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Tout ce qui a été posté par Neopilina
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Guerre en Ukraine - Sujet général
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
On a vu à Marioupol, etc. Depuis le premier jour, la Poutinie empile crime de guerre sur crime de guerre. Les livraisons faites à l'Ukraine sont conformes au droit international. Depuis le début de la guerre, la Poutinie utilise ce genre d'armes et vient de s'en faire livrer par l'Iran (la grande Russie se fait livrer des armes !), et l'Ukraine n'aurait pas le droit. Fais gaffe quand tu parles de gens censés ? A défendre un maboule, c'est peut être contagieux. Ou alors ça paye. -
Guerre en Ukraine - Sujet général
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Pour être précis, les missiles U.S. en question avaient été déployés en Turquie. Mais je ne vois pas le rapport avec la choucroute. Si les 56 pays amis de l'Ukraine le voulaient, Poutine aurait déjà perdue cette guerre en bonne et due forme. Moi-même, je suis à un cheveu de le regretter, sauf qu'en face, il y a un psychopathe. Le vrai souci, c'est ça. -
Vague brune Allemagne : victoire inédite de l’extrême droite dans un scrutin régional
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Globure dans International
Je suppose que tu parles de Stepan Bandera. C'était un anti-sémite ? Oui, comme tout le monde dans cette région et à cette époque. En ce qui concerne l'extermination des juifs, toutes ces populations ont très activement participé, c'est encore mal connu, tabou, mais on progresse. L'Ouest de l'Ukraine est la région du monde où la densité de fosses communes est la plus importante du monde (pour ceux qui ne prenaient pas le train). Il y a une chanson de Goldman, " Né en 17 à Leidenstadt ", il a raison, je m'empresse d'adopter sa prudence, son humilité. Qu'aurions nous fait, que dis-je, qu'aurais-je été ailleurs, etc. : science -fiction. Le front de l'Est à partir de 1941, c'est l'enfer sur terre. On est sommé de faire un choix : Hitler ou Staline ? Pas d'alternative. Énormément de supplétifs du Reich savaient très bien ce que c'était que le III° Reich, " problème ", peut-être savaient-ils encore mieux ce que c'était que les Soviets et Staline (on se demande encore si l'attaque allemande n'a pas interrompue un génocide des polonais par Staline). C'est très exactement le genre de dilemme " la peste ou le choléra ", " le marteau ou l'enclume ". Il fallu attendre plus de 1950 pour que les Soviets viennent à bout des mouvements de résistance nationalistes ukrainiens, alors que l'Ukraine est partie intégrante de l'U.R.S.S. et qu'ils ne peuvent compter sur aucune aide extérieure. Les tsars ont pris des centaines d'oukases pour interdire la langue ukrainienne, peine perdue, etc. -
Laisse-moi deviner, ce " metteur en scène " est un pur esprit de toute éternité, il a toujours existé et existera toujours, ce qui, effectivement, requiert a priori le temps, pas le genre de détail qui t'arrêtes. A part ça, l'abruti, le débile, le délirant, sans méthode, rigueur et rationalité, c'est moi. La réalité plus forte que la fiction, je le dis toujours.
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Vague brune Allemagne : victoire inédite de l’extrême droite dans un scrutin régional
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Globure dans International
Je ne sais pas pour l'Allemagne. Mais en France, les statistiques ethniques sont interdites. On a le droit de dire qu'il y a 20 % d'étrangers dans nos prisons, parce que ce sont des étrangers. Dans le monde médical, même " souci ", avec certaines pathologies. Pas évident ... -
Ça me rappelle furieusement un de mes exemples préférés. Bernard !!! Bernard est un collègue homosexuel (il ressemble à Terminator, en plus sympathique !!), je suis hétéro, et un jour, on regarde des gens descendre d'une voiture de train (les wagons, c'est pour les marchandises, hein). On regarde la même scène, mais on ne voit pas la même chose. Pourquoi ? Différences de Sujet. Scientifiquement dit, bien sûr, Bernard a le même cerveau que moi.
