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Éducation non-violente = arnaque du siècle?

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Invité Vilaine

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il y a 1 minute, Funenbulle a dit :

Sauf que ce n'est pas ce qu'elle fait et tu le sais bien...

Tu as raison, elle ne met pas du toutes les formes de violence dans le même panier. Non, pas du tout.

il y a 2 minutes, riad** a dit :

Malgré ton intelligence, t'es pas capable de trouver des moyens moins brutaux pour communiquer avec tes gamins? qu'est ce que t'as laissé pour ceux qui n'étaient pas des bons élèves?
 

Léa qui? tu veux dire @Léna-Postrof ?

Je sais pas, j'ai la mémoire un peu défaillante, mais ça me fait plaisir d'avoir une fille comme elle.
 

La fessée n’est pas une finalité...Loin de là, mais il serait bête de s’en priver juste parce que la société a décidé que c’était maaaal, surtout si cette dernière a fait ses preuves depuis des siècles.

Etrangement, ni Sera-angel, ni January, ni Funembulle ne cite leurs (grands) parents en exemple. Mon post est laissé sans réponses...

Je parlais de Léa (dans mon exemple), pas de Léna qui a plus l’âge de ta (grande) sœur.

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Invité sera-angel
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il y a 6 minutes, Vilaine a dit :

Tu as parfaitement raison. Il est clair qu’une personne qui met dans le même panier une tapette donnée à son enfant et le coup de poing dans la figure censé défiguré est une personne très nuancée.

Ben limite on pourrait faire l'amalgame oui .. puisque la gifle ou la fessée inflige une douleur et une honte à l'enfant .

"Un châtiment corporel est une forme de punition dont l'objectif est d'infliger une douleur physique afin d'amener une personne reconnue coupable d'une faute ou d'un délit à un repentir et à éviter la récidive.

Le châtiment corporel a été (et est encore) très largement répandu à travers le monde en tant que pratique éducative envers les enfants et les adolescents, dans le cadre familial et dans le cadre scolaire. Dans ces contextes, le châtiment corporel est généralement défini de façon plus précise :

1) Définition de Murray A. Straus1, régulièrement utilisée telle quelle ou à peu près dans le champ de la recherche académique sur les châtiments corporels2,3,4 : un châtiment corporel est constitué par « l'utilisation de la force physique avec l'intention de faire ressentir une douleur à l'enfant, mais sans lui infliger de blessure, dans le but de corriger ou de contrôler son comportement. », le critère d'absence de blessure aidant à distinguer le châtiment corporel « socialement acceptable » de la « maltraitance »5.

2) Définition du Comité des droits de l'enfant de l'ONU6 : « les châtiments corporels sont tous châtiments impliquant l’usage de la force physique et visant à infliger un certain degré de douleur ou de désagrément, aussi léger soit-il. »

Le châtiment corporel demeure dans plusieurs dizaines de pays une forme légale de condamnation judiciaire, et/ou de mesure disciplinaire dans les lieux de privation de liberté, envers les personnes mineures ou majeures.

Fin 20167, les châtiments corporels sont totalement interdits en droit 

  • dans 164 États en tant que condamnation pénale
  • dans 138 États en tant que mesure disciplinaire au sein des institutions pénales
  • dans 130 États dans les institutions scolaires
  • dans 52 États (principalement en Europe et en Amérique du Sud) en tous lieux y compris dans le cadre familial

Les châtiments corporels vont de formes généralement considérées comme légères (fessée donnée à main nue, gifle) jusqu'à des formes de torture, y compris des mutilations. La peine de mort n'est habituellement pas incluse parmi les châtiments corporels, bien que « la douleur ressentie par les condamnés au cours de leur exécution peut être considérable, résultant parfois d'une volonté délibérée »8."

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 967 messages
108ans‚ ©,
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il y a 7 minutes, Vilaine a dit :

Tu as raison, elle ne met pas du toutes les formes de violence dans le même panier. Non, pas du tout.

Roo tu me déçois, tu sais bien pourtant que ça ne marche pas la provoc avec moi :acute:

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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Il y a 3 heures, Atipique a dit :

Les fessées ou autres punitions corporelles je comprends, c'était déjà interdit à Genève quand ma mère était petite et les profs n'en n'avaient pas besoins pour se faire respecter. Mais je ne savais pas que les profs en France de nos jours n'avaient aucun droit de punition, comme donner des lignes ou autres. On peut se demander comment ils font pour maintenir l'ordre.

