Que lisez-vous en ce moment ?

J'ai démarré cette trilogie

"Certains mots sont probablement aptes à changer le monde, ils ont le pouvoir de nous consoler et de sécher nos larmes. Certains mots sont des balles de fusil, d’autres des notes de violon.
Certains sont capables de faire fondre la glace qui nous enserre le cœur et il est même possible de les dépêcher comme des cohortes de sauveteurs quand les jours sont contraires."
Parfois, à cause des mots, on meurt de froid. Comme Bardur, pêcheur à la morue islandais, il y a un siècle. Trop occupé à retenir des vers du Paradis perdu de Milton, il oublie sa vareuse en partant en mer.
De retour sur la terre ferme, son meilleur ami entame un périlleux voyage pour rendre à son propriétaire, un vieux capitaine devenu aveugle, le livre funeste. Pour savoir aussi s'il veut continuer à vivre.
Entre ciel et terre, d’une force hypnotique, nous offre une de ces lectures trop rares dont on ne sort pas indemne. Une révélation…

et maintenant

Lorsque Jens le Postier arrive au village, il est accueilli par Helga et le gamin qui le détachent de sa monture avec laquelle il ne forme plus qu'un énorme glaçon. Sa prochaine tournée doit le mener vers les dangereux fjords du Nord. Il ne pourra pas les affronter sans l'assistance d'un habitué des sorties en mer.
Le gamin, lui, découvre la poésie et prend peu à peu conscience de ses désirs. Il ira «là où l'Islande prend fin pour laisser place à l'éternel hiver», y accompagner Jens dans son périple. Malgré leurs différences, ils n'ont d'autre choix que de se raccrocher l'un à l'autre, face à l'impitoyable nature.
Au milieu des tempêtes enneigées islandaises, Jón Kalman Stefánsson fait naître une stupéfiante chaleur érotique. Mariant douceur et extrême, il restitue cette intense lumière qui « nous nourrit autant qu'elle nous torture ».

Je me relis Dune, pour la troisième fois, mais cette fois en anglais ; cette fois, j'ai bien l'intention d'aller au bout de l'hexalogie, les six livres. Je m'étais arrêté avant à Le Messie de Dune (que j'ai lu).

En le relisant, je trouve que la force de cette saga, outre l'univers déployé qui est impressionnant, c'est la construction des personnages. C'est vraiment une leçon pour tous les apprentis écrivains.

En français, j'ai Dune 1 et Dune 2 dans cette édition ; le reste de la saga chez Pocket aussi, avec les illustrations du fameux Wojtek Siudmak (illustrateur légendaire).

Je lis "Les poupées" d'Alexis Laipsker

J'ai terminé le livre "Un Eté avec Homère" que j'ai trouvé très instructif, très bien et très intéressant. Il m'a donné une idée de poème ("Ulysse" est son nom) et c'est un bel hommage à l'aède et à la nature. Une belle façon de nous rappeler que nous sommes tous un peu ce héros vaillant, courageux, rusé mais aussi un bon moyen pour nous prouver que nous sommes tous comme lui, c'est-à-dire des migrants. Car, rappelons le, avant de revenir dans sa patrie, Ulysse était un migrant. Mon écrit lui est aussi dédié.

Là, j'ai commencé un livre de Dennis Lehane, peut-être le connaissez vous? Si non, il a écrit (entre autre) "Mystic River", "Shutter Island" et "Gone Baby Gone". Pour le moment, je suis en train de lire "Sacré", le 3me tome des aventures avec Patrick Kenzie et Angela Gennaro. 

le prochain, 

“– Qu’as-tu fait de pire ?
– J’ai embrassé une bouche qui m’attendait pour cela. Mais je l’ai fait comme on franchit les portes du royaume de la folie.
– Tu n’as pas franchi ces portes.
– Elle ne m’a pas laissé entrer. Si elle m’avait laissé entrer, elle serait tombée avec moi.”
Deux amants, deux voix qui s’entrelacent dans une nuit de ferveur. Dans ce huis clos amoureux, on devine à peine le monde extérieur. Tout se mêle, l’amour et la mort, la peur et le désir, la passion et la tendresse.
C’est l’une de ces conversations fiévreuses qui ne s’achèvent qu’avec l’aube. Mais avant la lumière, il faudra traverser un tout autre monde… Au rythme hypnotique du dialogue, voyant sans être voyeur, le lecteur entre dans l’intimité du couple et se laisse emporter dans un voyage initiatique. Suspendus entre rêve et réalité, les symboles se multiplient : feu, serpents, oiseaux et l’antique combat entre bien et mal.
Avec ce Dialogue imprégné du plus ardent romantisme, Simon Johannin met à nu ses thèmes de prédilection pour en poursuivre l’exploration.

Le prochain :

Douglas Stuart est designer de mode à New York. Il a grandi dans les faubourgs de Glasgow et raconte dans son premier roman ce qui fût en partie son enfance. Un cri d'amour à une mère disparue trop tôt sous les ravages de l'alcool. 

