Son père a obtenu sa garde : Louis, 4 ans, partira pour le Japon le lendemain de Noël

Mais y'a un moment où quand tu épouses et fais des enfants à quelqu'un d'une autre culture, en plus dans un autre pays.....ben faut un peu réfléchir aux conséquences........celle-là est terrible.....pov'petit gars trimballé tous les deux ans......il ne sera pas forcément mieux au Japon....

Par contre, je suis surprise parce que normalement c'est le contraire entre japonais mariés qui divorcent.....les enfants restent avec la mère et le père ne peut plus les voir......mais c'est un mariage mixte içi.....

il y a 11 minutes, Forum0123 a dit :

On peut parler des faits non inventer que c'est de la faute de la mère, tu n'en sais rien pour affirmer cela. 

sauf que je suis en droit de l'affirmer et visiblement, c'est aussi ce qu'a été en droit d'affirmer la justice qui a décidé de renvoyer l'enfant chez son père, dans le pays où il est né ... sauf biensur si tu estimes que la justice a également "inventé" 

il y a 37 minutes, titenath a dit :

En fait y'a pas de raison d'avoir tort. Etre séparé de plusieurs milliers de km d'un de ses parents quand on a 4 ans est forcément douloureux.

La séparation avec un des parents est forcément douloureuse en effet. Je ne vois pas en quoi ceci est un raccourci, mais si vous n'assumez pas vos contradictions, ça vous regarde.

il y a 24 minutes, doug1991 a dit :

C'est ton raisonnement qui est ridicule, plus les parents sont proches et plus c'est simple que voir les enfants.

Oui donc, moins on est séparé mieux c'est. Augmenter la distance ça aggrave juste la séparation. Mais l'interlocutrice ne veut simplement pas reconnaitre que c'est la séparation qui créé le manque, pas le nbre de km.

il y a 4 minutes, Constantinople a dit :

 

Oui donc, moins on est séparé mieux c'est. Augmenter la distance ça aggrave juste la séparation. Mais l'interlocutrice ne veut simplement pas reconnaitre que c'est la séparation qui créé le manque, pas le nbre de km.

Quand on habite à 3000 km on ne peut pas voir les enfants régulièrement si c'est 50 km si. Donc le nombre de kilomètres compte.

Divorcé  ne veut pas dire ne plus voir les enfants.

Un enfant qu'il soit Japonais ou que ne sais-je encore a besoin prés de lui ses parents (papa maman) c'est ceux qu'ils l'ont fait naître et ensemble en ont la Responsabilité surtout de remplir leurs devoirs de vraiment l'aimer

Ici les Parents ne s’aiment certainement plus.....................Ce n'est pas le Problème de leur enfant,ce n'est pas a lui de "Payer" leurs "Conneries"!!!!!!!!!

A eux de se rapprocher Géographiquement et surtout Physiquement de leur enfant 

Le mariage n'est pas un Gadget

il y a 55 minutes, soisig a dit :

sauf que je suis en droit de l'affirmer et visiblement, c'est aussi ce qu'a été en droit d'affirmer la justice qui a décidé de renvoyer l'enfant chez son père, dans le pays où il est né ... sauf biensur si tu estimes que la justice a également "inventé" 

 

@Forum0123La décision n'a rien à voir avec le fait de choisir le meilleur pour l'enfant ou quoi ce soit par rapport au père ou à la mère, ils se sont basé juste sur la loi et pensent que c'est au Japon que cela doit se régler de savoir qui doit obtenir la garde : 

Marine avait avancé à l'époque des violences conjugales. Ce départ est assimilable à une soustraction de l'enfant à l'autorité parentale. « La convention est claire. On n'enlève pas un enfant sans l'accord du parent. En s'appuyant sur la Convention de La Haye. Celle-ci lui donne raison. Et comme la loi japonaise ne prévoit pas de garde partagée pour les enfants de divorcés, et favorise toujours le parent japonais en cas de couple binational, l'époux a donc le droit de venir récupérer Louis.

