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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Effectivement, nous ressentons d'abord la joie ce qui nous permet ensuite de définir la joie sans quoi il s'agirait de mettre des mots sur du vide.

L'être ne définit rien par lui-même. Ce sont les autres qui le lui apprennent, ultimement l'Autre (avec un grand A) 

Je vous dis là une vérité primaire. Sans éducation, sans amour, un enfant grandit comme une bête, et moins qu'elle, parce que dépourvu d'instinct. 

Dès le début de vos interventions, je vous ai fait savoir que vous avez tout faux. 

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)

Allez, j'en remets une couche : quand vous serez prêt à faire de la philosophie avec les pieds sur terre, je vous expliquerai le sens de ce que l'on appelle "nirvana".* Je vous apprendrai ce que signifie le monisme. Vous réalisez alors que vos idées font en réalité la promotion du vide. Ou du non-être, si vous voulez, paradoxalement. 

Vous avez bien lu. Vous êtes ce que l'on nomme en sanscrit un nirveshesha. Comme quoi la langue ne se résume pas qu'au français et à ses rachitiques concepts. Vous croyez, au fond que tout se résume à l'idée de l'Unité absolue. Vous niez la diversité. Alors gloser sur les attributs de l'être comme vous le faites n'est que de la poudre aux yeux. 

* Ce n'est pas pour demain. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 7 heures, Maroudiji a dit :

Allez, j'en remets une couche : quand vous serez prêt à faire de la philosophie avec les pieds sur terre, je vous expliquerai le sens de ce que l'on appelle "nirvana".* Je vous apprendrai ce que signifie le monisme. Vous réalisez alors que vos idées font en réalité la promotion du vide. Ou du non-être, si vous voulez, paradoxalement. 

Vous avez bien lu. Vous êtes ce que l'on nomme en sanscrit un nirveshesha. Comme quoi la langue ne se résume pas qu'au français et à ses rachitiques concepts. Vous croyez, au fond que tout se résume à l'idée de l'Unité absolue. Vous niez la diversité. Alors gloser sur les attributs de l'être comme vous le faites n'est que de la poudre aux yeux. 

* Ce n'est pas pour demain. 

Comme quoi même un @Maroudiji a besoin d'un cadre de référence pour penser le réel.

A titre personnel, le mien est évidemment tiré des sciences et je raisonne au travers de ce que nos meilleures théories nous ont appris, ce qu'on nomme connaissance.

Et la plus grande différence entre @Maroudiji@JOSEPH DELETRE et moi , c'est la vision de l'absolutisme, que mes "semblables" nommeront dogmatisme 

Au lieu de reconnaître qu'il y a un degré d'incertitude sur nos connaissances et la place pour des révolutions de paradigmes qu'ils soient copernicien, galiléen, newtonien, Einsteinien ou liée à la mécanique quantique, vous avez un cadre fixe, figé, absolu  votre grande vérité 

Et ce n'est pas du relativisme....dans un cadre donné, certaines assertions sont vraies ou fausses...

Mais c'est une prise en compte de cette réalité que la vérité absolue n'existe pas, comme ce vieux rêve d'Hilbert que Gödel a battu en brèche.

Et cela signifie que je suis absolument plus certain de petites vérités dans un cadre donné lorsqu'elles sont demontrées et à la fois plus humble dans la limite de nos connaissances loin d'être innées comme chez l'un ou tirée d'un bouquin de référence d'il y a quelques millénaires chee l'autre.

Voila pourquoi l'un comme l'autre serez toujours à l'arrêt 

La méthode de la science expérimentale  n'est pas de poser une vérité absolue mais de challenger les vérités partielles et trouver des paradigmes plus efficaces 

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 088 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a une heure, zenalpha a dit :

(...)

Et cela signifie que je suis absolument plus certain de petites vérités dans un cadre donné lorsqu'elles sont demontrées et à la fois plus humble dans la limite de nos connaissances loin d'être innées comme chez l'un ou tirée d'un bouquin de référence d'il y a quelques millénaires chee l'autre.

