l'évènement le plus drôle de votre vie professionnelle

Ma pov'bique.............. :smile2: :smile2: :smile2:

Vi, c'est trop pinjuste

Ben ouais, mais tu leur a offert un beau moment de liberté....t'es une héroine...et puis moi j'admire quelqu'un qui s'engage dans ce genre de métier.Respect.....et puis l'histoire se termine bien pour les biquettes!!!!!

J'avais 18 ans et c'était juste pour 6 mois... Mais ça a été une aventure du début jusqu'à la fin, fracassante

Pour ma part, je crois que ça aura été de travailler avec un mec assez spécial qui avait la cinquantaine. J'avoue que des types comme ça, j'en vois pas tous les jours.

Mais alors le gars, dès le premier jour, il voulait imposer ses règles au travail alors que c'était un nouveau qui venait juste d'arriver.

Il fut arriver un temps où moi et lui, nous nous sommes engueulés. Je l'ai insulté, je n'ai pas pu m'en empêcher, c'était plus fort que moi. Il s'est plaint au chef comme quoi je l'avais insulté.

Le lendemain, le chef travaille avec nous et ils trouvent le moyen de s'engueuler tous les deux. Le chef vient me voir et me dit, "Non mais il est complètement bête".

Un peu plus tard, il s'engueule encore avec un autre et encore un autre et ainsi de suite. Je me rappelle, il y en a qui lui avait dit, "Je vais te casser la gueule".

Le gars aussi, il avait tout le temps des écouteurs dans les oreilles, il écoutait du rock mais fort. Le boss à chaque fois qu'il l'appelait, l'autre n'entendait rien. On lui gueulait dessus et il n'entendait toujours rien avec ses écouteurs. Il fallait lui taper sur le dos.

Bon déjà ça, ça ne plaisait pas au boss.

Mais autre chose qui ne lui plaisait pas non plus, c'est quand il l'entendait pousser des cris comme Tarzan.

Dans une vie antérieure (à la retraite) j'étais chauffeur de taxi parisien (et oui ! y a pas de sottes gens, y a que des sots métiers) Un jour, à la gare montparnasse, arrivent presqu'en courant un jeune gars et son gamin d'environ 5 ans. Ils montent à l'arrière, claquent les portes et je demarre en trombe (vous connaissez des taxis qui prennent leur temps vous ?D'emblée je me rends compte que je suis tombé sur des clients qui ne disent pas un mot. C'est plutôt rare et franchement désagreable, mais on s'y fait. Je ne leur adresse donc pas non plus la parole et puisqu'ils m'ignore je ne les regardent même pas. Je poursuits ma route vélocement jusqu'à leur destination finale : la gare de Lyon. Tout de même, je trouve qu'un enfant de 5 ans ne disant pas un mot, n'exprimant aucun grognement, ne gigotant jamais sur le siège est une sorte de zombie ou bien un cas d'école en matière d'identification au père.Chose tout de même rare de ma part, je ne jette jamais une seule fois, même furtivement, un coup d'oeil dans le rétroviseur - mais je répète que le silence interstellaire de ces deux personnage me paralysait -

Arrivé gare de lyon j'arrête le compteur, calcule prestement le montant de la course et me retourne tout aussi prestement pour annoncer : "voila ça fait X euros !!"

Et là ...c'est l'horreur, la catastrophe, l'impensable. Je suis anéanti et je suffoque : l'enfant EST TOUT SEUL !!!!!

J'ai cru l'espace d'un instant être victime d'une cruelle hallucination, mais non il était tout seul et ne disait toujours pas le moindre mot, presque comme si mon étonnement l'étonnais !!

- mais...mais...euh...mais ton papa, mais ton papa?? Il est resté à la gare ???

Le père en effet n'avait même pas eu le temps de monter (comme dans les films : "taxi, suivez cette voiture !")

Je suis évidemment retourné piteusement gare montparnasse ou le père, tel son fils, m'attendait dans un silence à glaçer le sang...