@soisig: Le premier traumatisme a été d'être enlevé par la mère pour l'emmener dans le pays de sa mère. Quand en France, des parents étrangers enlèvent leurs enfants, nés en France, pour les emmener dans leurs pays, la justice condamne et veille au retour de l'enfant. C'est ce qu'a fait la justice Japonaise. Et le parent qui a enlevé les enfants est toujours condamné dans le pays de naissance de l'enfant, pourquoi la justice Japonaise n'aurait elle pas le droit d'appliquer les mêmes sanctions ? C'est la mère qui est responsable du traumatisme de son enfant, notamment en l'emmenant à des milliers de km de son père. Si l'amour pour son enfant avait été sa priorité, elle serait restée au Japon et aurait ainsi pu participer à la vie de son enfant. Elle était sensée connaitre les lois du pays dans lequel elle s'était installée, et où elle avait mis au monde son petit garçon.

Comme je l'ai déjà dit, la justice se base sur le droit : en s'appuyant sur la Convention de La Haye (on n'enlève pas l'enfant sans l'accord du parent) d'où là, on donne raison au mari  et comme la loi japonaise ne prévoit pas de garde partagée pour les enfants de divorcées, l'époux a donc le droit de venir récupérer son fils. 

La justice ne tient pas compte de savoir "les conflits des parents, savoir qui a tort ou raison", ils ont appliqué juste le droit, la mère n'avait pas le droit de partir avec son enfant en France sans l'accord du mari même si cette dernière affirme qu'elle avait son accord, si le mari dit le contraire et qu'il n'y a aucun document qui l'atteste, cela ne vaut rien  et qu'en plus, qu'en cas de divorce, selon la loi japonaise,  le mari a le droit de repartir avec l'enfant, l'époux est tout à fait dans son droit de récupérer l'enfant. De là, à dire que l'enfant est traumatisée à cause de la mère, tu n'en sais rien, on ne connait pas leur histoire sauf d'après ce qu'ils en disent en version différente l'un et l'autre, ce n'est pas parce que la justice donne le droit au père de récupérer l'enfant suivant la loi, que cela signifie que cette femme est une mauvaise mère d'ailleurs, ils lui disent que si elle part au Japon, elle pourrait demander la garde partagée mais au Japon, cela se passe différemment. 

Dans certains divorces en France, on va tenir compte de la situation, si conflits entre parents, si l'enfant sera mieux avec le père ou  avec la mère afin de savoir qui a le droit de garde ou alors garde partagée...mais là, la question ne se pose pas, il y a des lois, la mère est partie avec son enfant, la justice décide de remettre l'enfant au père, si problème entre les parents, ils estiment que c'est au Japon que cela doit se régler. 

Non, au Japon, c'est différent  (pour répondre à ce que j'ai surligné en gras dans ton post ) :  Le parent qui enlève l’enfant aura toujours raison au Japon : 

Le droit international contourné

En principe, le Japon respecte les Conventions de la Haye sur les droits de l’enfant de 1989 et sur l’enlèvement international d’enfants de 1980. Ces textes prévoient qu’un enfant doit avoir accès à ses deux parents et que le jugement de garde doit être effectué dans le pays où il vivait avant l’enlèvement.

« Le parent qui enlève l’enfant aura toujours raison au Japon »

La loi prévoit que celui qui vit avec l’enfant au moment de la décision de justice le conserve. « Le parent qui enlève l’enfant aura toujours raison au Japon » Difficile de comprendre pourquoi le Japon ferme les yeux sur ces enlèvements. Pour l’avocate Jessica Finelle, la raison est culturelle : « L’enfant n’a pas vraiment de droits au Japon, il est la propriété de la mère. Il doit être tenu le plus loin possible du conflit conjugal et donc ne voir qu’un parent, mais ce faisant le système encourage les enlèvements. » Une explication qui « ne décharge pas le pays de sa responsabilité », rappelle-t-elle.

https://www.la-croix.com/Monde/Asie-et-Oceanie/Le-drame-enfants-enleves-Japon-porte-lONU-2019-08-13-1201040849

il y a une heure, Constantinople a dit :

La séparation avec un des parents est forcément douloureuse en effet. Je ne vois pas en quoi ceci est un raccourci, mais si vous n'assumez pas vos contradictions, ça vous regarde.

