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Gilets Jaunes, quel avenir pour le mouvement

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Message ajouté par Caez

Plusieurs centaines de signalements sur ce sujet. Si les débordements continuent, il sera définitivement fermé.

Messages recommandés

Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 907 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Ce qui a déclenché l’episode Pitié Salpetriere :

https://www.forumfr.com/sujet855099-lopposition-demande-la-démission-de-castaner.html?do=findComment&comment=11760817

Marrant cet épisode est peu repris . Notre journaliste sans carte aura t’il pris des photos brutes ?

 

PARIS - Parmi les tensions dans la capitale lors de la journée du 1er mai, de violents heurts se sont déroulés devant le commissariat du 13e arrondissement, situé sur la fin du parcours de la manifestation intersyndicale.

 Vers 15h45, des “black blocs”, les mains gantées de noir, auxquels se sont mêlés des gilets jaunes, ont tenté de repousser et mettre à terre des barrières anti-émeutes protégeant l’enceinte. “La police est notre ennemie”, a-t-on pu notamment entendre, alors que l’assaut a duré plusieurs minutes.

Face à eux, les forces de l’ordre ont répliqué avec des charges et en usant de gaz lacrymogènes.

 

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 311 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

La fraude fiscale ne concerne pas que les riches #padamalgam

Un exemple parmi d’autres 

https://www.publicsenat.fr/lcp/politique/travail-noir-l-autre-grande-fraude-fiscale-sociale-1310324?amp

 

Chômeurs et personnes au rsa qui bossent au noir sont pléthores!

Des salariés qui demandent à leur patron de ne pas déclarer tout leur salaire pour ne pas entrer dans la "zone impôts" ou pour ne pas perdre certains avantages, sont plus nombreux que les gens ne le pense!

Ou ceux qui veulent faire baisser les pensions alimentaires avec une baisse de salaire, ça existe aussi....

Oui la fraude est assez généralisée...

Des fonctionnaires bossent au noir aussi, comme pour des leçons particulières non déclarées pour des profs etc.

Mais ils peuvent aussi employés des gens sans les déclarés...

C'est vraiment très varié mais bien réel!

Et l'on ne parle pas de toutes les déclarations fausses pour obtenir des avantages, comme se déclarer seul(e) pour avoir des droits etc.

Les français sont les rois de la magouille...

Le système D...ils l'ont inventé...

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 907 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 46 minutes, stvi a dit :

un peu d'accord avec toi , mais pas sur les termes ... pour moi elle se protège honteusement ...s 'il y avait un créneau pour les forcer à payer l'impôt même sur les capitaux placés au chaux dans des paradis fiscaux ,n'importe quel gouvernement le prendrait ... que ce soit LFI ou RN , ils n'arriveront pas plus à percevoir  plus d'impôt qu'actuellement ... LFI propose de confisquer les capitaux , c'est exactement la technique Maduro 

Meuh non lors du tournant de 1981 La gauche flamboyante a brillamment réussi : tournant de l’austerite . Idem sous Jospin , gouvernement qui aura le plus privatisé , et aura defiscalise les stocks options . Mais bien sur ils étaient de gauche alors ça va !

La gauche française au pouvoir c’est le capital trop fort , un non gauche c’est de la collusion :smile2:

Et pour les cakes qui nous resserviraient de Gaulle rappelons qu’à cette époque les US avaient un taux de prélèvement supérieur à 70% . La France serait elle donc une ile qui peut aujourd’hui encore faire totalement abstraction du monde qui l’entoure alors même qu’elle est massivement importatrice et a aujourd’hui encore une part dans le commerce mondial bien supérieur à la population qu’elle représente ?

La France est déjà singulière et tant bien que mal arrive à maintenir son gini malgré une mondialisation inévitable qui ne lui offre pas les débouchés assurés de ses anciennes colonies , faudra t’il Dépasser le point de rupture ?

Le consentement à l’impôt s’érode et il n’a pas attendu le remplacement de l’isf Par l’ifi. On peut aussi supprimer l’enorme niche fiscale des emplois de service à la personne , pour quel résultat. ?

Et puis quelle justice fiscale quand on applaudit à une niche fiscale CSG sur le critère de son poids électoral ?

