Gilets Jaunes, quel avenir pour le mouvement

il y a 5 minutes, Harduson a dit :

Christophe Castaner :

Jeunesse

À 18 ans, il quitte le foyer familial et reste deux ans à Marseille, où il gagne de l'argent notamment en jouant au poker. Il se lie avec Christian Oraison, un caïd des Alpes-de-Haute-Provence de la Dream Team abattu de plusieurs balles en 2008 ; il déclare à ce sujet : « C'était mon grand frère, mon protecteur. Il m'appelait l'étudiant ».

 

https://www.lejdd.fr/Politique/les-erreurs-de-jeunesse-de-christophe-castaner-3670172

Moi je comprends que ce type défende l'apprentissage !

https://www.20minutes.fr/politique/2376551-20181120-republique-marche-parquet-paris-ouvre-enquete-origine-144000-euros-dons

Des donateurs impossibles à identifier

Mais la CNCCFP n’a pas réussi à déterminer l’origine de 144.000 euros de dons, perçus par chèques, virements ou encore paiements électroniques, par le parti présidentiel en 2017. Dans la législation française, un donateur ne peut pas verser plus de 7.500 euros, par an, à un parti politique. Pour le parquet de Paris, l’impossibilité d’identifier les donateurs de ces 144.000 euros justifie l’ouverture d’une enquête préliminaire. Cette dernière a été confiée à la police anticorruption de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (OCLICCF).

il y a 20 minutes, PASCOU a dit :

BFM intox, plus menteur tu meurs!

La tv des maisons de retraite!

Il parle trop vite tu décroches?

Maintenant je comprends pourquoi certains préfèrent BFM, la chaine qui radote.

Comme pour les policiers motos  caillassés que BFM montrent en boucle, sauf qu ils coupent délibérément le début de la vidéo ou l on voit clairement que ce sont ces memes policiers qui arrivent tranquilles et  qui se mettent à jeter des lacrymo a gogo alors que personne ne leur prêtait attention.  Ce qui explique la colère des gj , qui ne font que se défendre ou répliquer,  ce qui change tout ,  BFM et consoeurs le savent très bien.

et joyeux Noël...

il y a 8 minutes, Maxence22 a dit :

Donc c'est bien ce que je dis: les laisser dans leurs merdes. Est-ce que tu as fait une de ces soit-disant formation ?

Les aides et les assistances sociales ne te font pas sortir de la merde. Alors certes en France tu ne meurs pas de faim... mais il y a des gens qui ne chauffe pas leur domicile pendant l'Hiver. Il y en a qui vivent sans eaux chaudes, etc...

oui bien sûr tout au début de la micro informatique par l’intermédiaire de la FPA au arts et métiers  ,deux soirées par semaine après le boulot pendant des années  ,par pure curiosité personnelle ...

 On vient de donner dix milliards , si cet argent était concentré sur les gens qui ne gagnent pas assez d'argent pour manger ,se chauffer , il n'y aurait plus personne en situation de détresse ... on est un des pays qui redistribue le plus en Europe  ,et peut être le plus mal ...   on fait du saupoudrage et finalement personne n'est content ... 

il y a 10 minutes, Harduson a dit :

https://www.20minutes.fr/politique/2376551-20181120-republique-marche-parquet-paris-ouvre-enquete-origine-144000-euros-dons

Des donateurs impossibles à identifier

Mais la CNCCFP n’a pas réussi à déterminer l’origine de 144.000 euros de dons, perçus par chèques, virements ou encore paiements électroniques, par le parti présidentiel en 2017. Dans la législation française, un donateur ne peut pas verser plus de 7.500 euros, par an, à un parti politique. Pour le parquet de Paris, l’impossibilité d’identifier les donateurs de ces 144.000 euros justifie l’ouverture d’une enquête préliminaire. Cette dernière a été confiée à la police anticorruption de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (OCLICCF).

Y a façon et façon de présenter l'affaire.

"Aucune fraude soupçonnée. Or, un donateur ne peut pas verser plus de 7.500 euros par an à un parti politique. Et c'est sur ce point que l'enquête préliminaire va se concentrer : aucune fraude ou financement illicite n'est ici soupçonné, mais le parquet de Paris estime que l'impossible identification des donateurs de ces 144.000 euros justifie l'ouverture d'une enquête préliminaire. Cette dernière a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption (OCLCIFF)." 

https://www.europe1.fr/politique/information-europe-1-lrem-vise-par-une-enquete-preliminaire-sur-lorigine-de-144000-euros-de-dons-3804395

Manifester est un droit mais dans un pays de droit cela ne doit pas se faire n'importe comment. Ce mouvement des GJ ne respecte pratiquement aucunes règles. Comment lui faire confiance?

il y a 13 minutes, Harduson a dit :

et joyeux Noël...

après avoir pourri la vie de millions de Français

Le 29/08/2016 à 15:19, versys a dit :

60 ans, vivant dans le sud de la France et aimant la convivialité.

