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CAL26

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Tout ce qui a été posté par CAL26

  1. On voit l'acharnement de ces gauchistes de la justice qui prennent prétexte d'une dissimulation d'à peine 13 millions d'euros pour empêcher un ascète de l'intérêt général d'accomplir sa mission. Il est des âmes si pures dont le martyr sur terre ne peut que pointer du doigt l'immoralité des Hommes.
  2. CAL26

    «Innommable service public»

    Ce qui est significatif c'est ce que Bardella veut faire d'une émission en déformant une petite partie de la dite émission : une analogie non pas entre lui et Hitler mais entre la montée en puissance du RN (il est vrai ex-FN, résurgence d'un mouvement néofasciste mais bref) et les tentatives de manipulation des grands industriels. D'ailleurs dans l'extrait présenté par l'article du JDD, on voit J Jaffré poursuivre l'analogie avec Napoléon III et non avec Hitler. L'occasion était donc à saisir pour manipuler l'info en se victimisant pour dénigrer gratuitement l'audiovisuel public moins récupérable à cause de sa pluralité et ses nuances que l'empire de Bolloré.
  3. Je l'ai fait mais tu en as fait n'importe quoi ou tu n'as pas compris. Arrêtons de polluer le topic, merci.
  4. Arrête de dire n'importe quoi sur ce que j'ai dit précédemment, je n'ai fait aucun lien entre "trouver la joie et le bonheur" et le fonctionnement spécifique de certaines zones cérébrales. Le réseau du mode par défaut est une base qui prend de l'importance en psychologie sous forme d'un récit autobiographique dans lequel les influences sociales et ce que l'on en fait joue aussi un rôle. Au départ je partais du paradoxe à résoudre dans le bonheur entre une permanence que l'on n'a pas dans la joie ou le plaisir et une variation nécessaire. Mais avant de faire le professeur ou de mener un interrogatoire continue ta propre réflexion, on pourra alors faire un éventuel débat si tu arrêtes de déformer ce que je dis.
  5. Continue à relire ce que j'ai écrit précédemment sur ce topic avant de déformer mes propos et de les découper pour m'imposer ton approche du sujet qui reste la question du bonheur.
  6. Il ne s'agit pas de philosopher sur le bonheur sur la base des neurosciences : commence par relire ce qui m'a incité à évoquer le réseau par défaut comme élément de mise en cohérence subjective de fragments faits de joies, plaisirs ou tristesses.
  7. Merci de ma présenter ce que sont la psychologie et la psychiatrie mais je le répète on est dans philosophie. Un petit rappel, le concept de réseau par défaut est surtout étudié en psychologie cognitive mais intéresse également la psychiatrie ou l'approche psychologique globale et clinique des troubles psychiques tant le réseau par défaut peut jouer un rôle dans les ruminations mentales. Les nombreuses avancées récentes des neurosciences sont globalement très utiles à la psychologie et à la psychiatrie même si chaque discipline conserve ses spécificités et ainsi sa pertinence. Le niveau psychique ou plutôt l'expérience subjective peut effectivement constituer le seul domaine d'approche d'une notion comme le bonheur et je n'ai jamais dit le contraire. Alors ne renverse pas les rôles, c'est toi qui m'a fait une injonction : "Oubliez le côté physique de la chose...On peut aussi parler de l'être" et uniquement parce que je faisais référence à un concept issu des neurosciences. La philosophie est un domaine de dialectique transdisciplinaire donc je te demandais d'accepter que je prenne en compte la dimension physique pour mener ma réflexion, ce que de toutes façons font la psychologie et la psychiatrie. Donc oui et il n'était pas question de dire le contraire, il y a encore une très grande différence entre ce qui peut être lu de l'activité cérébrale et ce qu'éprouve le sujet. La finesse grandissante de la compréhension de réseaux neuronaux a le but de permettre un lien, d'adapter les traitements aux spécificités individuelles mais rien ne permet de penser qu'il sera un jour possible de parfaitement traduire le vécu individuel par l'activité cérébrale.
  8. Alors il faudra expliquer aux neuroscientifiques que ce réseau qui s'activerait quand notre attention n'est pas focalisée par une tâche à accomplir et par lequel resurgirait nos souvenirs autobiographiques (mémoire épisodique), faisant un récit, un commentaire de ce que l'on a vécu n'existe pas. Il faudra exiger qu'ils n'emploient ni le terme ni le concept. On est ni dans le domaine du psychisme, de la psychologie ou de la psychiatrie : on est en philosophie. Si tu veux oublier la dimension physique libre à toi mais pour le bienfait de la dialectique souffre que j'en tienne compte dans ma réflexion. On est peut-être en philosophie, va savoir. Donc il s'agit de mettre en commun nos réflexions sur une notion, c'est ce qu'on appelle la dialectique. Effectivement on pourrait dire "chacun sa notion". On pourrait donc dire pourquoi créer un sujet en philosophie ?
  9. Le récit dont je parle c'est le discours interne, le "réseau pat défaut" désigné par les neurosciences. Or il ne s'agit pas de porter le costume sur mesure d'un autre mais en utilisant la langage et donc les représentations mentales qui lui sont associées, le discours interne est forcément nourri par la relation de l'individu à la société. Impossible de s'affranchir de cette aide de la culture pour la continuité du soi.
  10. Le problème est justement de faire baisser le seuil : peut-on vraiment en décider ? Si oui, ça ne passe que par le récit, la culture, l'aide de la société.
  11. Assouvir un besoin (manger, avoir un abri) fait ressentir du plaisir mais dans la notion de bonheur il y a une certaine constance. Or si on atteint un état dans lequel on n'a plus de désir (on le voit beaucoup dans notre société occidentale qui surconsomme de tout) il n'y a plus de plaisir et sans plaisir peut on avoir du bonheur ? Alors effectivement idéalement il s'agit d'alterner en permanence les déséquilibres et les rééquilibrages. La constance que l'on associe au bonheur (ou au malheur), c'est peut-être uniquement dans le récit qu'on se raconte sur notre vie.
  12. Mais quand on a atteint ce que l'on voulait, quelle suite ? Va-t'il falloir que plus rien ne bouge dans ce qui est pour que le bonheur s'installe ? Et si oui le bonheur serait-ce alors dans l'immobile et donc dans l'absence de désir ? A l'inverse si le bonheur n'est ressenti qu'à l'instant où ce qui est se met à correspondre à ce qu'on voulait, il est très éphémère.
  13. CAL26