C'est très simple...ils ne maitrisent tout simplement pas...

Nous sommes bien  loin de l'EN qui donnait des châtiments corporels aux élèves, les envoyaient faire des tours et des tours de cour sous la neige ou le vent glacial...qui fermaient les portes de l'école aux élèves pour quelques secondes de retard...l'heure c'est l'heure, s'pas? c'est pas si loin, années 60/70!

Il y a 3 heures, sirielle a dit :

Déjà il vous est interdit de me calomnier, et vous ne savez même pas si j'ai des enfants ou pas, or ce n'est pas vraiment le sujet. Et je ne frappe ni ne donne de lignes à aucun enfant. Vous enfreignez le règlement par vos diffamations. Il s'agit donc de votre part de violence morale.

Ensuite effectivement chaque parent éduque son enfant à sa façon, et c'est légitime dans le cadre du respect des droits de l'enfant. 

Du droit des parents plutôt, non?

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, sera-angel a dit :

"Avec les punitions corporelles et psychologiques, ce qui est recherché en provoquant une douleur, une peur et un stress, c’est avant tout de sidérer l’enfant pour qu’il obéisse immédiatement, et de créer ensuite une aversion par un conditionnement pour qu’il ne recommence pas à avoir le même comportement.

 

Sidération et conditionnement sont des mécanismes neuro-biologiques traumatiques. Les enfants, du fait de leur immaturité neurologique, ont un cerveau très sensible à la douleur et au stress, bien plus que les adultes, et sont beaucoup plus exposés à des atteintes neurologiques et à des conséquences psychotraumatiques lors de violences  même "minimes". Et contrairement à des idées reçues, le fait qu’ils soient trop petits pour s’en souvenir ne signifie pas qu’il n’en seront pas traumatisés, c’est même l’inverse.

 

La sidération bloque l’enfant

 

La sidération est provoquée par une paralysie momentanée du cortex cérébral (la matière grise qui permet de comprendre, d’analyser, de prendre des décisions et d’agir) et de l’hippocampe (le système d’exploitation de la mémoire, des apprentissages et des repères temporo-spatiaux), elle est liée au choc créé par la peur, la douleur et la surprise (1).

 

La sidération bloque l’enfant, ce qui est recherché par les punitions, mais lui fait perdre ses moyens. L’enfant sidéré ne va pas pouvoir parler, bouger, mobiliser sa mémoire, ni ses apprentissages.

 

Il ne ressent plus rien

 

De plus la paralysie corticale ne permet plus de moduler le stress provoqué par la réponse émotionnelle. L’amygdale cérébrale (petite structure sous-corticale) est à l’origine de cette réponse émotionnelle déclenchée automatiquement en cas de danger. Une fois allumée, elle fait produire par l’organisme des hormones de stress (adrénaline et cortisol) mais elle ne s’éteint pas toute seule, c’est le cortex et l’hippocampe avec leur pouvoir d’analyse de la situation qui peuvent la moduler et l’éteindre.

 

En cas de sidération, la modulation ne se fait pas, le stress monte et comme il représente un risque vital cardio-vasculaire et d’atteintes neurologiques, un mécanisme de sauvegarde se met alors en place pour éteindre de force la réponse émotionnelle en faisant disjoncter le circuit à l’aide de drogues puissantes sécrétées par le cerveau (2).

 

Brutalement l’enfant se retrouve alors en anesthésie émotionnelle, il se calme en effet, non parce qu’il l’a décidé mais parce qu’il ne ressent plus rien, ni émotion, ni douleur : il est déconnecté, comme absent et envahi par un sentiment d’irréalité, il peut se sentir spectateur de la situation, c’est ce qu’on appelle la dissociation traumatique.

 

La paralysie de l'enfant peut énerver le parent

 

La méconnaissance de ces mécanismes sont souvent à l’origine de recrudescences de violences de la part du parent.

 

Le parent, satisfait d’abord que l’enfant s’arrête immédiatement, est parfois encore plus énervé par la sidération de l’enfant qui, paralysé, ne répond pas aux questions, ne s’excuse pas, n’obéis pas aux ordres.

