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L'écriture inclusive/égalitaire : et si on s'y mettait tou·te·s ?


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L’écriture inclusive ou égalitaire est une manière d’utiliser le féminin et le masculin dans un texte, afin qu’aucun des deux sexes ne se sente exclu ou sous-représenté. Ceci vaut surtout pour les femmes qui disparaissent sous la fameuse règle de grammaire : "le masculin l’emporte sur le féminin". Il est ainsi courant d’écrire "les hommes et les femmes sont partis" ou "les étudiants sont nombreux" même si un seul homme est présent dans une salle.

L’usage du masculin prédomine aussi lorsqu’il s’agit d’écrire ou de nommer des métiers et des fonctions, sous prétexte que leur féminisation est illisible ou moche : une écrivaine, Madame la préfète. Plus qu’une question d’esthétique ne serait-ce pas plutôt une question d’habitude ? rétorquent les partisans de l’écriture inclusive. D’autant plus que chaque métier a son équivalent au féminin depuis le Moyen-Age.

(...)

Quelles sont les règles à suivre ?

> Utilisez le point milieu (médian) pour inclure les deux sexes. C’est mieux que le slash et la parenthèse qui alourdissent une phrase, le tiret peut poser problème dans les mots composés.

Exemple :
- les Français·es
- tou·te·s les salarié·e·s
- elles·ils sont nombreux·ses

Astuce : le point médian s’obtient en tapant Alt+250 sur PC, Alt+Maj+F sur Mac. Après, il suffit de le copier-coller. Vous pouvez aussi utiliser le point bas, les ingénieur.e.s, mais en principe il sert à clôturer une phrase.

> Accordez les noms de métiers, titres, grades et fonctions selon le sexe. Plus de 2.000 d’entre eux sont répertoriés dans le guide Femme, j’écris ton nom.

Exemple :
- un recteur, une rectrice
- un docteur, une docteure (ou doctoresse)

Article complet : https://start.lesechos.fr/actu-entreprises/societe/l-ecriture-inclusive-et-si-on-s-y-mettait-tou-te-s-9152.php

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Modérateur, A ghost in the shell, 48ans Posté(e)
Nephalion Modérateur 32 364 messages
48ans‚ A ghost in the shell,
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Utilisez le point milieu (médian) pour inclure les deux sexes. C’est mieux que le slash et la parenthèse qui alourdissent une phrase, le tiret peut poser problème dans les mots composés.

Je ne trouve pas que le point médiant facilite la lecture pour ma part.

Il se confond facilement avec de la ponctuation, il n'est pas facile à saisir, et manque de visibilité pour justifier son rôle.

(on dirait un jeu de pendu, les points indiquant les emplacements des lettres manquantes)

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 779 messages
107ans‚ ©,
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il y a 12 minutes, Nephalion a dit :

Je ne trouve pas que le point médiant facilite la lecture pour ma part.

ah ben c'est peu d'le dire ! Catastrophe, quand je lis un texte rédigé comme ça j'ai l'impression d'être une élève de CP :D

Non mais on va arrêter un peu avec ces histoires féministes de sous-représentation et autres ? C'est ridicule. Avec ce système d'écriture on enlève de la fluidité à la lecture, et la fluidité n'est-elle pas liée à la compréhension d'un texte ? 

 

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Invité
Invités, Posté(e)
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Invité Invités 0 message
Posté(e)

Sans forcément être d'accord avec ce système d'écriture (perso, je ne donne aucune interprétation genrée à la forme masculine des mots et expression), ces questions de fluidités ne sont finalement ni plus ni moins que des histoires d'habitudes. Ceux qui la pratiquent au quotidien et ceux qui les lisent au quotidien (j'ai parmi mes contacts sur internet des personnes qui vont plus loin : ils utilisent des pronoms agenrés, comme "iel(s)") intègrent très vite ces "usages". 

Car finalement, ce sont des usages qui demandent une habitude. Moi, quand je lis l'Académie écrire "confrère" à propos de Simone Veil, ça me coupe dans ma lecture parce qu'il s'agit là d'un usage qui leur est propre, tandis que dans mon quotidien, j'utilise spontanément "consoeur". 

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 889 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Changer la coutume par une autre. Voilà un souhait difficile. Nier le passé ne sert pas l'avenir.

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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 719 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
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Accordez les noms de métiers, titres, grades et fonctions selon le sexe.

Alors ça très franchement, en ce qui me concerne...je m'en fiche royalement.

S'il y a des femmes qui le souhaitent, pourquoi pas, mais j'aimerais savoir quel en est le pourcentage réel...

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Je préfère mettre le " e " entre parenthèse.

Les frustré(e)s , les auteur(e)s.

Mais c'est une question de choix perso. Je n'oblige personne.