Voila pourquoi l'un comme l'autre serez toujours à l'arrêt 

La méthode de la science expérimentale  n'est pas de poser une vérité absolue mais de challenger les vérités partielles et trouver des paradigmes plus efficaces 

Décidément, je lis ce matin des réflexions qui m'interpellent au plus haut point. Tu traduis en quelques mots ce que je ressens au plus profond de mois depuis quelques années. J'ai fait le choix de consacrer désormais davantage de temps à ce que l'on peut appeler la recherche fondamentale, dans le domaine pour lequel j'avais été préparé en tant qu'étudiant mais que j'avais abandonné plus tard, à mon grand désespoir, pour raison matérielle.

Parce que, comme toi, j'ai acquis la conviction qu'il vaut mieux acquérir la connaissance de "petites vérités" contextuelles et pratiques, fondées sur une méthodologie rigoureuse, si nous voulons savoir au moins une fois dans notre vie, le temps d'un flirt prolongé, ce que peux signifier "toucher du doigt" quelques vérités somme toute fort modestes. Et je ne conçois pas, en ce qui me concerne, de pouvoir prétendre philosopher en faisant abstration de ces "petites vérités", éprouvant un vif besoin d'avoir au moins un pied sur quelque chose de concret et consistant.

Modifié par tison2feu
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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 16 heures, zenalpha a dit :

Je vous l'ai dit Joseph, non seulement "la vérité en soi" n'existe pas car on ne parle de vérité que concernant une assertion....

Ainsi, la vérité d'une banane... n'existe pas... mais on peut prétendre répondre à la question "est ce que ce fruit est une banane ?" à condition de s'entendre sur les caractéristiques à checker pour l'appellation banane et sur la pertinence du mode opératoire pour le vérifier 

Et par exemple, si je vous envoie une banane par la poste dans un carton et que vous receviez le carton dans 6 mois, votre "vérité de la banane" va se transformer en réalité de petits asticots sur un truc marron sucré pourri...faisant de la vérité de la banane en soi une énorme sottise.

Mais qui plus est, c'est la notion même de vérité qui perd tout sens en terme mathématique et logique comme l'a ... démontré... Grothendieck et comme Alain Connes le reprend dans son article intitulé "un topo sur les topos"

Vos conceptions innées de votre ressenti à connaissance immédiate est une vaste duperie de vos sens sur votre intellect.

Ne me croyez pas ce n'est pas bien grave.

Mais puisque peu de personnes avec une petite sensibilité scientifique vous répond, pourquoi devrai je vous illusionner ?

La vérité ? Oui ça existe dans un cadre limité

L'absolu de la vérité ? C'est un mirage et c'est logiquement...demontré.

Je ne parle même pas des  limites de la prouvabilité encore plus importantes 

S'il n'y a pas de vérité en soi, alors la vérité devient contextuelle, relative. Vous ne pouvez donc plus soutenir l'affirmation par laquelle il n'y aurait pas de vérité en vertu de votre propre raisonnement. En outre, si la vérité dépend d'une assertion, alors l'assertion n'a plus de vérité ou elle devient elle-même la vérité. Dans les deux cas, vous aboutissez à une aporie rendant impossible votre proposition de départ. Vous confondez vérité et interprétation subjective ainsi que vérité et hypothèse.

Par ailleurs, vous décrétez encore sans démontrer. Je vous ai posé une question simple que vous esquivez. Comment définir la joie sans la connaître en premier lieu de manière innée? Quels mots choisiriez-vous alors? De même, pourriez-vous identifier une chose qui ne soit définie par l'être? 

La raison ne relève pas de la croyance mais de la démonstration déductive. Nous n'avons ni l'un, ni l'autre à croire mais à comprendre par la pensée.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

S'il n'y a pas de vérité en soi, alors la vérité devient contextuelle, relative. Vous ne pouvez donc plus soutenir l'affirmation par laquelle il n'y aurait pas de vérité en vertu de votre propre raisonnement. En outre, si la vérité dépend d'une assertion, alors l'assertion n'a plus de vérité ou elle devient elle-même la vérité. Dans les deux cas, vous aboutissez à une aporie rendant impossible votre proposition de départ. Vous confondez vérité et interprétation subjective ainsi que vérité et hypothèse.