 

L’état de dissociation donne l’impression que l’enfant est indifférent à tout ce qu’il peut lui dire et lui faire, qu’il résiste à la douleur, et qu’il ne veut rien comprendre. Le parent interprète la sidération et la dissociation comme un défi. Le risque est important qu’il redouble de violence pour que l’enfant obtempère et présente ses excuses, ce dont il est incapable en raison de son état.

 

De plus, face à l’état de dissociation de l’enfant, le parent n’a plus de repères émotionnels, ni d’empathie, lui permettant d’évaluer la souffrance et la douleur qu’il provoque chez l’enfant (ses neurones miroirs ne peuvent pas lui renvoyer d’informations) et de contrôler sa violence en regard.

 

La mémoire traumatique poursuit l'enfant

 

Au-delà de la sidération, les violences éducatives ont également pour but de créer chez l’enfant "un conditionnement aversif" (un dressage) par la mise en place d’un autre mécanisme psychotraumatique qui fait suite à la disjonction : une mémoire traumatique. L’interruption des circuits de la mémoire lors de la disjonction empêche la mémoire émotionnelle d’être traitée par l’hippocampe et transformée en mémoire autobiographique et en apprentissage.

 

La mémoire émotionnelle reste bloquée et non-intégrée dans l’amygdale cérébrale, elle devient une machine à remonter le temps infernale qui fera revivre à l’enfant l’événement traumatisant à l’identique, comme s’il se reproduisait à nouveau, lorsqu’une situation les lui rappellera. Cette reviviscence entrainera les mêmes effets stressants, la même douleur et les mêmes sentiments de peur et d’humiliation que ceux ressentis lors des violences, l’enfant ré-entendra les mêmes phrases, et il sera à nouveau sidéré et dissocié.

 

Un monde imaginaire pour échapper au traumatisme

 

Pour échapper à cette mémoire traumatique l’enfant mettra en place des conduites d’évitement et de contrôle, celles-là mêmes qui sont recherchées par la violence éducative (aversion), mais qui pourront par la suite devenir invasives avec des phobies, des blocages, des troubles obsessionnels compulsifs, les enfants s’échappant dans un monde imaginaire, ce qui aura des répercussions sur leur sociabilité et leurs apprentissages.

 

Cette mémoire traumatique sera également à l’origine d’angoisses, d’une souffrance et d’une culpabilité durable, d’un manque d’estime de soi et de confiance en soi, d’un sentiment d’insécurité permanent, et d’un état de stress qui aura des répercussions sur la santé, l’appétit et le sommeil de l’enfant, ainsi que sur ses capacités de concentration, de mémorisation et son développement psycho-moteur.

 

Et ces enfants traumatisés en difficulté scolaire, dormant et mangeant mal seront considérés comme difficiles et encore plus à risque de subir des violences par des parents d’autant plus excédés, avec l’installation d’un cercle infernal.

 

La voix intérieure de la culpabilité

 

L’enfant, du fait de sa mémoire traumatique, ré-entendra continuellement les phrases culpabilisantes, humiliantes que son parent lui aura dites au moment des corrections : qu’il est nul, qu'il ne fera rien de sa vie, un méchant qui finira mal, quelqu’un de haïssable, etc.

 

Il ré-entendra les mêmes menaces : que ses parents ne vont plus l’aimer et que personne ne voudra de lui, menaces d’abandon, parfois même menaces de mort. Et l’enfant restera colonisé par ces "phrases assassines" qu’il finira par penser provenir de lui. Il aura une voix intérieure qui sans cesse l’invectivera, et il développera une piètre image de lui-même.

 

Et cette mémoire traumatique, si rien n’est fait pour la traiter et la désamorcer, s’installe dans la durée, elle perdure à l’âge adulte et devient rapidement de plus en plus difficile à éviter et à contrôler, une autre stratégie plus efficace pour y échapper se met alors en place pour l’éteindre et anesthésier : ce sont les conduites dissociantes.

 

L'enfant va devenir incontrôlable

 

Ces conduites dissociantes auront alors l’effet inverse de ce qui était escompté au départ. Il s’agissait de rendre l’enfant plus calme, soumis et obéissant, il va devenir agité, incontrôlable, se mettre en danger et pourra avoir des comportements violents à son tour vis-à-vis de lui-même ou d’autrui.

