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Le BREXIT a gagné

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Invité Théia

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 156 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
à l’instant, PASCOU a dit :

T'as enfin compris comment mettre un smiley?

Il ne te reste plus qu'à apprendre à mettre une réponse intelligente ou pour le moins étayée.

Merci.

venant de toi, cela me fait rigoler.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Pour ceux qui promettaient n'importe quoi.

https://www.capital.fr/economie-politique/bonne-nouvelle-pour-les-francais-du-royaume-uni-ils-pourront-rester-meme-en-cas-de-hard-brexit-1303680

Dans l'éventualité d'un Brexit "dur", les ressortissants français pourraient rester légalement sur le territoire indiquent des documents divulgués dans la presse britannique.

 

D'après les documents qui ont fuité du cabinet de la Première ministre, le Royaume-Uni pourrait faire preuve de souplesse avec les ressortissants de l'Union européenne sur ton territoire. Le document indique que le gouvernement prévoit de "faire une offre permettant aux 3,8 millions de ressortissants de l'UE vivant au Royaume-Uni d'y rester dans un scénario de hard Brexit".

L'expression "hard Brexit" -ou "no-deal Brexit" en anglais- recouvre tout un tas de scénarios catastrophes liés au Brexit dans les domaines économiques, sociaux ou politiques.

Un accord forcément réciproque

Toutefois, l’ancien ministre du Brexit, David Jones, a déclaré à The Independent : "Il faut que ce soit réciproque. Nous avons un grand nombre de citoyens britanniques dans l'UE et leurs intérêts doivent être pris en compte. Nous devons prendre soin de notre propre peuple."

La teneur de ce scénario sera décidée le 18 octobre prochain lors du conseil européen où un accord final est attendu entre l'Union européenne et le Royaume-Uni.

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  • 2 semaines après...
  • 1 mois après...
Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)
Le 02/09/2018 à 17:39, PASCOU a dit :

Barnier pour une prolongation des négociations :smile2:

Bin voyons....

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/le-brexit-n-est-donc-pas-un-traumatisme-les-cassandres-de-l-europe-ont-eu-tort-792668.html

"Le Brexit n’entraîne ni effet domino ni déconstruction de l’UE. Les habituelles Cassandres de l’Europe devraient se focaliser sur le risque « d’orbanisation » de l’UE. Par Sylvain Kahn, Professeur agrégé, Sciences Po – USPC

Sur le Brexit, la « fumée blanche » est enfin sortie du Berlaymont, le siège bruxellois de la Commission qui est à l'Union européenne ce que le Palais du Vatican est à Rome. C'est ainsi que le cabinet de Jean Claude Juncker a imagé, tôt dans la matinée du 8 décembre 2017, la conclusion de l'accord tant attendu avec Theresa May entre l'UE et le Royaume-Uni sur son retrait de l'Union, plus connu sous le nom de Brexit.

Trois points durs réglés

Trois points durs restaient à dissoudre et ils le sont dorénavant. Le Brexit étant un divorce, on peut dire que les Européens et les Britanniques sont parvenus à s'entendre dans l'intérêt des enfants.

  • Il n'y aura pas de mesure d'éloignement résidentiel ou d'obstacle au droit de visite : c'est le non-durcissement de la frontière terrestre entre le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, bien que celle-ci devienne la frontièreentre le Royaume-Uni et l'UE.

  • Il y aura résidence alternée et garde partagée : le statut des ressortissants de l'UE au sein du Royaume-Uni, comme celui des ressortissants britanniques au sein de l'UE, sera - au moins durant huit ans - du ressort et de la juridiction des tribunaux britanniques et de celle de la Cour de justice de l'UE.

  • Quant au partage des biens et au maintien du niveau de vie de tous selon les standards de la vie commune d'avant le divorce, un compromis avait été trouvé la semaine dernière sur le principe et le montant de la prestation compensatoire versée par les Britanniques aux Européens : 45 milliards d'euros.

Les négociations sur la nature des relations entre le Royaume-Uni et l'UE à partir de mars 2019, date d'entrée en vigueur du départ du domicile conjoint, peuvent enfin commencer, sous la houlette de Michel Barnier pour l'UE et de son homologue britannique David Davies.