Par ailleurs, vous décrétez encore sans démontrer. Je vous ai posé une question simple que vous esquivez. Comment définir la joie sans la connaître en premier lieu de manière innée? Quels mots choisiriez-vous alors? De même, pourriez-vous identifier une chose qui ne soit définie par l'être? 

La raison ne relève pas de la croyance mais de la démonstration déductive. Nous n'avons ni l'un, ni l'autre à croire mais à comprendre par la pensée.

 

Non...

Je ré-explique....

Il existe des vérités qui ne changent pas de valeur de vérité donc qui sont vraies.

Mais...

Systématiquement, ces vérités ne prennent cette valeur de vérité que .. dans un cadre donné...limité

Par exemple, il est vrai que la somme des angles d'un triangle fait 180 degrés 

Mais, cela n'est vrai QUE en géométrie euclidienne et non dans les autres géométries.

Si fait que, contrairement a notre expérience sensible sur terre et contrairement à l'intellectualisation conceptuelle d'Euclide dans sa géométrie et si l'univers a une faible courbure comme nous le pensons, alors

Il est faux que la somme des angles du centre de gravité de 3 galaxies prises au hasard dans l'univers font 180 degrés 

Imaginons à présent qu'un Kant Einsteinien démontre que nous soyons tous les deux des prisonniers de la matrice de matrix et que cette réalité extérieure n'existe pas mais est une reconstitution d'un signal électrique dans notre cerveau

Alors,

Il sera faux que des galaxies existent.

Une vérité n'est toujours une vérité que dans un cadre conceptuel donne

Vous pensez dire des vérités absolues.

Et en réalité combien il y en a des contre vérités dans vos discours...

Si la science ne propose que des vérités dans un cade limité, elle definie aussi parfaitement les erreurs commises dans ce cadre.

Quand je me suis aperçu de votre totale méconnaissance de la relativité générale, c'est alors foutu...

Puisqu'au lieu de comprendre ce cadre limité de pensée mais...qui correspond a la réalité des observations et expériences macroscopiques 

Donc au lieu de comprendre quelques vérités dans le cadre de cette théorie 

Vous la kidnappez pour lui faire dire des contre vérités au nom de votre vérité absolue.

Il y a un travail sur ces choses...

Et non seulement la connaissance n'est pas innée...mais en plus la compréhension n'est pas garantie 

Une vérité certaine, c'est que, dans le cadre de la théorie de la relativité générale, vous n'avez rien compris de cette théorie 

Et je l'affirme avec certitude 

On est loin du relativisme.

Modifié par zenalpha
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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 25 minutes, zenalpha a dit :

Non...

Je ré-explique....

Il existe des vérités qui ne changent pas de valeur de vérité donc qui sont vraies.

Mais...

Systématiquement, ces vérités ne prennent cette valeur de vérité que .. dans un cadre donné...limité

Par exemple, il est vrai que la somme des angles d'un triangle fait 180 degrés 

Mais, cela n'est vrai QUE en géométrie euclidienne et non dans les autres géométries.

Si fait que, contrairement a notre expérience sensible sur terre et contrairement à l'intellectualisation conceptuelle d'Euclide dans sa géométrie et si l'univers a une faible courbure comme nous le pensons, alors

Il est faux que la somme des angles du centre de gravité de 3 galaxies prises au hasard dans l'univers font 180 degrés 

Imaginons à présent qu'un Kant Einsteinien démontre que nous soyons tous les deux des prisonniers de la matrice de matrix et que cette réalité extérieure n'existe pas mais est une reconstitution d'un signal électrique dans notre cerveau

Alors,

Il sera faux que des galaxies existent.

Une vérité n'est toujours une vérité que dans un cadre conceptuel donne

Vous pensez dire des vérités absolues.

Et en réalité combien il y en a des contre vérités dans vos discours...

Si la science ne propose que des vérités dans un cade limité, elle definie aussi parfaitement les erreurs commises dans ce cadre.