 

L’enfant pour s’anesthésier va rechercher compulsivement, sans comprendre pourquoi il le fait, un état de stress le plus élevé possible, que ce soit un stress psychologique ou physiologique, avec une agitation psycho-motrice, des conduites à risque et des mises en danger (jeux dangereux, sports extrêmes, etc.), des comportements violents contre soi ou contre autrui.

 

Cette production de stress provoque une disjonction qui éteint la mémoire traumatique et tout son cortège de peur, d’angoisse, de détresse et de souffrance.

 

La prise d’alcool et de drogue aura le même effet anesthésiant. Ces conduites dissociantes sont préjudiciables pour la sécurité et la santé des enfants et des adultes qu’ils seront, elles sont – avec la mémoire traumatique – à l’origine de troubles du comportement et de la personnalité, et également de troubles cognitifs, avec des retentissements sur les études, la vie sociale et professionnelle. Vouloir traiter des troubles du comportements ou des difficultés d’apprentissage des enfants par de la violence ne fait que les aggraver (3).

 

Enfant violent, futur parent violent

 

Ces conduites dissociantes expliquent également la reproduction de violences.

 

Un enfant qui aura subi des violences peut, dans une situation qui les lui rappelle, être envahi par celles-ci, par des cris, des paroles blessantes, des images de coups qu’il sera tenté de reproduire soit sur lui-même, soit sur autrui pour "se calmer", en se dissociant pour échapper à cette flambée de mémoire traumatique.

 

Il en est de même pour un adulte lorsqu’il se retrouvera confronté avec ses propres enfants à des situations qui allumeront sa mémoire traumatique comme, un refus de manger, des cris, une mauvaise note, etc.

 

Il sera alors envahi par ce qui se passait dans son enfance : à la fois par sa détresse, les coups, les phrases humiliantes, la colère, voir par la haine de son parent. Cet ensemble peut provoquer chez lui la sensation d’exploser, et déclencher une compulsion à être violent. S’il ne s’oblige pas à se contrôler, il pourra alors reproduire cette scène de son passé en rejouant le rôle du parent violent ce qui lui permettra de se dissocier et d’éteindre son état de stress.

 

Il pourra alors considérer que c’est l’enfant qui le persécute et le met hors de lui (même si ce n’est qu’un nourrisson), et qu’il mérite donc d’être corrigé (4). Il sera sans pitié comme on l’a été avec lui. Il considérera à tort que l’enfant est intentionnellement méchant et destructeur. Il interprétera en toute incohérence des réactions normales de son enfant dues à l’âge, la fatigue, des douleurs, ou de la fièvre, comme des attaques et des défis à son égard.

 

Pour les parents la violence est non seulement un outil  pour soumettre leur-s enfant-s, mais également une drogue anesthésiante qui les «calme». Connaître les mécanismes psychotraumatiques leur est essentiel pour renoncer aux violences éducatives et pour ne pas les reproduire sans fin."

:) 

 

"Un enfant qui aura subi des violences peut, dans une situation qui les lui rappelle, être envahi par celles-ci, par des cris, des paroles blessantes, des images de coups qu’il sera tenté de reproduire soit sur lui-même, soit sur autrui pour "se calmer", en se dissociant pour échapper à cette flambée de mémoire traumatique."

On appelle ce phénomène la résilience ou la résonnance ... 

 

 

Oui...en tous cas, mon ex a été élevé dans la violence du père, autant envers ses enfants que sa femme, pourtant, ni lui ni ses frères et soeurs n'ont reproduit...sont 10, 5 filles et 5 garçons!

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, sera-angel a dit :

Voilà exactement, c'est ce que je dis .. c'est de famille .. c'est dans l'éducation .. on reproduit les schémas reçus ..

(ou alors on a suffisamment d'intelligence pour ne pas les reproduire quand les dégâts n'ont pas été trop importants)

On n'élève pas ses enfants comme on éduque un chien .. 

Ce n'est pas du dressage d'élever un enfant

"Au-delà de la sidération, les violences éducatives ont également pour but de créer chez l’enfant "un conditionnement aversif" (un dressage) par la mise en place d’un autre mécanisme psychotraumatique qui fait suite à la disjonction : une mémoire traumatique. L’interruption des circuits de la mémoire lors de la disjonction empêche la mémoire émotionnelle d’être traitée par l’hippocampe et transformée en mémoire autobiographique et en apprentissage."

