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Violée ? "Tu y es pour quelque chose"

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Membre, 62ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Entre autre, effectivement. Car tu changes totalement le rapport de force si ça n'est pas le client qui paye. ;)

D'une part, tu élimines par ce biais la prostitutions mafieuses, puisqu'elles ne supporterons pas la concurrence déloyale. (les mafia ont toujours abandonné un truc devenu légal) Ce qui déjà en soit devrait être une raison largement suffisante.

D'autre part, tu permets aux prostituées d'opérer dans des lieux descend et sécurisés, où elles seront en position de force si quelque chose se passe mal. Ce qui change aussi énormément les choses. À fortiori si c'est la règle pour pouvoir bénéficier de leur services.

Tu permets aussi, par la légalité, de faire respecter la loi au sein de la relation. Ta boulangère, tu ne la frappe ou ne l'insulte pas, tout simplement parce qu'elle a les moyens de se défendre légalement. Ce que n'ont pas les prostituées illégales.

De surcroit, les prostituées ne servent surtout qu'à ceux qui ont de l'argent. Elles bénéficient aux riches, pas à ceux qui en ont besoin. Le critère n'est pas social, mais uniquement pécuniaire. Or c'est précisément la population la plus "exploitée" qui est aussi la plus susceptible de violence, et de viol.

Ceci dis, je rappelle que je n'ai pas parlé que de cette mesure. Une bonne partie des viols se font par des proches. Et la plupart du temps, à cause du célibat forcé de ces dernier, et des positionnements que peuvent prendre les nanas qui "souffriraient" de la concurrences des prostituées, en terme de servitude que les hommes acceptent de subir pour tenter de leur plaire et de les mettre dans leur lit.

Il me semble aussi nécessaire de mettre fin à ces pratiques culturelle jugée "normale" aujourd'hui.

Même si la libération de la prostitution aiderai beaucoup à aller dans ce sens. ( Surtout en "coupant l'herbe sous le pied" des femmes qui profitent de la frustration masculine. Rétablissant un rapport d'égal à égal. )

Une autre grosse partie proviendrai de l'interdiction de la publicité. Car de fait, c'est une industrie de la manipulation visant expressément la frustration de la population. Et à saper leur bien être, pour les maintenir dans un état de "manque" et d'infériorité permanente, et l'impossibilité de pouvoir se sentir avoir "réussit" sa vie.

(Je pense d'ailleurs que c'est l'élément qui a le plus d'impact. Et pas que sur le viol, sur l'ensemble des violences sociales. )

laugh.gif

En gros, revenons en aux pratiques des siècles derniers ! Mettons en place un bataillon de prostituées !

Faisons en sorte que la prostitution devienne un metier respectable, pour les hommes aussi bien entendu. Ca aura au moins le mérite de réduire le chomage.

Je compte sur toi bien entendu pour postuler !

Plaisanterie à part, je te suggère d'aller voir quel est le taux de viols en Suisse, puisque c'est ce qui se pratique là-bas. Au moins tu pourrais eventuellement appuyer ton point de vue sur des faits concrets.

Quand à la solution pour les viols domestiques, c'est quoi ?

Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés.

Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds.

Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels.

Mais c'est tellement plus important de pouvoir traiter son mec comme un petit toutou ! ^^

C'est précisément pour ça qu'il y a, et aura toujours des violeurs. Tant que les femmes chercherons à préserver leur prérogatives leur permettant de dominer et exploiter les hommes. Tant qu'elles considèreront que c'est "normal" qu'elles puissent tirer avantage (autre que sexuel) de la frustration des hommes. Tant qu'elle accepterons de se comporter comme des prostituées, ( et donc d'en souffrir la concurrence. )

Mais qu'on ne viennent pas me dire que les femmes ne dominent pas les hommes, si la simple perspective de se retrouver face à des hommes non frustrés leur fait craindre pour leur petit pouvoir personnel au sein de leur couple.

Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société.

C'est aussi, de mon avis, la cause du taux de suicide 4 fois supérieur des hommes par rapport aux femmes.

Ah ! nous y voila ! Monsieur se considère opprimé... Je vois...

Bon, il me parait urgent que tu mettes en oeuvre tes théories et que tu ailles te prostituer afin de faire disparaitre les frustrations des femmes envers les hommes. Cela aura l'avantage :

1- de mesurer concrétement de quoi tu parles

2- de rendre ainsi le monde meilleur.

Par ailleurs, comme tu me parais enclin des solultions magiques (dans le sens de "pensée magique") je suppose que pour regler le chomage tu prones le retour à l'esclavage ? laugh.gif

Modifié par Aglaglae
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Membre, Posté(e)
Ohanzee Membre 87 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je vois que nous faisons allègrement un bon de 10 siècles en arrière...

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 725 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Avant les années 80 une plainte pour viol commençait par une enquête de moralité sur la victime. D'ailleurs la qualification du viol était bien différente d'aujourd'hui. Il était martelé partout que "ce n'était pas si grave", que "les victimes l'avaient bien cherché" (jetez un coup d'œil du côté du procès d'Aix en Provence). La levée de boucliers du moment a construit la nouvelle loi et amorcé un changement (oh combien minime on le voit aujourd'hui après quarante ans) des mentalités.

Comme il n'est plus possible aujourd'hui de soutenir les affirmations de l'époque, même s'il y en a encore qui l'ose, alors on va chercher d'autres moyens de culpabilisation. Ce qui aboutit notamment à une thèse sur la frustration engendrée par le comportement des femmes sur les hommes.

Conclusion Mesdames, c'est toujours de votre faute, mais pour d'autres raisons :sleep:

Ben voyons... La route est longue...

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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

Relis toi sérieusement, tu veux ?

>_<

Je n'ai pas dis que TOUS les frustrés se transforment en violeur. Je dis que l'immense majorité des violeurs ont, à la base, une frustration sexuelle..

Et c'est faux...un violeur n'est pas forcément incapable de séduire et d'avoir une femme, au contraire certains sont très séduisants et leurs victimes ne se méfient pas.

Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés.

Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds.

Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels.

Mais c'est tellement plus important de pouvoir traiter son mec comme un petit toutou ! ^^

C'est précisément pour ça qu'il y a, et aura toujours des violeurs. Tant que les femmes chercherons à préserver leur prérogatives leur permettant de dominer et exploiter les hommes. Tant qu'elles considèreront que c'est "normal" qu'elles puissent tirer avantage (autre que sexuel) de la frustration des hommes. Tant qu'elle accepterons de se comporter comme des prostituées, ( et donc d'en souffrir la concurrence. )

Mais qu'on ne viennent pas me dire que les femmes ne dominent pas les hommes, si la simple perspective de se retrouver face à des hommes non frustrés leur fait craindre pour leur petit pouvoir personnel au sein de leur couple.

Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société.

Va consulter, là..

Modifié par Fafaluna
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Membre, 32ans Posté(e)
Thyjukil Membre 126 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)
Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés.

Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds.

Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels.

Mais c'est tellement plus important de pouvoir traiter son mec comme un petit toutou ! ^^

C'est précisément pour ça qu'il y a, et aura toujours des violeurs. Tant que les femmes chercherons à préserver leur prérogatives leur permettant de dominer et exploiter les hommes. Tant qu'elles considèreront que c'est "normal" qu'elles puissent tirer avantage (autre que sexuel) de la frustration des hommes. Tant qu'elle accepterons de se comporter comme des prostituées, ( et donc d'en souffrir la concurrence. )

Mais qu'on ne viennent pas me dire que les femmes ne dominent pas les hommes, si la simple perspective de se retrouver face à des hommes non frustrés leur fait craindre pour leur petit pouvoir personnel au sein de leur couple.

Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société.

:lol:

Ca change du discours habituel. Mais je ne sais pas si c'est mieux ou pire que "vous vous habillez comme des catins, c'est une invitation à vous violer, vous le méritez".

Mon côté masochiste est satisfait, je peux partir de ce sujet aussi vite que je suis venue avant que mon esprit ne s'échauffe à la vue du type de post qu'on peut lire ici. :zen:

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés.

Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds.

Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels.

-------------------------

Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société.

C'est aussi, de mon avis, la cause du taux de suicide 4 fois supérieur des hommes par rapport aux femmes.

Carrément....

On pourrait en rire si le sujet n'étais pas si grave. shrunkface.gif

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

[quote name='Titsta' timestamp='1417477036'

As tu conscience que c'est considérer que ton homme ne reste que pour le cul ? Et que c'est extrêmement réducteur pour tous les hommes en couple qui aiment leur copine ?

Il serait peut être temps de considérer un peu mieux les hommes. Ils sont capable d'avoir des sentiment eux aussi. Ils ne sont pas que des obsédé dirigés uniquement par leur besoins sexuels.

Faudrait savoir. Quand ils violent, c'est le résultat de leur frustration sexuelle et ils ne savent pas s'en empêcher à terme, mais là non ?

Oh et "la domination féminine sur les hommes". Gros lol. Encore un masculiniste en manque d'attention.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 906 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est dangereux d'associer un lien net entre le viol et telle ou telle représentation de pensées.

Parce qu'au lieu de focaliser sur le viol, on entend résoudre le problème en s'attaquant à ces présumées représentations de pensées.

Le viol en devient un alibi à défaut d'être certain qu'il soit une conséquence. de ces représentations de pensées qu'on plaque a priori.

Dans ce clip les jupes courtes et les femmes sexy, pour Titsa la domination de la femme sur l'homme, pour un autre telle ou telle frustration sexuelle ou je ne sais quoi encore...

Bien comprendre qu'un lien de causalité est difficile à mettre en évidence en statistiques sur la base de données chiffrées mesurées, précises et fournies alors plaquer des filtres explicatifs comme ceux ci relèvent davantage de ses propres a priori que d'une étude sérieuse.

En attendant le viol existe bel et bien lui.

Il a existé sous tous types de sociétés et a été fait par des hommes extrêmement différents de profil, de niveau social, d'éducation, de milieu...

Toutes les explications ne gomment pas un message universel simple quelles que soient les cultures et les rapports de pouvoir.

les mamans ont même le pouvoir de le relayer.

1- Non, c'est non

2- Je suis pleinement responsable des crimes et délits que je commets

Exprimé depuis l'enfance, ces deux principes simples recadrent sur l'essentiel que chaque violeur potentiel ou chaque "comprenant" de violeur occulte pour des motifs discutables a efficacité non démontrable.

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Elle est infiniment plus épanouissante qu'aucune relation du tout. C'est facile de comparer à mieux…

Ta solution, c'est de fournir systématiquement un couple épanouissant à tout homme en faisant la demande ? Tu es sérieuse ?

Et si une relation avec une prostituée est loin d'être épanouissante, alors les couples ne souffriront en rien de la concurrence.

Je ne suis pas sûr que la prostitution règle quoi que ce soit. L'a t-elle déjà fait ? On risque même de jeter en pâture des jeunes femmes déjà soumises à des maquereaux, qui vont en plus devoir absorber un mélange de frustration, de violence et de fantasmes sexuels de plus en plus extrêmes.

En fait, j'ai plutôt tendance à penser que ça contribue à la mentalité d'objetisation de la femme. Le décalage est grand. On n'est pas dans une société qui permette d'avoir une forme saine de prostitution - qui ne s'appellerait plus prostitution d'ailleurs.

Titsta, là tu vas un peu vite en besogne...

Ouuu la débauche !! que c'est mal !!!! C'est tellement pire que le viol !!!

Ceci dis, je te rejoint sur le fait que la prostitution peut mener à une corruption, si elle est menée à but lucratif. Entre un client et un "produit" qu'il a acheté, et non entre une personne qui fourni un service et quelqu'un qui en bénéficie.

Si l'accès à se service nécessite un partenariat consentit de veiller chacun au plaisir de l'autre, on ne devrait pas tomber dans les travers de la prostitution classique.

Voilà, das ist der Problem. Dans une société de plus en plus individualiste, marchande et violente, comment conceptualiser la prostitution comme un acte de solidarité et non une exploitation odieuse ?

(...)Les prostituées n'arrivent que pour réparer les dégâts lorsqu'ils sont déjà fait. Et si elle n'était pas là, le couple se terminerai plus vite, c'est tout.

( D'ailleurs, c'est aussi le cas des amantes… C'est bien connu qu'elles renforcent les couples, et non le contraire. )

Vas dire ça à Valérie Trierweiler ! :D

(...)

Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés.

Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds.

Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels.

Heu... Je ne lis pas la société comme ça. On est passé dans un univers de domination masculine à une société concurrentielle plus large, où les femmes ont maintenant leur mot à dire. Ça laisse mathématiquement plus de gens sur le carreau. Ça a aussi donné lieu à la marchandisation de la rencontre, du profil sentimental, à la relation jetable... C'est un mode de consommation qui fait des dégâts.