Un polar dont la seule originalité réside dans le fait que l'auteur est suédois. C'est la seule chose que j'arrive à lire en ce moment. Ca ne demande pas trop de concentration.

il y a 1 minute, JacKK a dit :

Un polar dont la seule originalité réside dans le fait que l'auteur est suédois. C'est la seule chose que j'arrive à lire en ce moment. Ca ne demande pas trop de concentration.

moi aussi Mons Kallentoft... Plus dépressif, tu meurs, mais j'aime bien, là c'est hiver, que je relis

je viens de terminer le polar suédois...

ben...... impossible à lâcher dit la couverture.... moi je dirais que si ça aurait été assez facile.

il y a 16 minutes, JacKK a dit :

je viens de terminer le polar suédois...

ben...... impossible à lâcher dit la couverture.... moi je dirais que si ça aurait été assez facile.

ouais, pas terrible... Il y en a un que j'ai adoré, mais pas suédois, "de bonnes raisons de mourir" il a été écrit avant la guerre Ukraine Russie

https://www.babelio.com/livres/Audic-De-bonnes-raisons-de-mourir/1135437

il y a 1 minute, guernica a dit :

ouais, pas terrible... Il y en a un que j'ai adoré, mais pas suédois, "de bonnes raisons de mourir" il a été écrit avant la guerre Ukraine Russie

https://www.babelio.com/livres/Audic-De-bonnes-raisons-de-mourir/1135437

y a pas une histoire de .... putain j'ai plus le mot... de contamination nucléaire ? 

il y a 4 minutes, JacKK a dit :

y a pas une histoire de .... putain j'ai plus le mot... de contamination nucléaire ? 

si, en fait une partie se passe à Tchernobyl avec les stalker

il y a 32 minutes, guernica a dit :

si, en fait une partie se passe à Tchernobyl avec les stalker

oui, mais non. Je pensais a autre chose, un truc particulier, mais je ne veux rien dévoiler si c'est bien le livre auquel je pense. Je l'ai lu. 

J'ai lu Eric Fottorino, Mohican :

Le monde agricole face au "progrès". Livre à charge contre les pesticides, fongicides, herbicides, mais aussi contre les éoliennes.

Le 10/03/2024 à 19:12, Viviana a dit :

Je lis "Les poupées" d'Alexis Laipsker

Je lis DSI de Joseph Henrotin.

Après avoir lu D. Lehane, Sacré (très bien, bon suspense), je me plonge dans le troisième tome du Soleil Noir: la Relique du Chaos de Giacometti/Ravenne. Qu'en avez vous pensé? Aussi bien que les deux autres (à savoir Le Triomphe des Ténèbres et la Nuit du Mal)? En guise de slogan, sur la quatrième de couverture, le Figaro le cite "entre Indiana Jones et J. Le Carré". Etes vous d'accord?

Pour Sacré, le roman est un peu lent à démarrer. Le meilleur du duo Kenzie/Gennaro est, pour l'instant, le second (Ténèbres Prenez moi la main).

De mon côté, j'entame le volume 03 de Dune : Les Enfants de Dune. En Français. En parallèle, j'audio-écoute Le Problème à trois corps, et j'enchaînerai avec la suite, La Forêt sombre, et La Mort Immortelle.

Les Manuscrits de la Mer Morte...

On y trouve de choses étonnantes... 

Comme ce précepte qu'il faut éliminer les gens qui ont un défaut PHYSIQUE parce qu'ils sont une offense à Dieu... 

C'est surtout des commentaires sur les textes et les psaumes que l'on trouve déjà dans   l'Ancien Testament... et des considérations politiques du moment. Il faut les décrypter parce que les vrais noms des personnages existants sont changés. L'idée que le peuple Hébreu maltraité sera vengé par Dieu à la fin des temps revient souvent. Il y est aussi souvent fantasmé d'une victoire finale éclatante... Et c'est la plupart du temps des hébreux (ou des juifs) qui sont accusés de trahir leur propre peuple. De... collaborer !!! On comprend que des sectes rivales s'opposent et se font la guerre en permanence... Ils attendent un Messie --un oint de Dieu-- qui doit les sauver. L'arrivée d'un Jésus Christ dans cette "ambiance" n'a rien d'étonnant finalement.

Il n'y a pas d'échec amoureux. A. N.

Zoïle est tombé éperdument amoureux de la douce Astrolabe, mais la jeune femme consacre tout son temps à Aliénor, une romancière géniale quoique légèrement attardée. Par dépit, il décide de détourner un avion et de l’envoyer percuter la tour Eiffel. A moins que…

Tout est possible. Et, dans ce possible, on se laisse volontiers guider par une Amélie défoncée qui, jonglant avec ses figurines de lanterne magique, s’envoie joyeusement en l’air… Jean-Paul Enthoven, Le Point.