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Loufiat a écrit : " Qu'est-ce qu'une psychogenèse ? " J'ai un ami, très intelligent, qui a été abusé par sa mère puis un oncle, pour s'en tenir à ce qu'il m'a dit. Ça fait partie de sa psychogenèse. Depuis quelques années, il ne peut plus travailler, il est alcoolique, il cachetonne à outrance, il souffre, et il n'en sera pas autrement jusqu'à sa mort. Ce genre de médicaments ne guérit jamais, mais ce n'est pas une raison pour cracher sur les antalgiques, les soins palliatifs. Il faut se souvenir des asiles avant ces premières molécules, " ça " hurle, " ça " souffre de façon aussi aiguë que possible, 24 heures sur 24. Moi, à quinze mois, pas quatorze, pas seize, mais quinze, j'ai fais une fixation orale. Effets les plus manifestes : j'ai été un lecteur pathologique (je lis encore beaucoup mais moins), j'ai été un gros fumeur, un alcoolique et un glouton. Et jamais en surpoids : je dépensais largement tout ce que j'engloutissais, façon " pile ", mais inépuisable, constitutive. Donc chez moi, la latence sexuelle commence quand j'ai quinze mois, etc. Coté positif, il y en a eu un, et c'est grâce à lui que m'en suis sorti : je commence à sublimer à quinze mois. Loufiat a écrit : " Plus haut on nous parle d'amour, et je trouve ça très bien vu au fond. J'aurais tendance à porter mes réflexions sur la parole, comme créatrice de cet ordre de réalité à laquelle l'âme appartient, mais la parole, aussi essentielle soit-elle à mon avis, n'est rien, n'a pas son lieu sans une ouverture plus fondamentale, première, les uns aux autres et au monde, qui est l'amour en effet, un vouloir "être-à-l'autre". Cette ouverture, c'est toujours aussi une différence à soi, une fluctuation dans laquelle nous sommes pris, voire un déchirement (au sens aussi donc d'une révélation) ". Globalement, tu évoques " la relation à " (l'autre, le monde, etc.) du Sujet. C'est un des fruits les plus notoires, importants, de sa psychogenèse. D'emblée, vis à vis de l'extérieur, il est ainsi ou ainsi en fonction de cette " relation à ". Comme tu as pu le voir ci-dessus, j'ai été contraint de revoir la mienne de fond en comble. Le sexe et/ou l'amour (ici, le sentiment amoureux forcément) et/ou la jalousie, c'est très très surfait : on a tous eu une mère. Ça me fait penser aux effets d'une psychose blanche, c'est à dire sans effets considérés comme des symptômes. Homère nous en parle dans l'Odyssée avec l'épisode de l'ile d'Éole, elle est entourée d'une Muraille de Bronze, entendre que c'est bien clos, et à l'intérieur, c'est inceste à tous les étages : Éole a épousé sa soeur, et leurs enfants sont mariés entre eux, et Éole est le maître des vents et des tempêtes, c'est à dire des symptômes (donc psychose blanche). Mais la puberté a raison, en partie donc, de la Muraille de Bronze. L'Odyssée est le prototype de la première analyse réussie. Charybde et Scylla, c'est l'inceste, les Planktes (1), le parricide, etc. Quand Ulysse réussit à passer Charybde, il se retrouve suspendu au dessus du gouffre accroché à un figuier. Dans la psyché grecque, cet arbre renvoie clairement à Baubo, le sexe féminin. Un contemporain d'Homère sait très bien que le cheval de Troie est un tremblement de terre, qui a endommagé les murailles de la ville mycénienne, et permis la prise de la ville. Et c'est ce qu'ont montré les fouilles sur le site. Homère est un grand professionnel, comme nos romanciers qui vont chercher le nom d'une rue à Madrid pour les besoins d'un roman, c'est très exactement pareil pour l'Iliade et l'Odyssée. Des faits, des lieux, bien réels, pour nous raconter autre chose. Je considère que l'homme est l'animal