On a aussi beaucoup de gens socialement délaissés, qui grâce à nos médias assistent quasi quotidiennement au spectacle de la société aisée, hyper-sexuée, hyper décomplexée. Ça génère des frustrations. La tyrannie féministe a bon dos, je trouve. A force de se focaliser dessus, de l'imaginer, on en oublie presque qu'il y a d'autres facteurs plus puissants.

Mais c'est tellement plus important de pouvoir traiter son mec comme un petit toutou ! ^^

C'est précisément pour ça qu'il y a, et aura toujours des violeurs. Tant que les femmes chercherons à préserver leur prérogatives leur permettant de dominer et exploiter les hommes. Tant qu'elles considèreront que c'est "normal" qu'elles puissent tirer avantage (autre que sexuel) de la frustration des hommes. Tant qu'elle accepterons de se comporter comme des prostituées, ( et donc d'en souffrir la concurrence. )

Tu mélanges frustration et désir... Le désir naît du manque, d'une envie frustrée. Les femmes aussi en éprouve. Tu insinues que les hommes ne sont pas capables de jouer à ce même jeu ? Qu'ils ne le font pas aussi ?

Quand on a un minimum confiance en soi, qu'on a une vie sociale, qu'on fait des rencontres, on n'arrive pas à ce niveau de frustration ou à la sensation d'une oppression féministe.

Là où les femmes ont vraiment fortement le monopole, c'est sur la maternité.

Mais qu'on ne viennent pas me dire que les femmes ne dominent pas les hommes, si la simple perspective de se retrouver face à des hommes non frustrés leur fait craindre pour leur petit pouvoir personnel au sein de leur couple.

Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société.

C'est aussi, de mon avis, la cause du taux de suicide 4 fois supérieur des hommes par rapport aux femmes.

Ce n'est pas un trait féminin : c'est un trait général moderne. On est dans la société de consommation à fond. Les gens jettent plus vite à la poubelle une relation après les premières contrariété. On est dans la société de la frustration et de l'impatience aussi. Hommes et femmes. Ces comportements-là, c'est très partial de les imputer à un seul sexe alors qu'on les constate dans les deux bords.

Si l'homme se sent soumis à son désir pour la femme, c'est avant tout son problème et le problème des impératifs de performance de la société, du modèle hyper-sexué...

Il reste heureusement des hommes et des femmes qui pensent le couple autrement que par la frustration. Faire le bonheur de l'autre, c'est épanouissant. Mais c'est une vision du couple plutôt... décroissante. A contre courant des tendances actuelles.

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Invité _Films_
Invités, Posté(e)
Invité _Films_
Invité _Films_ Invités 0 message
Posté(e)

Les enquêtes de victimisation montrent que les violences sexuelles dont l’auteur est connu concernent les différents milieux sociaux dans des proportions équivalentes, ce qui contredit l’hypothèse souvent avancée d’une plus grande fréquence de violences sexuelles exercées par les hommes dans les groupes sociaux les plus défavorisés. En revanche, dans les affaires de viols condamnées par la justice, l'on observe une sur-représentation des auteurs appartenant aux milieux populaires, voire à ses franges les plus précarisées. Cette sur-représentation des milieux populaires n’est pas un constat nouveau en matière judiciaire et ce, quelles que soient les infractions concernées.

Inversement, les membres des milieux sociaux favorisés sont sous-représentés parmi les personnes condamnées, au regard de leur poids dans la population. Deux principaux mécanismes peuvent probablement expliquer cette distorsion, que l'on constate aussi dans le domaine de la maltraitance infantile. D’un côté, un phénomène de sous-judiciarisation des faits au sein des milieux aisés qui disposent d’une série de filtres pour prévenir la divulgation des faits et, le cas échéant, pour se prémunir face à l’action de la police et de la justice. De l’autre côté, une attention particulière portée aux populations défavorisées par les services médico-sociaux, les institutions éducatives ou les antennes judiciaires conduisant à une plus grande détection des faits illicites commis en leur sein.

Aujourd’hui encore, porter plainte en cas de viol demeure une démarche rare. De plus, ce mouvement de judiciarisation n’est pas uniforme. Si les incestes sont de plus en plus divulgués, les viols conjugaux résistent en revanche davantage à la levée du silence, alors que leur fréquence est pourtant élevée. Quant aux victimes de sexe masculin, elles sont encore dans le mutisme et l’enfouissement des faits. La dénonciation des faits n’adopte pas non plus le même rythme et, généralement, plus les auteurs et les victimes sont proches (et en particulier lorsque les victimes sont des enfants), plus les faits tardent à être divulgués. En revanche, les victimes de viols par inconnus, lorsqu’elles déclarent les faits, déposent plainte dans un très court délai. Enfin, la judiciarisation se révèle aussi très inégale selon les milieux sociaux et il apparaît que les viols commis dans des cercles de proximité (en particulier les incestes, viols familiaux élargis et viols conjugaux) demeurent surtout dissimulés dans les classes sociales les plus favorisées.

Viol criminologie

Bonjour,

+1

Tu sais, philosophiquement, je n'ai rien contre la vengeance personnelle ;)

Ce qui me dérange, c'est la vengeance institutionnalisée.

Les institutions sont garantes de ce que nous décidons être un comportement humain civilisé. C'est important, car c'est ce qui nous permet de nous sentir fière d'être humain, et d'être fière de faire partit de cette société.

Je considère qu'être humain, c'est respecter la vie de ses semblables. Et ne pas tuer, ni les fous, ni les vieux inutiles à la société, ni les criminels… Non pas parce qu'ils faudrait leur pardonner, mais parce qu'ils sont humains. Un point c'est tout.

ça c'est un acte civilisé, qui servirait de preuve que l'humanité a quelque chose de bon en elle, et qui me ferai me sentir fière de faire partit d'une société qui fonctionnerai comme ça.

( Un truc assez oublié dans l'organisation de nos société d'ailleurs… le besoin d'en être fière)

Et je pense que c'est bien plus important que la différence de coût entre la peine capitale et l'emprisonnement à vie.

( Au demeurant, je suis partisans d'exploiter économiquement les condamnés, de façon à ce qu'ils rapportent à la société plus qu'ils ne coûtent pour leur entretien. Ce qui me semble la moindre des choses, et règlerait pas mal de problèmes. )

Après, je n'ai rien contre les vengeances personnelles. Je considère quiconque agit égoïstement doit assumer les conséquences de ses actes, encore plus face à quelqu'un qui agit comme lui.

ça me rappelle une histoire. Un noble avait assassiné pour le simple plaisir quelqu'un. Et demandait la grâce au roi.