Jean-Jacques Laffont avait dans un rapport pointé ce tropisme démocratique, inutile d’accabler le politique , sauf à être croyant dans un transcendant licornesque il est inévitable , seule l’instauration progressive d’une transversalité par la société civile permettra peut être un jour d’en sortir . Des autorités indépendantes comme l’arcep Etc petit à petit sorte des secteurs des affres inévitables du court termisme démocratique . Il faut évidemment veiller à des contre pouvoirs à même de veiller à ce que le mandat de ces autorités soit correctement rempli 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 311 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Vous ne comprenez pas souvent c'est vrai.

Pour la lybie, après que sarkosy ait fait sa guerre  Macron veut placer un militaire à  la tête  de l 'état c'est  ce que denoncent ces gens, l' ingérence. 

D'où leurs gilets jaunes.

Au fait, les 3 listes jaunes sont plutôt à droite de la droite...

Cadeau!:miam:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, zenalpha a dit :

Ce sont des sujets complexes.

Comment faire face aux defis de l'humanité sans...une AUTRE forme de gouvernance mondiale ?

Il faut bien se rendre compte que les murs dressés et les arsenaux militaires...c'est maintenir une capacité de surconsommation "insane" au détriment d'une pauvreté extérieure aux frontières et si possible dont on exploite les ressources.

Oui , on s' éloigne un peu du sujet, bien que sur le fond  ce soit encore la même  politique ultra libérale qui crée la misère hors frontière. 

Plus ces gens seront puissants plus les dégâts le seront.

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 242 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
il y a 29 minutes, zenalpha a dit :

Ma foi, j'ai du mal à digérer ce système d'ultra concentration des richesses.

Il est aberrant que le pouvoir indiscutable du marché ne soit pas regulé.

Il y a derrière l'idée de société un écran de fumée par montage juridique international qui obscurcit les bénéficiaires effectifs.

Notre président est le représentant de ce lobby.

Il se fout des français 

Savez vous qu'il n'est pas possible de connaître les créanciers de la dette française ?

 

https://www.ieif.fr/revue_de_presse/pourquoi-letat-ignore-qui-detient-sa-dette

La Banque de France livre une photographie très peu précise des détenteurs d’emprunts d’Etat français. L’Etat a lui-même pris des dispositions légales pour ne pas identifier ses créanciers et leur garantir l’anonymat.
La dette française est-elle un actif stratégique qui ne doit pas tomber entre toutes les mains ? Le sujet, qui alimente les polémiques, sous-tend l’enquête menée par la commission des Finances de l’Assemblée. Le rapport d’information qu’elle vient de publier pose notamment deux questions : qui détient les titres émis par l’Etat ? La France se donne-t-elle les moyens de le savoir ? La réponse laisse songeur.« Nous ne sommes pas convaincus que l’AFT (l’Agence France Trésor, en charge de gérer la dette, NDLR) nous ait fourni toutes les informations dont elle pouvait disposer, cela reste donc un point d’interrogation », pointe Nicolas Sansu, le rapporteur.

Que sait-on exactement sur la détention des titres de dette française ? Les statistiques publiées chaque trimestre par l’AFT montrent que 61,3 % de l’encours est entre les mains de non-résidents. Une proportion qui a faibli ces dernières années. Au sein des détenteurs français, à côté des assureurs (18 %) et des banques (9 %), une catégorie explose : celle qui inclut la Banque de France, qui achète notamment les titres pour le compte de la Banque centrale européenne (BCE) dont le programme d’assouplissement quantitatif a démarré en mars 2015. La part de cette catégorie est ainsi passée de 4,4 % fin 2014 à 9,5 %.

Cette photographie très générale provient de la Banque de France, qui collecte les informations auprès des établissements teneurs de comptes titres : ceux-ci déclarent leurs positions propres et, de façon agrégée, celle de leur clientèle. Depuis 2012, les informations sont complétées par celles de la base de données de l’Eurosystème baptisée Protide. L’AFT se nourrit aussi des informations fournies par ses 18 banques partenaires (SVT) sur les acheteurs. Les SVT servant d’intermédiaires entre l’Etat et les investisseurs au moment des émissions de titres, ils ont une vision du flux. Ainsi, selon un responsable de HSBC auditionné pour le rapport, en 2015, près de 70 % des achats nets de dette ont été réalisés par des banques centrales ou des fonds souverains. Un représentant de BNP Paribas a, lui, estimé que les banques centrales autres que la BCE (surtout asiatiques) représentaient un quart de la part détenue par les non-résidents. A l’automne 2011, quand la dette française a été secouée sur les marchés, un banquier confiait aux « Echos » que les positions des « hedge funds » atteignaient des records. Telles sont les données « molles » que peuvent faire remonter les SVT.