L'Union a fait front

Le référendum sur le Brexit avait eu lieu le 23 juin 2016. Un an et demi plus tard que conclure ? Premier enseignement, l'UE est vraiment une association volontaire d'États souverains et libres. Connaissez-vous dans l'histoire mondiale beaucoup d'entités fédérales dans lesquelles un territoire qui veut partir peut le faire sans que la foudre ne lui tombe dessus ? On ne va pas rappeler ici la Guerre de sécession aux États-Unis, l'impossible indépendance des républiques du Caucase en Russie soviétique en 1921, ou la partition de l'Inde en 1947...

Deuxièmement, le Brexit n'a pas eu d'effet domino. Contrairement à leurs calculs et à leurs espoirs, les Britanniques ont fait face à un front uni et déterminé des 27. Aujourd'hui, la croissance économique repart dans toute la zone euro, même au Portugal et dans cette UE à 27, tandis qu'elle marque le pas au Royaume-Uni qui perd des emplois.

Le Brexit n'est donc pas un traumatisme. Au lendemain du vote, nous étions bien peu nombreux à le dire et à l'écrire. Que n'a-t-on entendu, de juin à décembre 2016, sur le Brexit comme signal de déconstruction européenne ! Après tant d'élargissements, ce premier rétrécissement donnait le coup d'envoi du détricotage !

Hé bien non : le Brexit n'est pas un traumatisme et les Cassandre de l'Europe, une fois de plus, ont eu tort. Sans le savoir ou en le sachant, elles ont cherché à aggraver les choses en les dramatisant, plutôt qu'en réfléchissant lucidement aux faits et à des solutions.

« L'orbanisation, le vrai risque »

Pour autant, ne faisons pas que nous réjouir : d'une part, l'énergie et le temps consacrés à ce divorce sont détournés des vrais dossiers et des vraies crises.

D'autre part, les grands partis eurosceptiques, comme le PVV hollandais de Geert Wilders ou le FN français de Marine Le Pen en ont tiré les conclusions : ils ne réclament plus ni Nexitni Frexit. Ils veulent transformer l'Europe de l'intérieur et la détourner au profit de leur idéologie illibérale et xénophobe, comme le fait déjà Viktor Orban et son Alliance civique (sic, Fidesz en hongrois) depuis huit ans en Hongrie, et maintenant aussi Jaroslaw Kaczynski et le Parti Droit et Justice (PiS) en Pologne.

Il est là le vrai risque de traumatisme. Et ce n'est pas le moment de mollir !

The Conversation _______

Par Sylvain KahnProfesseur agrégé, Sciences Po - USPC

 La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation"

 

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a une heure, ouest35 a dit :

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/le-brexit-n-est-donc-pas-un-traumatisme-les-cassandres-de-l-europe-ont-eu-tort-792668.html

"Le Brexit n’entraîne ni effet domino ni déconstruction de l’UE. Les habituelles Cassandres de l’Europe devraient se focaliser sur le risque « d’orbanisation » de l’UE. Par Sylvain Kahn, Professeur agrégé, Sciences Po – USPC

Sur le Brexit, la « fumée blanche » est enfin sortie du Berlaymont, le siège bruxellois de la Commission qui est à l'Union européenne ce que le Palais du Vatican est à Rome. C'est ainsi que le cabinet de Jean Claude Juncker a imagé, tôt dans la matinée du 8 décembre 2017, la conclusion de l'accord tant attendu avec Theresa May entre l'UE et le Royaume-Uni sur son retrait de l'Union, plus connu sous le nom de Brexit.

Trois points durs réglés

Trois points durs restaient à dissoudre et ils le sont dorénavant. Le Brexit étant un divorce, on peut dire que les Européens et les Britanniques sont parvenus à s'entendre dans l'intérêt des enfants.

  • Il n'y aura pas de mesure d'éloignement résidentiel ou d'obstacle au droit de visite : c'est le non-durcissement de la frontière terrestre entre le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, bien que celle-ci devienne la frontièreentre le Royaume-Uni et l'UE.