Le roi, un type très intelligent, lui a répondu grosso modo : Je t'accorde cette grâce. Mais je l'accorde aussi d'emblée à celui qui te tuera pareillement ou par vengeance.

Considérant que si on cherchait à s'extraire de la justice (par cette demande de grâce), on ne pouvait plus être défendue par elle.

à méditer ^^

+1

Je ne tiens pas à discuter de la prostitution avec toi. C'est ton cheval de bataille? Moi ça me répugne et je suis loin d'être la seule. Je sais très bien que la réalité te rattrapera un jour ou l'autre quelque soit le temps que ça prendra mais qu'il est inutile pour moi d'insister d'autant plus que ce n'est pas le thème bien que c'est selon toi une des solutions préventives au problème des viols. Laisses moi juste rigoler de ta psychologie, elle a le mérite de vouloir construire un monde meilleur alors merci au bois de Boulogne, un peu de bonheur dans le cœur des hommes.

Et dans le cœur et la santé physique et psychologique des prostituées, qui évidemment en ont vu d'autres sûrement dans leurs vies, car la prostitution est le plus vieux métier des femmes de la misère et de la pauvreté?

Pas de quartier pour elles?

Je ne vous trouve pas tendre du tout avec elles, désolée. Mais plutôt inhumaine.

Et le risque de SIDA? De maladies vénériennes ou autres maladies contagieuses? De maltraitances physiques ou psychologiques?

Souvenir de Brassens qui a fait le STO du temps des Nazis:

Je vous en met maintenant du pas tout rose:

http://www.dailymotion.com/video/x1jakn_le-vieux-fusil_news

Alors maintenant, réfléchissez à ce que vous dites, au lieu d'aduler tous les hommes et de tous les excuser...Soyez humaine.

Y a-t-il des points communs retrouvés chez la majorité des violeurs? En d'autres mots, y a-t-il des traits de personnalités et comportements vis-à-vis des femmes, qui combinés chez un homme, devraient inciter les femmes à la prudence?

Il y a des profils de violeurs très différents. Ce qui les rassemble, c'est leur volonté de dominer, de soumettre l'autre ou de le nier. Ce sont des hommes qui ont de gros problèmes de relations à l'autre. Dans les viols au sein des familles, il n'est pas rare que le père violeur soit par ailleurs un petit tyran domestique. A priori, l'autre grande caractéristique qui les rassemble est d'avoir été maltraités dans leur enfance. Attention, l'inverse n'est pas vrai : tous les enfants maltraités ne deviennent pas des violeurs. Mais malheureusement, les traits de personnalité d'un violeur ne sont pas facilement décelables. Par contre, tous les violeurs ont une stratégie, qu'on peut identifier: ils choisissent une victime en fonction de sa vulnérabilité, ils l'isolent, la contraignent au silence, lui disent que ce qui arrive est de leur faute à elle. Ils embrouillent l'esprit de leur victime.

On croit que les violeurs sont des malades mentaux qu'on pourrait soigner pour sexualité exubérante: ce sont des pères, des curés, des flics, des patrons, des ouvriers qui veulent dominer, nier l'autre. On croit que les femmes violées sont aidées: 10% seulement portent plainte, la suite est parfois un parcours du combattant. Comme le viol est placé haut dans l'échelle des crimes horribles (voir le plus haut), on croit que l'aide et le soutien qu'on apporte aux victimes est proportionnel: c'est loin d'être le cas. Parfois, la procédure d'accompagnement est carrément maltraitante.

Que faire pour renverser la banalité? Education sexuelle dès le collège, soin des délinquants sexuels, interdictions des représentations aliénantes des femmes - notamment dans la publicité - durcissement de la pénalisation?

Sans avoir besoin de s'aventurer sur le terrain d'une législation plus répressive, mais grâce à un maillage de centre d'aides aux victimes, (regroupant toutes les démarches en seul endroit, du soutien, des thérapies adaptées). En France, on manque de lieux identifiés pour se faire écouter. Une prise en charge précoce peut par ailleurs effacer la mémoire traumatique de la victime. Grâce à des formations des professionnels qui interviennent autour des victimes. En informant les gens sur ce qu'est vraiment le viol pour remettre en cause des préjugés et que les victimes se sentent le droit d'en parler sans avoir honte.

En développant des approches psy de type victimologique et des chambres spécialement dédiées aux agressions sexuelles dans les tribunaux. Grâce à la prévention dans les écoles sur la sexualité et les rapports respectueux, sur ce qu'un adulte a le droit de faire ou pas à un enfant. On luttera efficacement contre le viol en rompant le cycle de la violence. La quasi-totalité des violeurs a été maltraitée dans son enfance. (Ce n'est pas que tout enfant maltraité devient un violeur. Un violeur a reçu la violence en héritage et il a choisi de la répéter.) Il faut prendre en charge les enfants maltraités. Sortir aussi de l'équation simpliste qu'un homme est un sujet sexuel et une femme un objet sexuel.

L'Express

+1

Carrément....

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Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
Posté(e)

Tu sais, philosophiquement, je n'ai rien contre la vengeance personnelle ;)

Ce qui me dérange, c'est la vengeance institutionnalisée.

Les institutions sont garantes de ce que nous décidons être un comportement humain civilisé. C'est important, car c'est ce qui nous permet de nous sentir fière d'être humain, et d'être fière de faire partit de cette société.

Je considère qu'être humain, c'est respecter la vie de ses semblables. Et ne pas tuer, ni les fous, ni les vieux inutiles à la société, ni les criminels… Non pas parce qu'ils faudrait leur pardonner, mais parce qu'ils sont humains. Un point c'est tout.

ça c'est un acte civilisé, qui servirait de preuve que l'humanité a quelque chose de bon en elle, et qui me ferai me sentir fière de faire partit d'une société qui fonctionnerai comme ça.

( Un truc assez oublié dans l'organisation de nos société d'ailleurs… le besoin d'en être fière)

Et je pense que c'est bien plus important que la différence de coût entre la peine capitale et l'emprisonnement à vie.

( Au demeurant, je suis partisans d'exploiter économiquement les condamnés, de façon à ce qu'ils rapportent à la société plus qu'ils ne coûtent pour leur entretien. Ce qui me semble la moindre des choses, et règlerait pas mal de problèmes. )

Après, je n'ai rien contre les vengeances personnelles. Je considère quiconque agit égoïstement doit assumer les conséquences de ses actes, encore plus face à quelqu'un qui agit comme lui.