L’Etat est donc loin d’identifier les porteurs de ses titres. La commission des Finances a estimé qu’il y avait d’abord une raison pratique à cela : « La rapidité avec laquelle les titres sont échangés et l’internationalisation des marchés, avec de nombreux intermédiaires, compliquent la recherche. » De fait, l’équivalent de 10 milliards d’euros de titres change de mains chaque jour, soit deux fois le stock de dette chaque année.

Interrogé, le directeur des opérations d’Euroclear – le dépositaire central qui gère environ 300 comptes pour des banques en France – a reconnu que la remontée des informations pouvait connaître des limites du fait des ramifications des comptes au niveau international. Connaître les détenteurs finaux de titres est donc très compliqué. Mais il a surtout insisté sur l’obstacle juridique. « Sur les actions, qui sont des titres aux porteurs identifiables, nous sommes habilités à collecter l’information auprès des banques. Nous avons les positions titres dans nos livres et il suffit de lancer une requête. Ceci est techniquement transposable aux titres d’Etat mais juridiquement pas permis. » Une déclaration qui ne manque pas de surprendre.

Paradis fiscaux
Que prévoit la loi ? Le dispositif qui permet aux entreprises d’identifier leurs actionnaires a été étendu à certains émetteurs d’obligations par ordonnance en 2014. Problème : l’ordonnance a explicitement exclu les personnes morales de droit public de ce dispositif. En d’autres termes, l’Etat s’est volontairement privé de la possibilité de connaître ses créanciers. Cette exception, qui peut sembler invraisemblable, tient à des raisons de compétitivité : pour que la dette française soit attrayante, il faut respecter l’anonymat des investisseurs.« Une obligation de déclaration qui s’imposerait aux détenteurs de dette française, et uniquement à eux, nous ferait prendre un risque car ce serait un désavantage compétitif par rapport aux autres Etats […].Les investisseurs n’aiment pas dévoiler leurs positions sur le marché, pour des raisons dont certaines me semblent légitimes », a expliqué l’AFT, en faisant notamment référence aux banques centrales.« Il faudrait demander aux investisseurs d’où vient l’argent qu’ils placent, et ils n’ont pas nécessairement envie de le dire. Il est évident que certains ont quelque chose à cacher, mais lors de la crise des dettes souveraines, nous avons aussi connu des investisseurs qui n’étaient pas très fiers d’avoir investi dans la dette grecque ou espagnole », a déclaré un SVT. Tous les experts auditionnés ont dès lors reconnu que la dette pouvait se retrouver sur des comptes dans des paradis fiscaux. Un mal nécessaire pour continuer d’emprunter sans difficulté ? Les rapporteurs proposent un compromis : pouvoir accéder à l’information, sans pour autant la publier.

Capture

Les chiffres clefs
2,2 % Le taux d’intérêt moyen
payé sur l’ensemble de la dette publique ou taux apparent. Celui-ci est en baisse mais reste largement supérieur au taux de croissance et d’inflation, ce qui fait que l’effet « boule de neige » continue à alimenter la dette publique.

1.254 milliards d’euros
En coût cumulé, c’est le montant d’intérêts versés entre 1978 (début des statistiques Insee) et 2014 pour la dette de toutes les administrations publiques confondues. Ce chiffre doit être mis en perspective avec les recettes et les dépenses publiques cumulées sur cette même période : les intérêts versés représentent 5,5 % des recettes annuelles moyennes sur cette période et 5,1 % des dépenses cumulées.

1.945 milliards d’euros
L’accroissement total de la dette publique française entre 1978 et 2014.

Isabelle Couet

 

Les propositions clefs de la commission des Finances

La commission des Finances analyse les raisons de l’aggravation de la dette publique et propose plusieurs pistes d’amélioration.
C’est une sorte de vade-mecum de la dette française. Sur 300 pages, le rapport de la mission d’évaluation et de contrôle de l’Assemblée nationale, publié lundi, dresse un état des lieux sans concession, mais sans biais idéologique, de la dette française. Le constat est sans appel. Depuis 1974, aucun budget n’a été voté en équilibre, et l’endettement n’a cessé de croître. Il est passé de 20 % du PIB à la fin des années 1970 à près de 96 % en 2015. Les raisons de cette augmentation tiennent d’abord à une hausse des dépenses de l’Etat qui ne sont pas compensées par celle des recettes, aggravant le déficit. Mais, dans le même temps, la France est passée d’un mécanisme de financement au coût très favorable à l’Etat – le « circuit du trésor » – à un recours quasi exclusif aux marchés de capitaux, beaucoup moins souple. Une situation qui a réduit les possibilités de désendettement.

