Les bas instincts des êtres humains.

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Je pense que des raisons existe pourquoi ils font ça. 

Il y a 10 heures, Danoketian a dit :

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées

sous couvert des ordres reçus. C'est d'ailleurs leur défense lorsqu'ils sont jugés pour leurs actes

il y a 5 minutes, Anna Purna a dit :

sous couvert des ordres reçus. C'est d'ailleurs leur défense lorsqu'ils sont jugés pour leurs actes

Tout à fait . Il y a une forme de déresponsabilisation en quelque sorte , qui permet d'un côté de se dédouaner et de l'autre d'avoir un service , une obéissance quasi aveugle ou carrément aveugle .

Cela fait parti des formes de citoyenneté , de participation à la vie au sein d'une société qu'il faudrait revoir à mon sens . Revoir peut être le système pyramidale . 

Il y a 11 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Ça ne lui a pas pris du jour au lendemain, c'est un lent processus d'endoctrinement. Il y a accoutumance en quelque sorte à la violence, ça va crescendo, et petit à petit on perd toute notion du bien/du mal, de ce qui est inhumain ou pas ect. Enfin de mon point de vue c'est pas mal de ce registre là. Une "tête" malade au sommet de la pyramide qui dirige tout ça et un long travail de sape des mentalités des exécutants.

Il y a 11 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Les politiques, les journalistes et les médecins ont incité les gens à se faire injecter un produit dangereux lors du covid-19.

Pour l'instant, c'est à peine dénoncé mais dans quelques années on se demandera comment ils ont pu participer à cela.

Nullement besoin de regarder un reportage pour ouvrir les yeux sur ce qui s'est passé, il suffit de s'intéresser sur ce qui se passe actuellement chez NOUS et par le monde. 

En fait, les bas instincts, étant donné que nous sommes des animaux, même si nous sommes censés être en haut de la pyramide, n'attendent que d'être réactivés!

N'importe qui peut tuer par exemple, juste que la situation si prête!

Le nazisme c'était ça, l'ouverture du droit à chacun de tuer...mais aussi torturer! et dénoncer pour que d'autres le fasse!

Le peuple allemand dans sa majorité en a joué, si j'puis dire!

La porte de Pandore était ouverte!

Comme au Rwanda...et ailleurs en Afrique même si on en parle beaucoup moins!

Le communisme chinois est assis sur des atrocités de leur propre peuple...

L'invasion de la Chine sur le Japon n'était pas piqué des vers non plus...les asiatiques ont une certaine inhumanité en eux! les kmers rouges l'ont démontré!

Il y a 11 heures, Danoketian a dit :

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocités profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Pour situer, la question est apparue après une discussion sur les expérience nazi sur les prisonniers dans les camps de concentration et ici, si j'ai bien compris, on élargit aux atrocités de toutes sortes.

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C'est le désir qui guide dans un premier temps, puis le plaisir qui renforce leurs actes.

Le plaisir de chercher, de découvrir, la récompense des noyaux accumbens.

Et en même temps, une diminution jusqu'à la disparition de la capacité d'empathie. Ce dernier point est intéressant, car c'est un long processus, qui est le résultat d'une vie dans un milieu qui favorise cette inutilité de l'empathie. A moins évidemment d'une tare génétique au niveau du comportement, mais c'est trop rare je pense pour expliquer les agissements d'un trop grand nombre d'individus et souvent ça s'accompagne par des déficiences, donc devenir scientifique ou médecin, je n'y crois pas.

A cela peut s'ajouter une diminution des capacités de contrôle du cortex frontal (la raison), et c'est le plaisir qui va alors servir de guide.  On a alors affaire à un sadique.

Reste les petites mains, qui vont suivre le meneur, et qui eux par contre peuvent être simplement le jouet de leur obéissance.

Conclusions à partir de l’expérience de Milgram

La première question que nous nous posons en voyant ces résultats est : Pourquoi les personnes ont-elles obéi jusqu’à ces niveaux ? Il y a de multiples retranscriptions des conversations des sujets avec le chercheur. En elles, on observe que la majorité des sujets se sentaient mal vis-à-vis de leur comportement, donc la cruauté ne peut pas être motrice de leur comportement. Il se peut que la réponse se trouve dans « l’autorité » du chercheur, en qui les sujets relèguent réellement toute la responsabilité de ce qui arrive.