ça me rappelle une histoire. Un noble avait assassiné pour le simple plaisir quelqu'un. Et demandait la grâce au roi.

Le roi, un type très intelligent, lui a répondu grosso modo : Je t'accorde cette grâce. Mais je l'accorde aussi d'emblée à celui qui te tuera pareillement ou par vengeance.

Considérant que si on cherchait à s'extraire de la justice (par cette demande de grâce), on ne pouvait plus être défendue par elle.

à méditer ^^

Moi je respecte ton opinion, mais je reste pas d'accord :)

Mais tu confonds justice et vengeance. La justice peut ordonner des sanctions violentes (mais juste), sans que ce soit de la vengeance forcément.

Un père d'une gamine violée ne pourra pas garder la tête suffisamment froide pour appliquer un verdict juste. Et par ailleurs, le lynchage publique a déjà fait pendre de nombreux innocents, plus que les condamnés à mort par une justice.

Une justice parfaitement impartiale peut ordonner l’exécution d'un criminel par rapport à la gravité de son acte. La peine capitale ne voudra pas dire une justice systématisée, un homme peut avoir du discernement, entre un crime avec un mobile cohérent, et un crime dont la simple raison est la folie.

Je répète, être fou n'est pas un crime en soi. Mais le fou qui aime provoquer la souffrance des autres, et qui y éprouve du plaisir, ne doit plus vivre. On doit l'endormir afin qu'il ne recouvre jamais la liberté.

Après si on remet la peine capitale, ça signifie pas qu'on suit le chemin des USA, on réforme notre justice, et on essaie de l'optimiser, en réduisant les temps de procédure, tout à diminuant les risques d'erreur (avec l'appui d'une sciences pointue, c'est possible je pense).

Mais je pars du principe qu'un viol ne peut être justifier autrement que le fruit de la folie. Que l'individu soit esthétique ou pas, quelque soit son rang social, il démontre la dangerosité de sa nature en passant à l'acte, en violant quelqu'un d'autre.

Après je suis pas d'accord que le viol ça proviendrait d'une frustration. On est frustré, si on est rendu aussi bas, on va aux putes.

Or, installer des maisons closes, légaliser la prostituions, ce que tu veux, ça ne changera rien. ya une différence entre baiser et violer...

Si on se sent frustré au point d'en arriver à violer, c'est déjà qu'on est instable psychologiquement à la base. Exactement comme un ado qui irait trucider ses camarades dans une école après avoir trop jouer aux jeux vidéo. Le jeu n'y est pour rien, c'est l'ado le seul et unique fautif.

Justement, quand on est civilisé, on assume ses actes, on prend ses responsabilités. On ne dit pas "c'est la faute aux pubs, à la tv, aux jeux vidéo" en sous entendant "c'est la faute des autres pas la mienne".

Cherche pas, ça ne passera jamais comme un argument crédible. Un violeur c'est la faute et l'unique faute à l'individu qui a violé, donc si il prend la peine capitale en retour, à lui d'assumer la conséquence de ses actes. Il peut choisir d'avoir un peu de dignité et de se pendre dans sa cellule sinon...

Je n'arrive pas à m'imaginer comment on peut vivre avec un viol sur la conscience... J'arrive pas, désolé.

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

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Et dans le cœur et la santé physique et psychologique des prostituées, qui évidemment en ont vu d'autres sûrement dans leurs vies, car la prostitution est le plus vieux métier des femmes de la misère et de la pauvreté?

Pas de quartier pour elles?

Je ne vous trouve pas tendre du tout avec elles, désolée. Mais plutôt inhumaine.

Et le risque de SIDA? De maladies vénériennes ou autres maladies contagieuses? De maltraitances physiques ou psychologiques?

Souvenir de Brassens qui a fait le STO du temps des Nazis:

Je vous en met maintenant du pas tout rose:

http://www.dailymotion.com/video/x1jakn_le-vieux-fusil_news

Alors maintenant, réfléchissez à ce que vous dites, au lieu d'aduler tous les hommes et de tous les excuser...Soyez humaine.

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Malgré ton message sur l'autre discussion, je préfère préciser pour que ce soit bien compréhensible que je suis bien sûr contre la prostitution, et je sais qu'elle est la cause de nombreuses maladies, y compris mortelles mais mon message était humouristique, c'était du second degré.

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Mais tu confonds justice et vengeance. La justice peut ordonner des sanctions violentes (mais juste), sans que ce soit de la vengeance forcément.

La différence porte sur la raison de cette violence. ;)

Si c'est seulement pour condamner un acte qui a fait du mal, c'est de la vengeance, pas de la justice.

OR c'est ce que tu pointes. Tu veux que ceux qui ont la folie de vouloir faire du mal aux autres doivent être tué.

C'est de la vengeance.

La justice est plus objective. Elle ne prend pas en compte ce qui est bien ou mal. (c'est bien pour ça qu'elle peut être violante)

Elle vise la construction d'une société. Or il y a deux choses essentielles que tu oublies dans ta volonté de vengence, c'est la possibilité de guérison de ce problème, et le fait que ces fous ne le sont pas par nature, mais qu'ils le sont devenu par le comportement de la société.

En quelques sorte, ils sont les produits de cette société. C'est en ce sens qu'une société qui détruit des individus, pour les condamner à mort après n'est ni une société civilisée, ni une société juste.

Nous parlons ici de fou. S'il ne s'agit pas de folie, mais de décision rationnelle, là on peut commencer à parler de la culpabilité de l'individu.

Je serais catégorique, si tu parles de justice, on ne peut être responsable et donc coupable, que de ce que nous avons décidé nous-même.

S'il s'agit de se défendre contre des individus dangereux, mais non coupables, nous avons d'autres moyens que la peine de mort pour protéger la société.

Une véritable justice condamnerai ceux qui ont provoqué ce danger, à savoir la société elle-même si leur folie à été "produite". Et si leur folie est liée à leur nature elle même, un handicap mental, alors il n'y a tout simplement pas de coupable. Seulement un individu dangereux dont ils faut se protéger, mais qu'il n'y a aucune raison de condamner.

Note qu'ici, je n'argumente pas forcément contre la peine de mort. J'argumente contre la condamnation de la folie.

Mais je pars du principe qu'un viol ne peut être justifier autrement que le fruit de la folie. Que l'individu soit esthétique ou pas, quelque soit son rang social, il démontre la dangerosité de sa nature en passant à l'acte, en violant quelqu'un d'autre.

Se comporter illégalement ou irrespectueusement n'est pas un signe de folie.