qui n'a jamais été sevré. Nous sommes encore extrêmement empiriques, je ne parle pas de la doctrine philosophique : factuellement. Ironiquement. La psychanalyse nous décrit a contrario un hypothétique développement normal, que je n'ai jamais vu. Il faut recommencer, en conscience. Il faut s'enfoncer dans la Nuit avec la Chouette de Minerve (la connaissance), mais pour ça, il ne faut pas avoir peur du Noir (très pénible, très douloureux, celui-là : on se propose de se charcuter Soi-même), et avoir d'excellents instruments de navigation. C'est le fin mot de ma passion pour Sade : c'est un audacieux Voyageur, très dur, encore plus déterminé qu'Ulysse / Homère. Là où Homère transpire, Sade sirote de la limonade. Là où Homère esquisse en pudibond, lorsqu'il est question des Égouts, Sade trempe sa plume dans du sang, de la merde, du foutre et des larmes. Et ce en riant, en jubilant, très exactement comme un gamin de 10 ans très très content, satisfait, de ses " sales coups ". Loufiat a écrit : " Je ne suis pas satisfait de penser que le vivant veut perdurer, que ce soit sa finalité indépendante d'un côté, et qu'il y ait le Sujet de l'autre. Si c'était une finalité, que se serait-il compliqué la tâche, le vivant, et le minéral lui est supérieur ; d'ailleurs c'est ce qu'il reste de nous : les os. Les os perdurent mais le vivant ne cesse de passer comme le feu de brindilles en brindilles. Ce vivant “veut” manifestement le changement, le devenir. Il est pris dans une destruction continuelle de lui-même, il est essentiellement mortel, ce n'est pas un accident mais une nécessité qui lui vient du dedans au moins autant que la volonté de perdurer. Et c'est en tout cas déjà se figurer le vivant comme sujet que de lui attribuer une fin ou l'autre ". Pour la vie qui veut perdurer, je te renvoie à la biologie. Et présentement, je vais me faire violence pour ne pas t'accabler avec un pavé long comme un jour sans pain. Même les os ne perdurent pas. Un fossile, c'est très exactement le bateau de Thésée. Mais si je fais une coupe d'un fossile d'os de dinosaure, j'apprends plein de choses sur l'os du dinosaure, qui n'est plus là. Pour faire court et simple, tu prends un verre, tu coules du plâtre, tu attends le séchage, tu casses et fais disparaître le verre, reste le " fossile ". On n'arrête pas le progrès. Avec un scanner, un ordinateur et une imprimante 3D, on peut sortir des reproductions du cerveau d'un fossile de crane. Ce n'est pas encore une tranche de cerveau sur un marbre de la faculté, mais ça aide. Un arbre fruitier en fin de vie, quelques années avant sa mort, aura une dernière, et exceptionnelle, fructification. J'ai des houx derrière chez moi. C'est un arbuste de sous-bois. Mais " bon ", repiqué en pleine en lumière, soleil, il ne peut pas protester, porter plainte, il va composer. Une canicule ça va, trois, bonjour les dégâts, j'en ai un qui a " décidé " de passer à autre chose. A son pied, il y a un fort couvert herbacé, donc, de l'ombre, de la fraicheur, il a commencé à rejeter. Et le houx dont je te parlais est en train de mourir. L'histoire de la vie sur notre planète n'a pas été un long fleuve tranquille. Pendant des milliards d'années, c'est un caillou infernal. La vie s'accroche, sous les formes les plus simples. Et puis la planète vieillit, géologiquement, la surface s'apaise, elle fait " le ménage " sur son orbite, en se ramassant tous ce qui traine, ça cogne fort, très fort. La baie d'Hudson est un cratère météoritique et grâce aux instruments modernes, on en trouve de " nouveaux " tous les ans sur Terre. La vie est à terre, à genoux, mais à chaque fois, elle repart. Le vivant ne veut pas le changement, il veut