Le regret d'être mère

Elle ne te le confie peut-être pas...

Vous ne connaissez pas ma famille! :smile2:

Vous ne connaissez pas ma famille! :smile2:

Non, c'est vrai

J'ai du mal à concevoir qu'une femme puisse regretter d'être mère ?

Il est vrai que pour des enfants, n'ayant pas eu la chance de vivre une jeunesse insouciante sous la protection bienveillante des parents,et n'ayant pas reçus leur compte d'affection, explique sans doute,une fois adulte, cette incapacité de créer un lien avec leur enfant.

Mais il est tout aussi incompréhensible de ne pas admettre que certaines femmes ou hommes n'ayant pas d'enfants, ne font pas de ces personnes là, des pestiférés pour autant.

Brassens, dans une de ces chansons prétendaient que les braves gens n'aiment pas qu'on suive une autre route qu'eux, c'est sans doute ce conformiste élémentaire chez certains qui justifie cette attitude envahissante dans le jugement qu'ils ont d'autrui ?

Ils n'ont pas raison pour autant !

Et ça change tout. Il faudrait être vraiment bien mal intentionné pour te le reprocher.

Je pourrai en avoir, enfin je crois, mais j'ai pas de mec, je n'en veux plus et je ne veux pas faire d'enfant toute seule ni profiter de faire un gamin dans le dos à quelqu'un.

Donc j'ai pris la décision de renoncer définitivement à la maternité, tout en sachant que je le regretterai sûrement amèrement un jour ou l'autre.

Je pourrai en avoir, enfin je crois, mais j'ai pas de mec, je n'en veux plus et je ne veux pas faire d'enfant toute seule ni profiter de faire un gamin dans le dos à quelqu'un.

Donc j'ai pris la décision de renoncer définitivement à la maternité, tout en sachant que je le regretterai sûrement amèrement un jour ou l'autre.

J'avais compris que tu ne pouvais pas en avoir...

Mais de toutes façons, quelles que soient les raisons, il est stupide et indécent de porter un jugement.

L'instinct maternel a été "inventé" par les hommes!

A leur profit exclusif!

Ah bon ? Et celui des animaux qui l'a inventé ? Tu n'imagines pas ce dont est capable une mère pour protéger ses petits, quitte à risquer sa vie !

Quant aux préjugés sur les mecs, et bien chez tous ceux que je connais le désir d'enfants est beaucoup plus fort chez les femmes.

Ah bon ? Et celui des animaux qui l'a inventé ? Tu n'imagines pas ce dont est capable une mère pour protéger ses petits, quitte à risquer sa vie !

Oui, pour perpétuer sa lignée.

Et il y a aussi les mères qui abandonnent leur(s) petit(s) ou le(s) tuent.

Doublon

http://www.forumfr.com/sujet716762-si-vous-pouviez-revenir-en-arriere.html

J'ai voulu et toujours aimé mes enfants. Et pourtant, je me suis posé des questions jeune maman. Je me suis dit des tas de fois que j'avais fait une énorme con!rie, j'ai douté. Et puis un jour, je n'ai plus eu aucun doute : j'ai perdu un enfant.

Le passage qui m'interroge est celui où il est impossible d'être excusée puisque tout est mis à la disposition des femmes pour ne pas enfanter. Pilule, capote, ivg sont autant de progrès qui se retournent contre celles qui, en vivant leur maternité, réalisent qu'elles ne sont pas faites pour ça...

Doublon

http://www.forumfr.c...en-arriere.html

Ce n'est pas vraiment le même sujet.... Tu parles du regret de se retrouver avec vagin déformé, des kilos en plus et du pognon en moins.

Là c'est un regret profond, d'une vie qu'on arrive pas à assumer, d'un choix beaucoup trop lourd à porter.

Limite ton sujet aurait sa place dans l'asile, celui là beaucoup moins.

Le passage qui m'interroge est celui où il est impossible d'être excusée puisque tout est mis à la disposition des femmes pour ne pas enfanter. Pilule, capote, ivg sont autant de progrès qui se retournent contre celles qui, en vivant leur maternité, réalisent qu'elles ne sont pas faites pour ça...

C'est la bêtise des gens ça.

Dire que ton enfant tu l'as voulu, mais que tu le regrettes, faut un sacré courage pour en parler.

Le passage qui m'interroge est celui où il est impossible d'être excusée puisque tout est mis à la disposition des femmes pour ne pas enfanter. Pilule, capote, ivg sont autant de progrès qui se retournent contre celles qui, en vivant leur maternité, réalisent qu'elles ne sont pas faites pour ça...