Le simple intérêt personnel peut conduire des individus à agir illégalement, et irrespectueusement. Pas besoin d'invoquer la folie dès que quelqu'un a un comportement qui te déplais.

Si on se sent frustré au point d'en arriver à violer, c'est déjà qu'on est instable psychologiquement à la base. Exactement comme un ado qui irait trucider ses camarades dans une école après avoir trop jouer aux jeux vidéo. Le jeu n'y est pour rien, c'est l'ado le seul et unique fautif.

Je ne suis pas d'accord. ;)

Je ne vois pas l'intérêt de défendre les grandes industries qui "oublient" l'impact pédagogique que peuvent avoir la diffusion de masse d'une idéologie, et ce sans précautions aucune, afin de défendre les "intérêts" financier de la vente libre.

Si la publicité ou ces jeux vidéos rendent réellement fous un certain nombres de personnes, ils sont responsable. Tout autant que ceux qui vendent un produit qui ne tuerai "que quelques pourcents" d'utilisateurs fragiles. (mais c'est de leur "faute", ils n'ont qu'à pas être fragile ! >_< )

Et ceux qui défendent la vente libre et massive de jeux qui rendent fous certains, uniquement pour leur petit plaisir personnel… sont tout autant coupable. Puisqu'ils acceptent bien de sacrifier des innocents, pour défendre leur petits plaisirs personnels d'acheter ces jeux en vente libre, sans avoir à se faire chier à prouver au préalable sa bonne santé mentale.

Justement, quand on est civilisé, on assume ses actes, on prend ses responsabilités. On ne dit pas "c'est la faute aux pubs, à la tv, aux jeux vidéo" en sous entendant "c'est la faute des autres pas la mienne".

Nier l'impact ou les conséquences négatives que peut avoir une pratique courante dans la société, c'est irresponsable.

À fortiori si les conséquences réelles ne sont pas indiquées. Et encore plus si on ne laisse pas le choix aux individus de "consommer" ou non. (la pub, que je sache, est imposée aux individus. )

Cette irresponsabilité est encore plus condamnable lorsqu'il s'agit de défendre une pratique visant exclusivement l'appropriation du plus de richesses possibles aux dépends du reste de la société.

Il ne s'agit pas de nier la culpabilité d'actes volontaires de criminels. ( Mais je croyais qu'on parlait de folie ? Il faudrait savoir )

La justice "immédiate" doit être soutenue par une réflexion politique réelle, cherchant à tarir à la source du problème, plutôt que de condamner à outrance des produits de la société.

Lorsque l'idéologie politique vise à stopper la recherche des réelles sources d'un problème, pour défendre les intérêts privées, et ce au prix d'une violences "légale" qui devien(drai) nécessaire pour "juguler" les conséquences produites par la recherche de ces intérêts privés…

ça s'appelle légaliser le crime organisé.

Certes, c'est rentable.

Mais de là a dire que c'est civilisé… ou même juste…

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Faudrait savoir. Quand ils violent, c'est le résultat de leur frustration sexuelle et ils ne savent pas s'en empêcher à terme, mais là non ?

Oh et "la domination féminine sur les hommes". Gros lol. Encore un masculiniste en manque d'attention.

Oui, quand un mec viole, c'est -entre autre- le résultat de frustration sexuelle. (ça n'est pas suffisant, mais c'est nécessaire. Sinon, il évacue ses problèmes autrement que par le viol. )

ça ne veux pas dire pour autant que lorsque nous faisons un couple, c'est uniquement pour combler nos pulsions sexuelles… Je ne vois pas le problème ou la contradiction que tu sembles vouloir soulever ???

Je te rappelle que je répondais à l'argument qui disait, grosso modo, que si les hommes avaient la possibilité de ne pas être frustrés sexuellement, ça ferai disparaître les couples épanouissant. >_<

Ce qui sous-entendait que les hommes ne restent en couple, ou ne font des couples, QUE pour combler leur besoin sexuels.

Modifié par Titsta
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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 39 802 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

La frustration ne me paraît pas être LE moteur du viol.

Je verrais plus le désir de pouvoir, de domination, d'humiliation...

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

C'est dangereux d'associer un lien net entre le viol et telle ou telle représentation de pensées.

Parce qu'au lieu de focaliser sur le viol, on entend résoudre le problème en s'attaquant à ces présumées représentations de pensées.

Le viol en devient un alibi à défaut d'être certain qu'il soit une conséquence. de ces représentations de pensées qu'on plaque a priori.

Dans ce clip les jupes courtes et les femmes sexy, pour Titsa la domination de la femme sur l'homme, pour un autre telle ou telle frustration sexuelle ou je ne sais quoi encore...

:plus:

Mais à ma décharge, je parles d'un faisceau de choses qui le favorise. Ou d'un faisceau de choses qui pourrait en diminuer la présence.

Toutes les explications ne gomment pas un message universel simple quelles que soient les cultures et les rapports de pouvoir.

les mamans ont même le pouvoir de le relayer.

1- Non, c'est non

2- Je suis pleinement responsable des crimes et délits que je commets

Le problème étant que dans la réalité, le non n'est jamais pleinement non.

Les femmes ont très souvent la volonté que l'homme devine ce qu'elles désirent, sans qu'elles aient à l'exprimer.

Pire, l'explicite leur ôte tout désir, Et elles vont très souvent balancer un mec à qui il faudrait "tout dire", sans qu'il soit capable de deviner.

Et tout l'art de la séduction des femmes consiste à toujours se placer DANS le lieu de ce non-dit.

C'est une pratique culturelle, qui d'ailleurs vise à la soumission des hommes pendant le rapport de séduction.

De façon plus pernicieuses, et inconsciente, elle place l'homme dans une situation de violeur systématiquement. Laissant à la femme le pouvoir de décider - si elle était d'accord - de laisser passer le truc, ou si elle n'était pas d'accord de culpabiliser l'homme.

( Je parle de comportement pré-coïtaux ;) mais on leur attribue malheureusement la même charge que le viol… beaucoup sont près à considérer que leur adresser la parole alors qu'elles ne le veulent pas est assimilable à du viol… qu'un baiser volé est un viol… qu'un cadeau non consentit est un "viol"… si si j'ai connu ça aussi ^^ )

ça reviens à dire à quelqu'un : agit… et je te dirais APRÈS si tu es coupable ou pas, selon mon désir.

Après, je suis soumis moi aussi à cette culture.