A travers les variations de l’expérience de Milgram, une série de facteurs affectant l’obéissance furent décelés :

• Le rôle du chercheur : la présence d’un chercheur vêtu d’une blouse, fait que les sujets lui attribuent une certaine autorité due à sa profession et pour cette raison, ils se montrent plus obéissants aux demandes de celui-ci.
• La responsabilité perçue : cela correspond à la responsabilité que le sujet croit avoir sur ses actes. Lorsque le chercheur lui dit que l’unique responsable de la recherche est lui et non le sujet, ce dernier voit sa responsabilité s’amenuiser et il lui résulte plus facile d’obéir.
• La conscience de la hiérarchie : les sujets ayant un fort sentiment de hiérarchie étaient capables de se voir supérieurs au complice, et inférieurs au chercheur ; ils devaient donc donner plus d’importance aux ordres de leur « chef » qu’au bien-être du complice.
• La sensation d’engagement : le fait que les participant-e-s se soient engagé-e-s à réaliser l’expérience leur rendait en quelque sorte impossible le fait de s’y opposer.
• La rupture d’empathie : lorsqu’une situation force la dépersonnalisation du complice, nous voyons que les sujets perdent l’empathie à leur égard et il leur résulte plus facile d’agir en obéissant.

Ces facteurs ne sont pas les seuls qui mènent une personne à obéir aveuglement à une autre personne, mais leur somme génère une situation dans laquelle l’obéissance devient très probable peu importe les conséquences. L’expérience de Milgram nous montre donc une fois de plus un exemple de la force de la situation qui nous fut présentée par Zimbardo (2012). Si nous sommes inconscient-e-s de la force de notre contexte, cela peut nous pousser à nous comporter d’une manière étant en inadéquation avec nos principes.

https://nospensees.fr/lobeissance-aveugle-lexperience-de-milgram/

Le nazi c'est toujours l'autre, le nazi c'est un gars spécial qui avait donc un ADN spécial. Pas de pot pour le monde, un nuage a passé un jour, et boum, il a fabriqué l'ADN nazi. 

La plupart des gens qui écrivent ici seraient tranquillement devenus eux aussi des nazis. Tant que le nazi c'est l'autre  c'est super, ça permet de dire : c'est fou comme je suis bien.

Ce désir puéril de paraitre bien, face au nazi, le contre exemple absolu, est confondant. Il n' y a pas si longtemps les réflexions sur les nazis s'accompagnaient de réflexions aussi sur soi, personne ne se croyait à l'abri de l'excès. Maintenant la pensée devient carrément dévitalisée. Le nazi est un accident biologique, ouf nous sommes exempts de cette contamination. Jusqu'à ce que nombreux se mettent à tuer eux aussi, rejoignant la horde, quand leur confort considéré comme un droit absolu sera menacé.

Il y a 4 heures, Pensée philo a dit :

Les politiques, les journalistes et les médecins ont incité les gens à se faire injecter un produit dangereux lors du covid-19.

Ha, ça faisait longtemps ...

Il y a 20 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Il y a 8 heures, Arkadis a dit :

Le nazi c'est toujours l'autre, le nazi c'est un gars spécial qui avait donc un ADN spécial. Pas de pot pour le monde, un nuage a passé un jour, et boum, il a fabriqué l'ADN nazi. 

La plupart des gens qui écrivent ici seraient tranquillement devenus eux aussi des nazis. Tant que le nazi c'est l'autre  c'est super, ça permet de dire : c'est fou comme je suis bien.

Ce désir puéril de paraitre bien, face au nazi, le contre exemple absolu, est confondant. Il n' y a pas si longtemps les réflexions sur les nazis s'accompagnaient de réflexions aussi sur soi, personne ne se croyait à l'abri de l'excès. Maintenant la pensée devient carrément dévitalisée. Le nazi est un accident biologique, ouf nous sommes exempts de cette contamination. Jusqu'à ce que nombreux se mettent à tuer eux aussi, rejoignant la horde, quand leur confort considéré comme un droit absolu sera menacé.

 

Tu pourrais peut-être préciser ce qu'il y a dans le documentaire qui t'a inspiré ce sujet, tant il y en a sur le nazisme. Et parmi les nazis il y a sûrement de tout, tant le contexte était singulier, comme il y avait de tout chez les français sous l'occupation dont une partie dénonçait alors qu'ils n'avaient pas l'obligation immédiate de le faire. 