Vous savez que la plupart de ces grands experts en éducation de l'enfant...n'en n'ont pas?:miam:

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, sera-angel a dit :

Le problème est qu'il a été démontré que les cerveaux des enfants ne sont pas encore formés , et surtout pas formés comme le cerveau des adultes .. et qu'il y a des séquelles qui peuvent être laissées avec un acte qui peut être jugé banal par les parents , mais traumatisant pour l'enfant. 

D'où l'obligation d'en venir à une loi pour protéger les enfants !!!

Regardez avec le problème des enfants secoués .. ça a toujours existé et pourtant on vient seulement de prouver que ça laissait d'énormes séquelles traumatiques.

Ca fait bien une quarantaine sinon cinquantaine d'années que l'on sait que l'enfant secoué, ou simplement lui faire faire "la crêpe" qui n'a rien d'une maltraitance, mais plutôt d'un jeu, est plus que préjudiciable au cerveau de l'enfant...du bb ou petit enfant...

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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 22 499 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, Crève a dit :

je pense qu'aujourd'hui les familles sont victimes du marketing de "l'Enfant-Roi", on cède tout à son enfant

 

Et moi qui pensais qu'on en était revenu après en avoir constaté les méfaits, on y revient, c'est à n'y rien comprendre !!

 

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Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)
il y a 5 minutes, Morfou a dit :

Vous savez que la plupart de ces grands experts en éducation de l'enfant...n'en n'ont pas?:miam:

Ils ont peut être peur de reproduire les schémas de leurs parents ?

J ai une amie dans ce cas aussi..psychologue ancienne enfant battue elle ne veut pas d enfant par choix et peur.

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, BELUGA a dit :

De toutes façons, on tape JAMAIS un chien.

Pas besoin...

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Invité riad**
Invités, Posté(e)
Invité riad**
Invité riad** Invités 0 message
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Il y a 2 heures, sirielle a dit :

Question d'éducation. Utiliser ses droits pour se défendre peut avoir une certaine importance, y compris sur les réseaux sociaux, et y compris pour les enfants. Encore une fois, l'éducation non-violente inclut l'absence de violence morale, or pour ma part je lutte aussi contre ces violences s'il le faut. La loi du silence a des limites.

J'ai remonté la discussion et je ne vois pas contre quoi tu veux te défendre :

peut être contre ça ? :

Citation

Mais Sirielle si en donnant des lignes à copier à ton gamin, en le frappant etc ... tu penses le protéger, assurer son éducation et agir dans son intérêt et pour sa future maturité , alors libre à toi d'agir de la sorte .. 

Mais tous les parents ne sont pas obligés d'utiliser la force sur leurs enfants pour se faire respecter !

Ou alors contre ça ? :

Citation

Je ne vous calomniais pas Sirielle, je reprenais ce que sous entendait le mot "autorité parentale" ..

J'ai cru le sous entendre dans vos propres propos Sirielle, personnellement je n'ai rien insinué, je suis une mère qui n'a jamais levé la main sur ses 3 enfants ..  et qui ne supporte pas de voir un enfant se ramasser une claque, ou une fessée .. parce que la honte que cela doit lui provoquer dans sa tête doit le marquer à vie , à mon avis .. et on en a la preuve ici, d'après ce que certains racontent.

Et votre dernière phrase m'a totalement rassurée :: "dans le cadre du respect des droits de l'enfant" 

Sirielle, si tu signales rien que pour ça, alors je n'oserai même pas te dire que tu n'es pas seulement rapporteuse mais pleurnicheuse aussi, et pourtant ce n'est pas l'envie qui me manque.
 

Modifié par riad**
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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 22 499 messages
Maitre des forums‚
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il y a 1 minute, sera-angel a dit :

j ai une amie dans ce cas (...) ancienne enfant battue elle ne veut pas d enfant par choix et peur.

 

Je comprends parfaitement qu'une femme puisse avoir cette crainte - même si l'on sait que nombreuses sont celles qui ont su apporter à leur enfant tout ce dont elles-mêmes ont été privées - sa crainte d'être mère et de reproduire sur son enfant la violence subie étant compréhensible.

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, sera-angel a dit :

Bertrand Cantat disait aussi ça à sa femme ... je suis fou d'amour pour toi , tu le comprends ? est ce que ça rentre dans ta petite tête ? 

Deux alcoolos et drogués...rien à voir dans cette histoire...adultes en plus!

