Que lisez-vous en ce moment ?

En froid avec sa sœur Nel depuis des années, Julia n'a pas voulu lui répondre lorsque celle-ci a tenté de la joindre. Une semaine plus tard, le corps de Nel est retrouvé dans la rivière qui traverse Beckford, la ville de leur enfance. Obligée d'y revenir, Julia est terrifiée. De quoi a-t-elle le plus peur ? D'affronter le prétendu suicide de sa sœur ? De s'occuper de Lena, sa nièce de quinze ans, qu'elle ne connaît pas ? Ou de faire face à un passé qu'elle a toujours fui ? Plus que tout encore, c'est peut-être la rivière qui la terrifie, ces eaux à la fois enchanteresses et mortelles, où, depuis toujours, les tragédies se succèdent... 

" Un roman sombre, tortueux, à la construction efficace. " Clémentine Goldszal – ELLE

" Paula Hawkins excelle dans le billard psychologique à plusieurs bandes, embrouilles douces amères organisées en récits choraux dont les intrigues progressent et rebondissent au fil des différents narrateurs. " Sabrina Champenois – Libération

Bon, je n'ai lu qu'une cinquantaine de pages mais c'est un beau foutoir ce bouquin, je cherche à comprendre... 

On n'imagine pas ce qu'il se passe là-bas !

Après la "servante écarlate", je vais m'atteler à celui-ci, du même auteur.

Au passage j'en suis à la saison 2 de la série, c'est incroyable et glaçant.

Le 10/09/2018 à 14:07, Out of Paprika a dit :

Après la "servante écarlate", je vais m'atteler à celui-ci, du même auteur.

Au passage j'en suis à la saison 2 de la série, c'est incroyable et glaçant.

alors c'est bien?

il y a 17 minutes, cry baby a dit :

alors c'est bien?

Je ne l'ai pas encore commandé ^^

il y a 1 minute, Out of Paprika a dit :

Je ne l'ai pas encore commandé ^^

 

ha ok 

La première phrase, d'Elsa Delachair.

599 incipit à découvrir.

Imaginez une première phrase.

D’apparence soignée et appliquée, elle donne le la, les premiers mots, le ton, la mesure. Ici, on la reconnaît car elle est célèbre. Là, elle peint ses doutes ou fait un point sur la météo. Ailleurs, elle raconte ce qui la précède. Plus loin, elle s’élance à grande vitesse, elle déclame, elle chante. Là-bas, elle donne le ton, elle entre en fanfare et grandes pompes.

Dans son dos, lisant par-dessus son épaule, c’est bien le lecteur qui trouve sa place. Et avec elle, traverse les siècles de littérature à dos de géant.

Je viens d'acheter "Elles ont conquis le monde, les grandes aventurières - 1850-1950" d'Alexandra Lapierre et Christel Mouchard. Et hop ! Un beau livre pour ma biblio !

Christine Angot a été plusieurs fois primée, pour d'autres romans.

J'atteins la cinquantième page. Je comprends bien son intention de vouloir rendre le roman "parlant" pour tous. Pour le moment, je trouve cela plutôt fade, le style n'est pas entraînant.  

Il y a 1 heure, Léna-Postrof a dit :

Christine Angot a été plusieurs fois primée, pour d'autres romans.

J'atteins la cinquantième page. Je comprends bien son intention de vouloir rendre le roman "parlant" pour tous. Pour le moment, je trouve cela plutôt fade, le style n'est pas entraînant.  

 

J'avais lu :  Une Semaine de Vacances (bof) , Un amour impossible (plutôt cru) et les désaxés qui était mieux !

J'aime bien DidierLaurent, c'est l'auteur du lecteur du 6h27, de La fissure, il trouve toujours quelque chose d'insolite à raconter, avec toujours beaucoup de sensibilité. 

Le magazine Mythologie :"L'enfance, l'âge mythique de l'innocence". Survol intéressant de la place de l'enfant dans la mythologie (les enfances médiévales, les contes, l'Egypte, la Chine, la littérature du XIXe, la bd, etc). Des extraits de texte de Musset, Hugo, Proust...bref, un agréable moment passé avec ce magazine. 

Les aventure illustrées de pensouillard le hamster du DR Marquis.

"Histoire de France" de Jacques Bainville.

Pour la 10ème fois, avec toujours le même plaisir :

Le 19/09/2018 à 23:59, Plouj a dit :

J'avais lu :  Une Semaine de Vacances (bof) , Un amour impossible (plutôt cru) et les désaxés qui était mieux !

 

Pour le moment c'est moins que bof et même assez culcul la praloche. L'avantage, c'est qu'il ne fait que 180 pages.

Il y a 3 heures, Steiner a dit :

"Histoire de France" de Jacques Bainville.

Tu me raconteras ? 

Le 19/09/2018 à 22:08, Léna-Postrof a dit :

Christine Angot a été plusieurs fois primée, pour d'autres romans.

J'atteins la cinquantième page. Je comprends bien son intention de vouloir rendre le roman "parlant" pour tous. Pour le moment, je trouve cela plutôt fade, le style n'est pas entraînant.  

 

comme beaucoup de ces romans

Le magazine Contes & Légendes "Femmes - De la déesse-mère à Wonder Woman"

Edito

De la déesse-mère à Wonder Woman, la femme a été héroïsée ou diabolisée sous des formes multiples. La découverte de représentations féminines a longtemps accrédité l'idée d'une déesse-mère, d'une religion fondée sur une figure féminine qui symboliserait la fertilité, la maternité, la sérénité. "Tout cela était fort spéculatif, autant la vision sociale que son double religieux. Le mythe de la déesse-mère remonte au minimum au XXe siècle", sourit l'académicien et archéologue Jean Guilaine. Dommage, car, par la suite, les femmes n'ont pas échappé au procès d'un masculin qui ne digère encore pas son expulsion du Paradis ou son attirance dans des univers qu'il ne contrôle pas : l'île de Circé qui y retient les hommes, ou les rochers des sirènes sur lesquels leurs amours se fracassent sans espoir.

La femme peut être à son tour une sainte idéale. Héra, épouse et soeur de Zeus, poursuit de sa vindicte un mari bien volage qui, homme, animal ou pluie d'or, use et abuse de tous les subterfuges. déjanire offre le récit d'une épouse manipulée, la petite sirène d'Andersen celui d'une amoureuse éplorée. L'Eglise s'en émeut-elle ? En tous les cas, les saintes martyres deviennent des figures de la femme idéale et le culte de la Vierge Marie réhabilite les femmes au XIIe siècle. Ni bourreau ni victime, la femme demande tout simplement à ne plus être enfermée dans un rôle défini. Tout cela passe bien évidemment par les revendications et l'éducation. Éduquer les filles ? Les fées s'en occupent dans les romans. Le sujet devient une question sociale majeure au XVIIe siècle avec les Femmes Savantes. Victor Hugo prend leur défense. Et un siècle plus tard, Wonder Woman, l'Amazone guerrière de la paix, affirme son autonomie. Que de chemin parcouru, et à parcourir encore !

Le 22/09/2018 à 10:30, cry baby a dit :

comme beaucoup de ces romans

Hum... ses "oeuvres" seraient étudiées à l'international, j'ai donné sa chance au produit, on ne m'y reprendra plus. Encore 50 pages à tenir.