Une vidéo d’un lycéen tabassé par des CRS déclenche une enquête

L'éducation des enfants c'est les parents et il ne fallait rien laisser passer sous des prétextes qui n'ont ni queue qui tête . On ne pouvait avoir qu'un retour de bâton

A 15 ans on ne sait que très rarement ce qui est bien ou pas pour l'avenir. J'ai le sentiment que ce sont les parents , habitués et nostalgiques des manifs, qui leurs montent la tête . Et ce sont ces mêmes parents qui ont voté pour ce gouvernement .

Alors les enfants, les œufs et la farine vous savez à présent sur qui vous devez les balancer :D

Et sinon les actes de vandalisme suite à cette "bavure" ne choquent personne?

Bien, ils ont raison, alors, pourquoi s'en priver.... par contre faudra pas s'étonner que les gens s'énervent lorsqu'ils risquent de se prendre une vitre de bus sur la tronche gratos, pour ne citer que ça.

On marche sur la tête.

L'autre jour, dans mon coin reculé, une dizaine de morveux que je laissais passer à un passage clouté, m'ont fait de très jolis gestes très explicites, m'ont nargués et pour finir en apothéose, ont caillassé ma voiture.

J'étais furax et si j'avais pu, j'avoue qu'asséner une bonne torgnole m'aurait bien soulagée, en sachant pertinemment que ça n'aurait rien résolu. Mais bon, 50 kgs toute mouillée contre 10 lascars, toutes façons...

Alors quand j'imagine des gens qui vivent ça au quotidien, je comprends bien leur désarroi et leur hargne.

Un flic, c'est différent. C'est son job de faire respecter la loi et ce ne doit pas être un boulot facile, je le concède.

Mais quand il perd ses nerfs et qu'il frappe un mec maîtrisé, c'est une faute. Point.

Si les flics étaient respectés lorsqu'ils sont en service , on en serait pas là !

Ils sont là pour faire respecter les lois et veiller sur la sécurité de la population qui paye pour ça pas pour se faire taper dessus ni pour se faire insulter. Faut pas déconner non plus

Dans leur pays d'origine (puisque la présidente neuneu de la FCPE porte aussi plainte pour racisme), ils se seraient pris rapidement une balle dans les fesses, ou auraient été amenés en prison où tous les collègues du flic agressé les bastonneraient avec vigueur).

On est aussi dans un contexte d'attentats ,ils doivent être sur les dents les cerbères!

L'autre jour, dans mon coin reculé, une dizaine de morveux que je laissais passer à un passage clouté, m'ont fait de très jolis gestes très explicites, m'ont nargués et pour finir en apothéose, ont caillassés ma voiture.

J'étais furax et si j'avais pu, j'avoue qu'asséner une bonne torgnole m'aurait bien soulagée, en sachant pertinemment que ça n'aurait rien résolu. Mais bon, 50 kgs toute mouillée contre 10 lascars, toutes façons...

Alors quand j'imagine des gens qui vivent ça au quotidien, je comprends bien leur désarroi et leur hargne.

Un flic, c'est différent. C'est son job de faire respecter la loi et ce ne doit pas être un boulot facile, je le concède.

Mais quand il perd ses nerfs et qu'il frappe un mec maîtrisé, c'est une faute. Point.

Désolée pour toi la Mite, tu as dû bien rager voire flipper. Tu ne crois pas qu'il y a un sérieux problème pour en arriver là, sachant qu'ils sont loin d'être des cas isolés ?

Je ne cautionne pas le geste du flic qui a sans doute voulu "montrer l'exemple ". Mais il me semble qu'à l'heure actuelle ils doivent être sur les dents, donc quand c'est trop ça déborde. On ne peut pas toujours se montrer parfaits en toute circonstance, et ce qui s'est passé ensuite est sans doute sans commune mesure.

C'est quand même merveilleux cette façon de transformer une victime en potentiel coupable puis en coupable avéré.

Désolée pour toi la Mite, tu as dû bien rager voire flipper. Tu ne crois pas qu'il y a un sérieux problème pour en arriver là, sachant qu'ils sont loin d'être des cas isolés ?

Je ne cautionne pas le geste du flic qui a sans doute voulu "montrer l'exemple ". Mais il me semble qu'à l'heure actuelle ils doivent être sur les dents, donc quand c'est trop ça déborde. On ne peut pas toujours se montrer parfaits en toute circonstance, et ce qui s'est passé ensuite est sans doute sans commune mesure.