Je suis joueuse, je veux bien que tu cites les posts ou je me suis contredite 

Edit : pour être très précise, je n'ai pas écrit que la séparation avec un des parents est forcément douloureuse, j'ai dit qu'une séparation avec un des parents à des milliers de km est forcément douloureuse. 

il y a une heure, Constantinople a dit :

Mais l'interlocutrice ne veut simplement pas reconnaitre que c'est la séparation qui créé le manque, pas le nbre de km.

L'interlocutrice a refusé de parler de ça parce que ça n'était pas son propos mais le tien

Donc elle n'a rien à reconnaître parce que son opinion sur la séparation de manière générale, elle ne l'a jamais donné.

Il y a 2 heures, Forum0123 a dit :

C'est surtout référence à certains propos qui disent qu'au Japon, les lois sont pareils alors que non, c'est différent de ce qui se passe en France. 

Donc rien à voir avec l’affaire , on aurait pu croire que le père avait kidnappé l’enfant à te lire . Ok compris

Tiens j'ai la flemme immense d'expliquer, mais je soumet cette curiosité absolument inconnu par la plupart des français, mais très connu au japon. L'influence du Code civil français sur le droit civil japonais

https://www.persee.fr/doc/ridc_0035-3337_1954_num_6_4_9093

Il y a 2 heures, titenath a dit :

Edit : pour être très précise, je n'ai pas écrit que la séparation avec un des parents est forcément douloureuse, j'ai dit qu'une séparation avec un des parents à des milliers de km est forcément douloureuse. 

 

Et bien ma chère, si vous ne voyez pas de contradiction dans ces deux affirmations ma foi...On ne va pas y passer les fêtes, que je vous souhaite bonnes.

PS : Hasard a fait qu'on parlait justement ce soir d'une connaissance, lors du divorce de ses parents, à appris à 5 ans que son pére qui se remariait et avait mis enceinte sa nouvelle femme ne souhaitait plus le voir. Mais gageons que ce qui fait la différence entre une bonne et une mauvaise séparation d'un des parents C'EST LE NOMBRE DE BORNES.

Vu comment le Japon traite les métisse dans leur pays qui surnomme affectueusement les" Haifu" (ce qui signifie moitée en anglais) cela ne risque pas d'être la joie pour ce petit. J'espère que sa mère trouvera un moyen de le récupérer coûte que coûte.   

il y a 3 minutes, Constantinople a dit :

Et bien ma chère, si vous ne voyez pas de contradiction dans ces deux affirmations ma foi...On ne va pas y passer les fêtes, que je vous souhaite bonnes.

Il n'y a pas de contradiction dans la mesure où une de ces 2 affirmations n'est pas de moi  

Il y a 2 heures, Pales a dit :

Un enfant qu'il soit Japonais ou que ne sais-je encore a besoin prés de lui ses parents (papa maman) c'est ceux qu'ils l'ont fait naître et ensemble en ont la Responsabilité surtout de remplir leurs devoirs de vraiment l'aimer

Ici les Parents ne s’aiment certainement plus.....................Ce n'est pas le Problème de leur enfant,ce n'est pas a lui de "Payer" leurs "Conneries"!!!!!!!!!

A eux de se rapprocher Géographiquement et surtout Physiquement de leur enfant 

Le mariage n'est pas un Gadget

C'est juste une connerie...il ne devrait plus exister!

Le 25/12/2019 à 03:39, Bluehawk a dit :

Enfant d’un couple franco-japonais qui s’est séparé en 2017, le garçonnet doit repartir au Japon ce jeudi avec son père. La justice française en a décidé ainsi malgré les arguments de sa mère et de tout un village.