    Marcel et Monsieur Pagnol

    Quand je dis "tu le vends bien" c'est seulement une expression. La biographie de Goscinny a aussi été faite en dessins animés et le film est très bon aussi. Le folklorique ce n'est pas la qualité que je retenais dans la trilogie, c'est plutôt la caricature qui en est faite parfois.
  14. CAL26

    Marcel et Monsieur Pagnol

    Tu le vends bien, merci. Pagnol, un des rares auteurs de roman que je lis facilement (tout comme Maupassant). Il me semble que Pagnol est sous-estimé. Même la trilogie est un peu trop cantonnée à une sorte de folklore alors que je la rangerais bien aux côtés des tragédies de Corneille ou Racine (sans les exigences du style bien sûr). Je connais très peu la littérature mais je donne mon opinion de naïf.
  15. L'interprétation du "carpe diem" en dit plus sur la société qui l'interprète selon ses critères que sur ce qui a été dit au départ dans un poème de Horace. L'idée qu'il s'agirait d'une injonction à jouir et à se gaver ça ressemble surtout à notre société de consommation. Or ce carpe diem initial ressemble beaucoup à ton vivre chaque jour comme si c'était le premier car il s'agit de se dépêcher de vivre tant on ne sait pas le temps qu'il reste ou si on a un destin et qu'il serait de toutes façons nocif de vouloir le savoir. Je considère aussi qu'inviter chaque jour chez soi notre condition de mortel permet de relativiser ce que l'on subit, ce qui nous échappe et qu'on n'aurait en aucun cas choisi. Alors vivre chaque jour comme si c'était le dernier mais en étant prévoyant comme si on était immortel avec comme point commun le fait que l'on ne connaisse pas le jour de sa mort : "est-il encore debout le chêne ou le sapin de mon cercueil ?" comme chantait Brassens. Bref "carpe diem" : dimanche on va à la pêche (sans moi, je hais la pêche).
  16. CAL26

    Ce que vous diriez...