Imaginez un peu : durant les 20 minutes qu'a duré ce trajet, pas un mot pas un soupir !! Saleté de gosse... :bad:

Dans une vie antérieure (à la retraite) j'étais chauffeur de taxi parisien (et oui ! y a pas de sottes gens, y a que des sots métiers) Un jour, à la gare montparnasse, arrivent presqu'en courant un jeune gars et son gamin d'environ 5 ans. Ils montent à l'arrière, claquent les portes et je demarre en trombe (vous connaissez des taxis qui prennent leur temps vous ?D'emblée je me rends compte que je suis tombé sur des clients qui ne disent pas un mot. C'est plutôt rare et franchement désagreable, mais on s'y fait. Je ne leur adresse donc pas non plus la parole et puisqu'ils m'ignore je ne les regardent même pas. Je poursuits ma route vélocement jusqu'à leur destination finale : la gare de Lyon. Tout de même, je trouve qu'un enfant de 5 ans ne disant pas un mot, n'exprimant aucun grognement, ne gigotant jamais sur le siège est une sorte de zombie ou bien un cas d'école en matière d'identification au père.Chose tout de même rare de ma part, je ne jette jamais une seule fois, même furtivement, un coup d'oeil dans le rétroviseur - mais je répète que le silence interstellaire de ces deux personnage me paralysait -

Arrivé gare de lyon j'arrête le compteur, calcule prestement le montant de la course et me retourne tout aussi prestement pour annoncer : "voila ça fait X euros !!"

Et là ...c'est l'horreur, la catastrophe, l'impensable. Je suis anéanti et je suffoque : l'enfant EST TOUT SEUL !!!!!

J'ai cru l'espace d'un instant être victime d'une cruelle hallucination, mais non il était tout seul et ne disait toujours pas le moindre mot, presque comme si mon étonnement l'étonnais !!

- mais...mais...euh...mais ton papa, mais ton papa?? Il est resté à la gare ???

Le père en effet n'avait même pas eu le temps de monter (comme dans les films : "taxi, suivez cette voiture !")

Je suis évidemment retourné piteusement gare montparnasse ou le père, tel son fils, m'attendait dans un silence à glaçer le sang...

Imaginez un peu : durant les 20 minutes qu'a duré ce trajet, pas un mot pas un soupir !! Saleté de gosse... :bad:

Pour ma part, je crois que ça aura été de travailler avec un mec assez spécial qui avait la cinquantaine. J'avoue que des types comme ça, j'en vois pas tous les jours.

Mais alors le gars, dès le premier jour, il voulait imposer ses règles au travail alors que c'était un nouveau qui venait juste d'arriver.

Il fut arriver un temps où moi et lui, nous nous sommes engueulés. Je l'ai insulté, je n'ai pas pu m'en empêcher, c'était plus fort que moi. Il s'est plaint au chef comme quoi je l'avais insulté.

Le lendemain, le chef travaille avec nous et ils trouvent le moyen de s'engueuler tous les deux. Le chef vient me voir et me dit, "Non mais il est complètement bête".

Un peu plus tard, il s'engueule encore avec un autre et encore un autre et ainsi de suite. Je me rappelle, il y en a qui lui avait dit, "Je vais te casser la gueule".

Le gars aussi, il avait tout le temps des écouteurs dans les oreilles, il écoutait du rock mais fort. Le boss à chaque fois qu'il l'appelait, l'autre n'entendait rien. On lui gueulait dessus et il n'entendait toujours rien avec ses écouteurs. Il fallait lui taper sur le dos.

Bon déjà ça, ça ne plaisait pas au boss.

Mais autre chose qui ne lui plaisait pas non plus, c'est quand il l'entendait pousser des cris comme Tarzan.

"Complètement bête" ; "lui taper sur le dos" ; "des cris comme Tarzan" ??? Mais...c'était l'homme-singe ton mec ou quoi ??!!

et en plus une perf dans chaques oreilles ?? :D

J'ai été bergère a une époque (si si !) dans mes Pyrénées natales.

Tous les matins, il fallait amener le troupeau pacager, une centaine de brebis et une cinquantaine de chèvres. Le premier jour, comme le pacage n'était pas clôturé, mon boss me dit de prendre son chien, un labrit dressé à surveiller le troupeau. J'amène donc le chien, ma chienne à moi, un livre et nous voilà partis. Arrivés au bon endroit, je m'installe sur ma petite couverture, je prends mon bouquin et je me prépare à passer 3 heures tranquillou, captivée par ma lecture.

