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Il est où le plaisir à remplir des objectifs ?

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timot-33

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 891 messages
Forumeur confit,
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il y a 10 minutes, timot-33 a dit :

Elle est où la joie ?

Il est où le bonheur ?

Pour un photographe ou un vidéaste, remplir l’objectif de son appareil est de saisir la lumière de l’instant pour capter une image.

Sa joie et son bonheur est de figer l’instant d’un moment au service d’une histoire, familiale, personnelle, puis de partager son exercice du souvenir avec ses proches et ses amis.

Sans objectif, pas de joie, pas de bonheur ! (j’ai bon ?) :D

 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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il y a une heure, timot-33 a dit :

Il est où le bonheur ?

Tôt le matin.

Révélation

Ne dit-on pas : Se lever de bonne heure ?

 

Modifié par Apator
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Membre, 55ans Posté(e)
MadameRosa Membre 76 messages
Forumeur activiste‚ 55ans‚
Posté(e)

Parler de joie ou de bonheur est sans doute excessif si on parle de ces petits objectifs qu'on se donne à atteindre chaque jours.

Remplir un objectif que l'on s'est fixé procure  la satisfaction de réussir. L'objectif est ce qui nous fait avancer, ce vers quoi on tend.

C'est ce qui fait que nous ne subissons pas la vie mais nous en faisons quelque chose. 

Les grands objectifs sont les rêves que nous souhaitons réaliser. Il n'est pas difficile de comprendre qu'un rêve réalisé procure du bonheur quand on a tout mis en œuvre pour l'atteindre et qu'on réussit.

 

 

 

 

Modifié par MadameRosa
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Membre, Posté(e)
L'illuminée Membre 50 messages
Forumeur inspiré‚
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il y a une heure, timot-33 a dit :

Elle est où la joie ?

Il est où le bonheur ?

Le secret du bonheur est de faire ce que tu aimes

Le secret de la réussite est d'aimer ce que tu fais

(citation supposée? de Bouddha)

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)

La joie est une sensation immédiate, et le bonheur est une impression qui fait appel à un ressenti sur le long terme, sur la base, entre autres, de la joie.

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Membre, 43ans Posté(e)
ashaku Membre 496 messages
Forumeur alchimiste ‚ 43ans‚
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il y a une heure, timot-33 a dit :

Il est où le plaisir à remplir des objectifs ?

Elle est où la joie ?

Il est où le bonheur ?

Il y a "ce qui est" et "ce qu'on voudrait", leur différence fait naître l'objectif, soit "ce qu'il faut faire" pour passer de l'un à l'autre.

Quand "ce qui est" correspond à "ce qu'on veut", que les deux images se superposent, on ressent une sensation positive qui indique que "ce qui est fait" est bon. On peut parler de bonheur, c'est plutôt coté plaisir, joie est peut-être exagéré.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 817 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, ashaku a dit :

Il y a "ce qui est" et "ce qu'on voudrait", leur différence fait naître l'objectif, soit "ce qu'il faut faire" pour passer de l'un à l'autre.

Quand "ce qui est" correspond à "ce qu'on veut", que les deux images se superposent, on ressent une sensation positive qui indique que "ce qui est fait" est bon. On peut parler de bonheur, c'est plutôt coté plaisir, joie est peut-être exagéré.

Mais quand on a atteint ce que l'on voulait, quelle suite ? Va-t'il falloir que plus rien ne bouge dans ce qui est pour que le bonheur s'installe ? Et si oui le bonheur serait-ce alors dans l'immobile et donc dans l'absence de désir ?

A l'inverse si le bonheur n'est ressenti qu'à l'instant où ce qui est se met à correspondre à ce qu'on voulait, il est très éphémère.

Modifié par CAL26
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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 55ans Posté(e)
pascalin Membre 15 465 messages
55ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
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La joie du bonheur est (l'objectif) de profiter de chaque instant

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Membre, 60ans Posté(e)
Black3011 Membre 123 messages
Forumeur activiste‚ 60ans‚
Posté(e)

Supposons que mon objectif soit de répondre intelligemment à ce topic. Bon. Je réfléchis donc à ce que je pourrais dire; je fais fonctionner mes neurones, ce qui (dans mon cas) me donne un certain plaisir, un bien-être, bref de la joie momentanée. Pas encore le bonheur, à vrai dire.

