à l'heure actuelle bien ailleurs.

 

les étudiants qui font St Cyr ( 9 Marocains admis cette année )  , les zarzems' , Centrale ( 3 Marocains admis cette année )  ,  les écoles de commerce ou d'ingénieurs , l'école vétérinaire de maison Alfort ..........étudient en quelle langue ? 

il y a 20 minutes, Ximène a dit :

les étudiants qui font St Cyr ( 9 Marocains admis cette année )  , les zarzems' , Centrale ( 3 Marocains admis cette année )  ,  les écoles de commerce ou d'ingénieurs , l'école vétérinaire de maison Alfort ..........étudient en quelle langue ?

En français probablement majoritairement. Mais on se tourne de plus en plus vers l'anglais pour attirer les étrangers justement. En ce qui concerne les doctorants et les post-doctorants combien de ces étudiants parlent le français? Combien de tous ces étudiants restent en France après etc etc. Je veux dire, l'impact n'est pas évident à déterminer. Dire c'est bien ou c'est pas bien n'est pas mon propos. 

il y a 36 minutes, soisig a dit :

Doctorants en quoi ? en quelle langues les cours sont-ils enseignés ? 

 

En science, sans doute le plus gros contingent car c'est là où il y a le plus d'argent. Un doctorant ne suit pas de cours en général.

il y a 3 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

En science, sans doute le plus gros contingent car c'est là où il y a le plus d'argent. Un doctorant ne suit pas de cours en général.

explique moi ce que fait un étudiant étranger, s'il ne suit pas de cours. Et quel que soit l'endroit où il est, en science ... dans quelle langue parlent les personnes qui l'entourent pendant 3 ans ? 

il y a 1 minute, soisig a dit :

explique moi ce que fait un étudiant étranger, s'il ne suit pas de cours. Et quel que soit l'endroit où il est, en science ... dans quelle langue parlent les personnes qui l'entourent pendant 3 ans ? 

en anglais....

il y a 1 minute, guernica a dit :

en anglais....

En fait Guernica, ce qui me surprend c'est que mon fils a poursuivi ses études à l'étranger. En Angleterre, les cours étaient assurés en Anglais, et en dehors des cours, il ne restait pas cloitré chez lui, il allait notamment faire des courses ... il était donc obligé de parler un minimum la langue. En Hongrie pareil, les cours étaient assurés en Anglais, mais en dehors des cours, il a bien fallu qu'il se débrouille avec la langue nationale, et il n'est resté que une année dans chaque pays. Alors imagine "un doctorant de 3 ans" ... 

il y a 2 minutes, soisig a dit :

En fait Guernica, ce qui me surprend c'est que mon fils a poursuivi ses études à l'étranger. En Angleterre, les cours étaient assurés en Anglais, et en dehors des cours, il ne restait pas cloitré chez lui, il allait notamment faire des courses ... il était donc obligé de parler un minimum la langue. En Hongrie pareil, les cours étaient assurés en Anglais, mais en dehors des cours, il a bien fallu qu'il se débrouille avec la langue nationale, et il n'est resté que une année dans chaque pays. Alors imagine "un doctorant de 3 ans" ... 

pareil pour mon fils en Ecosse et au Mexique !

il y a 4 minutes, soisig a dit :

En fait Guernica, ce qui me surprend c'est que mon fils a poursuivi ses études à l'étranger. En Angleterre, les cours étaient assurés en Anglais, et en dehors des cours, il ne restait pas cloitré chez lui, il allait notamment faire des courses ... il était donc obligé de parler un minimum la langue. En Hongrie pareil, les cours étaient assurés en Anglais, mais en dehors des cours, il a bien fallu qu'il se débrouille avec la langue nationale, et il n'est resté que une année dans chaque pays. Alors imagine "un doctorant de 3 ans" ... 

on apprend facilement une langue quand on vit dans un pays, du coup on arrive à se débrouiller rapide. J'ai vécu un an en Espagne, à la fin je comprenais tout et j'arrivais à parler assez bien à part mon accent parisien de merde

il y a 15 minutes, soisig a dit :

explique moi ce que fait un étudiant étranger, s'il ne suit pas de cours. Et quel que soit l'endroit où il est, en science ... dans quelle langue parlent les personnes qui l'entourent pendant 3 ans ? 

Tu es assez consternante en fait. Tu ne sais même pas ce qu'est un doctorat. Les personnes qui l'entourent parlent en anglais.

il y a 10 minutes, guernica a dit :

on apprend facilement une langue quand on vit dans un pays, du coup on arrive à se débrouiller rapide. J'ai vécu un an en Espagne, à la fin je comprenais tout et j'arrivais à parler assez bien à part mon accent parisien de merde

Tout à fait. Donc un doctorant depuis trois années en France, qui ne parle pas un mot de Français, pour moi, c'est du mensonge. 

il y a 11 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Tu es assez consternante en fait. Tu ne sais même pas ce qu'est un doctorat. Les personnes qui l'entourent parlent en anglais.

ah bon ? même son proprio, son boulanger, son coiffeur ??? 

à l’instant, soisig a dit :

Tout à fait. Donc un doctorant depuis trois années en France, qui ne parle pas un mot de Français, pour moi, c'est du mensonge. 

bah en général ils parlent français correctement.... Mais ne suivent leurs études en français, pas besoin pour certaines spécialités