Quand j'ai relevé le museau, il n'y avait plus personne ! Le vide sidéral... Plus aucune des 150 bestioles ! Pas l'ombre de l'idée de la queue d'une. Ce couillon de chien cherchait à sauter la mienne et se foutait comme de son premier os à moelle de garder quoi que ce soit.

Peux vous dire que j'étais pas fière quand j'ai dû annoncer au grand berger en chef que j'avais perdu TOUT le troupeau ! Le premier jour

Non seulement "l'image" est magnifique et Dieu ( :smile2: ) sait ô combien j'adore ce genre d'activité mais sans troupeau à garder , mais en plus elle est drôle.

:)

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Bon me concernant ,je n'ai pas d'anecdote . j'ai toujours eu la "vie professionnelle" en horreur. :p

Mon souvenir assez marquant , est celui d'un Maire d'une commune, qui n'avait qu'un bras, l'autre étant coupé au niveau du coude.. et je n'arrivais pas à m'y faire, à chaque fois qu'il arrivait tenant sa sacoche , je me mettais droite devant lui, et je lui tendais la main .. et il se dépatouillait comme il pouvait pour passer sa sacoche sous son bras coupé, en la serrant contre lui, pour me tendre la main :)

Et un jour que je n'arrivais pas à le lire , il me dit "oui, excusez moi je n'ai pas une très belle écriture" et je lui réponds que pour un gaucher ça allait encore .. Et là grand moment de solitude , il me regarde et me dit "mais je suis droitier" :)

Et un jour que je l'accompagnais en visite dans une école , on était assis tous en rond, enfants , enseignants et Maire (lui donc )!

Pendant qu'il parlait, j'ai vu les enfants commencer à glisser l'un après l'autre, un de leur bras dans la manche de leur pull.. et quand le Maire s'est levé les enfants ont tous agité leur manche vide en disant "au revoir monsieur le Maire". :D

Les grands moments de l'informatique :)

En 1992, le patron nous offre de jolis Macintosh, une collègue de travail et moi n'avions jamais touché au moindre écran, direction formation professionnelle de 2 jours.

Le premier jour, nous nous installons toute les deux dans la salle de formation, avec le formateur qui met en marche les 2 appareils et commence à nous décrire l’environnement du "bureau" (l'écran), nous demandant de faire nous-mêmes quelques clics pour ouvrir des choses.

A un moment, il dit "bien, maintenant, vous ouvrez la fenêtre".

Je le regarde d'un air interrogateur, ma collègue regarde la fenêtre (de la salle) et commence à se lever... :smile2:

Les grands moments de l'informatique :)

En 1992, le patron nous offre de jolis Macintosh, une collègue de travail et moi n'avions jamais touché au moindre écran, direction formation professionnelle de 2 jours.

Le premier jour, nous nous installons toute les deux dans la salle de formation, avec le formateur qui met en marche les 2 appareils et commence à nous décrire l’environnement du "bureau" (l'écran), nous demandant de faire nous-mêmes quelques clics pour ouvrir des choses.

A un moment, il dit "bien, maintenant, vous ouvrez la fenêtre".

Je le regarde d'un air interrogateur, ma collègue regarde la fenêtre (de la salle) et commence à se lever... :smile2:

Ca me fait penser à la première fois qu'on m'a mis un ordi dans les mains, après avoir reçu une formation également ..

Cet ordi ne fonctionnait pas, donc le réparateur est passé plusieurs fois , jusqu'au jour où excédé il me dit, "mais enfin écoutez, mettez vous à l'ordi, que je vous regarde faire, pour comprendre ce qui ne va pas"..

Je m'assieds et commence à taper .. et là le réparateur se met à pousser des grands cris et me dit "mais arrêtez .. vous tapez beaucoup trop vite, j'ai jamais vu ça... l'ordi n'arrive pas à vous suivre, c'est ça votre problème!" :D

bonjour,

c'était il y bien des années, ma patronne , une dame plus que bien comme il faut ( issue d'une famille bourgeoise bien catholique ) reviens en lançant à la cantonade:

je suis allée faire l'amour !!!!! mines ébahies des clients ( patients ) au secrétariat et nous de même......elle était allée faire la prise de sang à domicile d'un certain mr lamour

gros fou rire.......

des anecdotes dans le genre, il y en a pas mal......

bonne journée

Après les ovins et caprins, me suis retrouvée chez les équidés. C'était ma période " je veux travailler dehors avec les zanimooos".