perdurer. C'est l'environnement qui le contraint à devenir. Les petits mollusques du genre Neopilina ont très peu évolués, changés, parce qu'ils n'y ont pas été contraints (malgré le " neo " !, qu'on a ajouté pour les différencier des formes fossiles connues). Il y a d'autres champions de ce genre, les requins, les crocodiles, etc. Ça marche comme ça, pourquoi changer ? Les requins, les crocodiles, etc., sont plus vieux que les dinosaures. Du rustique, très, mais ça marche. Loufiat a écrit : " Il est pris dans une destruction continuelle de lui-même, il est essentiellement mortel, ce n'est pas un accident mais une nécessité qui lui vient du dedans au moins autant que la volonté de perdurer ". Sait-on jamais. Je suppose. Si tu te fais l'écho de " la pulsion de mort ", c'est plus compliqué. Freud est profondément tributaire de la médecine, des très grands médecins, de son temps, Bernard, Bichat, etc., et ça se voit. L'idée que la mort est inscrite dans la vie vient de là, et depuis, en biologie en tous cas, on a singulièrement nuancé. Deuxièmement. Freud lui-même à propos de cette formule sera aussi prudent que possible (ce qui n'est pas fréquent chez ce monsieur), il dira que si on trouve d'autres mots pour qualifier la cause de ce qu'on observe, il ne faudra pas se gêner. Ce qui nous amène très loin du sujet de ce fil. Loufiat a écrit : " Qu'est-ce que le vivant selon toi et en quoi n'est-ce pas l'âme, exactement, rigoureusement, mais cachée sous une nouvelle tunique ? " Exceptionnellement, je vais faire parler le scientifique, le biologiste, et l'amateur de philosophie, en même temps : mes conclusions dans les deux cas convergent. A titre personnel, en l'état, je ne vois pas d'autre support à l'âme que la vie, a fortiori pour un Sujet. Tu me parles de " tunique ", du Sujet, ce qui vient, au cas échéant, selon l'espèce, en dernier. Je parles en premier de ce qui est premier, de ce qui permet, scientifiquement dit, le Sujet, philosophiquement dit. (1) Si on retranche l'hypertrophie poétique, on reconnaît très bien la description de Calypso, c'est la Canna et le caillou pelé qu'il y a juste à coté, un peu au large de la 6° iles éoliennes, Filicudi. Homère, et les grecs, qui habitent la cote ionienne, ne savait pas encore qu'il y avait 7 iles principales. Homère fait avec les connaissances de son temps. Et à cette époque, par exemple, les navigateurs phéniciens connaissent beaucoup mieux le bassin occidental de la Méditerranée que les Grecs. On est avant la Colonisation (Marseille, VI° siècle, etc.), Homère écrit au VIII°. La Canna, Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Canna
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le Premier ministre est disposé à ouvrir son gouvernement à des "gens de gauche"
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Dessinateur dans Politique
Ça évoque une formule célébrissime de Descartes : " Le bon sens etc. " Ce qu'il faut bien comprendre pour bien sentir cette formule, c'est que Descartes ne connaît pas le premier degré : il ironisait. Le type " Macron " est, lui aussi, vieux comme le monde. Il est brillant, il a le melon, il devient médiocre. Le " Macronic " a pris l'eau, a commencé à pourrir de l'intérieur, dés qu'il a largué les amarres. Il n'a jamais abandonné son logiciel de banquier. Sauf que la République n'est pas un commerce (les " épiciers " de Nietzsche). -
Mulhouse (Alsace), un rassemblement évangélique, un paquet de morts (200 ?, chais pus mais facile à retrouver). Et on a vu la maladie contourner le massif vosgien (les montagnes, pas le département) à la fois par le Nord et par le Sud pour toucher toute la Lorraine. Et ainsi de suite ...