Pour sortir de ce cercle vicieux, les auteurs du rapport formulent plusieurs pistes d’amélioration. Les premières portent sur la maîtrise de l’évolution de la dette, en favorisant l’investissement. Comme le constatent les députés, la majeure partie de l’accroissement de la dette de l’Etat provient de dépenses de fonctionnement. Par définition, ces dernières ne génèrent pas de revenus permettant de rembourser les emprunts. Il est donc nécessaire à la fois de poursuivre la lutte contre l’évasion et la fraude fiscale, d’évaluer l’efficacité des dépenses de l’Etat et de renforcer les dispositifs de soutien à l’investissement, comme les garanties ou les versements aux fonds publics d’investissements. Quant aux grands projets d’avenir, ils pourraient être financés par l’épargne des ménages, afin de réduire la dépendance aux marchés de capitaux.

Mesures iconoclastes
Concernant les gestions de la dette proprement dite, et particulièrement la charge des intérêts, la mission d’évaluation envisage des mesures plutôt iconoclastes. Elle propose notamment de plafonner le montant annuel des remboursements en deçà d’un niveau de soutenabilité calculé en fonction de la croissance du PIB et de l’inflation. A l’inverse, des clauses de remboursements anticipés pourraient être introduites dans les obligations d’Etat pour permettre au Trésor d’alléger l’endettement de l’Etat quand il le peut.

Le rapport suggère également d’amender la politique de stabilité du programme des émissions à laquelle se tient l’Agence France Trésor, qui gère les emprunts d’Etats français, en profitant des conditions de financement exceptionnelles offertes par les marchés actuellement pour réduire la charge de la dette sur le long terme, et anticiper une future remontée des taux d’intérêt.

G. Be.

Comment la France emprunte sur les marchés

Le placement de la dette d’Etat auprès des investisseurs suit un processus très encadré reposant sur un réseau de banques.
Depuis 2001, la gestion de la dette française est confiée à l’Agence France Trésor (AFT), dont l’ancêtre était le « bureau A1 ». A ses débuts, l’AFT gérait un stock obligataire de 613 milliards d’euros, contre 1.624 milliards actuellement. La part des acheteurs non résidents était alors de 33 %. En quinze ans, l’agence logée à Bercy a donc dû faire de gros efforts pour s’adapter aux nouvelles réalités : recruter des professionnels et développer sa salle des marchés.

Comme l’AFT doit être parfaitement en phase avec les marchés, elle s’appuie sur des spécialistes en valeurs du Trésor (SVT), un réseau de 18 banques partenaires, dont un certain nombre d’établissements étrangers (Barclays, Goldman Sachs…). Chacune des banques doit non seulement acheter une part des titres français lors des émissions (qu’il revend ensuite en partie), mais aussi conseiller et remonter des informations recueillies auprès des investisseurs de tous les continents.

La liquidité, une priorité
Il existe deux manières de placer la dette de l’Etat sur les marchés. La plus fréquemment utilisée est celle de l’adjudication. Il s’agit d’un processus d’enchères, où seuls les SVT peuvent participer, en proposant un montant et un prix. Charge pour eux de replacer les titres auprès de leurs clients (gérants, fonds souverains, banques centrales…). L’autre méthode est celle de la syndication. Un petit groupe de banques (le syndicat) est mandaté (et rémunéré) pour organiser la vente d’une souche totalement nouvelle via un carnet d’ordres ouverts à tout investisseur. Ces opérations sont rares et ne sont pas annoncées à l’avance, contrairement aux adjudications, qui ont lieu deux jeudi par mois.

Pour les investisseurs, la qualité de crédit de l’émetteur est un élément déterminant mais la liquidité – la capacité à acheter et à vendre facilement les titres – l’est tout autant. C’est pourquoi la France en fait une priorité lorsqu’elle fixe son programme de financement.