Il y a 1 heure, sera-angel a dit :

Super Nany sors de ce corps :D 

Même super Nany interdit les fessées .. et Pascal le grand frère aussi .. pour dire !!!! et pourtant ils en voient des cas et des spécimens, tous les deux :D  

Des gosses qui n'ont pas été élevés, justement!

Il y a 1 heure, Crève a dit :

je pense qu'aujourd'hui les familles sont victimes du marketing de "l'Enfant-Roi", on cède tout à son enfant, c'est le Dieu d'où la lumière vient !

Une façon de se débarrasser des ses responsabilités envers eux...

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 808 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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il y a 5 minutes, sera-angel a dit :

Ils ont peut être peur de reproduire les schémas de leurs parents ?

J ai une amie dans ce cas aussi..psychologue ancienne enfant battue elle ne veut pas d enfant par choix et peur.

Je voulais dire par là qu'une personne, soit-elle psy spécialiste de l'enfant, si elle n'en n'a pas elle-même, ce qu'elle peut en dire...

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 530 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 44 minutes, Morfou a dit :

Du droit des parents plutôt, non?

Les deux bien sûr, mais comme la question de l'éducation non-violente peut se poser aussi pour d'autres responsables que les seuls parents, les droits de l'enfants y sont quoi qu'il en soit essentiels dans tous les cas de cadre éducatif.

Modifié par sirielle
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Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
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il y a 5 minutes, Morfou a dit :

Je voulais dire par là qu'une personne, soit-elle psy spécialiste de l'enfant, si elle n'en n'a pas elle-même, ce qu'elle peut en dire...

Donc vous pensez également qu un médecin qui n a jamais connu la maladie ne sait pas de quoi il parle?

Qu un architecte qui n a pas construit de ses propres mains une maison n est pas qualifié ?

Etc..etc..

Quelle drôle d idée ça ? Mais les études n ont rien à voir avec la pratique c est connu. Mais elles n enlèvent en rien à la qualification :smile2:

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 530 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 53 minutes, riad** a dit :

J'ai remonté la discussion et je ne vois pas contre quoi tu veux te défendre :

peut être contre ça ? :

Ou alors contre ça ? :

Sirielle, si tu signales rien que pour ça, alors je n'oserai même pas te dire que tu n'es pas seulement rapporteuse mais pleurnicheuse aussi, et pourtant ce n'est pas l'envie qui me manque.
 

 

Il y a 5 heures, sera-angel a dit :

Mais Sirielle si en donnant des lignes à copier à ton gamin, en le frappant etc ... tu penses le protéger, assurer son éducation et agir dans son intérêt et pour sa future maturité , alors libre à toi d'agir de la sorte .. 

Mais tous les parents ne sont pas obligés d'utiliser la force sur leurs enfants pour se faire respecter !

Les accusations de violences à l'encontre d'enfants, qui sont juridiquement sanctionnables, n'ont pas à être portées à la légère. D'autant plus que je n'ai rien écrit qui puisse les justifier ne serait-ce qu'un peu. Ni n'ai prétendu être une mère. Et j'ai au contraire dés le départ précisé que je condamnais les violences physiques et psychologiques. Ces propos sont irrespectueux et il me parait légitime que la diffamation soit interdite sur ce forum, si vous ne supportez pas qu'ils puissent être effacés, c'est vous qui dramatisez à mon avis, et qui ne supportez pas l'autorité. 

Encore une fois, si j'ai participé à ce sujet, c'est avant tout pour souligner que l'éducation non-violente concerne aussi les mots et pas seulement les gestes. C'est ce que je défends. Et si je le fais c'est que cette discussion me convient assez pour ça, car elle n'est pas une obligation pour moi.

Modifié par sirielle
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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 972 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 1 heure, riad** a dit :

Léa qui? tu veux dire @Léna-Postrof ?

Je sais pas, j'ai la mémoire un peu défaillante, mais ça me fait plaisir d'avoir une fille comme elle.
 

Quelle perspicacité ! (et merci). Énième réaction à un sujet ouvert à mon initiative fin novembre dernier, depuis toutes les adolescentes un peu difficiles sont baptisées "Léa". Fin mars, quand même... la digestion est plutôt très longue. 