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Membre+, I. C. Wiener, 32ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
32ans‚ I. C. Wiener,
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Plus qu’une question d’esthétique ne serait-ce pas plutôt une question d’habitude ? 

Non. C'est indiscutablement laid. Qui pis est, changer des habitudes aussi solidement ancrées n'est pas une mince affaire et je ne trouve pas que la cause vaille le coup de déplacer des Montaigne.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Les habitudes se changent en l'espace d'une génération (on pourrait comparer avec des changements de conventions encore plus spectaculaires, comme des caractères gothiques aux caractères latins, ou l'adoption de signes de ponctuations dans les écritures qui n'en comportaient pas). Sous condition qu'un soutien institutionnel soit au rendez-vous. 

Sauf pour les pronoms. Ce sont les seuls qui résistent à un changement imposé de cette manière.  

Si j'ai mis cet article, c'est parce que justement, il y a des communautés où ce système marche et est intégré. Mais ce sont généralement des communautés mues par une idéologie bien installée et intégrée par celles-ci. 

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Invité Panem&Circenses
Invités, Posté(e)
Invité Panem&Circenses
Invité Panem&Circenses Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 4 heures, PLS maker a dit :

(...) j'utilise spontanément "consoeur". 

C'est pas "conne soeur" plutôt ?

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

Plutôt crever. 

Il faut avoir des graves problèmes personnels pour écrire comme ça vu que c'est un enjeu politique. Faire de chaque mot de sa vie un combat, signifie qu'on renonce à sa vie au profit de sa cause. Qui est une cause débile. Je préfère encore enfiler un gilet d'explo et aller me faire sauter à Time Square ou sur l'esplanade des mosquées, au moins c'est un combat jusqu'à la mort mais si on renonce à son corps, on ne renonce pas à son esprit.

Les zombies n'ont pas mon respect. 

 

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Invité Aldegonde
Invités, Posté(e)
Invité Aldegonde
Invité Aldegonde Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 4 heures, January a dit :

ah ben c'est peu d'le dire ! Catastrophe, quand je lis un texte rédigé comme ça j'ai l'impression d'être une élève de CP :D

 

Idem. Tout comme quand je lis un texte avec des fautes d'orthographe qui piquent franchement les yeux et qu'à côté mes enfants me disent "Non, avec la nouvelle réforme, on a le droit d'écrire cela ainsi". :gurp:

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  • 1 mois après...
Membre, Posté(e)
'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
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C'est plutôt moche et bien peu pratique ces points.

A la limite, que ça serve dans des textes officiels, ou dans les textes où lever l'ambiguité est nécessaire ;  mais je vois mal un roman écrit comme ça... 
 

Les anglo-saxons ont pas ce problème,  ils ont le genre neutre : the British, the workers, they are numerous...

 

Le 17/08/2017 à 14:05, Alain75 a dit :

Je préfère mettre le " e " entre parenthèse.

Les frustré(e)s , les auteur(e)s.

Mais c'est une question de choix perso. Je n'oblige personne.

Moi pareil.

Ceci dit, je ne l'utilise pas si souvent. Seulement quand le contexte pourrait porter à confusion sans cette précision.


 

Ex :

"Les Français veulent du pouvoir d'achat" : on se doute bien que ce n'est pas seulement les hommes.

"Les Français(e)s favorables à la garde alternée" : là la précision est importante.

 

En dehors de ce genre de cas, je vois pas l'intérêt de généraliser l'usage -parenthèse ou point, peu importe- .

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
Posté(e)
Le 17/08/2017 à 09:28, Roger_Lococo a dit :

Plutôt crever. 

Il faut avoir des graves problèmes personnels pour écrire comme ça vu que c'est un enjeu politique. Faire de chaque mot de sa vie un combat, signifie qu'on renonce à sa vie au profit de sa cause. Qui est une cause débile. Je préfère encore enfiler un gilet d'explo et aller me faire sauter à Time Square ou sur l'esplanade des mosquées, au moins c'est un combat jusqu'à la mort mais si on renonce à son corps, on ne renonce pas à son esprit.

Les zombies n'ont pas mon respect. 

 

Hahahaha, hé la la, ce qu'il ne faut pas lire quand même... 

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
Posté(e)

Sinon ici cela se fait depuis un certain temps, cependant on emploie pas le "point" pour passer d'une forme à l'autre, on emploie plutôt les deux forme; 

Nous voulons remercier ceux et celles qui ont participé à la Semaine des transports actifs et collectifs! (et non : Nous voulons remercier ceuses qui ont participé à la Semaine des transports actifs et collectifs!)

- Vous êtes toutes et tous conviés à cette grande fête qui célèbre l’engagement des bénévoles de la ville. (et non : Vous êtes toustes convié/e/s à cette grande fête qui célèbre l’engagement des bénévoles de la ville.)