N'est-ce pas. On nage dans la quintessence de l'amical depuis plusieurs jours.

Bonsoir à tous,

La forme horizontale et sans représentant de la mobilisation des gilets jaunes est typique des mouvements contemporains qui témoignent de l’épuisement du néolibéralisme sur le long terme. Malgré les tentatives de qualifications, notamment par la bonne vieille ficèle de l'amalgame abusif, toujours bon marché, forcé de constater l'éclectisme du mouvement qui nécessairement se retrouve traversé de convergences et contradictions. Les gens se constituent en se rassemblant, sans que des partis ou des syndicats ne structurent ce rassemblement autour d’idées, de programmes. C’est ce point précis qui est le point original de ce mouvement. Les personnes mobilisées se tiennent à l’écart du pouvoir institué.

Cette forme répond à la verticalité de notre république qui pousse à revoir les stratégies de contestation. Les "représentations" souvent récupérées par du petit bourgeois arriviste en mal de complément de revenu, déconnectées des lames de fond qui balaient notre société passés les premiers déciles des plus aisés, se retrouvent par conséquent en crise. Il n'y a qu'à observer la composition sociale de l'Assemblée pour voir quelles populations françaises elle représente vraiment. Le portrait type de l'élu législatif est un homme, blanc, la cinquantaine passée, aisé, profession libérale, de gauche libérale.

Or, la hausse des prélèvements, qu'ils soient institutionnels induits par cette politique qui creuse notre déficit, ou des dépenses contraintes (chauffage, mutuelle...) pèsent d'autant que les services publics se délitent à dessein pour que le marché puisse s'en emparer. Macron lui-même écrivit dans son livre de campagne que le marché avait vocation à tout réguler hormis la défense : ce qui incluait la santé, l'éducation, la police etc. Ces choix politiques, de taxes, d'aménagement du territoire coûteux et à l'efficacité qui questionne (rajoutons-y les grands projets inutiles), ont poussé à la métropolisation de la France qui abandonne ses villes secondaire. Ajoutons à ce contexte le laxisme incroyable envers celles et ceux qui fraudent le fisc, avec l'absence d'ambition, d'exigence et de contrôle des dizaines de milliards d'euros saupoudrés à l'aveugle dans l'économie. Pourtant, et c'est bien là le diable, bien des institutions publiques hurlent au gâchis, aux erreurs, aux aberrations, et proposent des solutions. Leur rôle n'est que consultatif, et leurs recommandations ne sont que rarement suivies.

Par conséquent, il y a un effet de saturation politique et sociale. Les gens de ce mouvement vivent un quotidien qui associe des incertitudes face au logement, face au travail, et l’insatisfaction politique. Dans le même temps, il y a un climat médiatique où ces mêmes personnes font au quotidien l’expérience d’inégalités outrancières. Ce mouvement des gilets jaunes est sensible à cette tendance néolibérale qui renvoie à plus de précarité, plus d’incertitude, à la sacralisation d'une élite non plus pour son intellect, ses bienfaits pour la communauté, mais son score dans ce que  Guy Debord appelle la société autophage : démesure, narcissisme. De plus, cette incertitude est double. Il y a celle de l’accès au travail, mais aussi celle qui est créée par des souffrances qui émergent à l’intérieur de la sphère du travail. La question des conditions de travail rencontre ceux qui n’ont pas de travail et le déclin des services publics. Les logiques gestionnaires ont dégradé l’ensemble des conditions de vie, et on le voit à travers l'augmentation des travailleurs pauvres ou la politique de guichet des prestations sociales.

Travailler en France devient de moins en moins une opportunité économique. Les élus ne pèsent plus sur la justice fiscale, et creusent le fossé avec le peuple en se montrant hautains, paternalistes, en plus des collusions avec des lobbys et think tank au service d'une caste de nantis peu préoccupés du sort du reste de la population. Les gouvernements n'appliquent que des recettes idéologiques qui en plus ne marchent pas. Le ridicule passe par le paiement sur vos deniers d'amendes pour le non respect de règles que nos gouvernements ont eux-même forgé (la règle des 3% de Mitterrand), où l'octroie d'aides publiques aux grandes entreprises. Notre rôle, à nous qui avons de l'argent, est d'écouter, et de demander compte à nos élus. Car nous payons cette mascarade. Pouvoir d'achat en berne, déconvenues professionnelles en rafale notamment de petits entrepreneurs, ceintures serrées pour zones de turbulences : ce mouvement est une chronique du déclassement de la classe moyenne, de la vulnérabilité et des espoirs d'élévation douchés.

il y a 32 minutes, PASCOU a dit :

Tu en étais?