J'ai été engagée comme palefrenière dans un centre équestre et je devais bosser avec un mec qui était là depuis quelques années déjà.

Une force de la nature ! Le genre de personne qui dégage une puissance, sans bouger, sans faire quoi que ce soit, rien que par sa présence. Ils avaient les mains directement collées aux avant-bras, sans poignets, c'était troublant ! On avait l'impression qu'il pouvait déraciner un arbre à mains nues. Vraiment impressionnant.

Quand il m'a vu arriver, 50 kgs toute habillée, ça a du lui faire un choc

Tous les jours, fallait sortir les chevaux, nettoyer la trentaine de box et les pailler.

Et c'est là, que j'ai découvert une loi physique jusqu'alors inconnue... La crotte pèse (beaucoup !) plus lourd que le plomb

Pendant qu'il en faisait 3, j'en faisais 1, péniblement. Et quand les box étaient propres, fallait y trimbaler les bottes de pailles (25 kgs) qui sciaient les mains.

Lui, il prenait 2 bottes dans chaque main, (DEUX !), et faisait ça en sifflotant. Je l'ai détesté avec ardeur

Suis une nerveuse qui peut fournir un effort violent mais pas longtemps. Je n'avais jamais travaillé l'endurance. Qu'est-ce que j'ai morflé !

Un jour, il avait comme d'hab fini depuis belle lurette, alors que je ramais encore. J'étais en train de m'escrimer avec ma botte de paille, quand je l'ai vu venir vers moi. Et sans rien dire, il m'a pris sous son bras comme une vulgaire baguette de pain, sans plus d'efforts, et m'a amenée jusqu'au box que j'étais en train de faire. J'ai pendouillé dans toute l'écurie, sous le bras d'un mec goguenard...

Mais j'ai pas lâché ma botte de paille ! On a son orgueil quand même...

75 kgs sous UN bras, j'en reviens toujours pas !! Et il a eu l'outrecuidance de me lancer un "je te croyais pas si légère" ! Pffffffff

J'ai terminé mon contrat au club house, comme responsable du bar

Voila une histoire rigoureusement vraie qui m' est arrivée il y a presque 40 ans ...

Nous venions , mon ex et moi , de faire rentrer nos enfants dans une petite école primaire catholique qui se trouvait pas loin du commerce que j' avais acheter peu de temps avant .

Ce jour de rentrée des classes il nous a été présenté les différent enseignants ainsi que l' aumônier de cette petite école avec lesquels nous avons échangé quelques mots . Et nous nous sommes quittés là dessus .

Quelques jours plus tard , dans mon magasin (une jardinerie/graineterie) entre un clients qui achète quelques bricoles , je reconnais l' aumônier de mes enfants , je vais donc le saluer , discuter de banalités ...

Et bla-bla-bla et bla-bla-bla ........ Il s' en va ....... Au revoir monsieur l' abbé ....... quelques jours passent ....

Et revoilà mon client qui repasse .......... je le reçois :

Et bla-bla-bla et bla-bla-bla ........ Il s' en va ........ Au revoir monsieur l' abbé ........ quelques jours passent ......

Rebelote .........................Au revoir monsieur l' abbé ......... quelques jours passent .....

Re-rebelote ............ etc .... etc ....

Au bout de trois ou quatre fois comme ça , mon client me demande un peu gêné ....

<<Mais enfin , monsieur Clampin , pourquoi donc m' appelez-vous monsieur l' abbé>>

<<Mais parce que vous êtes l' aumônier de l' école de mes enfants>> Je lui répond ...

<<aaaah ! mais pas du tout , je n' ai jamais été curé de ma vie >> me dit-il

C' est là que j' ai cherché ou pouvait donc bien se trouver le trou de souris , pour m' y cacher dedans .

Il faut dire que je n' ai jamais été physionomiste et que j' ai toujours été très distrait . Des histoires qui ressemblent à celle là il m' en est arrivé plusieurs fois dans ma vie .