Supposons maintenant que j'arrive à terminer ce post avec panache, avec une pirouette brillante. J'en serais très heureux ! Mais ce n'est pas encore le vrai bonheur. En tout cas, pas d'après Aristote ni d'après Epicure. Encore moins d'après Kant, mais là ça n'a vraiment rien à voir.

Supposons enfin qu'après avoir envoyé ma réponse, je reçoive plein de petit coeurs, de smileys qui rigolent, et une ou deux coupes en or. Alors là, je peux dire que j'aurai atteint mon objectif ! Et peut-être, peut-être, que j'aurai réussi à obtenir une certaine forme de bonheur provisoire... :D

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Membre, 43ans Posté(e)
ashaku Membre 496 messages
Forumeur alchimiste ‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 59 minutes, CAL26 a dit :

Mais quand on a atteint ce que l'on voulait, quelle suite ? Va-t'il falloir que plus rien ne bouge dans ce qui est pour que le bonheur s'installe ? Et si oui le bonheur serait-ce alors dans l'immobile et donc dans l'absence de désir ?

A l'inverse si le bonheur n'est ressenti qu'à l'instant où ce qui est se met à correspondre à ce qu'on voulait, il est très éphémère.

Certes. Je décrivais un mécanisme qui s'applique à un aspect spécifique et se reproduit encore et encore. Un coup on veut à manger, un coup on veut un abri, etc. Je ne pensais pas qu'une personne puisse rejoindre "tout ce qui est" à "tout ce qu'elle veut".

Et oui, du coup, ce mécanisme est dynamique, c'est une danse constante entre désir et accomplissement. Je pense qu'il est correct de dire que le bonheur est éphémère, mais il est reproductible à l'infini.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 817 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, ashaku a dit :

Certes. Je décrivais un mécanisme qui s'applique à un aspect spécifique et se reproduit encore et encore. Un coup on veut à manger, un coup on veut un abri, etc. Je ne pensais pas qu'une personne puisse rejoindre "tout ce qui est" à "tout ce qu'elle veut".

Et oui, du coup, ce mécanisme est dynamique, c'est une danse constante entre désir et accomplissement. Je pense qu'il est correct de dire que le bonheur est éphémère, mais il est reproductible à l'infini.

Assouvir un besoin (manger, avoir un abri) fait ressentir du plaisir mais dans la notion de bonheur il y a une certaine constance. Or si on atteint un état dans lequel on n'a plus de désir (on le voit beaucoup dans notre société occidentale qui surconsomme de tout) il n'y a plus de plaisir et sans plaisir peut on avoir du bonheur ? 

Alors effectivement idéalement il s'agit d'alterner en permanence les déséquilibres et les rééquilibrages. La constance que l'on associe au bonheur (ou au malheur), c'est peut-être uniquement dans le récit qu'on se raconte sur notre vie. 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, CAL26 a dit :

Mais quand on a atteint ce que l'on voulait, quelle suite ? Va-t'il falloir que plus rien ne bouge dans ce qui est pour que le bonheur s'installe ? Et si oui le bonheur serait-ce alors dans l'immobile et donc dans l'absence de désir ?

Vous n'êtes pas dans la joie permanente.

Ce qui signifie qu'il doit exister une quantité q de quelque-chose (et à fin de raisonnement, qu'importe ce quelque-chose) qui détermine l'apparition de la joie.

On a donc un seuil s.

Si q dépasse le seuil s et que nous savons qu'il existe des expériences de joies plus intenses que d'autres, alors il parait évident que cette intensité est déterminée par une fonction qui relie s et q, produisant une intensité i.

Or nous savons également que nous avons besoin de plus de ce qui cause la joie pour déclencher de la joie, par un phénomène d'habituation. Donc nous savons que s a tendance à augmenter à chaque fois que la joie s'exprime.

Il arrive à un moment où q ne pouvant plus dépasser s, i=0, comme une asymptote qui tend vers 0 donc c'est la fin de la possibilité d'éprouver de la joie.

Si au contraire s diminue, la moindre valeur q fournira de la joie, et même d'une intensité sans égal.

On peut donc se retrouver dans la joie permanente, si on parvient à rabaisser le seuil s, et qu'on parvient à ne pas le faire augmenter à chaque fois qu'on éprouve de la joie.

Ici, q, s et i font référence à une joie particulière, et il en existe une multitude, car ne l'oublions pas... la joie est l'analogue mental du plaisir physique.