- S’ils veulent amener les jeunes à épargner en vue de la retraite, les conseillères et les conseillers devront avant tout convaincre les parents d’inciter leurs enfants à économiser. (et non : S’illes veulent amener les jeunes à épargner en vue de la retraite, les conseiller(ère)s devront avant tout convaincre les parents d’inciter leurs enfants à économiser.)

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3334

 

 

Cependant pour les tenants de la bonne vieille méthode qu'on-changera -jamais-pasque-c'est comme -ça, il semblerait qu'on était plus évolué au....Moyen-Âge!

 

http://www.hec.ca/qualitecomm/chroniques/femini/chevaliere.html

 

Au Moyen Âge, une femme qui appartient à un ordre de chevalerie est une chevalière ainsi que l’écrit notamment Antoine Furetière dans l’édition enrichie de 1727 de son Dictionnaire universel  :

Chevaliere, ou Chevaleresse. Vieux mot; femme qui porte un Ordre de Chevalerie. Le P. Menetrier rapporte que dans le 12. ou 13. siecle il a rencontre ces mots de Chevaliere, & de Chevaleresse, parcequ’en ce temps-là les femmes prenoient certains Ordres de Chevalerie. Il y a en effet divers exemples anciens de femmes qui ont pris la qualité de Chevalieres (Equivitissa.) En France il n’y a d’autre Chevaliere que la Chevaliere du Guet.  »

Le nom chevalière a un deuxième sens selon le Trésor de la langue française publié par le Centre national de la recherche scientifique qui relève le nom chevaliere au sens de « femme de chevalier » dès 1275 dans Rose de J. de Meun. Il cite également le Dictionnaire de Trévoux (1732) qui répertorie le nom féminin chevaliere au sens de « femme qui appartient à un ordre de chevalerie ».

Dans son Dictionnaire de la langue française (1863-1873), Émile Littré donne aussi les deux acceptions : « femme qui a le rang de chevalier, ou épouse d’un chevalier » et cite Dancourt, Le Prix de l’arquebuse  : « Je suis son chevalier, elle est ma chevalière. » Littré ajoute un troisième sens qui était le seul à demeurer usité jusqu’à tout récemment : « Bague à la chevalière, ou, simplement, chevalière, anneau large et plat. »

Rappelons que ce sont essentiellement des faits historiques plutôt que des motifs linguistiques qui expliquent l’absence de féminin pour certains titres au XXe siècle. Au Moyen Âge, on féminise sans réticence les titres et les noms de professions, respectant en cela la logique de la langue française puisque genre naturel et genre grammatical se confondent dans la majorité des cas pour les noms d’êtres animés. C’est ainsi qu’il y a eu des banquières, des chancelières, des greffières, des lieutenantes, des maréchales, des officières… Par la suite, le contexte juridique interdit ces fonctions aux femmes : elles se retirent dans la vie privée et perdent en même temps que leurs attributions les désignations qui s’y rattachent.

Désormais, les titres prestigieux féminins ne nomment plus les titulaires d’une fonction, mais les femmes des titulaires : l’ambassadrice, la préfète, la mairesse, la présidente sont les épouses de l’ambassadeur, du préfet, du maire, du président. Au cours des dernières décennies, les Françaises qui accèdent à des fonctions jadis réservées aux hommes préfèrent recourir aux titres masculins pour supprimer toute ambiguïté et bien indiquer qu’elles sont titulaires et non épouses de titulaires.

 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
il y a 13 minutes, Lucy Van Pelt a dit :

Sinon ici cela se fait depuis un certain temps, cependant on emploie pas le "point" pour passer d'une forme à l'autre, on emploie plutôt les deux forme; 

Nous voulons remercier ceux et celles qui ont participé à la Semaine des transports actifs et collectifs! (et non : Nous voulons remercier ceuses qui ont participé à la Semaine des transports actifs et collectifs!)

- Vous êtes toutes et tous conviés à cette grande fête qui célèbre l’engagement des bénévoles de la ville. (et non : Vous êtes toustes convié/e/s à cette grande fête qui célèbre l’engagement des bénévoles de la ville.)

- S’ils veulent amener les jeunes à épargner en vue de la retraite, les conseillères et les conseillers devront avant tout convaincre les parents d’inciter leurs enfants à économiser. (et non : S’illes veulent amener les jeunes à épargner en vue de la retraite, les conseiller(ère)s devront avant tout convaincre les parents d’inciter leurs enfants à économiser.)

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3334

 

 

Cependant pour les tenants de la bonne vieille méthode qu'on-changera -jamais-pasque-c'est comme -ça, il semblerait qu'on était plus évolué au....Moyen-Âge!