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
à l’instant, Morfou a dit :

Au fait, les 3 listes jaunes sont plutôt à droite de la droite...

Cadeau!:miam:

Oui et?

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 311 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Vintage a dit :

Sans doute que le photographe "indépendant" qui roule pour les gilets jaunes a insulté le policier de "sac à merde" pour ensuite se régaler de la réaction du dit policier?

Tout est possible avec ces tarés...

Fin de l'aparté..:miam:

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 484 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 7 minutes, ouest35 a dit :

https://www.ieif.fr/revue_de_presse/pourquoi-letat-ignore-qui-detient-sa-dette

La Banque de France livre une photographie très peu précise des détenteurs d’emprunts d’Etat français. L’Etat a lui-même pris des dispositions légales pour ne pas identifier ses créanciers et leur garantir l’anonymat.
La dette française est-elle un actif stratégique qui ne doit pas tomber entre toutes les mains ? Le sujet, qui alimente les polémiques, sous-tend l’enquête menée par la commission des Finances de l’Assemblée. Le rapport d’information qu’elle vient de publier pose notamment deux questions : qui détient les titres émis par l’Etat ? La France se donne-t-elle les moyens de le savoir ? La réponse laisse songeur.« Nous ne sommes pas convaincus que l’AFT (l’Agence France Trésor, en charge de gérer la dette, NDLR) nous ait fourni toutes les informations dont elle pouvait disposer, cela reste donc un point d’interrogation », pointe Nicolas Sansu, le rapporteur.

Que sait-on exactement sur la détention des titres de dette française ? Les statistiques publiées chaque trimestre par l’AFT montrent que 61,3 % de l’encours est entre les mains de non-résidents. Une proportion qui a faibli ces dernières années. Au sein des détenteurs français, à côté des assureurs (18 %) et des banques (9 %), une catégorie explose : celle qui inclut la Banque de France, qui achète notamment les titres pour le compte de la Banque centrale européenne (BCE) dont le programme d’assouplissement quantitatif a démarré en mars 2015. La part de cette catégorie est ainsi passée de 4,4 % fin 2014 à 9,5 %.

Cette photographie très générale provient de la Banque de France, qui collecte les informations auprès des établissements teneurs de comptes titres : ceux-ci déclarent leurs positions propres et, de façon agrégée, celle de leur clientèle. Depuis 2012, les informations sont complétées par celles de la base de données de l’Eurosystème baptisée Protide. L’AFT se nourrit aussi des informations fournies par ses 18 banques partenaires (SVT) sur les acheteurs. Les SVT servant d’intermédiaires entre l’Etat et les investisseurs au moment des émissions de titres, ils ont une vision du flux. Ainsi, selon un responsable de HSBC auditionné pour le rapport, en 2015, près de 70 % des achats nets de dette ont été réalisés par des banques centrales ou des fonds souverains. Un représentant de BNP Paribas a, lui, estimé que les banques centrales autres que la BCE (surtout asiatiques) représentaient un quart de la part détenue par les non-résidents. A l’automne 2011, quand la dette française a été secouée sur les marchés, un banquier confiait aux « Echos » que les positions des « hedge funds » atteignaient des records. Telles sont les données « molles » que peuvent faire remonter les SVT.

L’Etat est donc loin d’identifier les porteurs de ses titres. La commission des Finances a estimé qu’il y avait d’abord une raison pratique à cela : « La rapidité avec laquelle les titres sont échangés et l’internationalisation des marchés, avec de nombreux intermédiaires, compliquent la recherche. » De fait, l’équivalent de 10 milliards d’euros de titres change de mains chaque jour, soit deux fois le stock de dette chaque année.

Interrogé, le directeur des opérations d’Euroclear – le dépositaire central qui gère environ 300 comptes pour des banques en France – a reconnu que la remontée des informations pouvait connaître des limites du fait des ramifications des comptes au niveau international. Connaître les détenteurs finaux de titres est donc très compliqué. Mais il a surtout insisté sur l’obstacle juridique. « Sur les actions, qui sont des titres aux porteurs identifiables, nous sommes habilités à collecter l’information auprès des banques. Nous avons les positions titres dans nos livres et il suffit de lancer une requête. Ceci est techniquement transposable aux titres d’Etat mais juridiquement pas permis. » Une déclaration qui ne manque pas de surprendre.