Parvenir à vivre dans la (les) joie(s) permanente(s) s’apparente au bonheur (dans la durée et non plus dans l'instant), et celui-ci... se suffit d'un rien, si tous les seuils sont au minimum.

Modifié par Apator
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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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il y a 17 minutes, CAL26 a dit :

et sans plaisir peut on avoir du bonheur ? 

Oui.

Car le plaisir est l’assouvissement d'une frustration. C'est violent, la lumière est vive et mordante. Alors que pour la joie et le bonheur, la lumière est douce et intense... bien plus intense, et ce de plusieurs ordres de grandeur.

Le plaisir ne participe pas au bonheur mais en effet si on n'éprouve pas de plaisir, c'est qu'on est frustré, et la frustration est effectivement un frein au bonheur.... si on n'est pas yogi, c'est à dire qu'on n'est pas capable de séparer clairement ce qui est de la joie, et ce qui est du plaisir, la joie étant le mental et le plaisir étant le physique.

Modifié par Apator
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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 817 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 30 minutes, Apator a dit :

Vous n'êtes pas dans la joie permanente.

Ce qui signifie qu'il doit exister une quantité q de quelque-chose (et à fin de raisonnement, qu'importe ce quelque-chose) qui détermine l'apparition de la joie.

On a donc un seuil s.

Si q dépasse le seuil s et que nous savons qu'il existe des expériences de joies plus intenses que d'autres, alors il parait évident que cette intensité est déterminée par une fonction qui relie s et q, produisant une intensité i.

Or nous savons également que nous avons besoin de plus de ce qui cause la joie pour déclencher de la joie, par un phénomène d'habituation. Donc nous savons que s a tendance à augmenter à chaque fois que la joie s'exprime.

Il arrive à un moment où q ne pouvant plus dépasser s, i=0, comme une asymptote qui tend vers 0 donc c'est la fin de la possibilité d'éprouver de la joie.

Si au contraire s diminue, la moindre valeur q fournira de la joie, et même d'une intensité sans égal.

On peut donc se retrouver dans la joie permanente, si on parvient à rabaisser le seuil s, et qu'on parvient à ne pas le faire augmenter à chaque fois qu'on éprouve de la joie.

Ici, q, s et i font référence à une joie particulière, et il en existe une multitude, car ne l'oublions pas... la joie est l'analogue mental du plaisir physique.

Parvenir à vivre dans la (les) joie(s) permanente(s) s’apparente au bonheur (dans la durée et non plus dans l'instant), et celui-ci... se suffit d'un rien, si tous les seuils sont au minimum.

Le problème est justement de faire baisser le seuil : peut-on vraiment en décider ? Si oui, ça ne passe que par le récit, la culture, l'aide de la société. 

 

Modifié par CAL26
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Membre, 60ans Posté(e)
Black3011 Membre 123 messages
Forumeur activiste‚ 60ans‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, Apator a dit :

Oui.

Car le plaisir est l’assouvissement d'une frustration. C'est violent, la lumière est vive et mordante. Alors que pour la joie et le bonheur, la lumière est douce et intense... bien plus intense, et ce de plusieurs ordres de grandeur.

Le plaisir ne participe pas au bonheur mais en effet si on n'éprouve pas de plaisir, c'est qu'on est frustré, et la frustration est effectivement un frein au bonheur.... si on n'est pas yogi, c'est à dire qu'on n'est pas capable de séparer clairement ce qui est de la joie, et ce qui est du plaisir, la joie étant le mental et le plaisir étant le physique.

Voilà encore que Descartes réapparaît, avec son dualisme éternel...

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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il y a 31 minutes, CAL26 a dit :

Le problème est justement de faire baisser le seuil : peut-on vraiment en décider ? 

Oui, c'est mental, chacun est libre de le faire.

il y a 31 minutes, CAL26 a dit :

Si oui, ça ne passe que par le récit, la culture, l'aide de la société. 

Et non justement, c'est l'inverse. Ce serait une erreur de croire que l'aide peut venir d'ailleurs. Ça ne concerne que la personne en face de sa propre interprétation mentale des choses.

A) Glücklichsein ist ein Maßanzug. Unglückliche Menschen sind jene, die den Maßanzug eines anderen tragen wollen.