Quand je me suis aperçu de votre totale méconnaissance de la relativité générale, c'est alors foutu...

Puisqu'au lieu de comprendre ce cadre limité de pensée mais...qui correspond a la réalité des observations et expériences macroscopiques 

Donc au lieu de comprendre quelques vérités dans le cadre de cette théorie 

Vous la kidnappez pour lui faire dire des contre vérités au nom de votre vérité absolue.

Il y a un travail sur ces choses...

Et non seulement la connaissance n'est pas innée...mais en plus la compréhension n'est pas garantie 

Une vérité certaine, c'est que, dans le cadre de la théorie de la relativité générale, vous n'avez rien compris de cette théorie 

Et je l'affirme avec certitude 

On est loin du relativisme.

Vous confondez encore vérité et véracité. Le vrai n'est pas la vérité mais ce qui est vérifié. Est-il vrai que les objets lourds tombent plus vite que les objets légers selon l'observation? La réponse est oui. Est-ce la vérité? La réponse est non car tous les objets tombent à la même vitesse en vertu de la loi sur la chute des corps qui n'est accessible que par pensée déductive mettant en évidence un paradoxe par rapport aux observations.

Contextualiser la vérité revient à détruire la vérité par relativisme car il y aurait autant de vérités que de contextes. Nous ne pourrions alors établir aucune loi gouvernant le réel et encore moins proposer de définitions conceptuelles.

Je démontre, en effet, que toute chose est définie par l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif: être. Je vous repose une nouvelle fois la question que vous esquivez. Pouvez-vous identifier une chose qui ne soit définie par l'être? Vous ne pouvez le faire et refusez de l'admettre car cela fait de l'être un concept absolu définissant toute chose à commencer par l'être humain.

S'agissant de la relativité générale, vous ne faîtes (encore une fois) qu'abonder dans mon sens puisque vous admettez que ses résultats sont conformes aux observations. Par conséquent, elle décrit parfaitement la gravitation mais ne donne pas la raison de la gravitation. Elle n'établit qu'une relation de corrélation (et non une relation de causalité) entre courbure et matière dense. Mais dit-elle la raison de la gravitation? Absolument pas, que cela vous plaise ou non. A ce jour, nous ne savons pas pourquoi les premières galaxies noires se sont formées en l'absence de matière dense puisque celle-ci n'était pas encore constituée. De même, dit-elle ce qu'est le temps? Absolument pas, que cela vous plaise ou non, elle ne traite que de relativité des durées. Vos remarques à mon égard ne font donc que caractériser votre ignorance.

S'agissant de la connaissance, vous refusez aussi de répondre à la question simple suivante: pourriez-vous définir la joie sans cette capacité innée à connaître la joie par le ressenti. Quels mots choisiriez-vous alors ? S'agirait-il de choisir des mots de manière aléatoire dans le dictionnaire?

Enfin, si la vérité est contextuelle comme vous l'avancez, alors vous ne pouvez plus rien tenir comme relevant de la vérité sans aboutir à une aporie puisque tous vos raisonnements seraient limités à votre petit contexte particulier. Votre dernière remarque est donc caduque par définition. Vous êtes donc votre propre détracteur logique sans vous en rendre compte.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 18 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Vous confondez encore vérité et véracité. Le vrai n'est pas la vérité mais ce qui est vérifié. Est-il vrai que les objets lourds tombent plus vite que les objets légers selon l'observation? La réponse est oui. Est-ce la vérité? La réponse est non car tous les objets tombent à la même vitesse en vertu de la loi sur la chute des corps qui n'est accessible que par pensée déductive mettant en évidence un paradoxe par rapport aux observations.

Contextualiser la vérité revient à détruire la vérité par relativisme car il y aurait autant de vérités que de contextes. Nous ne pourrions alors établir aucune loi gouvernant le réel et encore moins proposer de définitions conceptuelles.

Je démontre, en effet, que toute chose est définie par l'être en cela que toute chose est sujet du verbe substantif: être. Je vous repose une nouvelle fois la question que vous esquivez. Pouvez-vous identifier une chose qui ne soit définie par l'être? Vous ne pouvez le faire et refusez de l'admettre car cela fait de l'être un concept absolu définissant toute chose à commencer par l'être humain.