J'aurai beaucoup de mal à accepter que nos pratiques de séductions se transforment en des comportments uniquement explicites et formels. (voir contractuels)

Et j'apprécie ma capacité à "deviner" ce que désire les femmes, sans qu'elles l'exprime.

( Et quand on passe à un autre niveau, il y a aussi des différences considérables entre ce que désirent les femmes, ce qu'elles "acceptent de subir" à condition que ce soit l'homme le "méchant", ce qu'elles assument désirer, ce qu'elle acceptent "officiellement", ce qu'elles ont décidé et qu'il faudrait accepter, ce qu'elles tolèrent ou ce qu'elles ressentent… )

Reste que j'ai assez de lucidité pour comprendre que la limite entre le viol et le comportement autorisé ne repose bien souvent que sur la capacité d'interprétation de l'homme sur les barrières qu'il est ou non autorisé à "forcer".

Qu'ils sera bien souvent fortement déconsidéré s'il respecte des barrières que la femme voulait ardemment qu'il tente de forcer.

Et que ces déconsidérations des "respectueux" finissent par conduire certains à ne plus respecter les femmes.

Dans le monde réel, mis à part le viol "évident" du violeur de rue, le viol n'est pas toujours si évident que ça. Je dirais même qu'à mon avis, il est rarement si évident que ça.

Et il y a bon nombres de cas réel où le "viol" n'est déterminée qu'après coup… comme bon nombres de cas où bien qu'il y ai eu comportement de viol, la femme a tellement apprécié que ce sera vénéré comme quelque chose d'extrêmement positif.

Si, c'est le cas ! Et même assez souvent le cas.

Les femmes apprécient beaucoup que les hommes fassent sauter les barrières et les conventions que notre culture leur imprime jusque dans l'inconscient.

La contrepartie, c'est que certains vont trop loin.

Mais précisément dans le but de lutter contre le viol réel, je refuse de céder à l'imbécilité d'une chasse aux sorcières visant à caricaturer le comportement des violeurs. Cet aveuglement des "bien pensant" à seul but d'assouvir leur pulsions morbide sur des "coupables caricaturés" nous aveugle sur les problèmes réels à résoudre si nous souhaitons réellement combattre ces pratiques.

Je pense que ces biens-pensant sont pour une petite part responsable des viols, en nous empêchant de les percevoir tel qu'ils sont, et en empêchant aussi les femmes de s'en préserver.

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Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)
Le problème étant que dans la réalité, le non n'est jamais pleinement non.

Les femmes ont très souvent la volonté que l'homme devine ce qu'elles désirent, sans qu'elles aient à l'exprimer.

Pire, l'explicite leur ôte tout désir, Et elles vont très souvent balancer un mec à qui il faudrait "tout dire", sans qu'il soit capable de deviner.

Et tout l'art de la séduction des femmes consiste à toujours se placer DANS le lieu de ce non-dit.

C'est une pratique culturelle, qui d'ailleurs vise à la soumission des hommes pendant le rapport de séduction.

De façon plus pernicieuses, et inconsciente, elle place l'homme dans une situation de violeur systématiquement. Laissant à la femme le pouvoir de décider - si elle était d'accord - de laisser passer le truc, ou si elle n'était pas d'accord de culpabiliser l'homme

Dans le monde réel, mis à part le viol "évident" du violeur de rue, le viol n'est pas toujours si évident que ça. Je dirais même qu'à mon avis, il est rarement si évident que ça.

Et il y a bon nombres de cas réelle "viol" n'est déterminée qu'après coup… comme bon nombres de cas où bien qu'il y ai eu comportement de viol, la femme a tellement apprécié que ce sera vénéré comme quelque chose d'extrêmement positif.

LA VACHE! Non seulement tu es dans le délire total c'est pathologique; mais tu es dangereux en plus, un vrai malade. Je suis contente de ne pas devoir te cotoyer en vrai, c'est véritablement effrayant.

Modifié par Fafaluna
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

En effet.... C'est du Trista et ce n'est pas la première que je souligne sa tournure d'esprit pour le moins troublante et débectante. Ah oui mais, c'est si bien exprimé et entourloupiné, et même plussoyer n'est-ce pas Yop. En tout cas, un gros gros BEURK, et si la délation ne m’écœurerait tout autant, je signalerais son post.. ET d'autres...

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Je ne suis pas sûr que la prostitution règle quoi que ce soit. L'a t-elle déjà fait ? On risque même de jeter en pâture des jeunes femmes déjà soumises à des maquereaux, qui vont en plus devoir absorber un mélange de frustration, de violence et de fantasmes sexuels de plus en plus extrêmes.

En fait, j'ai plutôt tendance à penser que ça contribue à la mentalité d'objetisation de la femme. Le décalage est grand. On n'est pas dans une société qui permette d'avoir une forme saine de prostitution - qui ne s'appellerait plus prostitution d'ailleurs.

Titsta, là tu vas un peu vite en besogne...

Voilà, das ist der Problem. Dans une société de plus en plus individualiste, marchande et violente, comment conceptualiser la prostitution comme un acte de solidarité et non une exploitation odieuse ?

C'est pour ça que je pointais non pas sur une légalisation pur et simple de la prostitution. Qui me semble extrêmement contre-productive.

Mais d'un service de santé publique, libre et gratuit.

Qui pourrait porter un autre rapport qu'un rapport marchand "obectisant" effectivement la femme (ou l'homme) : un rapport de soins, un rapport de pédagogie. Dans lequel le respect du "médecin" ou du "soignant" peut être respecté.

Le tout pouvant être emprunt d'une volonté politique, d'éducation du respect de l'autre.

Tout en permettant de toucher les populations les moins accessibles par les moyens traditionnels.

Et qui permettrais aussi un éventuel suivit et traitement des comportement à risques avant qu'ils ne deviennent trop problématiques.

Après, que la société actuelle soit très loin d'être capable d'appréhender la sexualité ainsi… oui.

La plupart des gens méprisent la sexualité, et n'arrivent à la concevoir que comme une soumission… une double soumission dans le cas des couples… mais comme une simple soumission dans un rapport professionnel. Et non comme un moyen d'échange comme peut l'être un repas partagé avec quelqu'un qui a faim. :/

Heu... Je ne lis pas la société comme ça. On est passé dans un univers de domination masculine à une société concurrentielle plus large, où les femmes ont maintenant leur mot à dire. Ça laisse mathématiquement plus de gens sur le carreau. Ça a aussi donné lieu à la marchandisation de la rencontre, du profil sentimental, à la relation jetable... C'est un mode de consommation qui fait des dégâts.