© LP/Christian Goutorbe Le Parisien

A quelques heures de Noël, un vent froid qui balaie Salles-d’Aude et glace le sang des proches de la famille Verhoeven. Tous sont rassemblés pour que Louis, 4 ans, continue de vivre ici, auprès de sa mère Marine Verhoeven, 30 ans en instance de divorce du père de l’enfant, Susheido Kudo. Le père japonais de 40 ans a réclamé et obtenu de la justice française le retour de l’enfant au Japon en attendant qu’un tribunal japonais statue sur le droit de garde.

 

LIRE AUSSI >Retour de Louis, 4 ans, au Japon : «Je ne l’empêcherai jamais de voir sa maman»

Sauf miracle très improbable, Louis quittera le village le lendemain de Noël à 11 heures récupéré par son père. L’ultime appel lancé le 18 décembre par l’association « Jamais sans Louis » est resté lettre morte. Ni Emmanuel Macron, le président de la République sollicité pour empêcher ce départ, ni le procureur de la République de Montpellier, qui doit veiller à l’exécution de la décision de justice, ne se sont manifestés. Alors, dans la famille Verhoeven on prépare comme on peut le plus beau Noël possible avant de plonger dans l’inconnu.

« Louis ne veut pas entendre parler de cette séparation »

 

 

« Si mon fils part au Japon ce jeudi, cela signifie que je n’aurai plus aucun moyen de le voir avant qu’il ait 20 ans, sa majorité selon la loi japonaise. Contrairement à ce que maintient son père, je n’ai pas la possibilité d’obtenir un visa pour vivre au Japon et il y a de très fortes chances que je me retrouve en garde à vue pour des mois comme c’est le cas actuellement d’un père de famille australien », souffle la maman, 29 ans, terrorisée par l’idée d’être séparée de ce fils qui partage sa vie depuis quatre ans sans interruption.

« Je me battrai jusqu’au bout : devant la Cour européenne de justice et l’ONU pour obtenir gain de cause, mais cela ne fera pas revenir mon fils condamné à vivre loin de moi au Japon. Ce qui se joue c’est une sorte de chantage sur ma liberté de divorcer », poursuit la jeune mère. Le petit garçon est décrit comme parfaitement intégré dans cette enfance villageoise, joyeuse et insouciante entre école maternelle, anniversaires de petits copains et parties de pêche ou sortie à la plage. Les maîtresses et les parents des autres enfants sont montés créneau. Ils ont multiplié les actions de mobilisations et les pétitions (450 signatures à l’Elysée).

Article ici : https://www.msn.com/fr-fr/news/france/son-p-c3-a8re-a-obtenu-sa-garde-louis-4-ans-partira-pour-le-japon-le-lendemain-de-no-c3-abl/ar-BBYi9f6

Le 25/12/2019 à 03:39, Bluehawk a dit :

Enfant d’un couple franco-japonais qui s’est séparé en 2017, le garçonnet doit repartir au Japon ce jeudi avec son père. La justice française en a décidé ainsi malgré les arguments de sa mère et de tout un village.

© LP/Christian Goutorbe Le Parisien

A quelques heures de Noël, un vent froid qui balaie Salles-d’Aude et glace le sang des proches de la famille Verhoeven. Tous sont rassemblés pour que Louis, 4 ans, continue de vivre ici, auprès de sa mère Marine Verhoeven, 30 ans en instance de divorce du père de l’enfant, Susheido Kudo. Le père japonais de 40 ans a réclamé et obtenu de la justice française le retour de l’enfant au Japon en attendant qu’un tribunal japonais statue sur le droit de garde.