J'étais tellement colère que pas eu le temps de flipper.

C'était de jeunes ados en bande, désoeuvrés un mercredi après-midi.

C'est clair qu'il y a un, des problèmes. Ce genre d'agression est gratuite.

Et j'imagine qu'il y a pléthores de facteurs qui induisent ce comportement...

Mais je crois que le plus dangereux dans l'histoire, c'est cette impuissance que ressent l'agressé face à ça. Ça monte et comme on ne peut pas réagir comme on le souhaiterait au moment, rien ne se désamorce et ça s'accumule. Et l'accumulation ça finit parfois par des drames.

Alors si en plus les flics perdent leur sang-froid...

Je ne cautionne pas le geste du flic qui a sans doute voulu "montrer l'exemple ". sure.

Oui, ou il avait juste envie de frapper.

Peut-être est-il même coutumier du fait, il y en a quelques uns comme cela.

... Parce que pour donner l'exemple, il faut le faire avec un public, et je pense qu'il s'en serait bien passé, du public.

Un gamin de 15 ans qui va dans une manif, c'est un gamin qui s'intéresse à la politique, un gamin conscient qu'il va être amené à être citoyen et qu'il aura son rôle à jouer dans cette société.

Un vieux con qui trouve qu'un "gamin" de 15 ans n'a rien à faire dans une manif, c'est un réac anti démocrate. Entre les deux mon cœur balance.

Un gamin de 15 ans qui va dans une manif, c'est pour échapper aux cours. Un vieux qui pense autrement est juste ultra-naïf.

Ceci dit avec les images: méfiance qui vous dit qu'on n'a pas bidouillé la bande son pour en retirer de copieuses insultes et provocations verbales? Ou qu'on n'a pas extrait la scène d'un contexte violent de harcèlement des flics (y compris corporel:jets d'oeufs,de farine,et d"autres projectiles divers.) dans les vingt minutes précédant les faits?

J'ai souvent côtoyé les gamins des cités certains sont passés maîtres dans l'art de vous faire sortir de vos gonds!

Quand l'éducation des parents,la férule du maître,le bourre pif du flic,l'admonestation ,l'amende, l'emprisonnement du juge, ont échoué il reste quoi?Les deux balles dans la tête du GIGN?

Certains collèges resteront fermés demain.

Tant mieux.

Tous les collégiens pourront rester dans la rue et casser les magasins.

J'espère que les flics n'interviendront pas car les parents surveillent leurs petits chéris.

Une enquête révèle que 30 % des lycéens franciliens travaillent à côté des cours.

En Île-de-France, trois lycéens sur dix occupent un emploi rémunéré.

Et 10 % travaillent toute l’année.

De quoi contredire ceux qui les accusent de ne pas être concernés par la loi travail.

L’enquête du sociologue Boris Teruel (voir l’entretien ci-contre) auprès de 3 000 jeunes Franciliens révélait que 30 % des lycéens travaillent, dont 10 % de manière

intensive durant les vacances mais également durant la semaine scolaire.

Une proximité avec le monde du travail très concrète pour les 663 000 élèves de l’enseignement professionnel qui, dès l’âge de 15 ans, côtoient les bureaux

et les ateliers lors de sessions de stages à répétition.

De quoi se faire une opinion. Shirley, 18 ans, une lycéenne parisienne

d’un quartier populaire, en a une bien précise sur la loi El Khomri.

« Elle n’est bonne ni pour les plus âgés ni pour les jeunes.

Comment vivre dans la précarité permanente ?

La ministre devrait venir rencontrer des jeunes, dans les associations étudiantes,

ici, dans ce lycée où l’on n’est pas tous fortunés, elle verra. »

Que verra-t-elle ? De nombreux élèves salariés comme cette jeune fille.

Lire ici ...

http://www.humanite.fr/loi-travail-les-lyceens-savent-de-quoi-ils-parlent-603333

Certains collèges resteront fermés demain.

Tant mieux.

Tous les collégiens pourront rester dans la rue et casser les magasins.

J'espère que les flics n'interviendront pas car les parents surveillent leurs petits chéris.

