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Qu'est la douleur non physique ? (douleur intérieure)

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akiho2020

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Membre, 25ans Posté(e)
darkipanda Membre 170 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

C'est quand on souffre intérieurement de quelque chose. Par exemple quand un proche décède, quand l'on se dispute entre amis, quand on est victime de harcèlement, quand nos parents se séparent etc... Si tu te sens triste ou que t'a un coup de blues tu souffre.

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Membre, Posté(e)
Lutinian Membre 1 453 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

c' est quelque chose que tu peux ressentir au moins?; j' espère pour toi lol

sinon cela fait appel à des notions tels que peurs, amour propre, plus précisement à certaines capacités cérébrales, on parle de glande pinéale, de ganglions de base ...etc, pour en savoir plus renseigne toi là dessus ça pourait peut-être t' aider .

Modifié par Lutinian
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Membre, 53ans Posté(e)
Sylor Membre 248 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Cela s'appelle la souffrance de l'âme, le spleen, la mélancolie, le mal être et/ou mal de vivre, et peut aller jusqu'à la dépression...qui peut conduire au suicide : c'est clair là ?! :sleep:

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Membre, Posté(e)
Lutinian Membre 1 453 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

merci beaucoup cela m'aura beaucoup aidée

Quelle rapidité de lecture, j' en reviens pas laugh.gif...

si tu veux comprendre le mécanisme de pourquoi tu ressens cela ça peut te donner des indices scientifiques, sinon ça n' ira pas plus loin que des définitions et du vocabulaire .

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Membre, 25ans Posté(e)
akiho2020 Membre 55 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

Cela s'appelle la souffrance de l'âme, le spleen, la mélancolie, le mal être et/ou mal de vivre, et peut aller jusqu'à la dépression...qui peut conduire au suicide : c'est clair là ?! :sleep:

ouiblush.gif

Quelle rapidité de lecture, j' en reviens pas laugh.gif...

si tu veux comprendre le mécanisme de pourquoi tu ressens cela ça peut te donner des indices scientifiques, sinon ça n' ira pas plus loin que des définitions et du vocabulaire .

ok merci beaucoupsmile.gif

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Membre, 31ans Posté(e)
Thibal Membre 24 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

La douleur interne pour moi c'est quel que chose qui affecte nos émotions et nos sentiments (bien sur en mal). Modifiant ainsi notre comportement auprès de nos proches.

C'est assez rare quand même que quand nous sommes atteins sentimentalement nous ne laissons rien transparaître aux autres.

Bref, c'est une douleurs qui affecte aussi la pensée, car on réfléchis beaucoup dessus, à chercher des solutions, ou a regretté, quel que chose qui même dans les bons moments de la vie peut surgir et t'emprisonner dans une spiral négative.

C'est pour ça qu'il ne faut pas hésiter à en parler aux autres, parler est le meilleur moyen d'apaiser cette douleurs.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La douleur non physique est une estimation négative relative à une possible douleur physique, c'est une estimation dite négative car elle a son opposée l'estimation positive relative à l'indolore.

Modifié par Boutetractyxreqs
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  • 6 mois après...
Membre, 78ans Posté(e)
Talon Membre 1 722 messages
Baby Forumeur‚ 78ans‚
Posté(e)

Eh bé, ce qui m'étonne, c'est que le questionneur ait pu en retirer quelque chose. La douleur est toujours physique, ce sont les causes qui sont physiques ou intellectuelles. L'angoisse me tort les tripes, j'en souffre. Mais se sont les tripes qui me font souffrir, pas l'angoisse elle-même. Si on retire tous les effets d'une souffrance dite morale, ne restera que l'idée de la passion qui la provoque. Tout est physique dans la douleur. Oui, les Stoïciens disent que la souffrance morale est plus pénible parce qu'elle a sa source dans le passé, le présent et le futur alors que la souffrance physique est toujours présente (si je me pique un doigt) et que plus elle est violente, moins elle dure longtemps, la mort y mettant fin.