Je suis effectivement une obsession pour la trollette en question, ce qui est plutôt fâcheux pour elle, c'est que je ne suis pas du tout branchée "Gazon maudit". Merci de ne plus m'inviter sur ses sujets, ça lui passera... ou pas. 

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Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
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il y a 15 minutes, Léna-Postrof a dit :

Quelle perspicacité ! (et merci). Énième réaction à un sujet ouvert à mon initiative fin novembre dernier, depuis toutes les adolescentes un peu difficiles sont baptisées "Léa". Fin mars, quand même... la digestion est plutôt très longue. 

Je suis effectivement une obsession pour la trollette en question, ce qui est plutôt fâcheux pour elle, c'est que je ne suis pas du tout branchée "Gazon maudit". Merci de ne plus m'inviter sur ses sujets, ça lui passera... ou pas. 

ahaha la meute des féministes quasi au complet!

Bon et sinon, je ne sais pas de quoi tu parles, vraiment. J'ai choisi un prénom au hasard (il m'en fallait un en "A"). Il ne fallait pas le prendre pour toi. 

 

 

Il y a 2 heures, sera-angel a dit :

Ben limite on pourrait faire l'amalgame oui .. puisque la gifle ou la fessée inflige une douleur et une honte à l'enfant .

"Un châtiment corporel est une forme de punition dont l'objectif est d'infliger une douleur physique afin d'amener une personne reconnue coupable d'une faute ou d'un délit à un repentir et à éviter la récidive.

Le châtiment corporel a été (et est encore) très largement répandu à travers le monde en tant que pratique éducative envers les enfants et les adolescents, dans le cadre familial et dans le cadre scolaire. Dans ces contextes, le châtiment corporel est généralement défini de façon plus précise :

1) Définition de Murray A. Straus1, régulièrement utilisée telle quelle ou à peu près dans le champ de la recherche académique sur les châtiments corporels2,3,4 : un châtiment corporel est constitué par « l'utilisation de la force physique avec l'intention de faire ressentir une douleur à l'enfant, mais sans lui infliger de blessure, dans le but de corriger ou de contrôler son comportement. », le critère d'absence de blessure aidant à distinguer le châtiment corporel « socialement acceptable » de la « maltraitance »5.

2) Définition du Comité des droits de l'enfant de l'ONU6 : « les châtiments corporels sont tous châtiments impliquant l’usage de la force physique et visant à infliger un certain degré de douleur ou de désagrément, aussi léger soit-il. »

Le châtiment corporel demeure dans plusieurs dizaines de pays une forme légale de condamnation judiciaire, et/ou de mesure disciplinaire dans les lieux de privation de liberté, envers les personnes mineures ou majeures.

Fin 20167, les châtiments corporels sont totalement interdits en droit 

  • dans 164 États en tant que condamnation pénale
  • dans 138 États en tant que mesure disciplinaire au sein des institutions pénales
  • dans 130 États dans les institutions scolaires
  • dans 52 États (principalement en Europe et en Amérique du Sud) en tous lieux y compris dans le cadre familial

Les châtiments corporels vont de formes généralement considérées comme légères (fessée donnée à main nue, gifle) jusqu'à des formes de torture, y compris des mutilations. La peine de mort n'est habituellement pas incluse parmi les châtiments corporels, bien que « la douleur ressentie par les condamnés au cours de leur exécution peut être considérable, résultant parfois d'une volonté délibérée »8."

Non mais sérieusement...Tu penses sincèrement qu'une maman qui donne une tapette à sa fille veut lui faire du mal? Tu crois vraiment que c'est son objectif? Réfléchis deux minutes...

 

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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Vilaine a dit :

ahaha la meute des féministes quasi au complet!

Bon et sinon, je ne sais pas de quoi tu parles, vraiment. J'ai choisi un prénom au hasard (il m'en fallait un en "A"). Il ne fallait pas le prendre pour toi. 

 

 

Non mais sérieusement...Tu penses sincèrement qu'une maman qui donne une tapette à sa fille veut lui faire du mal? Tu crois vraiment que c'est son objectif? Réfléchis deux minutes...

 

A vous de répondre à ça ...moi je ne tape jamais sur mes enfants je ne peux donc pas répondre à votre question Vilaine

et puis vous n avez toujours pas répondu à la mienne de question..

En descendant la culotte en plus la fessée Vilaine...avec la main qui les nourrit ou avec un objet spécial ?

Modifié par sera-angel
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