Et c'est en cela que c'est un sujet tabou. Il est absolument inconcevable de se tromper sur une décision aussi "grave" que celle de faire un enfant.

Et pourtant, c'est un tel bouleversement, une telle inconnue, que s'il y a bien un domaine périlleux, c'est celui-là. Mais une femme qui regrette, est de facto, un monstre. Il me semble que dans une même situation, les hommes sont moins sujets à l'opprobre. Le fait de porter l'enfant doit être une circonstance aggravante...

Oui déjà qu'un homme qui quitte son foyer on dira de lui que c'est un salaud mais ça n'ira pas plus loin tellement on peut estimer que c'est tristement banal... Mais une femme qui dirait qu'elle ne veut plus de ses enfants, on a beau être ultra large d'esprit qu'on aurait dû mal à déglutir. Aussi parce qu'on va peut-être se positionner en tant qu'enfant et ça nous renvoie à cette peur "ai je été désiré" ou pire "suis je encore désiré".

Élevons-nous contre ce terrible principe qui veut que ceux qui font volontairement ou non des enfants doivent s'en occuper, c'est vrai quoi ils n'avaient cas pas être la ces cons la aussi, je suis sur qu'ils ont choisit de venir au monde exprès pour nous embêtez. Quand je pense qu'on demande au gens d'assumer leurs choix/erreurs.

De toute manière je doute qu'il existe des regrets permanent d'avoir eu un enfant.

En fait tu n'as absolument rien compris au sujet....

Ces femmes là assument, elles aimeraient juste qu'on arrête de les fustiger quand elles admettent que si c'était à refaire elles ne le referaient pas.

Personne ne peut savoir ce que la maternité représente avant de l'avoir vécue. Certaines femmes s'en épanouissent, d'autres le vivent très mal, et il n'y a rien de répréhensible. Ce n'est pas parce que l'on a voulu quelque chose que l'on a idéalisé, qu'on n'a pas le droit de reconnaître que l'on s'est trompé sans se faire flageller de toute part.

Je crois que le problème ce n'est pas de faire des enfants mais c'est de se dire qu'on les laissera dans ce monde là,à la merci des hasards heureux ou malheureux qui seront semés sur leur route.Dans un monde de dangers où un balle peut te ravir la vie,une tornade faire de toi un sans abri et où tu peux mourir de faim...et à ce moment là je me dis que les avoir mis au (sale)monde c'est dégueulasse de ma part!

Ceci dit il est aussi des enfants pas faciles.

Bonjour, pour ma part, j'ai du mal aussi à réaliser qu'une femme peut regretter d'être mère et je n'arrive pas à comprendre ce qui amène le regret de la naissance d'un enfant à part peut être pour certaines qui n'ont pas eu le choix. Je le verrais plus de façon épisodique mais je n'appelle pas ça un regret, plus un manque de confiance ou autres. Et quelles sont les raisons qui font qu'une mère regrette d'avoir eu un enfant, le fait qu'elle n'aime pas l'enfant, qu'elle aurait préféré une vie sans enfant, parce qu'elle pense qu'elle est une mauvaise mère...

Et c'est en cela que c'est un sujet tabou. Il est absolument inconcevable de se tromper sur une décision aussi "grave" que celle de faire un enfant.

Et pourtant, c'est un tel bouleversement, une telle inconnue, que s'il y a bien un domaine périlleux, c'est celui-là. Mais une femme qui regrette, est de facto, un monstre. Il me semble que dans une même situation, les hommes sont moins sujets à l'opprobre. Le fait de porter l'enfant doit être une circonstance aggravante...

Il est absolument inconcevable de se tromper sur une décision aussi "grave" que celle de faire un enfant.

Tout est dit dans cette phrase!!! Inutile d'aller plus loin.

Par contre moi homme, femme je vous aime, je vous respecte, vous êtes la vie depuis la nuit des temps.

Il est absolument inconcevable de se tromper sur une décision aussi "grave" que celle de faire un enfant.

Tout est dit dans cette phrase!!! Inutile d'aller plus loin.

Par contre moi homme, femme je vous aime, je vous respecte, vous êtes la vie depuis la nuit des temps.

Ce n'est pas le reflet de ce que je pense, mais de ce que pense la majorité...

C'était une antiphrase...

Ce n'est pas le reflet de ce que je pense, mais de ce que pense la majorité...

C'était une antiphrase...

mais de ce que pense la majorité..

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