S'agissant de la relativité générale, vous ne faîtes (encore une fois) qu'abonder dans mon sens puisque vous admettez que ses résultats sont conformes aux observations. Par conséquent, elle décrit parfaitement la gravitation mais ne donne pas la raison de la gravitation. Elle n'établit qu'une relation de corrélation (et non une relation de causalité) entre courbure et matière dense. Mais dit-elle la raison de la gravitation? Absolument pas, que cela vous plaise ou non. A ce jour, nous ne savons pas pourquoi les premières galaxies noires se sont formées en l'absence de matière dense puisque celle-ci n'était pas encore constituée. De même, dit-elle ce qu'est le temps? Absolument pas, que cela vous plaise ou non, elle ne traite que de relativité des durées. Vos remarques à mon égard ne font donc que caractériser votre ignorance.

S'agissant de la connaissance, vous refusez aussi de répondre à la question simple suivante: pourriez-vous définir la joie sans cette capacité innée à connaître la joie par le ressenti. Quels mots choisiriez-vous alors ? S'agirait-il de choisir des mots de manière aléatoire dans le dictionnaire?

Enfin, si la vérité est contextuelle comme vous l'avancez, alors vous ne pouvez plus rien tenir comme relevant de la vérité sans aboutir à une aporie puisque tous vos raisonnements seraient limités à votre petit contexte particulier. Votre dernière remarque est donc caduque par définition. Vous êtes donc votre propre détracteur logique sans vous en rendre compte.

 

Novlangue vérité / véracité 

Je ne saurai discourir sur base de vos définitions personnelles...fausses...

Est il vrai que les objets lourds tombent plus vite que les objets légers ?

Oui sur Terre, non sur la lune

Cette situation vraie que je décris, c'est par la véracité de mon discours qu'elle se lit...

Vous avez du mal avec ces notions 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, zenalpha a dit :

Novlangue vérité / véracité 

Je ne saurai discourir sur base de vos définitions personnelles...fausses...

Est il vrai que les objets lourds tombent plus vite que les objets légers ?

Oui sur Terre, non sur la lune

Cette situation vraie que je décris, c'est par la véracité de mon discours qu'elle se lit...

Vous avez du mal avec ces notions 

Il est normal de dénigrer ce que l'on est incapable de comprendre dès lors qu'on se nie soi-même en l'absence de vérité propre.

La vérité d'une chose est ce qu'elle est. La véracité relève, quant à elle, de ce qui est vérifié d'un point de vue factuel.

L'homme est un être doué de conscience (vérité quel que soit le contexte). 

L'homme présente un corps qui varie selon les individus (véracité qui dépend du contexte).

Je note, enfin, que vous esquiviez toujours les questions posées s'agissant du caractère absolu de l'être ou de la capacité innée à connaître par la faculté de ressentir pour finir, encore, par décréter sans rien démontrer.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 44 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Il est normal de dénigrer ce que l'on est incapable de comprendre dès lors qu'on se nie soi-même en l'absence de vérité propre.

La vérité d'une chose est ce qu'elle est. La véracité relève, quant à elle, de ce qui est vérifié d'un point de vue factuel.

L'homme est un être doué de conscience (vérité quel que soit le contexte). 

L'homme présente un corps qui varie selon les individus (véracité qui dépend du contexte).

Je note, enfin, que vous esquiviez toujours les questions posées s'agissant du caractère absolu de l'être ou de la capacité innée à connaître par la faculté de ressentir pour finir, encore, par décréter sans rien démontrer.

Oui, la vérité est ce qu'elle est, à savoir la vérité...sinon, si elle n'était pas ce qu'elle est, à savoir la vérité, on l'appellerait l'indécidabilité l'erreur ou le mensonge....

Vous parlez souvent en plaçant des mots au hasard de votre fantaisie....parfois ça débouche sur des sacrés lapalissades...