  • Il y aura résidence alternée et garde partagée : le statut des ressortissants de l'UE au sein du Royaume-Uni, comme celui des ressortissants britanniques au sein de l'UE, sera - au moins durant huit ans - du ressort et de la juridiction des tribunaux britanniques et de celle de la Cour de justice de l'UE.

  • Quant au partage des biens et au maintien du niveau de vie de tous selon les standards de la vie commune d'avant le divorce, un compromis avait été trouvé la semaine dernière sur le principe et le montant de la prestation compensatoire versée par les Britanniques aux Européens : 45 milliards d'euros.

Les négociations sur la nature des relations entre le Royaume-Uni et l'UE à partir de mars 2019, date d'entrée en vigueur du départ du domicile conjoint, peuvent enfin commencer, sous la houlette de Michel Barnier pour l'UE et de son homologue britannique David Davies.

L'Union a fait front

Le référendum sur le Brexit avait eu lieu le 23 juin 2016. Un an et demi plus tard que conclure ? Premier enseignement, l'UE est vraiment une association volontaire d'États souverains et libres. Connaissez-vous dans l'histoire mondiale beaucoup d'entités fédérales dans lesquelles un territoire qui veut partir peut le faire sans que la foudre ne lui tombe dessus ? On ne va pas rappeler ici la Guerre de sécession aux États-Unis, l'impossible indépendance des républiques du Caucase en Russie soviétique en 1921, ou la partition de l'Inde en 1947...

Deuxièmement, le Brexit n'a pas eu d'effet domino. Contrairement à leurs calculs et à leurs espoirs, les Britanniques ont fait face à un front uni et déterminé des 27. Aujourd'hui, la croissance économique repart dans toute la zone euro, même au Portugal et dans cette UE à 27, tandis qu'elle marque le pas au Royaume-Uni qui perd des emplois.

Le Brexit n'est donc pas un traumatisme. Au lendemain du vote, nous étions bien peu nombreux à le dire et à l'écrire. Que n'a-t-on entendu, de juin à décembre 2016, sur le Brexit comme signal de déconstruction européenne ! Après tant d'élargissements, ce premier rétrécissement donnait le coup d'envoi du détricotage !

Hé bien non : le Brexit n'est pas un traumatisme et les Cassandre de l'Europe, une fois de plus, ont eu tort. Sans le savoir ou en le sachant, elles ont cherché à aggraver les choses en les dramatisant, plutôt qu'en réfléchissant lucidement aux faits et à des solutions.

« L'orbanisation, le vrai risque »

Pour autant, ne faisons pas que nous réjouir : d'une part, l'énergie et le temps consacrés à ce divorce sont détournés des vrais dossiers et des vraies crises.

D'autre part, les grands partis eurosceptiques, comme le PVV hollandais de Geert Wilders ou le FN français de Marine Le Pen en ont tiré les conclusions : ils ne réclament plus ni Nexitni Frexit. Ils veulent transformer l'Europe de l'intérieur et la détourner au profit de leur idéologie illibérale et xénophobe, comme le fait déjà Viktor Orban et son Alliance civique (sic, Fidesz en hongrois) depuis huit ans en Hongrie, et maintenant aussi Jaroslaw Kaczynski et le Parti Droit et Justice (PiS) en Pologne.

Il est là le vrai risque de traumatisme. Et ce n'est pas le moment de mollir !

The Conversation _______

Par Sylvain KahnProfesseur agrégé, Sciences Po - USPC

 La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation"

 

Et les pluie de crapauds n'ont pas eu lieu non plus et l'île n'a  toujours pas sombré. 

On sent que les européennes approchent.

Faire trainer volontairement.....

Modifié par PASCOU
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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 156 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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il y a 23 minutes, PASCOU a dit :

Et les pluie de crapauds n'ont pas eu lieu non plus et l'île n'a  toujours pas sombré. 

On sent que les européennes approchent.

Faire trainer volontairement.....

tu parles comme une des sorcières de Macbeth! tu attends quoi? que la forêt se mette en mouvement? rires! les anglais n'auront pas le beurre et l'argent du beurre. ils veulent choisir librement, ils l'ont fait, qu'ils assument. 