 

http://www.hec.ca/qualitecomm/chroniques/femini/chevaliere.html

 

Au Moyen Âge, une femme qui appartient à un ordre de chevalerie est une chevalière ainsi que l’écrit notamment Antoine Furetière dans l’édition enrichie de 1727 de son Dictionnaire universel  :

Chevaliere, ou Chevaleresse. Vieux mot; femme qui porte un Ordre de Chevalerie. Le P. Menetrier rapporte que dans le 12. ou 13. siecle il a rencontre ces mots de Chevaliere, & de Chevaleresse, parcequ’en ce temps-là les femmes prenoient certains Ordres de Chevalerie. Il y a en effet divers exemples anciens de femmes qui ont pris la qualité de Chevalieres (Equivitissa.) En France il n’y a d’autre Chevaliere que la Chevaliere du Guet.  »

Le nom chevalière a un deuxième sens selon le Trésor de la langue française publié par le Centre national de la recherche scientifique qui relève le nom chevaliere au sens de « femme de chevalier » dès 1275 dans Rose de J. de Meun. Il cite également le Dictionnaire de Trévoux (1732) qui répertorie le nom féminin chevaliere au sens de « femme qui appartient à un ordre de chevalerie ».

Dans son Dictionnaire de la langue française (1863-1873), Émile Littré donne aussi les deux acceptions : « femme qui a le rang de chevalier, ou épouse d’un chevalier » et cite Dancourt, Le Prix de l’arquebuse  : « Je suis son chevalier, elle est ma chevalière. » Littré ajoute un troisième sens qui était le seul à demeurer usité jusqu’à tout récemment : « Bague à la chevalière, ou, simplement, chevalière, anneau large et plat. »

Rappelons que ce sont essentiellement des faits historiques plutôt que des motifs linguistiques qui expliquent l’absence de féminin pour certains titres au XXe siècle. Au Moyen Âge, on féminise sans réticence les titres et les noms de professions, respectant en cela la logique de la langue française puisque genre naturel et genre grammatical se confondent dans la majorité des cas pour les noms d’êtres animés. C’est ainsi qu’il y a eu des banquières, des chancelières, des greffières, des lieutenantes, des maréchales, des officières… Par la suite, le contexte juridique interdit ces fonctions aux femmes : elles se retirent dans la vie privée et perdent en même temps que leurs attributions les désignations qui s’y rattachent.

Désormais, les titres prestigieux féminins ne nomment plus les titulaires d’une fonction, mais les femmes des titulaires : l’ambassadrice, la préfète, la mairesse, la présidente sont les épouses de l’ambassadeur, du préfet, du maire, du président. Au cours des dernières décennies, les Françaises qui accèdent à des fonctions jadis réservées aux hommes préfèrent recourir aux titres masculins pour supprimer toute ambiguïté et bien indiquer qu’elles sont titulaires et non épouses de titulaires.

 

Personne n'est opposé à ça, par contre faire de la propagande débile, laide et incompréhensible afin de détruire le cerveau des enfants, c'est non.

 

Enfin pardon je corrige. Personne n'est opposé à ce que l'usage change. L'obligation c'est autre chose.

 

NB : difficile de faire le constant procès du moyen age en ne lui reconnaissant que des défauts et finalement venir le vanter quand ça tire dans votre sens. Il faut choisir si on appartient ou pas à l'idéologie progressiste. 

Le progressiste ne peut que hair et mépriser le moyen age, donc il ne saurait s'en revendiquer. Et c'est le même progressiste qui veut imposer la forme "inclusive" dite charabia. 

 

 

 

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  • 2 semaines après...
Membre, 53ans Posté(e)
kilitout Membre 2 279 messages
Forumeur expérimenté‚ 53ans‚
Posté(e)

:ange2: Euuhh...serait-on moins macho...à l'utiliser ou moins féminine ...à ne pas l'utiliser? Question de FOND!

Etrange que par les temps qui courent, à savoir des défaillances majeures des "apprenants" du Primaire en ortho/grammaire/vocabulaire, 10% (selon infos) d'illettrés parmi les demandeurs d'emploi, on cherche à privilégier la forme plutôt que le fond....

Et Quid de la communication explicite et intelligible = CLAIRE soit ce qui se conçoit bien s'énonce clairement?....

 

Consternant de...bêtise!

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MembreN, 123ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 123ans‚
Posté(e)

Une connerie de plus imposée par des gens qui n'ont pas grand'chose à faire.

On ferait mieux de s'intéresser à une écriture simplifiée tendant vers la forme phonologique.

 

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Membre, Posté(e)
kakome Membre 1 576 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

L'Art de Sodomiser les mouches en vol ...

Encore un  dans  le cerveau duquel  s'entrechoquent : stigmatisation , défavorisés , sexisme , inégalités ...liste non exhaustive .

Qu'elles sont ses lectures ?

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