Et non la définition de la véracité n'est pas d'être ce qu'on appelle la confirmation expérimentale, donc la "vérification factuelle" de la théorie ou de la prédiction d'une théorie.

Mais peut-être avez vous encore une novlangue pour le terme vérification...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Je note, enfin, que vous esquiviez toujours les questions posées s'agissant du caractère absolu de l'être ou de la capacité innée à connaître par la faculté de ressentir pour finir, encore, par décréter sans rien démontrer.

 

En fait, ce point est le b.a ba de l'épistémologie à savoir se rendre compte de la grande fragilité des sens dans le processus de connaissance et à l'inverse de cette connaissance innée qui vous aveugle, se rendre compte de la grande limitation et parfois de l'illusion créée par les sens...

Vous savez...l'épistémologie...cette réflexion pour comprendre le processus de l'appropriation des connaissances...

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Vous liez donc la vérité à l'être. C'est loin d'être une lapalissade car si la vérité d'une chose est ce qu'elle est, alors l'être relève de l'absolu. 

Quant à la véracité, ce que vous avancez est inexacte. Étymologiquement, le terme véracité vient du latin verax ou varacis qui signifie: ce qui dit le vrai. Or, le vrai est ce qui est vérifié.

Là encore, vous ne faîtes que reprocher vos propres tares car vous êtes, en effet, l'auteur d'une novlangue puisque vous dénaturez le terme véracité de sa définition première pour le faire évoluer à votre guise en vertu du relativisme avec lequel vous traitez toute question.

 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, zenalpha a dit :

En fait, ce point est le b.a ba de l'épistémologie à savoir se rendre compte de la grande fragilité des sens dans le processus de connaissance et à l'inverse de cette connaissance innée qui vous aveugle, se rendre compte de la grande limitation et parfois de l'illusion créée par les sens...

Vous savez...l'épistémologie...cette réflexion pour comprendre le processus de l'appropriation des connaissances...

Là encore, vous usez de termes sur un ton docte dont vous ignorez la signification pour esquiver les questions posées.

L'épistémologie a pour objet la compréhension des mécanismes au sens large par lesquels les théories scientifiques voient le jour ce qui prend en compte la pensée de l'auteur, son oeuvre, sa vie, son environnement, l'époque, etc. C'est donc une étude du savoir.

Vous usez du terme ''connaissances'' au pluriel pour désigner le savoir qui requiert un apprentissage car nous ne naissons pas avec toutes les théories en mémoire. 

Tandis que je vous parle de capacité cognitive innée en vertu de laquelle nous connaissons immédiatement la joie sans qu'il ne soit nécessaire de la penser mais simplement par notre faculté de ressentir.

J'ajoute que sans être et sans capacité de percevoir le monde, il n'y aurait ni science, ni épistémologie pour la comprendre.

 

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

car nous ne naissons pas avec toutes les théories en mémoire. 

Nous naissons sans aucune théorie en nous. 

Et s'il y a mémoire, ce n'est pas de théories. Si... Alors mémoire de quoi ? 

Dure. Dure de se dépêtrer des croyances concoctées par ses ancêtres à l'horizon à peine plus loin que le bout de leur nez. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 58 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Là encore, vous usez de termes sur un ton docte dont vous ignorez la signification pour esquiver les questions posées.

L'épistémologie a pour objet la compréhension des mécanismes au sens large par lesquels les théories scientifiques voient le jour ce qui prend en compte la pensée de l'auteur, son oeuvre, sa vie, son environnement, l'époque, etc. C'est donc une étude du savoir.

Vous usez du terme ''connaissances'' au pluriel pour désigner le savoir qui requiert un apprentissage car nous ne naissons pas avec toutes les théories en mémoire. 

Tandis que je vous parle de capacité cognitive innée en vertu de laquelle nous connaissons immédiatement la joie sans qu'il ne soit nécessaire de la penser mais simplement par notre faculté de ressentir.

J'ajoute que sans être et sans capacité de percevoir le monde, il n'y aurait ni science, ni épistémologie pour la comprendre.