Une chanson de Goldman dit ça simplement  : 

Et la morale est un combat incessant et sur du sable mouvant : les nazis ont tué en masse mais au nom d'une certaine morale, née d'une idéologie, mais une morale néanmoins. Elle était juste à l'opposé de l'humanisme. 

Il y a 20 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

Mais parce que justement ce sont des êtres humains. Spécificité de notre espèce.

Il y a 9 heures, Arkadis a dit :

Le nazi c'est toujours l'autre, le nazi c'est un gars spécial qui avait donc un ADN spécial. Pas de pot pour le monde, un nuage a passé un jour, et boum, il a fabriqué l'ADN nazi. 

La plupart des gens qui écrivent ici seraient tranquillement devenus eux aussi des nazis. Tant que le nazi c'est l'autre  c'est super, ça permet de dire : c'est fou comme je suis bien.

Ce désir puéril de paraitre bien, face au nazi, le contre exemple absolu, est confondant. Il n' y a pas si longtemps les réflexions sur les nazis s'accompagnaient de réflexions aussi sur soi, personne ne se croyait à l'abri de l'excès. Maintenant la pensée devient carrément dévitalisée. Le nazi est un accident biologique, ouf nous sommes exempts de cette contamination. Jusqu'à ce que nombreux se mettent à tuer eux aussi, rejoignant la horde, quand leur confort considéré comme un droit absolu sera menacé.

 

Non, la plupart des gens n'étaient ni nazis ou collabos ni résistants. Ils se laissent porter.

il y a 8 minutes, Totof44 a dit :

Non, la plupart des gens n'étaient ni nazis ou collabos ni résistants. Ils se laissent porter.

Déjà tout dépend de ce que l'on entend par le terme "nazi", tant @Danoketian n'apporte pas de précision. 

Si on se limite aux théoriciens, aux haut dignitaires qui ont conçu ou appliqué avec zèle les conséquences des idées hitlériennes, la proportion est forcément faible. 

Mais si on élargit à tous ceux qui on défendu la politique du parti national socialiste, ce n'est plus une minorité de l'Allemagne des années 30/40. Il y a aussi tous les "petits" exécutants qui par peur ou par conviction ont tué, torturé ou massacré avec zèle soit parce il fallait montrer son dévouement soit parce que le sadisme bénéficiait de conditions favorables. 

La France sous l'occupation est par contre de fait moins active. Alors les collabos ou résistants étaient une minorité par rapport à ceux qui ont attendu que ça se passe. 

Il y a 22 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

bah la politique est la première cause de décés dans le monde , largement devant le cancer bien que la politique soit une sorte de "cancer" qui gangrene la société depuis la nuit de temps , certainement depuis que l'animal a cessé d'être un animal et est devenue un politique ....

si je devais comptabiliser le nombre de tués issues des conflits des guerres et autres révolutions pour unique raison politique ayant commis des atrocités , le chiffre serait astronomique , voir incaculbale ....

la raison politique a toujours donné des droits pour des atrocités et des monstruosités de toute sorte et de tout bord , rien que les deux dernière guerres mondiale sont autant de raisons politiques pour avoir tués autant de gens dans un laps de temps aussi court c'est pourquoi ej pense que la politique est la première cause de décés dans le monde avec ou sans atrocité , avec ou sans piment .....quoi .

MAIS malgrés tout grace à autant de tuerie du pour l'essentiel à la politique et non pas des accidents de la vie courante , je suppose que la politique à elle seule permet à l'humanité de s'éliminer et se massacrer sans complexe et tenir un bilan comptable pour éviter d'être trop nombreux sur terre . 

Bref si la politique n'eut jamais existé nous serions actuellement plus de 500 milliards d'être humain toujours en paix  , heureusement que la politique fut créer pour nous limiter .

Il y a 23 heures, Danoketian a dit :

Ce sujet me vient sur un documentaire sur un homme nazi si on peut appeller ça un homme. 

Comment certains hommes en viennent a de tel atrocitées profitant d'une politique qui leur donne ce droit.

c'est lorsque on est malade mentalement , et quand on arrive a  avoir un pouvoir ;  alors on se prend pour un dieu 

Il y a 14 heures, Pensée philo a dit :

Les politiques, les journalistes et les médecins ont incité les gens à se faire injecter un produit dangereux lors du covid-19.

Pour l'instant, c'est à peine dénoncé mais dans quelques années on se demandera comment ils ont pu participer à cela.

Je dirais d'avantage pensée bistro que pensée philo.