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, jacky29 a dit :

tu parles comme une des sorcières de Macbeth! tu attends quoi? que la forêt se mette en mouvement? rires! les anglais n'auront pas le beurre et l'argent du beurre. ils veulent choisir librement, ils l'ont fait, qu'ils assument. 

Oui je sais ta cousine etc....

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  • 1 mois après...
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zebusoif Membre 17 050 messages
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Crabe_fantome Membre 45 565 messages
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zebusoif Membre 17 050 messages
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il y a 6 minutes, Crabe_fantome a dit :

et celles qui restent augmentent les salaires. Pas mal. Je m'inquiète pas pour les anglais

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 1 minute, zebusoif a dit :

et celles qui restent augmentent les salaires. Pas mal. Je m'inquiète pas pour les anglais

Ce n'est qu'une histoire d'additions et de soustractions. Si tu es heureux pour les 0.9% de salariés augmentés moi je m'inquiète de savoir comment ces 0.9% vont payer les anglais au chômage suite au départ des autres entreprises... 

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zebusoif Membre 17 050 messages
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il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

Ce n'est qu'une histoire d'additions et de soustractions. Si tu es heureux pour les 0.9% de salariés augmentés moi je m'inquiète de savoir comment ces 0.9% vont payer les anglais au chômage suite au départ des autres entreprises... 

on dirait que ça représente légèrement plus que 0,9% (en français)...

Et puis ne faisons pas semblant de s'inquiéter pour le sort des anglais. La plupart des eurolâtres souhaitent la misère aux anglais.

Moi je regarde ça avec attention.

Force est de constater que l'apocalypse annoncée n'est pas là, malgré les prophéties...

Modifié par zebusoif
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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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à l’instant, zebusoif a dit :

on dirait que ça représente légèrement plus que 0,9% (en français)...

Ce n'est pas indiqué dans ton article, lequel conclue ainsi:

De son côté, le gouvernement britannique met les bouchées doubles pour attirer les travailleurs étrangers. «Les citoyens européens sont indispensables à notre économie. Il est clair que depuis que la décision de sortir de l'Union européenne a été prise, nous voulons que ces citoyens et leurs familles soient en mesure de rester. Nous continuerons à être un pays ouvert qui accueillera toujours les gens prêts à travailler dur pour notre pays», a déclaré un porte-parole.

 

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zebusoif Membre 17 050 messages
Maitre des forums‚
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ne faisons pas semblant de s'inquiéter pour le sort des anglais. La plupart des eurolâtres souhaitent la misère aux anglais.

Moi je regarde ça avec attention.

Force est de constater que l'apocalypse annoncée n'est pas là, malgré les prophéties...

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 2 minutes, zebusoif a dit :

ne faisons pas semblant de s'inquiéter pour le sort des anglais. La plupart des eurolâtres souhaitent la misère aux anglais.

Moi je regarde ça avec attention.

Force est de constater que l'apocalypse annoncée n'est pas là, malgré les prophéties...

Il n'a jamais été question d'apocalypse mais de perte de pouvoirs... Les anglais ont préféré perdre de leurs pouvoirs et de leurs influences sur le monde en échange d'un peu plus de libertés et notamment celle de ne plus suivre les quottas européens pour racler les fonds marins et se faire du pognon sur le dos de la nature... Donc oui les pêcheurs anglais vont avoir un meilleur avenir que les autres pêcheurs européens, puisque nous, nous sommes respectueux de la nature... mais reste à voir tout ce qu'ils vont perdre...

 

Tu trouves peut être normal ou rassurant que les anglais soient obligé de faire des provisions de médicaments comme s'ils étaient en guerre? Moi pas... https://www.lesechos.fr/03/08/2018/lesechos.fr/0302072774316_brexit---le-royaume-uni-prepare-des-stocks-de-medicaments.htm

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 156 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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Il y a 2 heures, zebusoif a dit :

et celles qui restent augmentent les salaires. Pas mal. Je m'inquiète pas pour les anglais

sais-tu ce que cela veut dire sur un court terme, zébu? de gros problèmes de trésorerie et comme elles sont toute endettées, demande-toi quel sera le nombre de ces entreprises qui plongeront? du beau temps pour les délocalisations de masse! eh oui! 