 

Vous gagneriez à plus de précision dans le langage 

L'épistémologie est à distinguer de l'histoire des sciences, de la philosophie des sciences, de l'épistémologie historique même si tout cela est en rapport 

C'est votre manière de faire ces ponts énormes sur des notions en lien relatif...

Elle concerne la description et l'examen critique des procédés théoriques et pratiques sur lesquels se fondent les sciences 

Elle s'intéresse aux modes de connaissance de l'investigation à l'expérimentation des savoirs produits par la science et permettant a une connaissance d'avoir ou pas un statut dit scientifique et de produire un savoir valide...

Principes ontologiques, gnoseologiques (les manières de connaître), empiriques d'expérimentation...

Par extension, l'épistémologie concerne la théorie de la connaissance notamment dans la tradition anglo saxonne en s'intéressant là aussi a situer la science dans une expérience du savoir qui la déborde

La connaissance n'est donc pas innée au sortir d'une salle de bain...mais une théorie de la connaissance existe et constitue une branche entière de la philosophie au sein de la philosophie des sciences...

Votre 'connaissance de la joie' n'est pas une connaissance...vous confondez encore prendre connaissance et avoir connaissance qu'on désigne par la connaissance...

Il existe des stimuli, des sens, des émotions....vous les ressentez mais tout celà ne vous procure qu'une expérience sensible et certainement pas la connaissance ni aucune vérité .... en soi...

Vous éprouvez par exemple l'expérience de la couleur verte sans connaître si cela correspond à la longueur d'onde du vert ou la supperposition des longueurs d'onde jaunes et bleu.

Vous n'experimentez ni la matière noire, ni l'energie noire, ni le big bang, vous n'avez aucune perception du champs de higgs et n'en avez...aucune connaissance...au travers de vos sens.

Vos sens, limité et trompeurs, a partir de stimuli, provoquent une information par votre système nerveux central qui est traité par votre cerveau 

Vous n'avez même pas connaissance ni du problème ni de la douleur quand un acte reflexe survient

La majeure partie de ces informations sont traités par des processus cognitifs inconscients dont vous n'aurez jamais... connaissance

Et les émotions n'ont pas toujours voire rarement rapport à une connaissance 

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

L'épistémologie a pour objet la compréhension des mécanismes au sens large par lesquels les théories scientifiques voient le jour ce qui prend en compte la pensée de l'auteur, son oeuvre, sa vie, son environnement, l'époque, etc. C'est donc une étude du savoir.

Ce qu'il ne faut pas lire ! Une étude du savoir, qu'il écrit, notre Joseph Delêtre

Mais de quel savoir ? Celui qui part de la Bible ? De quel auteur ? Pourtant on lui a bien demandé de nous donner ses sources. 

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

car si la vérité d'une chose est ce qu'elle est, alors l'être relève de l'absolu. 

La vérité d'une chose est une convention, il n'y a pas de vérité absolue. 

Cette convention peut être juste ou fausse. Mais même juste, elle n'est pas absolue. 

Tu comprends ? Il n'y a pas un Dieu mais une quantité illimitée. L'être de Dieu est multiple et insaisissable. 

Pourquoi fais-tu la grimace ? Le monisme est la plupart du temps une errance de l'esprit. Il est souvent pris comme une arme de conquête. Il n'est jamais anodin. L'histoire devrait te l'apprendre si tu cherches vraiment à comprendre l'être, l'être avec un petit e et l'Être avec un grand E. 

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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
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il y a 51 minutes, zenalpha a dit :

 

Votre 'connaissance de la joie' n'est pas une connaissance...vous confondez encore prendre connaissance et avoir connaissance qu'on désigne par la connaissance...

Il existe des stimuli, des sens, des émotions....vous les ressentez mais tout celà ne vous procure qu'une expérience sensible et certainement pas la connaissance ni aucune vérité .... en soi...