Plus de 63 % de ceux originaires de catégories sociales défavorisées occupent un emploi rémunéré

à forte intensité, peu compatible, voire incompatible, avec une scolarité réussie.

Ils sont deux fois moins nombreux à accéder aux petits jobs dont l’impact est moindre

sur le travail scolaire.

Yacine, 18 ans, vient de décrocher un poste d’animateur.

De quoi assurer son indépendance. « Cela m’évite de demander de l’argent à mes parents

qui sont un peu justes », glisse-t-il.

Comme Shirley, il s’apprête à affronter les épreuves du bac.

Et déjà s’interroge : « L’an prochain, je serai étudiant.

Je crains que la bourse et mon salaire ne soient pas suffisants… »

Oui, ou il avait juste envie de frapper.

Peut-être est-il même coutumier du fait, il y en a quelques uns comme cela.

... Parce que pour donner l'exemple, il faut le faire avec un public, et je pense qu'il s'en serait bien passé, du public.

Exact cela me rappelle un certains "zizou" et son "coup de boule"

Certes il y eu des "paroles" ... parait il

« Elle n’est bonne ni pour les plus âgés ni pour les jeunes.

Comment vivre dans la précarité permanente ?

La ministre devrait venir rencontrer des jeunes, dans les associations étudiantes,

Mais la ministre sait ce que c'est la précarité, elle est en CDD non renouvelable qui se terminera en mai 2017! :D

Une enquête révèle que 30 % des lycéens franciliens travaillent à côté des cours.

En Île-de-France, trois lycéens sur dix occupent un emploi rémunéré.

Et 10 % travaillent toute l’année.

De quoi contredire ceux qui les accusent de ne pas être concernés par la loi travail.

L’enquête du sociologue Boris Teruel (voir l’entretien ci-contre) auprès de 3 000 jeunes Franciliens révélait que 30 % des lycéens travaillent, dont 10 % de manière

intensive durant les vacances mais également durant la semaine scolaire.

Une proximité avec le monde du travail très concrète pour les 663 000 élèves de l’enseignement professionnel qui, dès l’âge de 15 ans, côtoient les bureaux

et les ateliers lors de sessions de stages à répétition.

De quoi se faire une opinion. Shirley, 18 ans, une lycéenne parisienne

d’un quartier populaire, en a une bien précise sur la loi El Khomri.

« Elle n’est bonne ni pour les plus âgés ni pour les jeunes.

Comment vivre dans la précarité permanente ?

La ministre devrait venir rencontrer des jeunes, dans les associations étudiantes,

ici, dans ce lycée où l’on n’est pas tous fortunés, elle verra. »

Que verra-t-elle ? De nombreux élèves salariés comme cette jeune fille.

Lire ici ...

http://www.humanite.fr/loi-travail-les-lyceens-savent-de-quoi-ils-parlent-603333

Plus de 63 % de ceux originaires de catégories sociales défavorisées occupent un emploi rémunéré

à forte intensité, peu compatible, voire incompatible, avec une scolarité réussie.

Ils sont deux fois moins nombreux à accéder aux petits jobs dont l’impact est moindre

sur le travail scolaire.

Yacine, 18 ans, vient de décrocher un poste d’animateur.

De quoi assurer son indépendance. « Cela m’évite de demander de l’argent à mes parents

qui sont un peu justes », glisse-t-il.

Comme Shirley, il s’apprête à affronter les épreuves du bac.

Et déjà s’interroge : « L’an prochain, je serai étudiant.

Je crains que la bourse et mon salaire ne soient pas suffisants… »

L'Huma, parole d'évangile!

Une enquête révèle que 30 % des lycéens franciliens travaillent à côté des cours.

En Île-de-France, trois lycéens sur dix occupent un emploi rémunéré.

Et 10 % travaillent toute l’année.

De quoi contredire ceux qui les accusent de ne pas être concernés par la loi travail.

L’enquête du sociologue Boris Teruel (voir l’entretien ci-contre) auprès de 3 000 jeunes Franciliens révélait que 30 % des lycéens travaillent, dont 10 % de manière

intensive durant les vacances mais également durant la semaine scolaire.

Une proximité avec le monde du travail très concrète pour les 663 000 élèves de l’enseignement professionnel qui, dès l’âge de 15 ans, côtoient les bureaux

et les ateliers lors de sessions de stages à répétition.