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Je le remets : D'abord, la passion de ma vie : la zoologie. Ensuite, en dilettante (à la maison, l'hiver, etc.), la philosophie. Et puis certaines lectures, courants, en biologie (plus sérieux, tu meurs), me chiffonnent : la sociobiologie, la psychologie évolutionniste, etc. Les scientifiques, ici, ratent un " truc ", à décharge, ce n'est pas de leur ressort : l'apparition dans la nature, dans le vivant, du Sujet. Et " du reste ", on a des biologistes qui font de l'éthologie, et dans le cas des espèces qui peuvent être concernées, dans leurs études, ils donnent des " petits noms " aux animaux qu'ils étudient, ce sont bien des Sujets, ils ont une personnalité. Selon l'espèce étudiée, à la biologie, il faut ajouter l'éthologie, et là, de fait, on prend aussi en compte le second domaine, celui du Sens.
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Déjà dit. L'Être, infini ontologique et potentiel, est l'âme de la nature. Et il faut de la vie pour le voir, le formaliser. L'Étant (donc produit par un être vivant), le " ce que c'est ", intrinsèquement, ne devient pas (sinon vertige héraclitéen), il disparaît pour un autre, d'autres ou pas : philosophiquement, c'est des successions, discrétisées donc. C'est la vie qui discrétise, d'abord pour pouvoir vivre sa vie, au sein du continu. La connaissance est discrète. Je peux causer aussi correctement, doctement, que possible des pommes de mon pommier, ça n'empêche surtout pas leur inéluctable destin, dont je peux causer aussi correctement que possible d'ailleurs. On est en 2024, " être versus devenir " ne pose plus aucun problème, si on ne mélange pas les torchons et les serviettes. Le dit " versus " ne disait que notre ignorance. Comment, pourquoi, etc., telle ou telle chose devient : voir le domaine concerné (sens ou Sens) puis la ou les disciplines idoines. P.S. à D-U, Donc ? Il n'y a pas d'ontologie s'il n'y a pas de vie. De voir ce mot utilisé à tort et à travers depuis des décennies est déprimant.
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Variole du singe: le prochain tueur?
Neopilina a répondu à un(e) sujet de querida13 dans International
Infos du jour ! En Occident, la fourrure est passée de mode, mais pas en Chine. Donc, élevage d'animaux à fourrure. Une équipe de chercheurs chinois, américains, européens et australiens, examinent de très très près les animaux en question (renards, visons, chiens viverrins, etc.). Ils ont trouvé 39 pathogènes à haut risque (variantes de coronavirus, de grippes, d'hépatites, d'encéphalites, de diarrhées, etc.) qui n'attendent qu'une chose : passer à notre espèce. Et tout ça, sans un sou de Bill Gates, des Illuminati, des francs-maçons, etc., merci la Chine ! Du temps que j'y suis, petite dédicace à BadKarma et Mowgli, chacun appréciera à sa façon. Depuis 2021, le nombre de chlamydia soignées a augmenté des 16%, celui de gonorrhée de 48 % et celui de syphilis de 34 %. Le sexe se porte bien, les M.S.T. aussi ! -
J'aimerais ajouter un truc à ça : La conscience c'est la partie émergée d'un iceberg dont la partie immergée est potentiellement infinie. Ce n'est pas rien. A ce sujet nous sommes encore largement dans l'empirisme, qui génère le plus souvent de prodigieux gaspillages.
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Pour information, la gueule de bois, le symptôme, signale la mort en masse de neurones. Doliprane bienvenu. Pas de panique, on ne devient pas sénile plus vite. A partir de 20 ans, à peu près, on perd des millions de neurones par jour. Sinon. Au XVIII° siècle, la police française sait tout, sur tout le monde, même les aristocrates, les princes du sang, etc. La " Maison " du Roi se donne le droit de tout savoir sur n'importe qui (ça peut servir, et ça sert). Et les policiers français sont déjà réputés. Par exemple, rien qu'à Paris, des fonctionnaires zélés comptent environ 20 000 martinets (et compagnie) dans les bordels, tous de mèche avec la police. Y'a des trucs à faire dresser les cheveux sur la tête, avec des épingles, etc. On parle d'hommes qui ont du " cuir " à la place de la peau au derrière. Lors d'une séance bien connue à Marseille, les prostituées se relaient à 4, les bras fatiguent, pour " fustiger " Sade. Le " matériel " ne suit pas, on envoie une domestique acheter un petit balai de bruyère. Sade avait compté les coups : un peu plus de 800.