 

 

Nous avons ecrit là le condensé de la philosophie française actuelle . Le sentiment n’est pas source de connaissance. En écrivant cela l’auteur détruit ou tente de détruire toute connaissance liée à la perception interne. Il détruit les civilisations humaines primitives, il avilit l’humanité. Cela dit il n’est pas responsable : c’est un asservi qui répète comme un perroquet l’idéologie actuelle dominante. 
La  destruction du sentiment comme source de connaissance fait partie de la guerre à mort initiée par le scientisme français contre l’esprit. L’athéisme francais prend place dans cette guerre à mort: détruire l’Esprit. En refusant toute connaissance issue du sentiment l’asservi scientiste ne reconnaît l’existence qu’à tout ce qui est issu de la raison conceptuelle. Il nie l’importance du rapport humain. Le rapport humain est pour lui un avilissement. Il laisse mourir son voisin parce qu’il ne perçoit même plus que son voisin existe. Il ne perçoit pas que son voisin existe en raison de l’avilissement dans lequel il tient le sentiment. Là est la source de la déprime française : la honte dans laquelle tiennent les asservis tous ceux qui s’appuient sur le sentiment. Comme l’expérience de l’Esprit ne peut être faite que dans le rapport à l’autre, que l’autre soit vivant ou mort, alors ces asservis restent aveugles à l’Esprit.

Il faudra un jour que l’on comprenne comment l’idéologie française dominante en est arrivée là. En attendant l’asservi  répète comme un automate l’idéologie dominante. En le lisant nous prenons ainsi connaissance de la parole de ses maîtres, ce qui une source d’information non négligeable.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 942 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 2 heures, Annalevine a dit :

Nous avons ecrit là le condensé de la philosophie française actuelle . Le sentiment n’est pas source de connaissance. En écrivant cela l’auteur détruit ou tente de détruire toute connaissance liée à la perception interne. Il détruit les civilisations humaines primitives, il avilit l’humanité. Cela dit il n’est pas responsable : c’est un asservi qui répète comme un perroquet l’idéologie actuelle dominante. 
La  destruction du sentiment comme source de connaissance fait partie de la guerre à mort initiée par le scientisme français contre l’esprit. L’athéisme francais prend place dans cette guerre à mort: détruire l’Esprit. En refusant toute connaissance issue du sentiment l’asservi scientiste ne reconnaît l’existence qu’à tout ce qui est issu de la raison conceptuelle. Il nie l’importance du rapport humain. Le rapport humain est pour lui un avilissement. Il laisse mourir son voisin parce qu’il ne perçoit même plus que son voisin existe. Il ne perçoit pas que son voisin existe en raison de l’avilissement dans lequel il tient le sentiment. Là est la source de la déprime française : la honte dans laquelle tiennent les asservis tous ceux qui s’appuient sur le sentiment. Comme l’expérience de l’Esprit ne peut être faite que dans le rapport à l’autre, que l’autre soit vivant ou mort, alors ces asservis restent aveugles à l’Esprit.

Il faudra un jour que l’on comprenne comment l’idéologie française dominante en est arrivée là. En attendant l’asservi  répète comme un automate l’idéologie dominante. En le lisant nous prenons ainsi connaissance de la parole de ses maîtres, ce qui une source d’information non négligeable.

Bonjour @aliochaverkiev / @Annalevine

Que d'honneur vous me faites en me faisant porter les avancées liées a l'épistémologie et à la démarche scientifique

Vous représentez qui vous avec votre sempiternelle thématique des maîtres et des dressés ?

La SPA de trifouillis les oies ?

Modifié par zenalpha
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Membre, 153ans Posté(e)
Annalevine Membre 3 528 messages
Mentor‚ 153ans‚
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Pourquoi certaines personnes nient que le sentiment puisse être une source de connaissance ? Parce que, asservis au scientisme, ils pensent que la seule connaissance qui vaille c’est la connaissance scientifique, c’est à dire la connaissance qui s’applique au matériel. 
Seule existe la connaissance matérielle.  
Or,  la seule manière de faire connaissance avec l’autre, avec un être humain, c’est le sentiment. En niant que le sentiment puisse être une source de connaissance ils avilissent le rapport humain. Seul compte le rapport avec le matériel, la matière.  Le rapport humain est pour eux dégradant.

On peut se demander comment l’idéologie dominante française en est arrivée là. 

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