Paradis fiscaux
Que prévoit la loi ? Le dispositif qui permet aux entreprises d’identifier leurs actionnaires a été étendu à certains émetteurs d’obligations par ordonnance en 2014. Problème : l’ordonnance a explicitement exclu les personnes morales de droit public de ce dispositif. En d’autres termes, l’Etat s’est volontairement privé de la possibilité de connaître ses créanciers. Cette exception, qui peut sembler invraisemblable, tient à des raisons de compétitivité : pour que la dette française soit attrayante, il faut respecter l’anonymat des investisseurs.« Une obligation de déclaration qui s’imposerait aux détenteurs de dette française, et uniquement à eux, nous ferait prendre un risque car ce serait un désavantage compétitif par rapport aux autres Etats […].Les investisseurs n’aiment pas dévoiler leurs positions sur le marché, pour des raisons dont certaines me semblent légitimes », a expliqué l’AFT, en faisant notamment référence aux banques centrales.« Il faudrait demander aux investisseurs d’où vient l’argent qu’ils placent, et ils n’ont pas nécessairement envie de le dire. Il est évident que certains ont quelque chose à cacher, mais lors de la crise des dettes souveraines, nous avons aussi connu des investisseurs qui n’étaient pas très fiers d’avoir investi dans la dette grecque ou espagnole », a déclaré un SVT. Tous les experts auditionnés ont dès lors reconnu que la dette pouvait se retrouver sur des comptes dans des paradis fiscaux. Un mal nécessaire pour continuer d’emprunter sans difficulté ? Les rapporteurs proposent un compromis : pouvoir accéder à l’information, sans pour autant la publier.

Capture

Les chiffres clefs
2,2 % Le taux d’intérêt moyen
payé sur l’ensemble de la dette publique ou taux apparent. Celui-ci est en baisse mais reste largement supérieur au taux de croissance et d’inflation, ce qui fait que l’effet « boule de neige » continue à alimenter la dette publique.

1.254 milliards d’euros
En coût cumulé, c’est le montant d’intérêts versés entre 1978 (début des statistiques Insee) et 2014 pour la dette de toutes les administrations publiques confondues. Ce chiffre doit être mis en perspective avec les recettes et les dépenses publiques cumulées sur cette même période : les intérêts versés représentent 5,5 % des recettes annuelles moyennes sur cette période et 5,1 % des dépenses cumulées.

1.945 milliards d’euros
L’accroissement total de la dette publique française entre 1978 et 2014.

Isabelle Couet

 

Les propositions clefs de la commission des Finances

La commission des Finances analyse les raisons de l’aggravation de la dette publique et propose plusieurs pistes d’amélioration.
C’est une sorte de vade-mecum de la dette française. Sur 300 pages, le rapport de la mission d’évaluation et de contrôle de l’Assemblée nationale, publié lundi, dresse un état des lieux sans concession, mais sans biais idéologique, de la dette française. Le constat est sans appel. Depuis 1974, aucun budget n’a été voté en équilibre, et l’endettement n’a cessé de croître. Il est passé de 20 % du PIB à la fin des années 1970 à près de 96 % en 2015. Les raisons de cette augmentation tiennent d’abord à une hausse des dépenses de l’Etat qui ne sont pas compensées par celle des recettes, aggravant le déficit. Mais, dans le même temps, la France est passée d’un mécanisme de financement au coût très favorable à l’Etat – le « circuit du trésor » – à un recours quasi exclusif aux marchés de capitaux, beaucoup moins souple. Une situation qui a réduit les possibilités de désendettement.

Pour sortir de ce cercle vicieux, les auteurs du rapport formulent plusieurs pistes d’amélioration. Les premières portent sur la maîtrise de l’évolution de la dette, en favorisant l’investissement. Comme le constatent les députés, la majeure partie de l’accroissement de la dette de l’Etat provient de dépenses de fonctionnement. Par définition, ces dernières ne génèrent pas de revenus permettant de rembourser les emprunts. Il est donc nécessaire à la fois de poursuivre la lutte contre l’évasion et la fraude fiscale, d’évaluer l’efficacité des dépenses de l’Etat et de renforcer les dispositifs de soutien à l’investissement, comme les garanties ou les versements aux fonds publics d’investissements. Quant aux grands projets d’avenir, ils pourraient être financés par l’épargne des ménages, afin de réduire la dépendance aux marchés de capitaux.