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La première question qu'on doit se poser, c'est se demander quel(s) type(s) de discours (formalismes, etc.) est le plus adapté à la question posée. Ma formation est scientifique, mais mon goût pour la philosophie me rend extrêmement sensible aux excès, dérives, etc., scientistes. Les neurosciences c'est de la biologie et de la chimie, mais ce n'est pas demain la veille qu'on coincera un pédophile avec un scanner, ou qu'un psy pourra faire un diagnostic avec un scanner. La finalité du vivant, c'est de perdurer, ça c'est clair. Le Sujet, c'est autre chose, qui émerge, au cas échéant, du vivant. Comment on passe du sens (des neurones, le matériau) au Sens (un Sujet, le produit fini) ? Ma réponse actuelle : via une psychogenèse, et, cogito, à chacun la Sienne !
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Nous sommes seuls dans la galaxie…
Neopilina a répondu à un(e) sujet de SpookyTheFirst dans Sciences
En fait la planète Mars est creuse. Elle fait un tiers de notre planète, à cause de cela, elle a perdu ses océans, son eau, son atmosphère, etc. : la surface est devenue invivable. Donc, les martiens se sont réfugiés en sous-sol. Ils ont des scientifiques spécialisés pour que nos orbiteurs, sondes, rovers, ne trouvent aucune trace de vie. En ce moment, un de ces rovers faits des petits carottages qu'il met dans des capsules métalliques, la prochaine mission consiste à faire revenir ces premiers échantillons martiens sur Terre. Les martiens, qui nous observent aussi, ont vu qu'on était de sérieux malfaisants, ils ont donc décidé de glisser un pathogène dans ces échantillons pour nous éliminer. On va tous mourir dans d'horrib' souffrances. -
Ça, on ne le sait que trop bien. J'ai un vieil ami qui a fait un A.V.C. (pendant la Covid-19 !!). Quand les neurologues, on fait le " bilan " des conséquences, je leur ai donné un " petit " coup de main : je me suis assuré que cet homme était toujours celui d'avant l'A.V.C., je l'ai dit au médecins, qui se sont chargés de lister les autres séquelles. L'activité cérébrale est entre autre un micro-champ électrique, mesurable (électro-encéphalogramme), comme un corps en général. Certains requins peuvent détecter ce champ électrique minuscule dans le noir le plus complet et ainsi attraper des proies. Tant que tu vis, " l'ampoule " émet de la " lumière " !
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Oui, c'est déjà fort bien, notoirement dans le cas de notre espèce. O.K., faut que j'y pense. Mais tu peux m'aider ! La conscience, c'est la partie consciente (désolé) de mon âme. Quand tu rêves, as-tu conscience de rêver ? Ça peut m'arriver. Et le rêve se poursuit. Tout cela se travaille. La Substance de Spinoza, comme l'être classique de la philosophie occidentale, sans majuscule, est obsolète depuis le XVII° siècle, ici la science a pris le relais. Spinoza est le dernier grand système à " l'antique ", globalisant, je suis sûr que tu entends. Oui, entre autres.
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Ma réponse au titre du fil : mon activité neuronale. Pas compris. Pourtant il me semble que je suis rompu à ce genre de petit " jeu " ! D'ores et déjà, tu ne peux plus dire que ça n'existe pas : tu ne pourrais pas en parler ! La vraie question étant toujours la même : qu'est-ce que c'est ?