    Trop mortel !
  17. Oui elle devrait écrire un livre. Les collégiens pourront alors s'enrichir intellectuellement.
  18. @Kaliste et tu es encore ici à rigloer ? Pourtant le taf est immense pour éradiquer le crime.
  19. Tu as contribué à ce qu'on se pignole 107 ans. Alors va vite jouer la justicière sur le terrain pour éradiquer le crime. Tu attends quoi ?
  20. Les médias ne relatent que très rarement la totalité des procès : s'il suffisait des faits pour prononcer une sanction ce ne serait plus un vrai travail de justice qu'un procès. Or à partir de quelques bribes données par les médias tu te permets d'affirmer : " Et pour une fois merci à la justice". Donc rien à foutre du temps long d'un procès toi dans ton coin ne sachant presque rien tu jettes la quasi totalité des décisions judiciaires à la poubelle !
  21. J'ai utilisé les termes "atrocité" et "supplice de la victime " (meurtre sauvage non). Donc j'ai dit cela uniquement à partir de ce qu'ont dit les médias et je ne pense pas que les faits tels qu'ils ont été décrits puissent être remis en cause. Mais je n'ai pas eu accès à l'ensemble du procès donc je ne me permets de rien dire quant à la sanction prononcée.
  22. Je ne sais pas si j'ai extrapolé vos réactions. J'ai commenté ces propos : Donc si tous les auteurs de ces messages (dont tu fais partie) avaient répondu comme l'a dit @hanss qu'ils avaient pu même indirectement suivre le procès lui-même, la discussion était close. Ma réaction est seulement devant le fait d'estimer la qualité d'une sanction en ne connaissant quasiment que les faits décrits par les médias. C'est parce qu'à l'équivalent mais dans une situation opposée, il y a beaucoup de réactions sur la base "la punition est insuffisante" toujours à partir des seuls faits décrits par les médias. Ce n'est pas pour ergoter, c'est parce qu'en écho de cet appel à la plus grande sévérité il y a une forme de lynchage (mais forcément symbolique) qui est tout sauf de la justice. Et je le répète pour qu'encore une fois on ne déforme pas ce que je dis, c'est l'appel constant à la plus grande sévérité possible (on en voit regretter la peine de mort voire la torture) sans avoir les éléments pour le faire.
  23. Non, une énième fois c'est parce qu'on ne peut pas avoir accès à l'ensemble des éléments du procès.
  24. Quel rapport avec le fait de tout pathologiser ? Seulement on ne peut pas juger les actes de quelqu'un en pleine possession de ses moyens à un instant donné et de quelqu'un qui pour une raison ou pour une autre ne l'est pas (bouffée délirante ou autre). Je t'avais déjà répondu là dessus. Je ne fais pas un pataquès, je ne dis rien sur la sanction prononcée parce que je n'ai pas tous les éléments pour le faire.
  25. Je l'ai pourtant expliqué à plusieurs reprises : d'un côté il y a des faits au summum de l'atrocité ; de l'autre la peine maximale, soit. Alors je le répète une nouvelle fois, s'il était apparu que son discernement était aboli au moment des faits, s'il était apparu que les risques de récidives étaient peu élevés, la peine n'aurait pas été la même. Pourquoi alors le jugement aurait été moins rassurant ou moins satisfaisant, comment aurait-on pu l'estimer ? Et tout au long de ce fil de discussion j'ai expliqué cela avec plus de détails. Parce que je dis ça depuis le début, il m'a été répondu à plusieurs reprises que c'est parce que j'étais indifférent au supplice enduré par Lola : c'est bien qu'il y a un mélange.
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