Bien avant le 17 novembre j'ai vu défiler sur les rézos zozios les messages des premiers gilets jaunes. J'assume encore aujourd'hui mon opinion : des messages où la voiture était le prolongement de la virilité, à l'homophobie et à la misogynie latentes, à la xénophobie sous-jacente, irrespectueux au possible... bref : beaufs.

Quand le mouvement a pris de l'ampleur j'ai constaté que ce n'était pas le cas de tous ceux qui se sont installés sur les ronds-points, avec certaines revendications que je partage. Mais comment apprécier une tarte aux pommes quand le fond est immangeable  ?

J'ai ensuite vu les divisions, même dans ma petite ville de province, entre les manifestants.

Et aujourd'hui dans le dernier carré je retrouve essentiellement les beaufs du début.

il y a 22 minutes, Miss Fleurette a dit :

Comme pour les policiers motos  caillassés que BFM montrent en boucle, sauf qu ils coupent délibérément le début de la vidéo ou l on voit clairement que ce sont ces memes policiers qui arrivent tranquilles et  qui se mettent à jeter des lacrymo a gogo alors que personne ne leur prêtait attention.  Ce qui explique la colère des gj , qui ne font que se défendre ou répliquer,  ce qui change tout ,  BFM et consoeurs le savent très bien.

C'est mensonger.

"Dans une séquence plus complète ayant émergé un peu plus tard (ci-dessous), on voit d’abord l’un des policiers envoyer ce qui semble être une grenade de désencerclement en direction des manifestants avançant pourtant perpendiculairement à eux"

http://www.leparisien.fr/faits-divers/gilets-jaunes-trois-policiers-violemment-pris-a-partie-sur-les-champs-elysees-22-12-2018-7975137.php

Il y a 4 heures, LouiseAragon a dit :

Le quotidien canadien The Globe and Mail consacre une large partie de sa Une au mouvement des "gilets jaunes", et se penche sur les réunions à venir entre Édouard Philippe, les représentants des manifestants, et les partis politiques. Selon le journal, "Macron lutte pour reprendre le contrôle après les pires émeutes qu'a connu le pays depuis des dizaines d'années", évoquant un seuil de violence jamais atteint depuis Mai-68.

 

Dis Louise, tu vas nous faire TOUTE la presse internationale,  comme ça  ?

Si ça nous démange de la lire,  on sait où la trouver.......

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Pur hasard.

Assurément 

La scène dans sa totalité.#ActeVI #GiletsJaunes pic.twitter.com/F0KXGFrUGS

— Stéphanie Roy (@Steph_Roy_) 23 décembre 2018

il y a 2 minutes, Cheragaz a dit :

Dis Louise, tu vas nous faire TOUTE la presse internationale,  comme ça  ?

Si ça nous démange de la lire,  on sait où la trouver.......

 

Un besoin de se rassurer...de se convaincre, faute de convaincre les autres...sans plus...

Il y a 4 heures, sonnycro a dit :

Ce qui est factuel , c'est que la majorité du pouvoir depuis l'avènement de la 5è a été pour la droite , ce qui veut dire que cette chienlit on vous la doit en majorité , prouve donc le contraire .Vous avez toujours été des nuls alors pourquoi aujourd'hui avec les mêmes effets il y aurait de nouvelles conséquences ?La droite n'a toujours fait que de la merde et ceux qui se prétendaient de Gauche comme en l'occurrence le PS idem .En clair ça n'a été que la droite , . Te faut il plus pour comprendre ?

Peut être que les gens qui ont voté pour la droite attendaient que la gauche se montre meilleure  ? Il faut croire que jusqu'ici ça n'a pas été le cas.

Si, un jour, à gauche,   il se présente quelqu'un de bien, quelqu'un à qui les français veulent accorder leur confiance,   j'imagine que les choses changeront .

il y a 36 minutes, Miss Fleurette a dit :

Comme pour les policiers motos  caillassés que BFM montrent en boucle, sauf qu ils coupent délibérément le début de la vidéo ou l on voit clairement que ce sont ces memes policiers qui arrivent tranquilles et  qui se mettent à jeter des lacrymo a gogo alors que personne ne leur prêtait attention.  Ce qui explique la colère des gj , qui ne font que se défendre ou répliquer,  ce qui change tout ,  BFM et consoeurs le savent très bien.

Ah ok...si ça explique la colère....

il y a une heure, Harduson a dit :

Comment peut-on écouter un excité pareil ? 

J'ai même pas tenu 1 minute  il a pas l'air bien pauvre chez lui, à voir son canapé : ça détonne avec le bouquin mis en avant, comme quoi c'est facile de manipuler les gens, y en a qui gobent tout 

il y a 20 minutes, Ink 82 a dit :

 

N'est-ce pas. On nage dans la quintessence de l'amical depuis plusieurs jours.