 

LIRE AUSSI >Retour de Louis, 4 ans, au Japon : «Je ne l’empêcherai jamais de voir sa maman»

Sauf miracle très improbable, Louis quittera le village le lendemain de Noël à 11 heures récupéré par son père. L’ultime appel lancé le 18 décembre par l’association « Jamais sans Louis » est resté lettre morte. Ni Emmanuel Macron, le président de la République sollicité pour empêcher ce départ, ni le procureur de la République de Montpellier, qui doit veiller à l’exécution de la décision de justice, ne se sont manifestés. Alors, dans la famille Verhoeven on prépare comme on peut le plus beau Noël possible avant de plonger dans l’inconnu.

« Louis ne veut pas entendre parler de cette séparation »

 

 

« Si mon fils part au Japon ce jeudi, cela signifie que je n’aurai plus aucun moyen de le voir avant qu’il ait 20 ans, sa majorité selon la loi japonaise. Contrairement à ce que maintient son père, je n’ai pas la possibilité d’obtenir un visa pour vivre au Japon et il y a de très fortes chances que je me retrouve en garde à vue pour des mois comme c’est le cas actuellement d’un père de famille australien », souffle la maman, 29 ans, terrorisée par l’idée d’être séparée de ce fils qui partage sa vie depuis quatre ans sans interruption.

« Je me battrai jusqu’au bout : devant la Cour européenne de justice et l’ONU pour obtenir gain de cause, mais cela ne fera pas revenir mon fils condamné à vivre loin de moi au Japon. Ce qui se joue c’est une sorte de chantage sur ma liberté de divorcer », poursuit la jeune mère. Le petit garçon est décrit comme parfaitement intégré dans cette enfance villageoise, joyeuse et insouciante entre école maternelle, anniversaires de petits copains et parties de pêche ou sortie à la plage. Les maîtresses et les parents des autres enfants sont montés créneau. Ils ont multiplié les actions de mobilisations et les pétitions (450 signatures à l’Elysée).

Article ici : https://www.msn.com/fr-fr/news/france/son-p-c3-a8re-a-obtenu-sa-garde-louis-4-ans-partira-pour-le-japon-le-lendemain-de-no-c3-abl/ar-BBYi9f6

Cela me rappelle l ' histoire de ce couple franco-breton et c ' est bien le tribunal Breton qui a pu faire valoir sa décision ...

D ' ailleurs c ' était incontestable car le gamin n ' a eu de cesse de clamer , je veux resté avec ma maman Bretonne dans le pays qui est le mien ...

Il y a 9 heures, titenath a dit :

Il n'y a pas de contradiction dans la mesure où une de ces 2 affirmations n'est pas de moi  

Je suis le roi du raccourci, vous êtes la reine de l'esquive.

Il y a 11 heures, Morfou a dit :

C'est juste une connerie...il ne devrait plus exister!

comme a ton habitude tu veut comprendre ce que tu veux 

La "connerie" est aux parents de la régler.......................leur enfant est là a eux d'assumer !!!

à l’instant, Pales a dit :

comme a ton habitude tu veut comprendre ce que tu veux 

La "connerie" est aux parents de la régler.......................leur enfant est là a eux d'assumer !!!

La connerie du mariage qui ne devrait plus exister...faut lire dans le texte...

il y a 10 minutes, Morfou a dit :

La connerie du mariage qui ne devrait plus exister...faut lire dans le texte...

Le mariage n'est qu'un acte administratif , rien d'obligé en effet.................n’empêche q'ils vivaient MARITALEMENT(au moins depuis 4 ans )

https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/maritalement/49519

Je parlais de Papa Maman de Naissance et d'enfant.............faut lire dans le Texte

Ce petit bonhomme est donc arraché à sa mère et envoyé au Japon, afin que la justice japonaise, elle, puisse statuer quant au droit de garde... C’est complètement sidérant. 
Notre justice semble de plus en plus impuissante et en toutes choses. Il serait temps de se remuer là. 
Il devient aussi plus que urgent que nous entendions les intérêts de l’Enfant quel qu’en soit son âge (aujourd’hui l’audition d’un mineur se fait à partir de 13 ans, semblerait-il), que nous lui accordions véritablement des droits.