Lorsque j'ai commencé à travailler, je ne faisais guère de différences entre les relations privées et les professionnelles, je me comportais donc dans ce milieu comme je l'étais en dehors, c'est à dire joyeuse boute-en-train.

Un jour, j'emmène au bureau un sac à rire que j'avais acheté pour un mariage peu de temps avant. Et me voilà qui compose les numéros de mes différents collègues l'un après l'autre, et je colle le sac aussitôt sur l'écouteur, juste après l'avoir mis en marche. Je le laisse terminer, je raccroche et je passe au suivant, moi-même morte de rire à chaque fois. Après une bonne dizaine de numéros, je m'en vais faire une petite ronde pour voir les réactions, bidonnages et fous rires à tous les coins de rue, ce genre de rire étant très très contagieux, sauf un...

Depuis la porte d'entrée de la pièce où je me dirigeais, je vois le chef du département venir vers moi d'un air stoïque. Il me chuchote : "Elle est vraiment amusante ta petite blague, je n'en doute pas, le problème est que je ne pouvais pas décrocher moi-même quand tu as appelé. Alors maintenant, débrouille toi avec le patron". Oufff, grand moment de solitude, chance, le patron avait eu mieux à faire qu'à m'attendre ce jour là, et il ne m'en a pas parlé, jusqu'au jour où il m'a fait lui aussi fait une petite blague en retour peu de temps après.

Il part en vacances, et ramène à ses plus proches dans le travail, un petit cadeau. J'avais pour ma part un presse-papier de forme géométrique à trois faces retournables, comportant chacune une citation sur les "boss", dont l'une disait "quand le boss n'est pas là, les souris peuvent danser". Et il me dit en me le donnant : je viendrais moi-même positionner la bonne face, pour les jours où vous pourrez faire rire tous vos collègues sans craindre de tomber sur moi (grand sourire genre "et vlan") :smile2: :smile2: :smile2:

Une drôle et qui m'a permit de ne plus angoisser aux entretiens d'embauche.

Je travaillais pour monsieur X et je souhaitais changer d'employeur donc je postule dans un autre établissement.

Je me retrouve convoquée pour un entretien, l'entretien se passe à merveille et on souhaite m'embaucher. On me propose de me faire visiter l'établissement.

Je visite donc l'établissement et là on me présente.....à monsieur X qui était mon employeur actuel !

Sourires coincés, vous vous connaissez ? euh ça pour se connaître oui on se connaît :( je n'ai pas eu le poste et j'ai été licencié mais ça a été très bénéfique parce que maintenant je me dis que je ne pourrais jamais tomber pire en entretien d'embauche :D

J'ai travaillé 6 mois chez un avocat qui avait son cabinet en rez de rue dans Paris, et il y avait une grille à fermer, comme pour des magasins, pour protéger la porte d'entrée des effractions.

Le système d'alarme se déclenchait dès que la porte était un peu secouée.

Comme je travaillais en horaires décalés, plus tard le matin, mais plus tard le soir, c'était fréquent que j'aie à fermer les bureaux. Y'a pas un soir en fermant la grille où je ne faisais pas sonner cette p****** d'alarme Et évidemment, je n'ai jamais compris la manip pour arrêter l'alarme surtout.

Comme la société qui avait installé le système étant un peu plus haut dans la rue, tous les jours j'allais chercher le mec à sa boutique pour qu'il ferme les bureaux pour moi :D

C'est un souvenir qui remonte à mon service militaire; il y a donc très longtemps

Je participais à des manoeuvres de l'Otan dans le QG enterré de Taverny, en qualité d'aide météo

3 jours passés sans voir la lumière du jourr. A la fin, le vendredi midi, le colonel a pensé à son week-end et a demandé à l'adjudant responsable de la météo quel temps il ferait à Paris.

Nous avions collecté les observations de Rome, de Berlin, de Londres, d'Islande...de toute l'Europe, mais pour Paris, mon adjudant fut pris de court.

Alors il appela au téléphone le poste de garde à l'entrée du souterrain. J'entends encore sa voix à la Fernand Raynaud: "Ici, c'est la météo. Dites donc, vous pourriez pas nous dire le temps qu'il fait, dehors ?"