Modifié par Talon
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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

Merci pour cette première intervention intelligente Talon. Une profonde envie de vomir me prenait à la lecture de ce topic.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Oui, la douleur est toujours physique... pour tout le reste, il y a MasterCa... oup's, la souffrance.

La souffrance peut provoquer la douleur et il arrive même que la douleur provoque la souffrance. Une belle histoire d'A entre ces deux-là. Vouloir définir celle qui origine le tout, c'est un beau sujet de philo.

La poule... l'oeuf... tout ça, toussa.

A retenir tout de même que l'équilibre résiderait dans une équation toute bête :

"Être sain de corps et d'esprit."

(J'vous passe le latin, à votre bon gré)

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Membre, 54ans Posté(e)
netimagus Membre 21 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Intéressant comme sujet.

La douleur, au final, est-elle physique ou morale ? Qui a mal (ce qui serait alors la souffrance? ) ? Qui juge alors de ce qui est physique et de ce qui est moral, comme douleur ?

Il y a alors peut-être bien deux types de douleur. Celle qui est jugée physique et celle qui est jugée morale.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Le deuil d'un proche ce qui est mon cas depuis un mois.

Mais je doit être loin d'être le seul sur cette planète, ça relativise un poil...

Enfin pour le moment, c'est ce dont je souffre. Ce qui n'empêche pas de profiter des petites joies du quotidien.

Mais c'est juste un exemple. J'imagine qu'avoir un enfant handicapé ça doit aussi être un clin d'œtl de l'Enfer

Modifié par Alain75
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Membre, 54ans Posté(e)
netimagus Membre 21 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Voilà un mois également que j'ai perdu un proche, et j'ai renoué avec la mort des proches voilà environ 1 an 1/2. C'est une douleur assez bizarre. Comme si l'on vous amputait de quelque chose. Ca laisse une cicatrice, qui ne fait plus spécialement souffrir. C'est juste une parenthèse, mais la mort de mon père il y a un mois m'a posé question. Traité pour un cancer, les médecins étaient indécis sur le traitement de la douleur. Il n'arrivait pas à jauger la part de douleur liée à l'angoisse et celle physique. La douleur est identifiable dans ses causes. Mais qu'elle est-elle quand elle n'en a pas d'identifiable, et que celui qui souffre n'est pas en mesure de vous le dire ?

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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

La souffrance peut provoquer la douleur et il arrive même que la douleur provoque la souffrance. Une belle histoire d'A entre ces deux-là. Vouloir définir celle qui origine le tout, c'est un beau sujet de philo.

On peut aussi considérer que douleur et souffrance sont une seule et même chose envisagée sous deux aspects différents.

Essentiellement, nous parlons de douleur lorsque la cause liée au mal que nous ressentons est facilement identifiable ou représentable. Alors que lorsque le mal est diffus, ambigu ou étendu, et que nous peinons à nous représenter quoi que ce soit à son propos, nous parlons plutôt de souffrance. De plus, lors que le mal est diffus ou peu représentable, l’esprit a tendance à combler ce vide par l’imagination. Par exemple, tel homme en proie à la dépression nerveuse formera la pensée que sa vie est inutile, qu’il ne sert à rien, etc. En fait, il sera si obnubilé par ces pensées, et elles lui paraîtront si profondes qu’il en viendra à croire et à faire croire que la cause du mal est exclusivement spirituelle – autrement dit que c’est le fait même de la formation de ces pensées qui est la cause de la dépression, alors que la dépression s’accompagne toujours parallèlement d’une grande fatigue physique.

Nous appelons « esprit » le flottement constant de nos actions, de même que nous appelons « souffrance » le flottement constant de notre douleur.

Dans toute souffrance, il y a l’idée d’une difficulté de la pensée à s’accrocher à la surface des choses, l’idée d’une confusion. Et conséquemment avec le dogme couramment admis de la liberté de la pensée, l’idée que c’est la pensée elle-même qui est responsable de ce trouble.

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