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Le réel, flèche du temps inclue bien sûr, est continu. Les Étants, c'est ce que je produis pour vivre ma vie. Les Étants, au sens philosophique du " ce que c'est ", ne deviennent pas, mais se succèdent de façon continue. Je conclus. La vie, la connaissance, discrétisent en continu, c'est à dire discernent, extraient, formalisent, du «ce que c’est», des Idées, des Universaux, etc., voire (cogito) en génèrent si le Sujet est impliqué en propre.
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Samedi soir, ma chère et tendre a décrété que la télévision lui appartenait. Donc, après ma sortie du soir avé les chats, je décide de lire un grand classique libertin du XVIII° siècle : " Vénus en rut, ou vie d'une célèbre libertine ", https://fr.wikisource.org/wiki/Livre:Vénus_en_rut,_1880.djvu Je consulte un peu la littérature spécialisée : la date de l'édition originale n'est pas connue. Nombreuses rééditions, plagiats, un épouvantable sac de noeuds, etc. C'est vrai que c'est un plaisant morceau. En lisant, je fais d'office une fiche de lecture : à l'occasion, j'arrête de lire, je prends des notes, et je reprends ma lecture. Une fois la lecture finie, je prends ma fiche de lecture, je fais deux petites recherches relatives à deux de mes notes : l'édition originale de ce classique est incontestablement de 1784.
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L'abbé Pierre est accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
Il y a déjà pas mal de temps, je bavarde avec la buraliste-journeaux-etc., du coin : on était au collège ensemble, etc. En causant, j'arpente ses rayons, et je m'arrête devant le " Philosophie Magazine " du mois, je le feuillette, un truc m'intéresse. Quoi ? Là, j'ai oublié ! Mais j'ai tout lu (forcément). Un jeune homme prêtre homosexuel démissionnaire du Vatican fait la promotion de sa production via un entretien. Benoit XVI est encore en exercice. Mais ni cet ex-prêtre, ni " Philosophie magazine ", etc., n'ont fait l'objet de plaintes. Benoit XVI a été démissionné, c'était devenu intenable pour le Vatican. Idem du vivant de l'abbé Pierre, et ça faisait très longtemps. Par définition, le français moyen c'est le plus fréquent, c'est les plus nombreux, ils ont d'autres soucis, intérêts, etc. Mais ça fait quand même des milliers (façon de parler) de gens qui savaient. Il y a d'autres choses qui sont très exactement comparables au cas de l'abbé Pierre et à celui de Benoit XVI. Mais comme ils sont encore vivants, personne n'en parlera à la télévision, alors que tous ces gens savent. Que Benoit XVI passe la majeure partie de son temps avec ses secrétaires extrêmement particuliers, dont le " Grand Tombeur " du Vatican, ils en sont tous fous, je m'en fous !, c'est le cadet de mes soucis. Mais le gars, " en même temps ", il est pape et pourfend l'homosexualité, oui, ça, ça fait désordre effectivement. -
La question métaphysique, c'est celle du Sens (pas le sens, rien à voir, objet des sciences, etc.) en Soi, de la subjectivité, du Sujet. S'il n'y a pas de Sujets, il n'y a pas de Sens dans la nature. Stricto-sensu, ce n'est pas une spécialité philosophique (comme l'ontologie, l'épistémologie, la théologie, etc.), même si historiquement on a souvent vu ces deux discours allégrement consubstantiels chez certains philosophes, certaines philosophies : on avait une philosophie et une métaphysique (on les reconnaît au premier coup d'oeil). Après le cogito, on a un age d'or de la philosophie spéculative sur le Continent, j'ai dit pourquoi, selon moi : la conscience de soi advient dans un " Bocal ", prisonnière de celui-ci, de cette formulation en l'état. Ainsi, la philosophie ne peut plus faire de la métaphysique, de la politique, justifier, motiver, l'action, etc. Quand Heidegger et Sartre meurent, pour s'en tenir aux dernières têtes de gondoles, ils en sont parfaitement conscients. Ils