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Cóínnéóídh mé do bhás
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C'est uniquement sur le volet pénal que cette conductrice exerce son droit d'appel, suivant son conseil. Il ne s'agit pas de minimiser sa responsabilité civile, elle ne contesterait pas les indemnités versées aux parties civiles. Elle se serait défendue en invoquant un malaise. La contrainte physique interne est le plus souvent invoquée en matière d'infractions routières, bien qu'en pratique elle constitue rarement une cause d'exonération. Ainsi, n'est pas pénalement responsable le conducteur qui perd le contrôle de son véhicule à la suite d'un malaise brutal et imprévisible : https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000007071078/ Il faut donc prouver qu'il y a eu un malaise (1ère condition) et que ce malaise a été brutal et imprévisible (2ème condition). Dans cette affaire, les témoignages convergeraient au contraire vers l'image d'une conductrice consciente, lucide, en pleine possession de ses moyens. Le délit de fuite ne plaide pas non plus en sa faveur ou alors elle se serait remise rapidement dudit malaise. La thèse du malaise n'a pas été retenue en première instance, ce qui ne veut pas dire qu'elle ne le pourrait pas en seconde instance. Dans la mesure où, ce qu'elle pourrait dire en l'espèce, c'est "ce n'est pas de ma faute, mais celle du malaise",(pour vraiment simplifier la chose), qu'elle en est convaincue, il est tout à fait logique qu'elle interjette appel. D'autant qu'il semblerait que le ministère public ne l'ait, quant à lui, pas fait. Elle n'aurait donc rien de plus à perdre. Cela ne veut pas dire pour autant qu'elle n'est pas affectée par ce décès, seulement que pour elle ce n'est pas de sa faute et par voie de conséquence que la sanction pénale prononcée n'est pas juste.
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Mince, rattrapée par la Pat’Patrouille ! Utiliser le nom d’un acteur connu pour son corps d’athlète, aux fins de faire un jeu de mots mettant en exergue un signe de vieillesse naturel chez les hommes… est, il est vrai, pas très gentil. Du tout. Cependant cela appelle (tout de même) une vraie question (unisexe) : Comment expliquer qu’à mesure que les années s’envolent, la pudeur et les complexes semblent s’effacer comme une brume du matin, laissant place à une franchise nue et sereine ? Vous apprécierez le ton poétique.
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Il y a un principe d'égalité devant la loi. Devant mes yeux c'est un brin différent.
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Le torse nu en ville était en train de passer tranquillement dans les usages. Les maires ont eu tôt fait de prendre des arrêtés. On en voit de moins en moins (chez les locaux également et pas que dans les stations balnéaires), depuis à peu près 5, 6 ans. Les récalcitrants sont souvent des hommes et ceux-ci sont d'ailleurs visés par diverses campagnes de publicité. Un bon slogan, vaut parfois mieux qu'un procès-verbal. A Royan : https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/royan/a-royan-le-torse-nu-dans-les-rues-vous-coutera-une-amende-de-33-euros-3195513.html Dans les faits, c'est davantage Henri Calvasse, qu'Henry Cavill que l'on croise torse nu en ville (hélas !).
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Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
C'est prévenant de ta part, néanmoins je te rassure : les réponses sur ce fil de discussion ne sont pas plus "déplacées" que celles présentes sur d'autres fils en Philosophie. J'en profite pour saluer l'ami @Crabe_fantome qui était un des "meilleurs contributeurs" s'agissant de ce sujet. Impossible de le mentionner correctement, pourtant l'orthographe est la bonne. J'espère qu'il est parvenu à se libérer. -
Sécurité et liberté vont classiquement de pair. On retrouve cette idée chez des penseurs tels que Hobbes (Léviathan) et Rousseau (Le contrat social). On la retrouve peut-être aussi chez More, sous forme d'une subtile critique. Je n'ai pas lu Orwell même si je sais qu'il traite largement ce thème. Certaines libertés sont sacrifiées sur l'autel de la sécurité. Mais, une vie excessivement contrôlée et même paisible (Utopia), n'est, pour autant, pas synonyme de bonheur. C'est ok pour ce paradigme là ?
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Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
Gisèle Halimi. Nelson Mandela. On pourrait ajouter Robert Badinter également, Simone Veil et tant d'autres. Au travers leurs luttes contre l'esclavage, la torture, la peine de mort, la grossesse imposée... ces humanistes ont incarné une conviction profonde : aucune liberté individuelle ne peut véritablement s'affranchir sans liberté collective. Tant qu'un seul être humain est opprimé, personne n'est véritablement libre. Libérer les autres, c'est leur reconnaître une humanité, une dignité, un droit à l'autonomie. Se faisant, on se déleste soi-même des chaînes de la domination, de l'indifférence, de la peur... @bouddeanPourquoi déplacer le sujet ? -
Pourquoi, devrait-on vous donner une leçon d'humilité ? L'arrogance qui n'est soutenue par rien, ressemble en effet à un écho bruyant dans une pièce désespérément vide... En revanche, lorsqu'elle s'appuie sur la réflexion, elle devient affirmation, certes parfois dérangeante, mais toujours légitime. Vous vous croyez où ? Sage enfermé dans sa tour + célibataire + chaussette (sale) =
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Les décès dépassent les naissances en France, une première depuis 1945
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Les natalistes et les grandsremplacés en PLS ! -
Le sage qui s'enferme dans sa tour d'ivoire croit contempler le monde, cependant il ne fait que contempler son propre reflet sur les vitres closes. Sans la rumeur des autres, la sagesse n'est que monologue.
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Test d'une recette de "Tableaux Paris" réussi : Tomates, abricots et burrata. Les abricots et les zestes de citrons twistent la classique tomate-mozza. En 5 minutes chrono, il suffit de faire rôtir des abricots coupés en tranches avec une gousse d'ail, un peu de beurre et une branche ou 2 de romarin. En attendant, on coupe des tranches fines de tomates de couleurs diverses (ou non), on les assaissone (sel + piment d'espelette). Dans un plat, on écrase une burrata, on ajoute un filet d'huile d'olive, on assaisonne. On recrouvre cette burrata avec les tranches de tomates et les abricots en les intercalant, comme un tian de légumes. On zeste un citron vert et un citron jaune ou l'un ou l'autre.
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