De quoi se faire une opinion. Shirley, 18 ans, une lycéenne parisienne

d’un quartier populaire, en a une bien précise sur la loi El Khomri.

« Elle n’est bonne ni pour les plus âgés ni pour les jeunes.

Comment vivre dans la précarité permanente ?

La ministre devrait venir rencontrer des jeunes, dans les associations étudiantes,

ici, dans ce lycée où l’on n’est pas tous fortunés, elle verra. »

Que verra-t-elle ? De nombreux élèves salariés comme cette jeune fille.

Lire ici ...

http://www.humanite.fr/loi-travail-les-lyceens-savent-de-quoi-ils-parlent-603333

Plus de 63 % de ceux originaires de catégories sociales défavorisées occupent un emploi rémunéré

à forte intensité, peu compatible, voire incompatible, avec une scolarité réussie.

Ils sont deux fois moins nombreux à accéder aux petits jobs dont l’impact est moindre

sur le travail scolaire.

Yacine, 18 ans, vient de décrocher un poste d’animateur.

De quoi assurer son indépendance. « Cela m’évite de demander de l’argent à mes parents

qui sont un peu justes », glisse-t-il.

Comme Shirley, il s’apprête à affronter les épreuves du bac.

Et déjà s’interroge : « L’an prochain, je serai étudiant.

Je crains que la bourse et mon salaire ne soient pas suffisants… »

Mais ABSOLUMENT rien de nouveau à cela, même à "l'époque" ceci était très courant, seulement nous n'étions pas dans une sociétal d'assistanat :bad:

De Paris à Nantes, en passant par Lyon (notre photo), les dénonciations d’agressions

se multiplient depuis jeudi dernier.

Au-delà du cas médiatisé du jeune Adan, de nombreux élèves de cet établissement

parisien ont été victimes d’une féroce répression.

Les témoignages s’accumulent et la FCPE réclame une « véritable enquête ».

Une élève noire traitée de « pute » par une policière, un autre menacé par un agent

de la BAC : « On peut vous frapper jusqu’à la mort ! »

L’intervention policière du jeudi 24 mars, devant la cité scolaire Bergson,

dans le 19e arrondissement parisien, n’en finit plus de surprendre par sa violence.

Les images du jeune Adan, 15 ans, recevant sans raison un coup de poing au visage,

ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux, allant jusqu’à « choquer »

le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.

Cette agression fera l’objet, a promis le préfet de police de Paris, d’une enquête

de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).

Mais depuis, d’autres vidéos sont venues montrer que cette « bavure »

était loin d’être un cas isolé.

Une multitude d’élèves de Bergson ont fait l’objet, ce jour-là,

de coups de matraque injustifiés, de « balayettes »

ou encore de gazages intempestifs à la lacrymogène.

D’après Ilies, un des lycéens, certains policiers auraient également

proféré des menaces « de mort ou de viol ».

Déshabillé et laissé en caleçon...

lire ici...

http://www.humanite.fr/la-police-eu-la-main-tres-lourde-au-lycee-bergson-603322

Et comme par hasard, il n'y a pas de videos qui montrent quand ils agressent ou insultent les flics.

Un gamin de 15 ans qui va dans une manif, c'est pour échapper aux cours. Un vieux qui pense autrement est juste ultra-naïf.

Pas forcément, ça peut être un adulte qui a eu 15 ans aussi, et une conscience politique à l'adolescence

Sur ce lien, il y a d'autres vidéos sympa :

http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/30/violences-policieres-contre-lyceens-sans-les-videos-les-aurais-crus-a-moitie-263618?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1459356301

"« On a mis un moment à comprendre l’ampleur de ce qui s’était passé », relate Gwénaël Cau, élue FCPE au conseil d’administration du lycée Bergson. Quand ils ont reçu les SMS de leurs enfants, ils ont d’abord pensé que c’était la première fois que ceux-ci voyaient la police en action pendant une manif. « On a eu du mal à le croire. »

Ce qu’ils décrivaient semblait exagéré.

Depuis, la FCPE a recueilli plusieurs témoignages et d’autres vidéos. Gwénaël Cau :

Les vidéos ont en tout cas appuyer les témoignages des lycéens. Comme dans d’autres cas de violences policières, elles ont aussi permis de déclencher rapidement l’ouverture d’une enquête."