On a aussi beaucoup de gens socialement délaissés, qui grâce à nos médias assistent quasi quotidiennement au spectacle de la société aisée, hyper-sexuée, hyper décomplexée. Ça génère des frustrations. La tyrannie féministe a bon dos, je trouve. A force de se focaliser dessus, de l'imaginer, on en oublie presque qu'il y a d'autres facteurs plus puissants.

Je parlais de la publicité pour ça ;)

Le contenu des films et série étant hypersexualisé PARCE-QUE poussée par l'univers de la publicité, afin de poser le cerveau dans de bonnes prédisposition à l'encrage.

(On dit que ce sont ces séries qui sont "réclamée" on oublie de dire qu'elles sont, du point de vu des chaînes qui les diffusent, réclamée PAR la publicité qui les payes plus cher… et non par le public qui les regarde gratuitement… ^^ )

Tu mélanges frustration et désir... Le désir naît du manque, d'une envie frustrée. Les femmes aussi en éprouve. Tu insinues que les hommes ne sont pas capables de jouer à ce même jeu ? Qu'ils ne le font pas aussi ?

Certains oui. Mais objectivement beaucoup moins.

Si tu regardes les faits, sans être aveuglé par l'idéologie plaisante d'égalité des hommes et des femmes, non.

Les hommes n'ont pas le même comportement vis à vis de la frustration que les femmes. Les hommes auront plus tendance à violer que les femmes.

Après, que la cause soit culturelle ou naturelle… un peu des deux, et à mon avis beaucoup naturelle quand même.

Reste qu'on ne peut nier que le viol concerne beaucoup plus les hommes comme coupable et les femmes comme victime.

Oui, ça n'est pas un systématisme, et quelques hommes, trop oubliés, en sont aussi victimes. ce serait idiot de penser que pour autant les hommes et les femmes sont semblables en la matières.

Du coup, effectivement, la recherche d'une solution ne devrait PAS faire l'impasse sur la différence malgré tout énorme du sexe sur ce comportement.

Il serait peut être temps d'arrêter l'angélisme, et de considérer que puisque les comportements diffèrent d'un sexe à l'autre, il est aussi normal que des solutions soient plus adaptée à un sexe qu'à l'autre.

Instaurer la prostitution comme un soin me semble, à court terme, favoriser beaucoup les hommes.

Mais à moyen terme, une fois la chose devenue respectable, je pense que les femmes seraient les premières et les plus nombreuses à vouloir en bénéficier.

Le fait qu'elles ne se transforment pas en violeuses ne signifient pas qu'elles ne souffrent pas elles aussi des frustrations. Elles le manifestent autrement, et bien souvent par un comportement tournée contre elle-même.

Ce n'est pas un trait féminin : c'est un trait général moderne. On est dans la société de consommation à fond. Les gens jettent plus vite à la poubelle une relation après les premières contrariété. On est dans la société de la frustration et de l'impatience aussi. Hommes et femmes. Ces comportements-là, c'est très partial de les imputer à un seul sexe alors qu'on les constate dans les deux bords.

Si l'homme se sent soumis à son désir pour la femme, c'est avant tout son problème et le problème des impératifs de performance de la société, du modèle hyper-sexué...

Il reste heureusement des hommes et des femmes qui pensent le couple autrement que par la frustration. Faire le bonheur de l'autre, c'est épanouissant. Mais c'est une vision du couple plutôt... décroissante. A contre courant des tendances actuelles.

Je ne les imputent pas à un sexe en disant que les femmes bénéficient des frustrations des hommes. Et que toute notre société s'est bâties sur l'apprentissage, aux jeunes filles, de ce fonctionnement.

Les hommes comme les femmes participent à la mise en place de ces apprentissages.

En tant qu'homme, j'ai été le premier à "servir" fidèlement des femmes de moi même, dans l'espoir de leur montrer ce que je valais et que je "méritais" qu'elles tentent un couple avec moi. Évidement, mais inconsciemment, je le faisais sur les femmes les plus capables de me frustrer sexuellement. Et donc de générer et d'entretenir un désir. (et de faire entrer dans un cycle masochiste où on se "sacrifie" pour l'autre ^^ )

ça n'est pas parce qu'aujourd'hui, avec un peu plus d'expérience, j'ai compris ces mécanismes et m'en suis sortit qu'ils n'existent plus dans la société, et qu'ils ne touchent pas un grand nombres de jeunes… et influent par la suite sur les (dé)considérations des plus vieux sur les femmes.

Les femmes apprennent, tant par notre culture que par l'expérience, que la frustration des hommes leur apporte des avantages "plaisant". L'immense majorité n'ont même pas conscience de cette frustration qu'elles ont appris à provoquer. Reste que c'est ces mécanismes qui sont en jeux en réalité, et c'est la réalité des mécanismes qui m'intéressent, pas de déterminer un "coupable".

Que cette société d'hyper-consommation poussent aussi les hommes à "consommer" et "jeter" les femmes aussi… oui. Mais au final, elle pousse aussi les femmes ainsi frustrée et rejetée à chercher à dominer plus encore les hommes à l'avenir, à être plus "exigeante", à plus "déconsidérer" les hommes, à être plus castratrices aussi, à réclamer plus de "preuve" préalable d'engagement, de services… avant de coucher. etc…

Blessant ou frustrant des hommes… qui par la suite "consommeront" des femmes qu'ils considéreront et respecteront beaucoup moins. Il est connu qu'à chaque couple, on doit finalement arriver à régler les problèmes que les précédant ont légué à notre partenaire actuelle.

Cette frustration est un cercle se propageant d'homme à femme et réciproquement. Je suis d'accord, personne n'en profite.

Mais c'est là où la différence de comportement face à la frustration joue… et provoque de fait plus de violeur homme que de femmes.

C'est aussi là où on voit que se préoccuper de la frustration masculine jouera AUSSI en faveur des femmes.

Modifié par Titsta
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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

La frustration ne me paraît pas être LE moteur du viol.

Je verrais plus le désir de pouvoir, de domination, d'humiliation...

C'est pour ça que j'ai toujours dis un des moteurs du viol.

Même s'il ne me semble pas forcément le moteur principal, il me semble nécessaire au viol.

Il existe d'autres comportements "sociopathe" engendrée par l'envie de domination, d'humiliation. Mais elle ne conduiront pas au viol s'il n'y a pas aussi un problème de frustration sexuelle à la base. Enfin, dans l'immense majorité des cas.

(on peut toujours trouver des exceptions)

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