Karl Böhm

B) Wenn man seine Ruhe nicht in sich findet, ist es zwecklos, sie andernorts zu suchen.

-François de La Rochefoucauld-

https://www.yogateamberlin.de/blog/gluecklichsein-ist-ein-massanzug/

Traductions 

A) Le bonheur est un costume sur mesure. Les personnes malheureuses sont celles qui veulent porter le costume sur mesure d'une autre personne.

B) Si l'on ne trouve pas la paix en soi-même, il est vain de la chercher ailleurs.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 817 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, Apator a dit :

Oui, c'est mental, chacun est libre de le faire.

Et non justement, c'est l'inverse. Ce serait une erreur de croire que l'aide peut venir d'ailleurs. Ça ne concerne que la personne en face de sa propre interprétation mentale des choses.

A) Glücklichsein ist ein Maßanzug. Unglückliche Menschen sind jene, die den Maßanzug eines anderen tragen wollen.

Karl Böhm

B) Wenn man seine Ruhe nicht in sich findet, ist es zwecklos, sie andernorts zu suchen.

-François de La Rochefoucauld-

https://www.yogateamberlin.de/blog/gluecklichsein-ist-ein-massanzug/

Traductions 

A) Le bonheur est un costume sur mesure. Les personnes malheureuses sont celles qui veulent porter le costume sur mesure d'une autre personne.

B) Si l'on ne trouve pas la paix en soi-même, il est vain de la chercher ailleurs.

Le récit dont je parle c'est le discours interne, le "réseau pat défaut" désigné par les neurosciences. Or il ne s'agit pas de porter le costume sur mesure d'un autre mais en utilisant la langage et donc les représentations mentales qui lui sont associées, le discours interne est forcément nourri par la relation de l'individu à la société. Impossible de s'affranchir de cette aide de la culture pour la continuité du soi. 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 438 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
il y a 27 minutes, CAL26 a dit :

Le récit dont je parle c'est le discours interne, le "réseau pat défaut" désigné par les neurosciences. Or il ne s'agit pas de porter le costume sur mesure d'un autre mais en utilisant la langage et donc les représentations mentales qui lui sont associées, le discours interne est forcément nourri par la relation de l'individu à la société. Impossible de s'affranchir de cette aide de la culture pour la continuité du soi. 

Ah oui non, du tout.

Nous ne sommes des ChatGPT. Le réseau par défaut en neurosciences, ça n'existe pas, et le réseau lui-même ce n'est surtout pas la petite portion du cortex associée au cotex préfrontal qui me sert actuellement là, à communiquer avec vous.

A la base même, il n'est même plus question de réseau du tout et quand je vous parle de seuils, ce ne sont pas les seuils synaptiques.

On est dans le domaine du "psychisme", de la psychologie et de la psychiatrie.

Oubliez le côté physique de la chose...On peut aussi parler de l'être.

"Vous", "êtes", un "individu", unique.

Et oui, effectivement, vous êtes adapté à la société et même la société a formé votre esprit.

Mais pas votre être.

C'est l'être qui doit avoir un certain regard sur les choses, adapter son point de vue PSYCHIQUE , pour recevoir la joie. Ce n'est pas rationnel, ça n'a rien à voir avec un raisonnement ou le langage, c'est dans la méditation et en faisant "le vide" que certains approchent cet état de joie. Ensuite dans la vie courante, il est même possible de conserver un peu ou totalement (un bouddha) cet état de joie et ainsi être "bienheureux". 

Le titre de bouddha (terme sanskrit बुद्ध buddha « éveillé », participe passé passif de la racine verbale budh-, « s'éveiller »)[1], désigne une personne ayant, notamment par sa sagesse (prajñā), réalisé l'éveil, c'est-à-dire réalisé le nirvāna (selon le Théravada), ou transcendé la dualité saṃsāra/nirvāņa (selon le Mahāyāna). Il peut être désigné par d'autres qualificatifs : « Bienheureux » (भगवत्, bhagavat), « Celui qui a vaincu » (जिन, jina), « Ainsi-Venu » (तथागत, Tathāgata)[2].

L'appellation de bouddha peut donc se rapporter à plusieurs personnes. Le bouddha le plus connu demeure le fondateur du bouddhisme, Siddhārtha Gautama, archétype du « bouddha pur et parfait » (सम्यक सम्बुद्ध, samyaksambuddha).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouddha

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