 

Bonsoir à tous,

La forme horizontale et sans représentant de la mobilisation des gilets jaunes est typique des mouvements contemporains qui témoignent de l’épuisement du néolibéralisme sur le long terme. Malgré les tentatives de qualifications, notamment par la bonne vieille ficèle de l'amalgame abusif, toujours bon marché, forcé de constater l'éclectisme du mouvement qui nécessairement se retrouve traversé de convergences et contradictions. Les gens se constituent en se rassemblant, sans que des partis ou des syndicats ne structurent ce rassemblement autour d’idées, de programmes. C’est ce point précis qui est le point original de ce mouvement. Les personnes mobilisées se tiennent à l’écart du pouvoir institué.

Cette forme répond à la verticalité de notre république qui pousse à revoir les stratégies de contestation. Les "représentations" souvent récupérées par du petit bourgeois arriviste en mal de complément de revenu, déconnectées des lames de fond qui balaient notre société passés les premiers déciles des plus aisés, se retrouvent par conséquent en crise. Il n'y qu'à observer la composition sociale de l'Assemblée pour voir quelles populations françaises elles représentent vraiment. Le portrait type de l'élu législatif est un homme, blanc, la cinquantaine passée, aisé, profession libérale, de gauche libérale.

Or, la hausse des prélèvements, qu'ils soient institutionnels induits par cette politique qui creuse notre déficit, ou des dépenses contraintes (chauffage, mutuelle...) pèsent d'autant que les services publics se délitent à dessein pour que le marché puisse s'en emparer. Macron lui-même écrivit dans son livre de campagne que le marché avait vocation à tout réguler hormis la défense : ce qui incluait la santé, l'éducation, la police etc. Ces choix politiques, de taxes, d'aménagement du territoire coûteux et à l'efficacité qui questionne (rajoutons-y les grands projets inutiles), ont poussé à la métropolisation de la France qui abandonne ses villes secondaire. Ajoutons à ce contexte le laxisme incroyable envers celles et ceux qui fraudent le fisc, avec l'absence d'ambition, d'exigence et de contrôle des dizaines de milliards d'euros saupoudrés à l'aveugle dans l'économie. Pourtant, et c'est bien là le diable, bien des institutions publiques hurlent au gâchis, aux erreurs, aux aberrations, et proposent des solutions. Leur rôle n'est que consultatif, et leurs recommandations ne sont que rarement suivies.

Par conséquent, il y a un effet de saturation politique et sociale. Les gens de ce mouvement vivent un quotidien qui associe des incertitudes face au logement, face au travail, et l’insatisfaction politique. Dans le même temps, il y a un climat médiatique où ces mêmes personnes font au quotidien l’expérience d’inégalités outrancières. Ce mouvement des gilets jaunes est sensible à cette tendance néolibérale qui renvoie à plus de précarité, plus d’incertitude, à la sacralisation d'une élite non plus pour son intellect, ses bienfaits pour la communauté, mais son score dans ce que  Guy Debord appelle la société autophage : démesure, narcissisme. De plus, cette incertitude est double. Il y a celle de l’accès au travail, mais aussi celle qui est créée par des souffrances qui émergent à l’intérieur de la sphère du travail. La question des conditions de travail rencontre ceux qui n’ont pas de travail et le déclin des services publics. Les logiques gestionnaires ont dégradé l’ensemble des conditions de vie, et on le voit à travers l'augmentation des travailleurs pauvres ou la politique de guichet des prestations sociales.

Travailler en France devient de moins en moins une opportunité économique. Les élus ne pèsent plus sur la justice fiscale, et creusent le fossé avec le peuple en se montrant hautains, paternalistes, en plus des collusions avec des lobbys et think tank au service d'une caste de nantis peu préoccupés du sort du reste de la population. Les gouvernements n'appliquent que des recettes idéologiques qui en plus ne marchent pas. Le ridicule passe par le paiement sur vos deniers d'amendes pour le non respect de règles que nos gouvernements ont eux-même forgé (la règle des 3% de Mitterrand), où l'octroie d'aides publiques aux grandes entreprises. Notre rôle, à nous qui avons de l'argent, est d'écouter, et de demander compte à nos élus. Car nous payons cette mascarade. Pouvoir d'achat en berne, déconvenues professionnelles en rafale notamment de petits entrepreneurs, ceintures serrées pour zones de turbulences : ce mouvement est une chronique du déclassement de la classe moyenne, de la vulnérabilité et des espoirs d'élévation douchés.

 

Gilets jaunes : « Une incandescence s'est structurée » - Les Jours

il y a 4 minutes, sush'bar a dit :

Un besoin de se rassurer...de se convaincre, faute de convaincre les autres...sans plus...

 

De se rouler dedans, aussi ....