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 156 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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Il y a 2 heures, zebusoif a dit :

on dirait que ça représente légèrement plus que 0,9% (en français)...

Et puis ne faisons pas semblant de s'inquiéter pour le sort des anglais. La plupart des eurolâtres souhaitent la misère aux anglais.

Moi je regarde ça avec attention.

Force est de constater que l'apocalypse annoncée n'est pas là, malgré les prophéties...

tu vois sur le court terme... que dis-je sur le présent! tu ne possèdes absolument pas la projection de ce qui peut arriver quant on est chef d'entreprise... le brexit n'a pas encore eu lieu, faut l'intégrer, ça! non? il aura lieu à la fin de l'année d' exercice... es-tu allé à Londres dernièrement? si oui, t'es-tu aperçu que beaucoup de personnes travaillent pour une poignée d'euros à tout et à n'importe quoi. que même travailler une heure pendant un mois, retire "le travailleur" du pourcentage des chômeurs, amusant, non? toi le chantre de la juste rémunération et du plein emploi, tu t'extasies sur un système qui plonge le travailleur anglais à plus de misère et de précarité encore... tu en pleine contradiction, mon pauvre zébu!  

Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Il n'a jamais été question d'apocalypse mais de perte de pouvoirs... Les anglais ont préféré perdre de leurs pouvoirs et de leurs influences sur le monde en échange d'un peu plus de libertés et notamment celle de ne plus suivre les quottas européens pour racler les fonds marins et se faire du pognon sur le dos de la nature... Donc oui les pêcheurs anglais vont avoir un meilleur avenir que les autres pêcheurs européens, puisque nous, nous sommes respectueux de la nature... mais reste à voir tout ce qu'ils vont perdre...

 

Tu trouves peut être normal ou rassurant que les anglais soient obligé de faire des provisions de médicaments comme s'ils étaient en guerre? Moi pas... https://www.lesechos.fr/03/08/2018/lesechos.fr/0302072774316_brexit---le-royaume-uni-prepare-des-stocks-de-medicaments.htm

cela fait longtemps que beaucoup de travailleurs précaires tentent de trouver par des voies détournées des médicaments aussi bien sur le net que par des moyens "litigieux", crabe! c'est bien simple, on se croirait au Venezuela! j'exagère, je sais! ;) 

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, zebusoif a dit :

ne faisons pas semblant de s'inquiéter pour le sort des anglais. La plupart des eurolâtres souhaitent la misère aux anglais.

Moi je regarde ça avec attention.

Force est de constater que l'apocalypse annoncée n'est pas là, malgré les prophéties...

Apres le Brexit, la GB surprend le monde en etant soudainement 2è aux JO derriere usa ! Est-ce un signe ? et si c les anglais qui vont faire couler l'europe ? :D 

 

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
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Il y a 2 heures, zebusoif a dit :

il y a bien eu question d'apocalypse quand même. Un petit peu.....

Rome s'est aussi effondré, mais Rome est toujours là... Qui parle d'apocalypse? Genre avec une pluie de grenouilles ou des rivières de sang? Signer un chèque de 40 milliards d'euros va leur faire mal au cul mais ça n'a rien d'apocalyptique. 

il y a 2 minutes, shyiro a dit :

Apres le Brexit, la GB surprend le monde en etant soudainement 2è aux JO derriere usa ! Est-ce un signe ? et si c les anglais qui vont faire couler l'europe ? :D 

 

Déjà le brexit n'a pas encore eu lieu... le début, s'il n'est pas repoussé encore une fois, ce sera l'année prochaine. Et il y a toujours 2 scénarios probable: soit un le brexit qu'à ordonné Trump à l'Angleterre où là l'ile va être coupé du monde, soit un brexit invisible où on va reprendre les mêmes accords et garder les mêmes quottas à respecter pour tous. De là, 5/10 ans après, on pourra tirer des conclusions sur l'économie et du Royaume Unis, et des britanniques. 

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