n'ont pas réussi à sortir du " Bocal " en bonne et due forme. Bien évidemment, riche de la conscience de Soi (libérée du " Bocal "), de la rigueur philosophique, je préfère l'aborder avec ce formalisme, ce discours. Tout Sujet fait de la métaphysique en permanence. Ça ne veut pas dire qu'il y pense, qu'il en cause, etc., bien sûr. Nos quatre chats en font. Selon l'espèce animale observée, j'observe des individus, ou des Sujet. Dans un banc de sardines, je vois des individus, dans une bande de lions, je vois des Sujets. Observer un animal est chez moi une seconde nature (façon Obélix, je suis tombé dedans quand j'étais petit). Je vois très bien que même chez quatre chats, j'ai quatre " Bien et Mal " avec des variations interindividuelles. Et donc, la philosophie occidentale, continentale et académique, est riche de la conscience de Soi. Ce qui a une foule de conséquences, et certaines d'entre elles n'ont pu être verbalisées que bien après la mort de Descartes, après d'autres découvertes. " Mon Bien et Mon Mal ", Ma morale, etc., et le cogito me dit bien que c'est les Miens, tout ce que je suis, tout ce qui me conduit, etc., en terme de Sens, métaphysiquement, je le dois à ma psychogenèse et uniquement celle-ci (famille, culture, etc.). Et je n'ai absolument rien décider de celle-ci. C'est seulement a posteriori, que je peux décider de corriger les " choses ", ce que je suis, ou pas. A titre personnel et en l'état, je vois donc deux discours pour aborder la métaphysique : la psychanalyse et la philosophie. Et le fait même de le faire avec ces deux discours très différents est fructueux. Le but premier est de savoir, de comprendre, etc. Mais notoirement, on peut attendre de ces travaux de quoi justifier, motiver, un discours politique. J'ai déjà posé la question. Le cogito nous dit qu'il y a autant de métaphysiques que de Sujets, a priori, on a tous raison et on a tous tort. Le propos est intégralement, purement, philosophique. Peut-on en tirer des conséquences morales, éthiques, politiques, en un mot, métaphysiques.
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Ça tombe bien, je n'ai jamais eu la moindre intention en littérature. Et je lis de la littérature quand j'y suis contraint. Homère, etc., etc., philosophent, sauf que le formalisme, le discours, philosophique n'existe pas encore !! Le plus souvent, Sade philosophe via la littérature, donc, ici, idem, pour accéder à sa philosophie, je passe par sa littérature. Sur le cogito, il fait beaucoup mieux qu'une foule de philosophes bien patentés, enseignés, etc., mais comme c'est Sade, personne n'a vu. Je m'efforce d'écrire correctement en français, pas comme ça : Je vais être bon cheval (si, si, je peux l'être) : j'admets sans discuter ce que tu dis de Grothendieck. Il n'empêche que dans l'un des ses manuscrits inédits, aujourd'hui en dépôt à la BnF, il se propose de " mathématiser la psyché humaine ", et ça, c'est absolument certain. Le travers de matheux parce que trop matheux que j'ai signalé ci-dessus est une réalité, très ancienne et toujours effective !
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Ouais, alors je vais me permettre de te renvoyer le compliment, juges un peu, surtout après ça : C'est grossier ? Non, il faut un autre mot, et je ne l'ai pas sous la main !! Bien sûr, je ne te demanderais pas une citation qui n'existe pas. Sur Gödel et quelques autres, tu vas voir, mon propos, c'était juste que des pythagoriciens à toi, en passant par Gödel, Grothendieck (qui nous propose une mathématisation de la psyché humaine, je me demande comment il fait pour la quadruple pénétration anale avec du verre pilé, etc.), le matheux, bon matheux et trop matheux, qui prend des vessies pour des lanternes, on n'a pas fini. Et je vais aller au plus court : tes contributions sur ce fil, un fil, consacré au cogito. " Fort ". Un " mot " sur l'éternalisme et le présentisme : . Même " tonneau ". Hein.