Mesures iconoclastes
Concernant les gestions de la dette proprement dite, et particulièrement la charge des intérêts, la mission d’évaluation envisage des mesures plutôt iconoclastes. Elle propose notamment de plafonner le montant annuel des remboursements en deçà d’un niveau de soutenabilité calculé en fonction de la croissance du PIB et de l’inflation. A l’inverse, des clauses de remboursements anticipés pourraient être introduites dans les obligations d’Etat pour permettre au Trésor d’alléger l’endettement de l’Etat quand il le peut.

Le rapport suggère également d’amender la politique de stabilité du programme des émissions à laquelle se tient l’Agence France Trésor, qui gère les emprunts d’Etats français, en profitant des conditions de financement exceptionnelles offertes par les marchés actuellement pour réduire la charge de la dette sur le long terme, et anticiper une future remontée des taux d’intérêt.

G. Be.

Comment la France emprunte sur les marchés

Le placement de la dette d’Etat auprès des investisseurs suit un processus très encadré reposant sur un réseau de banques.
Depuis 2001, la gestion de la dette française est confiée à l’Agence France Trésor (AFT), dont l’ancêtre était le « bureau A1 ». A ses débuts, l’AFT gérait un stock obligataire de 613 milliards d’euros, contre 1.624 milliards actuellement. La part des acheteurs non résidents était alors de 33 %. En quinze ans, l’agence logée à Bercy a donc dû faire de gros efforts pour s’adapter aux nouvelles réalités : recruter des professionnels et développer sa salle des marchés.

Comme l’AFT doit être parfaitement en phase avec les marchés, elle s’appuie sur des spécialistes en valeurs du Trésor (SVT), un réseau de 18 banques partenaires, dont un certain nombre d’établissements étrangers (Barclays, Goldman Sachs…). Chacune des banques doit non seulement acheter une part des titres français lors des émissions (qu’il revend ensuite en partie), mais aussi conseiller et remonter des informations recueillies auprès des investisseurs de tous les continents.

La liquidité, une priorité
Il existe deux manières de placer la dette de l’Etat sur les marchés. La plus fréquemment utilisée est celle de l’adjudication. Il s’agit d’un processus d’enchères, où seuls les SVT peuvent participer, en proposant un montant et un prix. Charge pour eux de replacer les titres auprès de leurs clients (gérants, fonds souverains, banques centrales…). L’autre méthode est celle de la syndication. Un petit groupe de banques (le syndicat) est mandaté (et rémunéré) pour organiser la vente d’une souche totalement nouvelle via un carnet d’ordres ouverts à tout investisseur. Ces opérations sont rares et ne sont pas annoncées à l’avance, contrairement aux adjudications, qui ont lieu deux jeudi par mois.

Pour les investisseurs, la qualité de crédit de l’émetteur est un élément déterminant mais la liquidité – la capacité à acheter et à vendre facilement les titres – l’est tout autant. C’est pourquoi la France en fait une priorité lorsqu’elle fixe son programme de financement.

 

La dérégulation inscrit dans le code de commerce l'impossibilité même de connaître précisément les créanciers 

Cette opacité est souhaitée et organisée

 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 242 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

La dérégulation inscrit dans le code de commerce l'impossibilité même de connaître précisément les créanciers 

Cette opacité est souhaitée et organisée

 

oui première phrase de mon lien :

" La Banque de France livre une photographie très peu précise des détenteurs d’emprunts d’Etat français. L’Etat a lui-même pris des dispositions légales pour ne pas identifier ses créanciers et leur garantir l’anonymat."

Bon ce Monsieur est RN mais il n'est pas le premier a dire cette Lapalissade mais de le savoir ne nous donne pas le sésame pour que ça change c'est là que les Athéniens s'atteignent ???

:hi:

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 311 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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il y a une heure, new caravage a dit :

                 Tu sais je peux aussi raconter des blagues juives comme le nom de ma mère finissait par "stein" ce serait aussi de l'autodérision mais bon !!

Le politiquement correct est entré dans les moeurs...

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
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il y a 39 minutes, zenalpha a dit :

Il est aberrant que le pouvoir indiscutable du marché ne soit pas regulé.

Il est régulé, mais pas assez très loin s'en faut.

Les fonds propres des banques sont toujours insuffisants tout en étant non ségréguées. Ça allait un peu dans les bon sens à petit pas, sauf que les dispositions sont rédigées par les banques elle même le sujet étant par trop complexe. Elles écrivent des trucs qu'elles savent contourner - le PDG se société générale lui même avoue que ça contraint 5% de son activité.

Après quelques progrès, les gilets jaunes ont alors élu Trump. Et là c'est parti dans l'autre sens. Les Européens ne peuvent pas réguler plus fort leurs banques que les banques US, sinon l'Europe se fait bouffer. C'est à pleurer.

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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il y a 20 minutes, Morfou a dit :

Des fonctionnaires bossent au noir aussi, comme pour des leçons particulières non déclarées pour des profs etc.

 

Je crois que c'est autorisé.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 907 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Vous mentez et je vous l'ai déjà  fait remarqué sur ce sujet.

Trouvez cette phrase et ensuite je vous répondrai.

En attendant vous calomniez .

 

https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/calomnie-1/

Quel rapport avec l’honneur ?

Je ne compte plus vos fakes démontrés et pourtant encore et toujours assénés . Je ne vois donc pas en quoi votre honneur serait atteint .

 

Modifié par DroitDeRéponse
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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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il y a 1 minute, Morfou a dit :

Le politiquement correct est entré dans les moeurs...

Surtout s'il y a des pépettes à se faire.

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
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Il y a 9 heures, DroitDeRéponse a dit :

La fraude fiscale ne concerne pas que les riches #padamalgam

Un exemple parmi d’autres 

https://www.publicsenat.fr/lcp/politique/travail-noir-l-autre-grande-fraude-fiscale-sociale-1310324?amp

 

Ah mais je sais bien DroitDeRéponse, mais c'est la seule fraude qui compte pour Zebusoif. Les fraudes aux allocations familiales, au RSA, au travail au noir ... ça c'est pas grave... Tout ce qui compte pour lui c'est d'affirmer que les riches sont tous des fraudeurs et qu'on doit les plumer pour engraisser un peu plus l'assistanat Français ! 

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Vous ne comprenez pas souvent c'est vrai.

Pour la lybie, après que sarkosy ait fait sa guerre  Macron veut placer un militaire à  la tête  de l 'état c'est  ce que denoncent ces gens, l' ingérence. 

D'où leurs gilets jaunes.

Etant donné le tombereau d'immigration illégale qui s'en déverse sur l'Europe, l'ingérence est légitime. Régime fort, jungle de Calais locale.

il y a 26 minutes, PASCOU a dit :

Oui , on s' éloigne un peu du sujet, bien que sur le fond  ce soit encore la même  politique ultra libérale qui crée la misère hors frontière. 

En effet, sortir de la pauvreté deux milliards d'individus de la pauvreté absolue et qui vont venir te contester le beefsteak est une misère. 

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Les violences des policiers sont surtout sur des gens non cagoulés,  non équipés, bref des personnes lambdas pris au hasard pour mettre la terreur.

C'est la seule façon d'être sur qu'ils ne cognent pas sur un flic. :sleep:

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 311 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 51 minutes, zenalpha a dit :

Ma foi, j'ai du mal à digérer ce système d'ultra concentration des richesses.

Il est aberrant que le pouvoir indiscutable du marché ne soit pas regulé.

Il y a derrière l'idée de société un écran de fumée par montage juridique international qui obscurcit les bénéficiaires effectifs.

Notre président est le représentant de ce lobby.

Il se fout des français 

Savez vous qu'il n'est pas possible de connaître les créanciers de la dette française ?

 

https://www.francetransactions.com/le-saviez-vous/surendettement-des-etats-qui-detient-la-dette-de-la-france.html

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 242 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
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il y a 28 minutes, Morfou a dit :

Sans doute que le photographe "indépendant" qui roule pour les gilets jaunes a insulté le policier de "sac à merde" pour ensuite se régaler de la réaction du dit policier?

Tout est possible avec ces tarés...

Fin de l'aparté..:miam:

"Sans doute" "saca merde" "tout est possible"

Juste des hypothèes ... tout comme "tarés" !

L'argumentaire est brillant !

 

 

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 12 minutes, DroitDeRéponse a dit :

https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/calomnie-1/

Quel rapport avec l’honneur ?

Je ne compte plus vos fakes démontrés et pourtant encore et toujours assénés . Je ne vois donc pas en quoi votre honneur serait atteint .

 

Arrêtez vos calomnies.

1er sommation. 

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